Maroc Dilemme: Conseil Etranger pour un Objectif National

Said El Mansour Cherkaoui · February 28, 2021  


Tous ces classements sont des exagérations voulues et sont orientées vers des buts précis, c’est de la pub en cascade gratuite dont nous servons de vecteurs. Si on a des capacités propres d’analyse on n’a pas besoin de cabinet tel ou tel pour nous mettre une carte colorée a la Walt Disney avec des chiffres et un classement bidon pour que nous tombons dans leurs paniers et servir de plateforme et de ponts sur lesquels ils s’étendent confortablement a l’aise balaise et nous comme des assourdis et ébahis nous les regardons faire passer sous notre museau leurs caravanes pleines a craquer de pognon et de revenus.

Déjà, on travaille pour LinkedIn gratuitement en publiant nos propres analyse et la devenir un panneau mobile de pub pour les compagnies privées, sans que l’on remet en cause leurs références, leurs données, sans une équivalence plus proche de la réalité a leurs “trouvailles corrompues” on devient complice de l’ignorance et de la manipulation des chiffres pour des fins mercantiles nous rendant prisonniers de notre ego nationaliste a vouloir faire gagner notre Royaume du Maroc une fausse médaille d’or de chocolat qui va fondre au premier contact avec la vraie lumière de la conscience et du savoir fondé.


Comment image, no alternative text available

Une stratégie de promotion des investissements indique ce qu’il faut promouvoir (à savoir des secteurs, pays, projets et/ou investisseurs) et la manière dont cela doit être fait en pratique. Elles fixent aussi des objectifs et des indicateurs clefs de performances pour en mesurer l’efficacité. Il importe que la stratégie et ses principales caractéristiques soient conçues selon une approche impliquant tous les services de l’État puisque les priorités de l’investissement doivent s’articuler avec les autres stratégies d’action publique, notamment dans les domaines du commerce extérieur, de l’innovation et des compétences. Ces stratégies ne sont pas toujours portées à la connaissance du public dans les économies MENA examinées alors même qu’elles pourraient contribuer à améliorer leur image auprès des investisseurs étrangers et les informer des possibilités d’investissement y existant (OCDE, 2020 [4]).

Les efforts de promotion de l’investissement devraient être hiérarchisés en fonction d’une batterie de critères conformes aux objectifs de développement national. Le choix des mesures auxquelles donner la priorité devrait faire suite à une évaluation des forces, faiblesses, possibilités et menaces pour s’assurer qu’il obéit à un raisonnement économique mûrement réfléchi plutôt qu’à des préoccupations politiques. Les priorités sont souvent décidées au plus haut niveau de l’État dans la région MENA, mais les API de certaines économies de la région jouissent d’une certaine autonomie pour le choix des secteurs prioritaires à condition qu’il s’inscrive dans les objectifs de développement à portée plus large qui ont été arrêtés par le gouvernement. Par exemple, la législation tunisienne énumère plusieurs secteurs prioritaires, mais les organismes publics s’efforcent aussi de donner la priorité aux investissements qui vont dans le sens de certains objectifs de développement. En revanche, l’API de l’Algérie se borne pour l’essentiel à exécuter les directives fixées par le pouvoir exécutif.


Promotion des investissements : stratégies et outils de mise en œuvre
Promouvoir les investissements exige une stratégie transparente et bien définie

Think out of the Box, Le Maroc Engage des Boites Extérieures pour une Modernisation Subcapitaliste et Développement Extraverti


Presque toutes les Agences pour la Promotion des Investissements [API] donnent la priorité à certains investissements plutôt qu’à d’autres même quand il n’existe pas de stratégie de promotion des investissements en bonne et due forme. La plupart des API de la région MENA ciblent les investissements émanant de certains pays (90 %), secteurs (90%) et projets d’investissement spécifiques (70

%). L’Égypte est le seul pays à cibler des investisseurs spécifiques quoique son API emploie les mêmes critères que ceux qui servent à hiérarchiser les secteurs, y compris dans le cas où un projet peut contribuer à la création d’emplois, entraîner des transferts de technologie ou renforcer la capacité d’exportation. Les API d’Eurasie fixent généralement leurs priorités en fonction des secteurs et des projets, seul un petit nombre ciblant des pays ou investisseurs en particulier (OCDE, 2020 [11]). Moins de la moitié des API de la zone OCDE arrêtent leurs priorités en fonction des pays, secteurs, projets et investisseurs (OCDE, 2018 [2]).

Les pays conçoivent leurs stratégies de manière à attirer les investissements dont ils escomptent les plus grands avantages pour l’économie. Toutes les API de la région MENA recherchent des projets ayant des effets positifs sur les capacités de production des entreprises de leur pays, sur son image, sur le développement régional, sur l’emploi et sur l’innovation. Toutes les API qui arrêtent leurs priorités en fonction des secteurs visent les industries permettant de diversifier l’économie nationale et la plupart d’entre elles ciblent les secteurs concourant au développement régional et renforçant la compétitivité de l’économie par rapport à celle des autres pays. Cette logique traduit le souci de trouver un juste équilibre entre la diversification de l’économie et la mobilisation de capacités dans les secteurs où se trouvent les points forts de la nation selon une démarche analogue à celle des API de la zone OCDE (OCDE, 2018 [2]).

Lorsqu’elles donnent la priorité à certains pays ou régions plutôt qu’à d’autres pour attirer des investissements, les API de la région MENA privilégient ceux avec qui des accords internationaux sur l’investissements ou le commerce ont été conclus. Si les API de la zone ALC appliquent le même raisonnement, leurs homologues des pays de l’OCDE donnent moins de poids à ces accords dans leur stratégie de ciblage. Cette différence d’approche est probablement due au fait que les barrières aux échanges et à l’investissement sont plus élevées dans les économies MENA que dans ceux de l’OCDE.

La pandémie de Covid-19 et ses répercussions sur l’économie mondiale pourraient amener les agences de la région MENA à réviser leurs stratégies de promotion des investissements et les priorités qui en découlent. Les réflexions engagées pour évaluer le choc subi par les chaînes de valeur et le positionnement futur de la région MENA dans les réseaux d’investissement mondiaux ont une importance cruciale (OCDE, 2020[10]). Par exemple, les API de plusieurs économies MENA, comme la FIPA en Tunisie, prévoient d’ajuster leurs stratégies de manière à privilégier les sociétés européennes relocalisant leur production au départ de la Chine et, selon le même raisonnement, à attirer les sociétés chinoises désirant exporter dans l’UE.

La plupart des économies ont pour priorité de construire leur image en tant que destination d’investissement

Pour appliquer la stratégie de promotion de l’investissement dans son pays, une API affecte des moyens à tout un ensemble d’outils incluant la construction d’image et la prospection et ciblages des investisseurs. La construction de l’image est le premier poste de dépenses (entre 40 % et 50 %) chez la plupart des API de la région MENA alors qu’au Maroc, en Jordanie et dans l’Autorité palestinienne les efforts de prospection et de ciblage des investisseurs absorbent une plus grande partie du budget (Graphique 6.4).

Par exemple, l’Égypte et la Libye allouent la moitié de leur budget à la construction de leur image. Cette fonction recouvre fréquemment les activités de marketing à caractère général (site et services Internet, télévision, documents imprimés et promotionnels tels que les brochures) et les événements organisés dans le cadre des relations publiques (tournées de présentation et forums, missions générales à l’étranger et accueil de missions commerciales dans le pays). La priorité à l’image pour présenter le pays comme une destination de choix pour l’investissement peut s’expliquer par le contexte politique et sécuritaire régnant dans certaines économies de la région MENA et par l’âpreté de la concurrence que livrent les autres pays ayant des capacités similaires mais dont le coût de la main-d’œuvre est plus bas 3.

La prospection des investissements est la fonction principale de trois API de la région MENA, dont deux (en Jordanie et au Maroc) lui allouent plus de 50 % de leur budget. La priorité donnée par le Maroc à la prospection est cohérente avec la récente réorganisation de l’AMDIE en services spécialisés par secteurs comme avec la décision de fusionner la promotion des investissements et des exportations afin de promouvoir certaines chaînes de valeur. Cette organisation est similaire à celle des API de plusieurs pays de l’OCDE, comme Business France. L’Allemagne, l’Espagne, la Grèce et la Pologne ont aussi fusionné il n’y a pas très longtemps les fonctions de promotion des investissements et des exportations (OCDE,
2018[2]). –  135 – Perspectives des Politiques d’Investissement au Moyen Orient et en Afrique du Nord © OCDE 2021


Said El Mansour Cherkaoui · February 28, 2021  Téléguidage des Compagnies Internationales de Consulting et Orientation Développementaliste Subcapitaliste du Maroc

Quand une modernisation est extravertie et d’orientation importée, elle devient un instrument de débrayage et de positionnement de l’économie marocaine dans une sphère subcapitaliste. Cette modernisation est donc stimulée de l’extérieur et elle réponds aux besoins de l’extérieur et ne participe nullement dans l’essor ou le développement national, régional et local.

Malgré tous les élans de construire une modernité depuis 1956, le Maroc importe et imite seulement le laisser-pour-compte, ce qui est dépassé, et ce qui cherche seulement une rentabilité supplémentaire ou qui n’est plus réalisable ou bien subit une continuelle dégradation du taux de profit en Europe.


La Modernité actuelle du Maroc est basée sur le Cloning – Imitation a court terme, le recyclage de ce qui est sur la sellette, et la consommation des produits de prestige issu d’une exposition culturelle et d’effet de démonstration de la mode éphémère et élitiste.

Le Maroc se trouve ainsi l’otage des grandes maisons internationales de Consulting qui pénètrent les sphères de la décision nationale et les institutions ou se finalisent les allocations financières et budgétaires.   Ce positionnement stratégique d’ordre martial se traduit par la conquête de la pensée, la soumission de l’intelligence, la domination de la matière grise, l’usurpation de l’innovation, la neutralisation de la créativité, la marginalisation des initiatives qui expriment des projections ou des objectifs nationaux.



L’omniprésence des courtiers, des lobbyistes, des Chevaux de Troie et des envahisseurs de la sphère de la décision nationale maintien le Maroc dans une relation de suivisme qui fut inaugurée par les recommandations des institutions financières internationales tel que la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire Internationale et leur équivalent de par les Etats Unis et l’Europe Occidentale. Ces organisations financières et bancaires faisaient dépendre l’octroi de crédit et le financement de projets de “soi-disant” de développement économique dans les pays tiers a une conditionnalité non négociable, a prendre ou a laisser suivi d’une sorte d'”essaimage des abeilles” a travers l’atterrissage et le parachutage au Maroc d’une 5 eme Colonne de conseillers, de consultants, d’experts et de technocrates qui deviennent les formateurs des bureaucrates locaux et les producteurs des plans de correction, de la planification de développement.

Ces Consulting servent ainsi de courroie de transmission entre les grands groupes internationaux, les Etats Occidentaux et les organisations internationales de crédit et de finance et les Hommes d’États qui comme le Maroc deviennent des clients et un autre espace de demandes pour leurs services et leurs produits ainsi que pour leurs investissements à sens unique.   Ces mêmes Consulting Firms servent ainsi comme des “chevaux de Troie” pour leur propre intérêt et comme une brigade d’intervention qui aplanit le terrain et prépare l’atterrissage de la Grand Armada formée de compagnies étrangères qui sont presentees comme le levier de l’integration dans le marche international, la passerelle pour l’emergence et la participation dans la globalisation.

Pour de tels objectifs d’internationalisation de l’économie nationale, le pays doit financer la construction d’une infrastructure pouvant rivaliser avec les autres pays qui sont en avance et reçoivent les faveurs du capital international et des investissements directs étrangers vu leur attractivité qui offre des facilites fiscales, des avantages financières, des infrastructures de premier ordre international en deçà de la formation d’une main-d’oeuvre docile, jeune et éduquée avec des salaires battant tous les records par rapport a ceux versés dans les pays développés. Le Maroc devrait ainsi s’atteler a sauter dans le prochain train de modernisation prenant place parmi ses concurrents immédiats sinon il risque d’aggraver l’écart et la distance qui pourraient le séparer même du prochain train ayant pris le départ déjà en direction du sud. Pour se positionner a un niveau de pole d’attraction, le Maroc devrait aussi multiplier les accords de libre-echange avec des pays tiers afin d’aplanir le chemin commercial que doivent prendre ces productions industrielles voulant s’installer au Maroc.

Ainsi, les autorités marocaines forment, deviennent , fournissent et financent la mise en place d’équipes de prospecteurs, de vendeurs et de support de la clientèle internationale en plus de la recherche de debouches et l’exploration de nouvelles demandes dans le marché international. Ainsi, le Maroc met et se transforme comme constructeur de la mise en place de départements de ventes internationales pour les compagnies multinationales s’installant au Maroc.

Alors que je conduisais une recherche sur le Brésil avec les conseils de Celso Furtado a Paris, je me suis rendu compte que le Brésil a travers les recommandations de la Banque Mondiale avait en fait appliquer le premier et déjà au milieu des années cinquante le même scénario et la même stratégie de développement qui fut octroyé par la suite au Maroc par la même institution ce qui résulta a l’implantation du programme de la substitution aux importations. Comme on dit, on change la bouteille, l’étiquetage et le branding mais le vin reste de la même source avec même un gout amer vu le temps écoulé en plein air.

Said El Mansour Cherkaoui and Latin America

My Mentor and Thesis Advisor, Celso Furtado Said El Mansour Cherkaoui et Jacques Chonchol, my Thesis Director of Research Said El Mansour Cherkaoui on Latin America Publication on the Economic Development of Brazil at the Centre National de la Recherche Scientifique de Paris par Said El Mansour Cherkaoui:La relation ambivalente entre l’Etat fédéral et les…Lire la Suite → juin 13, 2022


Le paradoxe c’est que tous ces Experts se feront payer des sommes faramineuses extraites des nouveaux emprunts accordés au Maroc, alors qu’ils allaient recommander aux responsables marocains de réduire les dépenses du Maroc et d’équilibrer le budget en serrant la ceinture en ce qui concerne les dépenses sociales qu’ils considèrent comme des largesses alors qu’ils se sert les premiers sans poser de limites a leurs compensations, coupant ainsi la branche sur laquelle siège et repose leurs prétendue compétences.


En effet, ces experts délégués comme des éclaireurs pour les intérêts étrangers préconisent même des stratégies de resserrement de la Ceinture – Tight Belt Policy, a savoir la réduction des allocations budgétaires et l’étranglement des services sociaux. Neutralisant l’essor de bases sociales pour le pouvoir en place, le rendant vulnérable a toutes les manifestations sociales, tel que les Révoltes pour le Pain, le déclenchement du soi-disant “Printemps Arabe” dans les pays non-soumis directement aux intérêts des puissances étrangères dominantes qui avec le temps ont été démontré qu’ils furent tous sans exception, le résultat de ces manipulations et celles venant des interférences des actions secrètes et couvertes menées par des services secrets de plusieurs pays occidentaux et leurs alliés régionaux.



La rentabilité, le profit, la remise et le renvoi / le rapatriement des profits a leur siège social respectif réalisés par les entreprises étrangères et le règlement du service de la dette deviennent les cibles et les priorités de toute politique monétaire, financière, budgétaire et de commerce international ainsi que de développement national.

Ces grandes maisons internationales de Consulting entreprennent des livraisons à domicile comme les services du catering basés sur des recettes fait-maison qu’elles enveloppent dans un paquet de mesures et de Business Model se présentant comme la meilleure recette pour l’amélioration de la compétitivité et du développement économique et social de la région, du pays ou de l’industrie.  Ces recettes sont des recettes génériques proposées a toutes les nations du Sud dans le même moule seule le contenu à verser dans le moule est différé, à savoir, soit du béton armé, du plâtre, de l’argile, du papier mâché ou du ciment ou même la farine comme poudre aux yeux qu’ils jettent autour d’eux avec des présentations PowerPoint et des chartes/cartes et des tartes en couleurs, et même actuellement sous forme de vidéo et d’animation tel que les meilleures productions de Star War a Hollywood ou par Pixar.  On assiste alors a la mise en place de plans de développement économique enrichissant le divertissement que la masse populaire qui attend Godot.

Ces services offerts par ces Consulting Firms se présentent comme des actions correctives du développement et de la croissance économique ou de correction des tendances opérationnelles et administratives.  Autres formes de présentation,  c’est des évaluations et des études de faisabilité qui prétendent être porteuses d’un meilleur rendement ou d’une meilleure rentabilité ou même d’une exploitation plus profitable des potentialités existantes qui en fin de compte ne sont en définitive que des moyens et des subterfuges pour s’accaparer des contrats faramineux et orienter les décisions des responsables et des ministres Marocain/es vers les domaines, les secteurs et les productions ou ces mêmes maisons internationales de Consulting possèdent des contacts et avec qui ils entretiennent une relation de clientèle.   


Le succès de McKinsey à cultiver des clients gouvernementaux pendant la pandémie est, à bien des égards, la réalisation d’une mission de 70 ans. C’est dans les années 1950 que l’entreprise a commencé à faire valoir que les hommes d’affaires devaient supplanter les fonctionnaires, en particulier dans les postes de direction chargés de mettre la politique en pratique. Le discours était intéressé mais bien calibré pour séduire pendant la guerre froide : la « société de libre entreprise » des États-Unis « dicte que l’industrie devrait se voir accorder un rôle aussi étendu que possible », écrivait McKinsey dans un rapport de 1960 au tout jeune National Administration de l’aéronautique et de l’espace. Lire la suite


Comme on dit, “on n’est jamais mieux servi que par soi-même.


L’AUTRE ETUDE RÉCENTE DE CAS DU MAROC TOMBANT DANS LE PANNEAU DES GRANDES FIRMES DE CONSULTING TELLE QUE MCKINSEY

Réda Dalil • 2nd Rédacteur en chef chez TelQue • 

McKinsey, BCG, Roland Berger, Bain, Southbridge A&I, Capital Consulting ou Valyans, depuis 20 ans, l’incursion des grands cabinets au cœur de l’État n’a cessé de s’accentuer. La consultomania sonne-t-elle le glas de l’indépendance de la décision publique  ? Le Maroc a-t-il entièrement sous-traité sa matière grise ?


Dans cette affaire McKinsey, celle plus largement du poids et de l’influence des cabinets de conseil dans la définition des politiques publiques, les amis et supporters du candidat Macron crient au procès politique.

Sur le terrain électoral, l’auto-saisine du PNF suite au rapport du 16 mars de la commission sénatoriale (et aussi au contrôle fiscal en cours) a apporté de l’eau au moulin des concurrents du favori. Depuis plusieurs jours, c’est un tir groupé continu contre le gouvernement et le président sortant.


LE MAROC

Pont vers l’Europe, Porte vers l’Afrique et Porte de la Méditerranée

Portail de la Méditerranée et Fenêtre sur l’Atlantique.

Pour en savoir plus Maroc – http://www. invest.gov.ma/?Id=10&lang=fr

Au départ, il y a eu le Plan Émergence, initié à la suite d’une étude du cabinet McKinsey commanditée par mandat au sein du Portefeuille Industrie (2004-2007).

Ahmed Réda Chami, a tenté de donner corps à un Pacte National d’Émergence Industrielle, une stratégie centrée sur les secteurs dans lesquels le Maroc est compétitif grâce à sa main d’oeuvre bon marché. Puis est venu le Plan d’accélération industrielle (PAI), lancé en grande pompe en 2014 par Moulay Hafid Elalamy, quelques mois après son arrivée à la tête du ministère de l’Industrie.



🇲🇦☆🇲🇦Ahmed Haddad • 2nd

PDG de Mr CLIM (Expert & Distributeur N°1️⃣ LG climatisation) ●BATICLIMA(Réalisation Grands Projets Clim )●MY CLIM ( Gestion Contrats de Maintenance Clim ) Vice-Président CLUB DES DESDIRIGEANTS Casa-Settat 6y

Belle présentation MR le secrétaire d’Etat mais malheureusement ça concerne toujours même discours l’automobile et aéronautique .
Il sont ou les autres secteurs d’activité industrielle de la PME???
quel est l’impact sur création d’emploi a l’échelle national?
C’est quoi votre politique d’accélération industrielle envers cette la PME ?
Je pense une économie basée sur 2 ou 3 activités c’est une économie condamné à la chute à tout moment ,
J’aimerai bien avoir au moin une présentation chiffrè concernant l’exportation envers notre A A A A A AFRIQUE par notre PPPPPME !!!!!!!
Est ce que le produit made in morroco industriel est aujourd’hui exportable (hors cosmétique ou agro-alimentaire )?????
Mais concernant les deux secteurs champions et leurs Écosystèmes j’en suis très fière de votre équipe ministérielle j’estime que se sont des resultats positives et même satisfaisants .
Pensez à notre tissu industriel marocain SVP et commencez par résoudre foncier car c’est le 1er obstacle ….


Dot Come : Thousand Stories @ Morocco Tech Gone

Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.  has 79 articles published on LinkedIn on May 22, 2020 Introductory Note 2017 Progress Report – Industrial Acceleration Plan 2014 – 2020 Ministry of Industry, Investment, Trade and Digital Economy – March 2018 The Industrial Plan should be carried out in 2020: What about it? The compilation of my notes published in the … Continue reading


Cluster pour l’Automobile Plateforme de déploiement de la gamme input
L’usine Renault de Tanger est dédiée à la production des modèles Lodgy et Dokker, de l’emboutissage à l’assemblage en passant par la tôlerie et la peinture. Le projet est situé sur 300 hectares avec tous les services publics avec une capacité de véhicules à bas prix. Le véhicule de la famille Logdy, dernier-né de Dacia, la branche « low-cost » du groupe Renault, sera fabriqué dans cette nouvelle usine.

Destiné en priorité aux marchés émergents, il sera également commercialisé en Europe. Cette unité, profitant du faible coût de la main-d’œuvre, pourrait créer 6 000 emplois directs et 30 000 emplois indirects dans le nord du Maroc. Des fournisseurs ou sous-traitants de premier plan sont déjà implantés dans la zone franche d’exportation, située face à l’Espagne.

Cette unité bénéficie d’une exonération fiscale pour les entreprises pendant cinq ans, d’un dégrèvement de TVA, d’aides à la formation, d’aides financières à la construction.

Selon diverses sources, la structure de coûts de ce projet est de 1,1 milliard d’euros engagés en deux tranches, dont les fonds propres, fonds propres et comptes courants s’élèvent à 240 millions d’euros, divisés respectivement à 51% et 51%. 49 % entre Renault-Nissan (France) et Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG – Maroc). La contribution financière de Renault est donc de 122,4 millions d’euros, tandis que 117,6 millions d’euros proviennent de CDG, contribuant à 11,12 % du montant total de 1,1 milliard d’euros. euros, tandis que pour Renault, l’essentiel reste son apport en technologie et en savoir-faire. Le fonds Hassan II est l’un des plus gros contributeurs à ce projet avec un investissement de 200 millions d’euros sous la forme d’un prêt à taux bonifié à Renault. Trois autres banques marocaines, Attijariwafa Bank, le Groupe Banque Populaire et la BMCE, ont apporté un financement de 105 millions d’euros, avec une participation à parts égales sur le volet projet en équipements d’infrastructures et génie civil.

Ces banques financent également les autres installations de sous-traitance qui sont constituées d’environ 80 entreprises afin de fournir des pièces de rechange pour la production de voitures par Renault ainsi que pour l’exportation vers d’autres sites Renault en Europe et en Europe. ailleurs. Dans la structuration de ce financement, l’Etat marocain s’engage à travers une contribution directe de 95 millions d’euros, (plus d’un milliard de dirhams), sur le montant total de la première tranche de l’investissement. Ce montant a été réalisé au niveau des subventions de l’Etat marocain sous forme de terrains aménagés hors site de plusieurs hectares.

Parmi ces interventions financières de l’Etat marocain concernent directement le développement infrastructurel et logistique telLE que la construction de voies ferrées et de routes par l’ONCF et l’ONEP conçu pour les besoins du transport des voitures destinées à l’exportation à travers notamment le nouveau port de Tanger Med. Cette synergie est en réalité à la charge de l’Etat marocain qui finance directement l’équipement des nouvelles installations de stockage et de stationnement ainsi que la construction de môles portuaires tel que Tanger Med où toutes les infrastructures portuaires sont mises à la disposition du projet ainsi comme un espace de stockage de plusieurs hectares réservé sur le port pour garer les voitures en attente d’exportation.

La deuxième tranche est d’environ 460 millions d’euros (plus de 5 milliards de dirhams) et a été réservée au moyen d’un financement partiel sous forme d’encaissements de trésorerie – cash-flow libre et jusqu’à 40% à 60% par endettement.

Les intérêts de Renault au Maroc sont principalement constitués par la volonté de consolider le contrôle du marché automobile marocain et par les opportunités uniques qu’offre l’opération de Tanger. Renault est actuellement l’entreprise dominante sur le marché automobile marocain. Les marques Dacia et Renault, détenues et exploitées par Renault, représentent respectivement 20 % et 17 % du marché. Renault exploite déjà une usine à Casablanca et l’augmentation de la production de cette nouvelle usine permettra à l’entreprise de maintenir sa part de marché au fur et à mesure que l’industrie automobile marocaine se développe.

Container bridge for exports to emerging and European markets

Cette installation répond cependant à un objectif bien plus important pour Renault que le simple contrôle du marché marocain. La zone industrielle de Tanger offre un certain nombre d’avantages significatifs pour les opérations industrielles. Avant tout, l’usine Renault est située à proximité du port de Tanger Med, permettant une expédition simple et efficace des marchandises. Ce port est situé dans une position géostratégique clé à l’intersection de l’Afrique et de l’Europe.

Renault prévoit d’exploiter l’emplacement de ce port, car il sera expédié vers l’Europe, la Turquie, l’Afrique et l’Amérique du Sud depuis Tanger. De plus, le port a développé un certain nombre de services logistiques et de post-traitement dédiés à l’industrie automobile, qui ajoutent une plus grande valeur aux opérations de Renault à Tanger.

En 2010, Renault employait 1 800 personnes au Maroc et les usines d’assemblage représentaient 1,4 % du total du Groupe, dont la production en 2007 était de 28 764 véhicules, soit 1 % du total du Groupe Renault. La production de Renault démarrée au Maroc en 2012 a produit 229 000 voitures en 2015. La capacité de production annuelle initiale de 170 000 modèles a considérablement augmenté pour atteindre 229 000 voitures en 2015 et atteint actuellement 400 000 véhicules par an.

“Aujourd’hui, nous atteignons le plein potentiel de cette usine, qui a une capacité de production de 400 000 véhicules par an et est devenue l’une des plus performantes au monde”, a déclaré Carlos Ghosn

Juste pour situer ses effets sur le plan financier, cette modernisation extravertie est une des causes de la perte de valeur de notre monnaie nationale, la raison de l’accroissement de la dette extérieure et une des causes directes du déficit des comptes courants, et la principale détermination du détournement de fonds public et un transfert des allocations budgétaires qui auraient servi a des investissements de nature et d’objectif social pouvant alléger la misère et la pauvreté ainsi que FAIRE PROGRESSER l’éducation et la santé au bénéfice des masses populaires marocaines.

Tanger, Maroc: 2015

Tanger en tant que site industriel de Renault a également permis de structurer le réseau de fournisseurs alimentant l’usine Renault mais aussi à l’export vers l’Europe et l’étranger. L’usine Renault a servi d’aimant pour ces équipementiers automobiles périphériques, non seulement au nord du Maroc, mais aussi à proximité et juste au nord de Casablanca, à Kénitra, où PSA Peugeot Citroën construit actuellement une usine à achever. 2019. Peugeot prévoit une capacité de production initiale de 90 000 voitures par an et 200 000 en 2022. Les véhicules Peugeot seront principalement destinés aux marchés africains.

Created October 26, 2018 – Said El Mansour Cherkaoui – El Jadida – Morocco and Oakland, California – USA


Par ces largesses financières, immobilières, fiscales et de rapatriements de profit ainsi que douanières accordées aux capitaux étrangers sont doublées d’un manque a gagner, le tout ajouté aux facilités octroyées aux créditeurs’étrangers pour l’accès aux emprunts qui en fin de compte ne servent qu’a un amortissement partiel du service de la dette extérieure et aux achats de produits pour la modernisation du Maroc,. Par ce subterfuge de transfert de valeurs fiduciaires et d’exploitation de ressources naturelles et humaines, on assiste en réalité a un kidnapping légal de ressources financières qui entraîne une prise en otage de tout programme social neutralisant ainsi toute orientation économique tant régionale que nationale ayant une portée “developpementaliste” du Maroc profond et populaire.

A travers cette toile d’araignée d’arrangements des affaires internationales, lors que les Hautes Élites Marocaines se construisent des réseaux au niveau des chaines globales du développement de leurs intérêts propres plaçant les membres de leurs familles en premier comme étudiants dans des universités et les hautes écoles étrangères (USA, Grande Bretagne et France) et dans les Groupes de Consulting les plus renommés ou des boites de consulting ayant été embauchées par/pour les services de l’Etat Marocain. La progéniture et la relève des Élites Marocaines conscientes de ses intérêts et du besoin d’assurer un héritage hermétique a toute défaillance d’ordre générationnel, s’octroient et s’offrent de la sorte des positions de courroie de transmission d’un savoir gestionnaire et d’un savoir-faire leur facilitant a la fois leur insertion professionnelle dans le circuit inter-corporatiste multinationale et servant de lien direct entre les grands groupes occidentaux et leurs investissements tant au Maroc que dans le reste de l’Afrique. C’est dans cette optique, que le Maroc se veut être en premier comme le Gateway de l’Afrique et le pont entre l’Europe et l’Afrique.

Aussi, ce n’est point seulement les Ministres et les partis politiques, c’est surtout la stratégie déclarée tout azimuts d’ordre et d’obédience libérale et ultra-libérale poursuivie et implantée comme un Tbendika en face des grands tenants du marché international et dont les effets est la vente tout ce qui a de la valeur a des grands groupes étrangers, y compris ce maudit Mazagan de mal-fortune et même le ramassage des poubelles etc etc pour ne citer que les aspects suicidaires et anti-morales, la liste non-exhaustive peut être lue dans la caricature suivante.


Les Raisons de l’Échec Continuel de la Banque Mondiale, du FMI et des Boites Étrangères de Consulting dans leur Stratégie de Développement du Maroc et des Pays du Sud



Au cours des années 1980 et au début des années 1990, la plupart des pays africains ont adopté des politiques économiques qui ont ancré l’État dans tous les aspects des activités économiques, reléguant ainsi le secteur privé comme un acteur marginal dans l’effort de développement. L’idée était que les industries naissantes devaient être soutenues par l’État grâce à un système de subventions et protégées de la concurrence mondiale. Cela a nécessité l’imposition de murs tarifaires élevés pour permettre à ces industries de se développer et de concurrencer les entreprises étrangères. Plusieurs raisons, notamment des marchés intérieurs limités qui ont entravé la réalisation d’économies d’échelle ; le manque de technologie/capital humain, qui a donné lieu à des biens de mauvaise qualité et à la rareté des ressources, etc., a été avancé comme des facteurs qui ont milité contre la réalisation d’une base industrielle nationale viable dans la majorité des pays africains.

Généralement, les politiques de substitution des importations étaient financées par les revenus tirés de la vente des produits de base. Cependant, alors que les niveaux de revenus provenant de ces sources diminuaient en raison de termes de l’échange défavorables, les pays africains ont commencé à emprunter sur les marchés internationaux des capitaux, ainsi qu’auprès d’autres institutions multilatérales pour maintenir des niveaux de consommation élevés. Les fonds empruntés n’étaient généralement pas utilisés pour financer la production. Ainsi, la production réelle a diminué régulièrement, tandis que les dépenses, principalement soutenues par des exigences de paiement du service de la dette plus élevées, ont augmenté de manière significative.

Les pays africains ont tenté de résoudre ces crises économiques en : empruntant même à plus grande échelle sur les marchés de capitaux internationaux ; imposer des contrôles des changes ; maintien d’un taux de change surévalué et détournement des recettes des entreprises publiques parapubliques pour financer le budget de fonctionnement du secteur public. Les stratégies de gestion de la demande combinées au régime de taux de change durablement surévalué ont rendu le secteur agricole encore plus inefficace.

L’Afrique composée de 52 pays compte bon nombre des plus petits États du monde. Environ 7 pays ont une population de moins d’un million d’habitants et 29 ont une population de moins de 10 millions d’habitants. Seuls 10 pays ont une population de plus de 30 millions d’habitants, tandis que seulement 4 ont une population de 60 millions d’habitants et plus. Quatre pays (l’Afrique du Sud, l’Égypte, l’Algérie et le Nigéria) ont un PIB total de 358 milliards de dollars EU, ce qui représente plus de 57,8 % de l’ensemble du continent en 2005. Le PIB total de l’Afrique au cours de la même période n’était que d’environ 619,45 milliards de dollars EU. Environ 12 pays ont un PIB inférieur à 1 milliard de dollars, tandis que 41 pays ont un PIB inférieur à 12,12 milliards de dollars, ce qui correspond à la moyenne du continent en 2005. La même année, 16 pays africains avaient un revenu par habitant inférieur à 1 000 dollars. La croissance du PIB réel du continent a été en moyenne de 2,2 % entre 1987 et 1997. Le taux est passé de 3,6 en 2002 à 5,0 % en 2005 (CNUCED. 2005).

L’Afrique, qui représentait plus de 3,0 % des biens échangés au niveau mondial dans les années 1970, a vu sa part du commerce mondial décliner régulièrement depuis les années 1980.

Entre 1980 et 1995, lorsque le commerce mondial a doublé en valeur, le commerce extérieur de l’Afrique est resté à peu près au même niveau en termes absolus.

Le scénario ci-dessus est encore aggravé par les termes de l’échange de la région qui, selon les statistiques commerciales de la CNUCED, se sont considérablement détériorés au fil des ans. La part du commerce de la région dans l’économie mondiale a également diminué de moitié depuis 1970 et représente moins de 1,5 % du commerce mondial total en 2004, plaçant l’Afrique en marge de l’économie mondiale (UNCTAD.2005).

En termes de commerce africain, il y a eu peu de transformation structurelle, le commerce étant dominé par les exportations de produits de base. En 2004, plus de 89,0 % des recettes en devises de l’Afrique provenaient des matières premières, dont le pétrole brut.

En effet, la plupart des pays africains sont individuellement trop petits pour réaliser des économies d’échelle dans la production et la commercialisation de leurs produits et doivent travailler ensemble en tant que région s’ils veulent atteindre des niveaux significatifs de croissance économique et être compétitifs sur un marché mondial qui devient de plus en plus dominé. par de grands blocs commerciaux. Si l’Afrique veut bénéficier d’une croissance économique durable, elle devra le faire par le biais de l’intégration économique et monétaire.

En résumé, la performance économique des pays africains jusqu’à très récemment a été plutôt décevante, avec une croissance économique globale moyenne de 3,8 % entre 1997 et 2005.

Source: Economic and Monetary Integration in Africa, par O. J. Nnanna Presented at the G24 meeting in Singapore, on September 14, 2006


Modernization Ferroviaire Extravertie: Importation du TGV Clé en Main

Aussi voila le TGV comment il est considéré de nos jours, comme fut dans le temps, l’avion supersonique Concorde. Le Maroc a servit de recyclage du TGV:

Jean Castex • Premier ministre chez République française

  • Trois cent quatre-vingts kilomètres à l’heure.
  • Il y a 40 ans, le TGV battait son premier record de vitesse.
  • C’est grâce aux cheminots que l’on voit sur ces images d’archives de la SNCF que nous pouvons traverser le pays en quelques heures.
  • Bon anniversaire et longue vie au TGV !

La Grande Vitesse du Changement dans la Continuité Subcapitaliste

Faire un Cadeau a Sarkozy et offrir une inauguration officielle a son remplaçant, le président français Emmanuel Macron est au Maroc pour inaugurer avec le roi Mohammed VI le 15 novembre 2018 la nouvelle liaison ferroviaire TGV entre Tanger et Rabat.

Photo prise le 26 June, 2015, wagons du Train à Grande Vitesse TGV produit par Alstom est chargé sur un navire en partance pour Tanger, Maroc, au port de La Rochelle.


Mis en service en 2018, et disposant d’une vitesse de 320 km/h, Al Boraq est le fruit d’un partenariat entre le Maroc et la France. Ce projet s’est chiffré à 2,1 milliards d’euros, dont 51 pour cent (1,1 milliards d’euros) ont été financés par la France, selon l’Agence française de développement (AFD). Il a permis de libérer l’ancienne voie au profit du transport de marchandises depuis Tanger Med, le deuxième port d’Afrique, d’après l’AFD.

La Grande Vitesse du Changement dans la Continuité Subcapitaliste. Faire un Cadeau a Sarkozy et offrir une inauguration officielle a son remplaçant, le président français Emmanuel Macron est au Maroc pour inaugurer avec le roi Mohammed VI le 15 novembre 2018 la nouvelle liaison ferroviaire TGV entre Tanger et Rabat. Photo prise le 26 June, 2015, wagons du Train à Grande Vitesse TGV produit par Alstom est chargé sur un navire en partance pour Tanger, Maroc, au port de La Rochelle. (Photo de Xavier LEOTY / AFP)

Faire un cadeau a Sarkozy en lui achetant un TGV qui arrive ici sur les quais du port de Tanger, livraison a domicile guarantie


Tellement rapide qu’il n’y a pas le temps de voir une camionnette sur la voie ferrée


Concurrence de vitesse entre TGV et Camionnette, des rivaux tous les deux importés


Réponse de Fernande Masclet – DRH chez CMLE

Il nous faut reconnaître qu’il y a 40 à 50 ans nos professionnels étaient hyper compétents mais ils ne se doutaient pas qu’après avoir donné de tels moyens, aux générations futures, celles-ci ne sauraient pas l’exploiter au mieux retards innombrables, suppressions de TGV non entretien des réseaux… C’est vrai qu’à l’heure du télétravail, ce bijou devient presque obsolète. Encore un bijou, un fleuron qui s’en ira car trop cher comme le France. Mais peut-être que les français n’ont et n’auront plus les moyens de l’utiliser bientôt, vu la baisse de leurs revenus, ni de l’entretenir à cause d’un coût prohibitif, ni de faire face à la concurrence que l’Europe lui impose… C’est ainsi qu’il partira ailleurs et il ne nous en restera qu’à le regarder passer comme nos vieux trains à vapeur que l’on restaure…

Said El Mansour Cherkaoui 28/2/2021