Nom officiel : Royaume du Maroc Nature du régime : Monarchie Chef de l’Etat : Le Roi Mohammed VI (intronisé le 30 juillet 1999) Chef de gouvernement : M. Aziz Akhannouch (RNI, nommé le 10 septembre 2021)
Données géographiques
Capitale : Rabat Villes principales : Casablanca, Fès, Tanger, Meknès, Marrakech, Salé, Agadir Langue(s) officielle(s) : arabe, tamazight Langue(s) courante(s) : arabe dialectal (darija), langues berbères, français (commerce, politique, diplomatie) Monnaie : dirham marocain 1 euro = ± 10,5 MAD Fête nationale : 30 juillet (Fête du Trône)
Données démographiques
Population : 36,3 millions d’habitants Densité : 79 hab./Km2 Croissance démographique : 1,3 % Espérance de vie : 77 ans Taux d’alphabétisation : 73,8 % Religion(s) : islam sunnite de rite malékite (99 %), christianisme, judaïsme (1 %) Indice de développement humain : 0.686, 121ème (classement 2019)
Le Roi Mohammed VI, intronisé en 1999, a engagé la modernisation politique, économique et sociale du pays : grands plans sectoriels, réformes du code de la famille et de la protection sociale, progrès dans la transparence électorale. En 2006, le rapport de l’Instance équité et réconciliation, instituée par le Roi pour faire la lumière sur les violations des droits de l’Homme entre 1956 et 1999, en a été une étape marquante.
Le contexte régional au printemps 2011 a accéléré ce mouvement. Le Roi a annoncé une réforme constitutionnelle, élaborée sur la base de consultations étendues (partis politiques, syndicats et société civile). L’adoption d’une nouvelle constitution lors du référendum du 1er juillet 2011 a clarifié la relation entre les pouvoirs et renforcé les rôles du Chef de gouvernement et du Parlement.
Le triple scrutin général, législatif et local du 8 septembre 2021 a été marqué par une forte participation (50,35 %) et a abouti à une alternance, après une décennie de gouvernance du Parti de la Justice et du Développement (PJD). Le Rassemblement national des indépendants (RNI) est arrivé en tête, récoltant 102 sièges sur 395 (contre 37 en 2016). Son dirigeant, M. Aziz Akhannouch, a été nommé Chef du gouvernement par le Roi le 10 septembre. Le Parti Authenticité et Modernité (PAM) est arrivé deuxième, avec 87 sièges, et le Parti historique de l’Indépendance (Istiqlal) troisième, avec 81 sièges. Le PJD, qui avait remporté les derniers scrutins, n’a récolté que 13 sièges.
Un mois après les élections, le nouveau gouvernement a été formé le 7 octobre 2021. Le RNI, le PAM et l’Istiqlal font tous les trois partie de la coalition gouvernementale. Les ministres régaliens sans appartenance politique du précédent gouvernement ont été reconduits (ministres de l’Intérieur, des Affaires étrangères, des Habous et des Affaires islamiques).
Pour faire face aux inégalités, le Roi a fait du développement du pays une priorité nationale. Le Roi a institué en novembre 2019 une Commission spéciale chargée du développement (CSMD) et a nommé à sa tête M. Chakib Benmoussa, ex Ambassadeur du Maroc en France (2013-2021) qui a remis son rapport au roi le 25 mai 2021.
Afin de contenir la pandémie de covid-19, le Maroc a rapidement mis en place des mesures strictes. La fermeture des frontières au printemps 2020, et de nouveau en automne 2021 jusqu’au 7 février 2022, l’instauration d’un état d’urgence sanitaire et d’un confinement jusqu’en juillet 2020 et couvre-feu de décembre à juin derniers ont permis aux autorités de contrôler la situation. Le Maroc se distingue par une campagne de vaccination volontariste et à l’efficacité remarquable (AstraZeneca et Sinopharm). Plus de la moitié de la population est vaccinée.
Si les autorités marocaines ont fait de la sécurité du territoire une priorité, la menace terroriste reste toujours présente. Le 16 décembre 2018, deux touristes scandinaves ont été assassinées à Imlil par des individus ayant prêté allégeance à Daech. L’action des autorités demeure toutefois efficace et le ministère de l’Intérieur annonce régulièrement le démantèlement de cellules terroristes.
Politique étrangère
La question du Sahara occidental est pour le Maroc la première des priorités. Depuis le départ des troupes espagnoles en 1975 et la Marche Verte du Roi Hassan II, le Maroc exerce une autorité de fait sur ce vaste territoire désertique, qui demeure un « territoire non autonome » au sens de la Charte des Nations unies. Un mur de sable construit par le Maroc dans les années 1980 sépare la partie administrée par le Maroc à l’Ouest (80 %) de la zone occupée par les soldats du Front Polisario (20 %), mouvement indépendantiste fondé en 1976.
Le Maroc a présenté au Secrétaire général des Nations unies (SGNU), le 11 avril 2007, une proposition de large autonomie pour le territoire sous souveraineté marocaine, destinée à servir de base pour les négociations avec le Front Polisario, favorable à l’indépendance du territoire. Ce dernier demande l’organisation d’un référendum d’autodétermination sur cette question.
Une opération de maintien de la paix est déployée au Sahara occidental depuis 1991. La MINURSO, Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, a été créée par la résolution 690 du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU). Malgré l’instauration d’un cessez-le-feu en 1991, l’organisation d’un référendum s’est heurtée au manque de coopération des parties et à l’identification du corps électoral. Le cœur du mandat de la MINURSO consiste à observer le respect du cessez-le-feu en vue de son maintien. Le mandat de la MINURSO a été renouvelé pour un an par la résolution 2602 du Conseil de sécurité des Nations unies adoptée le 29 octobre 2021.
Le maintien du cessez-le-feu est menacé. Le 13 novembre 2020, les Forces Armées Royales sont intervenues dans la zone tampon de Guerguerate pour mettre fin au blocage du point de passage avec la Mauritanie par des manifestants sahraouis, depuis le 21 octobre 2020.
Le dialogue politique sous l’égide des Nations Unies a connu des avancées en 2018 et 2019, quand le Maroc, le Front Polisario, l’Algérie et la Mauritanie se sont réunis lors de deux tables-rondes organisées à Genève par l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies (EPSGNU), M. Horst Köhler. Cependant, la démission de ce dernier le 22 mai 2019 pour raisons de santé a interrompu le processus de négociations. Le 6 octobre 2021, l’Italien Staffan de Mistura a été nommé Envoyé personnel du SGNU pour le Sahara occidental. Ce dernier a entrepris des consultations régionales depuis début de l’année 2022 (Maroc, Algérie, Mauritanie), ainsi qu’avec les principaux partenaires internationaux (Espagne, France, États-Unis, Russie).
Depuis juin 2019, les efforts diplomatiques marocains ont conduit 24 pays, dont 19 États africains, trois États arabes (Émirats Arabes Unis, Jordanie et Bahreïn), la République du Suriname et Haïti, à apporter leur soutien à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental en ouvrant des consulats et des consulats généraux à Laâyoune ou Dakhla.
La question du Sahara occidental cristallise les tensions entre le Maroc et l’Algérie, qui se manifestent régulièrement dans la presse des deux pays et plus ponctuellement au niveau gouvernemental. La frontière entre les deux pays est fermée depuis 1994. Ce différend entrave la coopération au Maghreb et la concrétisation de l’Union du Maghreb arabe (UMA). L’Algérie a annoncé le 24 août 2021 la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc (la dernière rupture datait de 1976).
L’Afrique est une priorité de la diplomatie marocaine. Le Maroc entend étendre son influence économique et politique sur le continent, notamment via les nombreuses tournées africaines de Mohammed VI. Le Maroc mise sur les investissements de ses grands groupes sur le continent, en particulier Maroc Télécom et la banque Attijariwafa. Plus de trente ans après s’être retiré de l’Union africaine (1984) pour protester contre l’admission de la République arabe sarahouie démocratique (RASD), le Maroc a réintègré l’UA en 2017. Le Maroc a siégé au Conseil de paix et de sécurité de l’UA de 2018 à 2020 et a été élu en février 2022 pour un nouveau mandat de trois ans. Enfin, la nomination d’un ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud en 2018 marque le réchauffement des relations entre les deux pays.
Le Maroc a renforcé et institutionnalisé ses liens avec les pays du Golfe lors du premier sommet Maroc-CCEAG, le 20 avril 2016 à Riyad. Sur le plan économique et social, 5 Md$ ont été versés au Maroc sur cinq ans (2012 – 2016) par l’Arabie Saoudite, les EAU, le Koweït et le Qatar. Onze accords économiques ont été signés, le 11 mars 2018, entre le Qatar et le Maroc à l’occasion de la tenue, à Rabat, de la Haute commission mixte bilatérale présidée par le Premier ministre qatari et son homologue marocain.
Le Maroc entretient un dialogue politique régulier avec les États-Unis, avec lesquels il a conclu un accord de libre-échange entré en vigueur en 2006, ainsi qu’un dialogue stratégique, le Maroc étant un « allié non-OTAN majeur ». L’administration Trump a impulsé un rapprochement des deux pays. La reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental a été accompagnée d’annonces d’un approfondissement du partenariat avec les États-Unis lors de la visite à Rabat le 22 décembre 2020, d’une délégation américano-israélienne menée notamment par Jared Kushner, proche conseiller de l’ancien président américain D. Trump.
Sur la question du processus de paix au Proche-Orient, les autorités marocaines marquent leur attachement à un règlement de la question israélo-palestinienne conforme aux résolutions des Nations unies et à la solution à deux États. Le Roi Mohammed VI préside le comité Al Qods consacré à Jérusalem.
Le Maroc a été membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies pour le biennium 2012-2013. Il avait déjà siégé deux fois au Conseil de sécurité lors des bienniums 1963-1964 et 1992-1993. Le Maroc est également un important contributeur aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, déployant 1 702 casques bleus au sein de deux opérations de maintien de la paix (MONUSCO au Congo et MINUSCA en République centrafricaine) et deux experts en appui de l’UNMISS au Soudan du Sud.
Au sein de l’UE, l’Espagne dispose aussi d’une relation très dense avec le Maroc, tant au niveau économique (le 1er fournisseur du Maroc depuis 2012, devant la Chine et la France) qu’en matière de lutte contre le terrorisme et de lutte contre l’immigration irrégulière.
Cependant, l’hospitalisation en Espagne du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, a provoqué crise bilatérale avec l’Espagne, entraînant le rappel à Rabat de l’ambassadrice du Royaume à Madrid le 18 mai 2021. La situation semble toutefois s’améliorer avec l’Espagne depuis le mois d’août. Le Maroc a également connu une crise diplomatique avec l’Allemagne depuis mars 2021, en phase d’apaisement. L’ambassadrice du Maroc à Berlin, rappelée le 6 mai 2021, a repris ses fonctions le 26 janvier 2022.
Situation économique
Le Maroc a renoué avec la croissance économique depuis le début des années 2000, mais celle-ci reste corrélée au secteur agricole et à la conjoncture mondiale. Après un ralentissement de la croissance depuis 2018 (3,1 % et 2,5 % en 2019 contre 4,2 % en 2017), le Maroc est entrée en 2020 dans sa plus importante récession depuis 25 ans, à -7,2 % (source : FMI).
Face à la crise sanitaire et économique de la Covid-19, le Maroc a mis rapidement en œuvre des mesures fortes de soutien aux entreprises et à la population, financées par un Fonds spécial de Gestion de la Pandémie dont le montant a atteint plus de 3 Md€. A l’occasion de la fête du Trône le 29 juillet 2020, le roi a annoncé un ambitieux plan de relance (11 % PIB) et des réformes structurantes en matière d’économie, de protection sociale et de services publics.
Le pays s’applique à favoriser une meilleure résilience de l’économie marocaine aux fluctuations agricoles. En ce sens, d’importantes réformes ont été engagée dans le cadre d’une stratégie de diversification sectorielle. L’enjeu est de taille, car le secteur agricole représente 14 % du PIB et emploie 39 % de la population active. Les rendements céréaliers ont été gravement affectés par des sécheresses récurrentes en 2020 (repli du PIB agricole de 8,1 %).
Ce plan de réformes s’est accompagné d’efforts destinés à redresser les comptes budgétaires et extérieurs. Le déficit budgétaire s’est constamment réduit depuis 5 ans pour atteindre 3,7 % du PIB en 2018 Cependant, les mesures d’urgence décidées en réaction à la crise et la baisse des recettes accroissent le déséquilibre des comptes publics en 2020 (doublement du déficit public à -7,7 % du PIB et hausse de 11,3 points de la dette publique à 76,5 % du PIB).
Le Maroc jouit de la confiance des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers et a écarté le risque d’une crise de liquidité externe dans le contexte de la crise de 2020 (les réserves nettes de change ont ainsi pu être relevées à 7 mois d’importations). Après cinq années d’absence, le Maroc a réussi à lever 1 Md€ sur le marché international des capitaux en novembre 2019 et a réitéré l’opération avec succès en septembre 2020 (1 Md€ au taux moyen de 1,69 %). Le Trésor marocain a également appelé l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité (3 Md$) que le FMI lui octroie depuis 2012. Concernant le risque pays et le classement des affaires, la COFACE maintient sa notation de double A4 pour le Maroc, qui se place à la 53e place du classement « doing business » 2020 de la Banque mondiale.
La bonne gestion de la première phase de la crise de la Covid-19 a permis de contenir la hausse du taux de chômage à 12,5 % en 2020, qui touche principalement les jeunes (26,7 % des 15-24 ans en 2019). Le gouvernement a annoncé pour 2021 les premières mesures de mise-en-œuvre des hautes orientations du Roi pour la généralisation de la protection sociale et la réforme du secteur public afin d’améliorer l’inclusion sociale du modèle de développement marocain et d’accroître le rôle du secteur privé, suite aux recommandations de la Banque mondiale en avril 2018.
L’inflation reste contenue. Au terme de l’année 2021, l’indice des prix à la consommation aura progressé de 1,4%.
Le Roi souligne régulièrement l’ambition de faire du Maroc un pays émergent et pionnier sur le continent. Le Maroc a ainsi décidé de compléter son dispositif de zones franches (Tanger) et ses plans de développement sectoriels par une dynamique de développement régional vers l’Afrique subsaharienne, afin de trouver de nouvelles sources de croissance. Le plan de relance doit notamment financer des projets de substitution d’importations et une augmentation des droits de douane sur les importations des pays avec lesquels le Maroc n’a pas conclu d’accord de libre-échange a été annoncée.
3ème édition des Rendez-Vous de l’Industrie-Industrie textile : Intervention de M.Etienne MAFART, Directeur des opérations – DECATHLON MAROC#RDV_Industrie_Maroc
Les Epreuves du Developpement Durable au Maroc a Travers une Vision Sportive
Said El Mansour Cherkaoui – Admin – Group expert in Development Economics +1 · Jul 4, 2021 ·
Etienne MAFART – Directeur des opérations chez DECATHLON MAROC – Casablanca-Settat, Morocco
★ Décathlon et le Développement Combiné des Épreuves du Retard Économique et du Décalage du Progrès Social
★ Décathlon, une discipline dans laquelle le Maroc n’arrivait pas à surmonter les dix épreuves combinées pour le développement de ses ressources humaines :
★100 m ★ 100.000 m pour que le Maroc rattrape le dernier modèle de développement.
★Longueur ★ Longueur, courte vision sur le processus de durabilité du Développement de l’Humain, plusieurs lieux et longueurs de retard
★Poids ★ Poids du colonialisme, du néo-colonialisme, du libéralisme produit un subcapitalisme.
★Hauteur ★ Pas de Hauteur vu le haut niveau technologique des pays avancés.
★400 m (première journée) ★ 400 m (première journée) persistance de la pauvreté, la misère et le chômage des jeunes et moins jeunes.
★110 m haies ★ 1100 m haies par l’incompétence, le népotisme, le favoritisme et le clientélisme.
★Disque ★ Disque, on fait tourner en rond le Maroc sans destination comme un disque rayé
★Perche ★ Perche, le Maroc ne peut franchir la barre du développement durable, il fait appel à des compagnies étrangères débarquant avec leurs propres stratégies et modes d’internationalisation.
★Javelot ★ Javelot, Arme de jet, plus courte qu’un développement d’une industrie d’armement nationale marocaine, le Maroc est loin de réussir ses lancers de javelot.
★ 1500 m (seconde journée) ★ 1 500 m (seconde journée), depuis le 15ème siècle, exactement 1492, le Maroc ouvrit ses portes à des manigances qui ont continué sous diverses formes jusqu’à nos jours.
★ Le Maroc a vraiment besoin de se préparer pour plusieurs Décathlons de ce nouveau monde guidé par une globalisation régionalisée et centralisée à la fois. Dans une telle spécialisation, le Maroc demeure un terrain formé d’enclaves extraverties désarmé de tout pouvoir de se ressourcer avec des énergies nouvelles et des compétences innovatrices.
★ Le Maroc a besoin de se renforcer face aux défis et à la compétitivité sanctionnant désormais l’entrée et la participation dans le marché international au niveau des nouvelles technologies, de la supply-chain logistique et sur le front de l’innovation par la Recherche et Développement.
Attempt to Control by ECOWAS the Slippage of “Diplomyopic – Myopic Diplomacy”
ECOWAS is behind in notes and score harmony and politically and diplomatically behind as it is in this politically incorrect photo
On July 7, 2024, the ECOWAS leadership asked the presidents of Senegal and Togo to speak with the leaders of Burkina Faso, Mali and Niger to try to bring them back into the ranks of the community. The New Senegalese President is sent with such a message or else he will be put in a cacophonous concert having no place to be heard and not playing with instruments that he recently used to get elected as the first young president in Africa.
Senegalese President Basirou Diomaye Faye was not born when ECOWAS was created and is being asked to reunify the bloc divided by coups. The Senegalese president was chosen at the ECOWAS summit as envoy to reach out to separatist states for reconciliation. Sources say his Togolese counterpart, Faure Gnassingbé, also worked behind the scenes as a negotiator between ECOWAS and the AES.
ECOWAS has not thought about the History of the Songhai Empire and the Will for Freedom of the People of the Sahel which extends from the Atlantic to the Red Sea. Now ECOWAS sees Blue, White and Red without the Sahel countries.
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Le Senegal joue le jeu des organisations, les entreprises, les entites et les institutions financieres internationale et il n’est pas le seul en Afrique. Le Sénégal devrait se concentrer a fructifier ses ressources naturelles en premier pour développer une infrastructure énergétique nationale supportant une lancée de développement régionale des capacités locales et de stimulation des productions à grande valeur ajoutée pour l’économie régionale et nationale.
Le gisement offshore Grand Tortue Ahmeyim (GTA), situé à la frontière maritime entre la Mauritanie et le Sénégal, sera mis en exploitation avant la fin de 2024. Ce champ, développé en partenariat avec la compagnie British Petroleum (BP), représente un projet stratégique pour les deux nations ouest-africaines. À la lumière de cette opportunité, chaque pays se prépare activement à construire son propre gazoduc pour maximiser les bénéfices de cette ressource énergétique.
Durant l’exploitation du champ, il est prévu que chaque pays recevra 35 millions de pieds cubes de gaz par jour destinés au marché local. Cette allocation jouera un rôle essentiel dans la sécurité énergétique régionale, soutenant la croissance économique et répondant aux besoins énergétiques domestiques. Le Sénégal a annoncé son intention de construire un gazoduc reliant Saint-Louis, dans le nord du pays, à Dakar. Lors du conseil des ministres du 3 juillet 2024, il a été précisé que ce pipeline servira non seulement au transport du gaz entre ces deux régions, mais également à l’évacuation du gaz naturel extrait du gisement de GTA vers des centrales électriques.
L’objectif est de construire une infrastructure de 400 kilomètres sur l’axe Saint-Louis-Dakar-Mbour, afin de répondre aux besoins énergétiques croissants du pays.
En parallèle, la Mauritanie progresse dans ses propres préparatifs. Une étude approfondie des évaluations techniques et commerciales a été réalisée pour déterminer les meilleures voies d’acheminement du gaz à partir des champs offshore de GTA et de Bir Allah. Ces études visent à garantir une exploitation optimale des ressources gazières et à élaborer des solutions efficaces pour le transport du gaz vers les zones industrielles et urbaines du pays.
Cependant, plusieurs défis financiers et écologiques entravent la réalisation de ces projets. Les coûts élevés de construction et les préoccupations environnementales exigent des solutions rapides et efficaces de la part des parties prenantes. Parmi les options envisagées, la construction d’une centrale électrique sur place pour transformer le gaz en électricité et l’acheminer via des lignes de haute tension pourrait s’avérer une alternative viable. Cette solution permettrait de réduire les impacts écologiques liés à la construction de gazoducs tout en optimisant l’utilisation de la ressource.
Par ailleurs, la Mauritanie est en train de lancer un projet « Gas-to-Power » basé sur le champ gazier de Banda. Ce projet vise à transformer directement le gaz en électricité pour répondre aux besoins énergétiques nationaux et stimuler le développement industriel. Cette initiative, en parallèle à l’exploitation de GTA, illustre l’engagement des deux pays à utiliser leurs ressources naturelles de manière durable et bénéfique pour leurs économies respectives.
La mise en place d’une infrastructure appropriée répondant à la circulation tant de la valeur monétaire, financiere et manufacturiere ainsi que techno-logistique vont solidifier la creation, la position sur le marché des liquidités et de la convertibilité d’une nouvelle monnaie nationale au lieu du Franc CFA.
Ces fondements sont inséparables de toute volonté de take-off et d’instauration d’une indépendance au niveau de la politique fiscale, financiere, monétaire et économique nationale.
AFRIQUE EN MOUVEMENT POLITIQUE
Elections Présidentielles au Sénégal
Dernières Nouvelles: Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21H00 (locales et GMT), trois heures après la fin du vote
Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels. La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel.
Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi. La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que “dans le pire des cas”, le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles:
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal – Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21H00 (locales et GMT), trois heures après la fin du vote Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels.
La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel. Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi.
La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que “dans le pire des cas”, le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
Le Cas du Sénégal Symptôme Révélateur de la Crise Institutionnelle et Parlementaire Africaine Causée par la Fragilité du Soutien Populaire a l’Électoralisme Partisan et Clientéliste
Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles:
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal – Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21hr (locales et GMT), trois heures après la fin du vote Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels.
La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel. Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi.
La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que « dans le pire des cas », le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
AFRICA IN POLITICAL MOVEMENT – Presidential Elections in Senegal – Latest News: Bassirou Diomaye Faye Future President Version – Française: AFRIQUE EN MOUVEMENT POLITIQUE – Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles: Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal
La Cinquième République en Place en Version Sénégalaise
Ola Lula Africana – Prison en Sursis a la Présidence du Sénégal
Le Compromis et le Concubinage Politique donne naissance a la Cinquième République a Dakar. Faye devient 5e président du Sénégal promettant ‘changement systémique’ et souveraineté.
Dorénavant, culture eurocentriste oblige, le nouveau président / dirigeant a se présenter en Costard style « Grand Parrain – Godfather » ou en uniforme militaire pour déclarer le Salut du Pays avec au menu, plus de riz, poulet frit avec pâte d’arachide mangé a la main. On se retrousse les manches pour le Changement dans la Continuité avec un ‘changement systémique’ et souveraineté ne faisant aucune référence aux multiples précédent litiges institutionnel et obstructions constitutionnelles présidentielles. Bouche cousue, sapée en cintrée et démarche dandy pour se faire accepter par l’Élite de l’extérieur, le modernisme et l’ouverture de l’esprit africain face aux doléances et de demandes extraverties.
Comme dans le reste de l’Afrique, on passe l’éponge comme au ring, on jette l’éponge polluée et la serviette si ce n’est la serpillière, on se débarrasse de tout apparat traditionnel et traumatisant plus de « boubou, ou bubu ».
Avant le Départ on Couvre Ses Arriérés Judiciaires et Ses Déficits Juridiques
Dakar, 30 mars (APS) – Le magistrat Abdoulaye Ndiaye a été nommé Premier président de la Cour suprême en remplacement de Ciré Aly Ba, parti à la retraite.
Cette décision a été prise, vendredi, lors de la dernière réunion du Conseil supérieur de la magistrature présidée par Macky Sall dont le mandat s’achève, le mardi, 2 avril.
Abdoulaye Ndiaye était précédemment président de Chambre à la Cour suprême.
Oumar Gaye, président de Chambre, devient également le nouveau Secrétaire général de la Cour suprême où Seynabou Ndiaye Diakhaté occupera le poste de Premier avocat général à compter du 1er août 2024.
Lors de la réunion du CSM, la magistrate Henriette Diop Tall, précédemment en détachement à l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP), a été nommée Présidente de la Chambre d’accusation financière du Pool judiciaire financier à la Cour d’appel de Dakar.
L’ancien procureur de la République près le tribunal de grande instance de Guédiawaye, Amadou Seydi, devient procureur de la République près le Pool judiciaire financier.
Le magistrat Youssoupha Diop, précédemment président de chambre à la Cour d’appel de Thiès, a été nommé président du collège des Juges d’instruction du Pool judiciaire financier.
Mardi 2 avril 2024, marque un tournant majeur dans l’histoire politique du Sénégal avec la prestation de serment du cinquième président de la République, Bassirou Diomaye Faye.
Président Faye a tenu un discours de plus d’une dizaine de minutes, pour tracer les grandes lignes de son premier mandat:
« Devant Dieu et devant la Nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de Président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine », a-t-il juré devant Dieu et les hommes.
Le chef de l’État a affirmé son ambition de présider avec une « nouvelle méthode », « en planifiant, en réformant, en associant » toutes les forces vives de la nation.
Bassirou Diomaye Faye s’est dit « conscient » que sa large victoire dès le premier tour de la présidentielle du 24 mars exprimait « un profond désir de changement systémique ». « Le Sénégal sous mon magistère sera un pays d’espérance, un pays apaisé avec une justice indépendante et une démocratie renforcée », a-t-il dit.
Il a évoqué les trois années de troubles qui ont précédé son élection, avec à la clé des dizaines de morts et des centaines d’arrestations. Il a assuré qu’il conserverait à l’esprit les sacrifices consentis par les « martyrs de la démocratie, (les) amputés, (les)blessés et (les) anciens prisonniers (…) afin de ne jamais vous décevoir ».Source:
Vive et Longue Vie au Nouveau Sauveteur de la Nation des Dirigeants Africains Déchus par l’apport de la bienfaisance extérieure et l’aide généreuse reconnaissante de leur contribution dans le bien de toute l’humanité dépourvue de droits de parole et de participation dans les décisions locales, régionales et nationales si ce n’est juste l’intrusion d’un ballot électoral identifie par la couleur ou le symbole image du candidat et du parti politique vu que les électeurs sont analphabètes et ne peuvent dans leur grande partie ni lire ni écrire.
« La lutte contre l’analphabétisme n’est pas uniquement un problème scolaire. »
Le continent africain a du chemin à faire pour atteindre la perfection de son système éducatif.
Le taux d’analphabétisme est de 54% au Sénégal dont 62% de femmes
Dans son dernier recensement général de la population sénégalaise, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) estime le taux d’analphabétisme à «54,6% avec 62,3% de femmes, contre 46,3 % pour les hommes». Le rapport de l’ANSD ajoute qu’«aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. En milieu urbain, le taux d’analphabétisme est de 49,5% pour 34,4% de femmes. En zone rurale, il est de 74,1% pour 57,7% de femmes. L’ANSD n’a pas publié de nouveaux chiffres par rapport à l’analphabétisme au Sénégal.
A travers son projet d’alphabétisation de 40.000 jeunes filles et femmes de 15 à 55 ans au Sénégal intitulé Pajef, l’Unesco affirme que le Sénégal est un des dix pays en Afrique où plus de la moitié (58%) des adultes sont analphabètes. La majorité de ces analphabètes sont des femmes.
Ces statistiques ont été confirmés par la directrice de l’alphabétisation et des langues nationales, Ndèye Nam Diouf.
L’Institut de statistiques de l’Unesco. (ISU) publie, tous les deux ans, un rapport sur l’Etat de l’éducation dans le monde. Et en 2013, les chiffres de l’Unesco sur l’analphabétisme au Sénégal indiquaient que la population analphabète (hommes et femmes) s’élevait à 1 246 260 millions de personnes âgées de 15 à 24 ans.
Pour sa part, la population analphabète (masculine et féminine réunies) âgée de 15 ans et plus était de 4 575694 millions. Ainsi donc, 40% de la population sénégalaise était analphabète en 2013. Parmi ces 40%, 59% étaient des femmes.
Les réserves des experts
Dans une contribution, l’expert en ingénierie de développement local et membre de l’Association panafricaine pour l’alphabétisation et l’éducation des adultes (PAALAE), Charles Owens Ndiaye, décortiquait les chiffres de l’ANSD. «Au sein de la population alphabétisée, 45,4% on dénombre les alphabétisés en langues nationales et en arabe avec un taux 12,7% seulement. Autrement dit, le taux d’analphabétisme en langues nationales et arabe est de 87% », analyse M. Ndiaye, membre du Groupe thématique éducation formation communication du Forum social sénégalais.
Le professeur d’histoire à l’université de Dakar Bouba Diopreste prudent quant aux chiffres donnés. Il n’a pas la même définition de l’analphabétisme.
«Le système a tendance à traiter d’analphabètes ceux qui ne peuvent pas lire les caractères latins, alors qu’ils sont instruits et lettrés dans les autres langues», précise-t-il.
Depuis 2003, l’Unesco a ré-apprécié sa définition de l’alphabétisme qui est pour elle, « la capacité d’identifier, de comprendre, d’interpréter, de créer, de communiquer et de calculer en utilisant du matériel imprime et écrit associe a des contextes variables.» Source
Une démocratie ignorante des droits a l’éducation justifiée et institutionnalisée par des électeurs ignorants et maintenus dans l’ignorance même si le savoir d’écrire et lire existe, la connaissance institutionnelle est autant absente des esprits comme de la mémoire des électeur/rices. Ainsi va l’Afrique de hier et d’aujourd’hui
« En Afrique, quand un vieillard meurt c’est une bibliothèque qui brûle »
L’Afrique est un Continent Vieillard dans sa Mémoire Historique et Plusieurs Bibliothèque ont Brûlé et Continue de Brûler en notre Temps et avec de Telles Pratiques Faussement Démocratiques et Représentative.
En Afrique, on est encore loin de construire des liens et des passages de Démocratie sans Démagogie, Manipulations, Complots et Compromis sur le Dos du Peuple Africain.
Bassirou Diomaye Faye a été investi mardi 2 avril 2024 président de la République pour un mandat de cinq ans. Lors de son discours d’investiture, Bassirou Diomaye Faye a notamment , le chef de l’État a évoqué une « nouvelle méthode » pour gouvernerpréconisant « plus de solidarité » entre pays africains « face aux défis sécuritaires ».
Sur le plan africain, l’ampleur des défis sécuritaires (…) nous oblige à plus de solidarité », a-t-il souligné. « Je réaffirme l’engagement du Sénégal à renforcer les efforts déployés pour la paix, la sécurité, la stabilité et l’intégration africaine », a-t-il dit.
La Démocratie Africaine Demeure Vide de Substance, de Consistance et de Droiture, elle demeure une institution de propagande et de publicité de façade pour se faire prévaloir d’une stabilité institutionnelle et d’une maîtrise d’une sécurité nationale intérieure et frontalière et cela pour rassurer les grands groupes internationaux vu leurs investissements directs et comme réponse et justification pour les politiques de conditionnalité imposées et imposées par les Grands Pays Occidentaux et leurs Instruments Financiers Multinationales pour les emprunts et les crédits ainsi que l’aide financière octroyées ainsi que comme réponses aux exigences des Stratégies Géo-Politiques et de défense d’intérêt national des décideurs et des stratégistes répondant aux nécessités internationales du multilatéralisme et de la polarité systémique globale.
Sources multiples utilisées pour la rédaction de cet article
Addenda: Le Royaume du Maroc Félicite SEM Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Président de la République sœur du Sénégal
A l’aimable invitation de SEM Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Président de la République sœur du Sénégal , SM Le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’Assiste a bien voulu dépêcher une importante délégation pour prendre part à la Cérémonie d’Installation du nouveau Président élu. Présidée par SEM Aziz Akhannouch, Chef du Gouvernement, porteur d’un message verbal et écrit de SM Le Roi, la délégation est composée de SEM Nasser Bourita, MAECAMRE et de SEM Hassan Naciri, Ambassadeur de SM Le Roi au Sénégal.
His Excellency Mr. Macky Sall the President of the Republic of Senegal at the World Trade Organization
Great Pleasure to have as our Guest of Honor within our Publications here at African Moroccan Diaspora – World-Class Executives, His Excellency Mr. Macky Sall the President of the Republic of Senegal who is delivering the WTO Presidential Lecture that you can follow here.
Any questions, please send an email to: info@triconsultingkyoto.com
For Business Inquiries, please send an email to: support@triconsultingkyoto.com
Les dirigeants américains et européens ont-ils sous-estimé les capacités de la Russie ? C’est une question intéressante quand on sait à quel point les premières prédictions de la guerre se sont révélées erronées. Mais la situation a changé au cours des deux dernières années.
Certains rapports suggèrent que l’Ukraine tomberait rapidement
Selon un rapport de The Intercept datant d’octobre 2022, les services de renseignement américains ont indiqué à la Maison-Blanche que la Russie remporterait le conflit en l’espace de quelques jours. D’autres rapports prévoyaient au contraire que Kyiv résisterait pendant des semaines.
La Central Intelligence Agency est l’un des nombreux groupes occidentaux qui se sont montrés pessimistes quant aux chances de l’Ukraine de résister à la Russie et qui ont déclaré au président Joe Biden que le mieux qu’ils pouvaient espérer était une guérilla après la chute de l’Ukraine.
Cependant, aucune des prédictions faites au sujet de l’Ukraine ne s’est réalisée. La Russie a été stoppée quelques mois après l’invasion et, en 2022, l’Ukraine a remporté plusieurs victoires qui lui ont permis de reprendre des pans entiers du territoire dont la Russie s’était emparée.
Les victoires ukrainiennes qui ont suivi l’invasion
Après la contre-offensive surprise dans l’oblast de Kharkiv et la victoire prolongée sur la rive droite du Dniepr, la guerre s’est installée dans ce que le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, Valerii Zaluzhny, a qualifié d’impasse, lors d’une interview accordée au Time Magazine.
C’est là que l’Ukraine et ses alliés occidentaux se sont heurtés à des problèmes complexes qui ont nui à la capacité du pays à repousser Moscou hors du territoire qu’elle occupe toujours. Mais cette période de la guerre a également marqué un changement majeur pour le Kremlin.
Poutine pensait également que l’Ukraine tomberait rapidement
Les agences de renseignement occidentales n’étaient pas les seules à penser que le conflit en Ukraine se terminerait rapidement. En mars 2022, plusieurs médias ont rapporté que Vladimir Poutine pensait pouvoir s’emparer de Kyiv en deux jours seulement.
Cependant, lorsque l’assaut rapide de la Russie sur l’Ukraine a échoué et que les dirigeants ont commencé à voir que la guerre ne serait pas expéditive, ils ont commencé à planifier une longue guerre d’usure et ont commencé à renforcer la capacité militaire du pays.
Moscou a commencé à se préparer à une longue guerre
En janvier 2023, le groupe de réflexion The Atlantic Council, basé à Wasington, a indiqué que le discours de fin d’année prononcé par Poutine en 2022 indiquait que Moscou se préparait à un long combat. Cette prédiction s’est confirmée après une nouvelle année de guerre.
Par exemple, le budget russe approuvé pour 2024 a fait passer les dépenses de défense à 10,78 billions de roubles, soit environ 109 milliards de dollars. Ce chiffre représente 29,4 % de l’ensemble des 36,66 trillions de roubles que la Russie prévoit de dépenser au global pendant l’année, selon Reuters.
Plus d’un quart des dépenses est consacré à la défense
Une grande partie de ces dépenses de défense est probablement consacrée à la production de nouveaux véhicules et équipements militaires pour remplacer ce qui a été perdu pendant la guerre. En effet, la Russie a perdu beaucoup d’équipements au cours des deux dernières années de combat.
Dans le cadre de l’évolution de la Russie vers une guerre plus longue, le pays a reconstruit ses installations de production de véhicules et d’équipements militaires, qui étaient à la traîne. Toutefois, il est difficile de se fier à des preuves fiables pour étayer cette affirmation, car elles reposent sur des chiffres russes.
Le commandant des forces de défense estoniennes, Martin Herem, pense en tout cas que l’Occident a sous-estimé les capacités de la Russie et a appelé les pays de l’OTAN à se préparer à une guerre plus longue, notamment en ce qui concerne la production d’armes.
Les chiffres de la production russe d’obus d’artillerie
Sur Bloomberg News, M. Herem a rappelé que beaucoup pensaient que la Russie ne serait pas en mesure de fabriquer plus d’un million d’obus d’artillerie en 2023. Pourtant, il a ajouté que le pays avait été capable de créer la surprise en atteignant ce chiffre.
“Beaucoup de gens pensaient qu’ils ne pouvaient pas aller plus loin — aujourd’hui, les faits nous disent le contraire”, a expliqué Martin Herem lors d’une interview dans la capitale estonienne avec Bloomberg News. “Ils peuvent produire encore plus — beaucoup plus — de munitions”.
La Russie pourrait fabriquer 2 millions d’obus par an
En septembre 2023, une source de renseignements anonyme a déclaré à Reuters que l’armée russe pourrait augmenter sa production d’obus d’artillerie jusqu’à 2 millions d’obus par an, tout en précisant qu’entre 10 et 11 millions d’obus avaient été tirés jusqu’à ce stade de la guerre.
Pour compenser cette production grandissante russe, l’Ukraine n’a eu de cesse, au cours de l’année 2024, de négocier de nouveaux accords avec ses alliés américains ou européens, afin de se faire livrer un nombre d’obus et de munitions toujours plus grand. Cependant, l’Europe a parfois du mal à tenir ses engagements, la production étant parfois à la traîne.
Herem n’est pas le seul haut fonctionnaire à mettre en garde l’Occident contre la sous-estimation de la Russie. Le 5 janvier 2024, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a averti qu’il était dangereux pour l’alliance de sous-estimer Moscou.
Le Kremlin est prêt à tolérer de nombreuses pertes
“Ils ont affiché une volonté remarquable de supporter les pertes et les souffrances”, a déclaré J. Stoltenberg à l’agence Reuters. “Nous n’avons aucune indication que le président Poutine ait changé ses plans et ses objectifs en Ukraine. Il est donc dangereux de sous-estimer la Russie”.
La perte de l’aide occidentale aurait des conséquences lourdes
Il est clair que l’absence d’aide militaire occidentale s’est avérée être un défi pour le président Volodymyr Zelensky, qui a averti, lors d’une interview au Forum économique mondial, que les conséquences d’une perte totale de l’aide occidentale seraient désastreuses pour l’Ukraine et pour le monde en général.
“Nous serons faibles sur le champ de bataille. Nous manquerons cruellement d’artillerie et de missiles de défense aérienne, ce qui signifie que nous ne serons pas en mesure de repousser les frappes de missiles balistiques”, a déclaré le président Zelensky, dont la parole a été relayée par Business Insider.
La défaite de l’Ukraine touchera durement le monde entier
“L’Ukraine se battra, l’Ukraine sera plus faible et ce sera l’occasion pour la Russie de nous envahir”, a déclaré V. Zelensky. “Et dès qu’elle nous aura envahis, croyez-moi, ce sera une guerre entre l’OTAN et la Fédération de Russie.”
Chères Sœurs et Chers Frères et Militants de la France Progressiste, Douce et Engagée Malheureusement, je vois que vous n’avez pas souffert des répercussions sociales, économiques et culturelles des prises de positions et des ragoûts pourris et des attaques dont ce gars et ses semblables ont semé et entretenus en France dans ses écrans de la télévision qui pénétraient dans les foyers de la France tant ouvrière que moyenne et dans les tanières des loups racistes d’Assas, les débris de l’Action Française et les égarés de Charles Maurras, Apologiste du régime de Vichy au fin fond de la France côtière du sud ou se terraient celles et ceux rescapés des luttes et des sauvageries des Guerres en Afrique.
On ne peut oublier la vérité et la réalité des souffrances provoquées et volontairement exprimées et actionnées a travers les autres dont voici un bref extrait de ce que j’ai vu, entendu et vécu.
Sa vie privée lui est personnelle, cela vaut ce que ça vaut et ses emotions avec lui sont acquises, sa propre famille, ses propres enfants et épouses en sont les témoins et nous les respectons pour leur calvaire et nous choisissons de ne pas en rajouter en public.
Dans ce texte, j’aborde ici la figure “emblématique publique” défigurée par un manque cinglant d’ignorance et d’Extrême indifférence humaine qui s’est distinguée en tant porte-parole d’une haine sans commune mesure avec la figure artistique qu’il projetait sur les plateaux de tournage mais pas sur les scènes sociales, politiques, idéologiques et culturelle si ce n’est humaine et cela c’est toute une autre histoire qui le hanta jusqu’à sa fin sans gloire, ni étoile malgré toutes les médailles qui en en fin de compte, elles n’ont fait qu’alourdir son fardeau de crimes a tous les égards et je vous laisse contempler la face cachée de cette étoile qui sombrait dans le désespoir suicidaire et le bannissement divin.
Veuillez continuer de lire la suite dans le texte suivant dont le titre lui va comme un grand gant de velours d’extérieur et de dextérité maladroite pleine d’épines empoisonnées a l’intérieur:
Vous n’avez pas vécu cette période, alors documentez vous librement et aller voir et constater que la France ne lui appartient pas, puisque lorsqu’il s’agissait de payer les impôts, il devenait un expatrie et un immigre alors qu’il dénonçait les “immigrés qui pour lui profitaient des avantages que leur offre la France” et oui, ils insultent et accusent les immigrés pour un crime qu’ils ne commettent pas vu leurs conditions de travail et leur paiement, et lui qui se faisait des millions et roulaient dans des Ferrari Hand-made qui coûtent des millions, ce gars la, il évite de payer ses impots, se dérobe de son devoir national alors que la France traversait une des plus difficiles crises économiques, sociales et politiques.
Voila une video qui fait apparaitre ce nostalgique des Guerres Colonialistes et des Raisons Racistes justifiant leurs existence et leurs gestions, y compris en Indochine ou la grande partie des troupes etaient comme par paradoxe du destin et de la politique expantionniste colonialiste contradictoire, ces troupes etaient d’origine maghrebine et africaines.
Lui se reclame qu’il a tout appris de l’Armee et pour concilier ses reclamations et il trouve son double au niveau politique et organisationnelle de la Haine raciste en institution partisane une relation cousue main avec Jean-Marie le Pen: Je vous laisse admirer ce Deuxieme Halouf comme on appelait les Anciens Combattants de l’Indochine dans notre jargon populaire des anciens Doukkalis [Note de l’auteur, deux de mes oncles maternels etaient Caporal et Caporal Chef et on eu une carriere militaire dans l’Armee Francaise des Tabors Marocains, l’un dans la Campagne d’Italie et le second dans la Campagne d’Indochine, alors que l’une de mes Grand-Parents etait Capitaine dans les Tabors Marocains dans les batailles de la Marne et de Verdun, durant la Premiere Grande Guerre, voir details dans ces liens:
Il se réclamait du Gaullisme alors qu’il ne parlait même pas le Français propre et nationaliste libérateur de la France des Nazis.
Il était en contradiction avec toutes ses prises de position, il se réclame du Gaullisme pour arranger son image et masser son profil médiatique pour se faire passer comme une veille et une conscience du courant libérateur de la France alors qu’il payait un Écrivain Public pour rédiger ses lettres alors qu’il fréquentait et sympathisant avec les mouvements de l’Extrême Droite et les Nostalgiques Vichyst et de la Collaboration avec le Régime Nazi et les Militaristes putschistes d’Algérie, y compris le tortionnaire légionnaire Jean Marie le Pen qui massacrait les Moujahidine Algériens devant leurs propres enfants.
Comme il se complimentait avec le temps qui lui apporta des rides dans ses mémoires :
“Jean-Marie Le Pen est un ami que je connais depuis 50 ans” un demi-siècle de haine raciste était leur liaison contre nature humaine et sans commune mesure avec l’humanité de la France Terre d’Asile.
LE POINT IDENTIQUE ET LE DENOMINATEUR COMMUN DE CETTE RELATION DES ARTISTES-FALSIFICATEURS DE L’HISTOIRE HUMAINE
LA NOSTALGIE MILITARO-COLONIALISTE, LA PERTE DU PRESTIGE NATIONALISTE, LA DEFAITE DU NAZISME IDEOLOGIQUE, LA TORTURE ET LE MASSACRE DES PEUPLES DU SUD ET L’EMOTION DE CULPABILITE, LA CONSOMMATION DE DROGUE ET DE L’ALCOHOL COMME REFUGE DE SOCIABILITE ISOLEE ET REJETEE PAR LA MORALE HUMAINE INTEGREE
Les fafs exigent une cérémonie nationale pour Alain Delon dans l’unique but de compter les arabes et les noirs dans la foule puis dire: “vous avez vu, il ne sont pas la. Ils nous détestent. C’est l’anti France”
Embrassades d’Hypocrisie et Faux Fous Rires d’Ivrognes de la Décadence
Quel Culot, je vous laisse lire la suite pour vous faire une idée encore plus emblématique de ce personnage controversée même avec ses proches et ses amies et ses amis.
Mort d’un Pourri
Un grand en quoi ?,
il ne jouait pas des personnages, il incarnait la Haine Il fallait vivre en France durant la période ou Alain Delon se permettait devant les micros et les caméras et autres moyens médiatiques de taper sur les immigrés avec une énergie plus forte que des scènes truquées de violence dans ses films.
Comme prélude à son existentialisme controversé, le destin lui colla un rôle dont le titre du film est révélateur de la récompense du sort des accusés injustement maltraités dans son esprit, le destin lui fit incarner dans un film avec le titre : “Mort d’un Pourri”, rien que cette coïncidence voulue du hasard, cela résumé tout en tant que retour de la manivelle… En effet, avec un Français approximatif et plein de coupures, il fustigeait les Maghrébins avec des arguments mesquins alors que tout son nationalisme s ‘arrêta net devant le Fisc Français, il se transforme en immigré du portefeuille et un exilé Fiscal : Quel destin de Boomerang, la tarte pleine et entière sur la Tronche lui fut envoyée par la France Douce et Franche.
Ainsi, il est devenu, un Homme qui s’est recroquevillé sur sa propre dimension raciste, devenant vil et perdant une opportunité de devenir un phare de l’Art Cinématographique de France.
Il a pris des positions vraiment inhumaines à l’égard de l’immigration maghrébine et cela est une tare dans son parcours artistique, en fait, cela lui a coûté aussi au niveau de la création et de l’innovation, comme il se cantonna dans des positions rétrogrades et anachroniques si ce n’est racistes, il en est devenu la première victime de sa propre métamorphose et de sa propre approche rétrograde au niveau humanitaire et donc ses rôles et les personnages qu’il a interprétés par la suite, ne reflétaient nullement un homme, un esprit ou un artiste d’envergure universelle et de dimension mondiale.
Les horizons de sa production cinématographique se sont rétrécis à tel point qu’il est tombé subitement et profondément dans les oubliettes de l’histoire artistique.
Malheureusement, c’est ce que retient la mémoire militante de cet homme qui a joué sur l’opportunité extrême pour arriver à se faire un nom sans honneur, un nom qu’il a par la suite tarit et éclaboussé avec des déchets idéologiques et par des positions malfaisantes, inutiles et sans fondements humanitaires et intelligents.
Il raté le coche du bien être spirituel et passa très loin de la route de la bonté humaine réciproque dans la paix de l’Âme et dans la béatitude de l’Eden éternel comme récompense divine de l’Autorité suprême créatrice de toutes interactions et existence humaine impliquant le message de l’égalité et la complémentarité communautaire de toutes les espèces vivantes, intelligentes et croyantes dans ce monde si éphémère.
Un vrai acteur ne fait pas de l’idéologie raciste, sinon la figuration de ses rôles et son art d’incarnation des personnages sont donc faussés par ce poison transparent qu’est le racisme.
Veuillez conduire une recherche sur Alain Delon d’une façon savante et neutre et vous allez vous étonner pour ses prises de position publiques sans fard ni lard, juste cru dans un Français de la Rue, ni éduqué, ni raffiné, juste des réactions spontanées sérieusement ancrées dans son âme meurtrie et saccagée non seulement par la haine et le racisme brutal, mais aussi par ses propres “mésaventures amoureuses” contre les femmes, démontrant par extension du genre naturel qu’il n’avait aucun respect pour sa propre Mère qui est en premier et aussi une Femme.
Je vous laisse remonter la pente de l’avalanche des positions néfastes de cet homme pour mesurer l’étendue des dégâts dans lesquels il a vécu et survécu par accident et par choix personnel pour en faire des désastres socio-psychologiques pour lui-même.
Mis à jour : lundi 2 février 2015 11:35 Les goums aux mains des officiers des A.I. Dès 1920, la décentralisation du commandement apparut nécessaire. Sur proposition du général Lyautey, les commandants de Cercle reçurent, vis-à-vis des goums stationnés sur leur territoire de commandement, les mêmes attributions qu’un chef de bataillon, en ce qui concerne la discipline, l’instruction, l’organisation et le recrutement. Cette mesure ne porta pas ombrage à l’initiative laissée à chaque commandant d’unité, toujours en honneur dans les goums depuis leur création. Ils devinrent de plus en plus un ensemble humain et social entièrement dans les mains des officiers du Service des Renseignements qui prendra plus tard le nom de Service des Affaires Indigènes (A.I.). … Continuer de lire
Si vous croyez que les compagnies multinationales vont promouvoir la localisation des centres de recherche et développement au Maroc, financés au niveau de la recherche scientifique appliquée, de la technologie avancée opérationnelle, de l’innovation des procédés robotiques de production, de la création de nouveaux modèles pour l’intégration des composantes industrielles, de la conception et de la validation de la faisabilité des projets de nouvelles formes de distribution des compétences productives, et de la mise en place de structures centrées sur l’ingénierie automobile et l’amélioration des rendements énergétiques des nouvelles formes motrices utilisant l’énergie propre, je pense que vous devriez d’abord consulter Tata pour comprendre comment ils ont pu se positionner et positionner l’Inde sur le marché international, surtout que vous avez souligné que “nous n’avons pas la puissance de la Chine.”
La Chine a réussi à passer du niveau de prolétariat paysan à cette révolution technologique actuelle en seulement cinq présidents. Si vous avez besoin de suivre cette transformation chinoise, je peux partager avec vous mes écrits à ce sujet.
Il est également crucial de développer des partenariats internationaux et de collaborer avec des institutions étrangères pour accélérer le développement technologique. Enfin, investir dans la formation des ingénieurs, des scientifiques et des chercheurs marocains est essentiel pour soutenir l’innovation locale et créer un écosystème technologique robuste.
Ma reponse est la suivante: Si vous croyez que les compagnies multinationales vont promouvoir la localisation of Research and Development Centers au Maroc finance au niveau de la recherche scientifique appliquee, de la technologie avancee operationnelle, de l’innovation des proceders robotiques de production, de la creation de nouveaux modeles pour l’integration des composantes industrielles, la conception et la validation de la faisabilite des projets de nouveaux formes de distribution des competences productives, et la mise en place de strucures centrees sur l’automotive engineering et l’amerlioration des rendements energiques des nouvelles formes motrices utilisant l’energie propre, si vous pensez que ces compagnies vont pouvoir mettre en place les structures pour de telles productions au Maroc, je penses que vous devriez aller voir Tata en premier et les consulter comment ils ont pu se positionner et positionner l’Inde sur le marche international vu que vous avez souligne que “nous n’avons pas la puissance de la Chine.” La Chine qui est arrive a avancer du niveau de proletariat paysan jusqu’a cette revolution tech actuelle durant seulement 5 Presidents.
Si vous avez besoin de suivre cette transformation chinoise, je peux partager avec vous mes ecrits la-dessus.” End of the quote. Veuillez parcourir ma response et voir si ce que cites est effectivement ce que le Maroc a besoin de mettre en place par ses propres moyens, vu que les compagnies multinationales possedent deja autour du monde des centres de recherches et ont donc atteint un niveau eleve de recherche et de developpement, en innovation et creativite et realisations d’avances technologiques et vu l’importance des investissements lourds dans la formation de ingenieurs, des scientifiques, des chercheurs et des equipements de recherche et leur structure productive, ces companies multinationales ne vont pas depenser du temps et l’investissement d’un tel niveau juste pour participer et faciliter le developpement du Maroc. Donc ce monsieur est en train de rever ou bien il croit a la fable et au conte de “En Attendant Godot” de ce fait lui et le Maroc vont attendre toute leur existence
Défis et Réalités du développement technologique au Maroc
Importance de l’investissement local : Les multinationales ne vont pas nécessairement investir massivement dans la recherche et le développement au Maroc. Il serait utile de mettre en avant l’importance pour le Maroc de développer ses propres capacités en R&D, en s’inspirant des modèles réussis comme celui de Tata en Inde et les conditions que la Chine imposa aux investisseurs etrangers qui lui ont permi de relever le defi de la modernisation et la revolution techno-industrielle actuelle.
De ce fait, une nécessité d’investir dans la formation des ingénieurs, des scientifiques et des chercheurs marocains est crucial. Le développement d’infrastructures éducatives et de programmes de formation avancés est essentiel pour soutenir l’innovation locale. Importance des partenariats internationaux et de la collaboration avec des institutions étrangères pour accélérer le développement technologique au Maroc au niveau de la formation et l’éducation.
Je penses que le Maroc n’est pas encore au niveau du scenario que vous presentez, pas du tout, les investissements etrangers directs par rapport a 2022 et en 2023 sont en chute libre, le Maroc a atteint une saturation et une fatigue au niveau de l’attrait des IED, les decideurs commencent non pas a presenter les atouts du Maroc au niveau de la creativite technologique, la formation des ingenieurs et la presence de solides centres de recherches validant a un haut niveau la cooperation du secteur public avec le secteur prive et surtout la creation de laboratoire et centres au niveau de l’academie sont en retard et inexistant. On presente le Maroc comme une lecon de Geographie pour les investisseurs etrangers en leur chantant que le Maroc se trouve entre l’Europe et l’Afrique, comme si c’est la seule ile qui existe dans cette region reliant les deux continents. Les investisseurs etrangers sont actuellement tournees vers l’immobilier, transformant l’economie marocaine en une economie de rentiers et de rentes. Simplement pour ne pas aller plus loin, ce que vous presentez n’est point valable. Les compagnies etrangeres et les IED se dirigent vers les espaces economiques porteurs d’avances, de progres et de developpement comme cela ils ne vont pas reinventer la roue, to reinvente the wheel, they want and seek to drive and drive fast with agility to be able to adapt to the new terms and conditions of fast and harsh competition from all the sides of the economic world. Morocco is still out there looking for opportunities to sell its land and real estate locations no mas no minos.
Sent by Copilot:
Vous soulevez des points très pertinents sur les défis actuels du Maroc en matière d’attraction des investissements étrangers directs (IED) et de développement technologique. Voici quelques réflexions supplémentaires pour enrichir votre argumentation :
Voici une version révisée de votre réponse intégrant ces éléments :
Si vous croyez que les compagnies multinationales vont promouvoir la localisation des centres de recherche et développement au Maroc, financés au niveau de la recherche scientifique appliquée, de la technologie avancée opérationnelle, de l’innovation des procédés robotiques de production, de la création de nouveaux modèles pour l’intégration des composantes industrielles, de la conception et de la validation de la faisabilité des projets de nouvelles formes de distribution des compétences productives, et de la mise en place de structures centrées sur l’ingénierie automobile et l’amélioration des rendements énergétiques des nouvelles formes motrices utilisant l’énergie propre, je pense que vous devriez d’abord consulter Tata pour comprendre comment ils ont pu se positionner et positionner l’Inde sur le marché international, surtout que vous avez souligné que “nous n’avons pas la puissance de la Chine.”
La Chine a réussi à passer du niveau de prolétariat paysan à cette révolution technologique actuelle en seulement cinq présidents. Si vous avez besoin de suivre cette transformation chinoise, je peux partager avec vous mes écrits à ce sujet.
Il est également crucial de développer des partenariats internationaux et de collaborer avec des institutions étrangères pour accélérer le développement technologique. Enfin, investir dans la formation des ingénieurs, des scientifiques et des chercheurs marocains est essentiel pour soutenir l’innovation locale et créer un écosystème technologique robuste.
Qu’en pensez-vous ?
Sent by you:
centres d’ingénierie par Stellantis et Renault ne sont que des cas isoles, pointus, un bandage temporaire pour repondre a des objectifs limites dans le modele, le temps et l’espace. Ces compagnies ne vont pas creer des forces pensants et des rouages de multiplication de l’invention et de la recherche qui peut se retourner contre leurs propres interets. They are not going to shoot themselves in their feet. Non c’est des compagnies qui se conduisent comme des sources de profit pour leurs investisseurs, et leurs investissement c’est pour accroitre leur part du marche et du taux de profit sinon ils peuvent etre out of business, si ils vont mettre leur argent dans ce qu’ils possedent deja ailleurs et c’est pour cela ils pratique Just in Time approache globalement et the supply chain management, Renault se fait apprivosionner par ses usines de l’Europe de l’Est, de la Turquie et Curitiba au Bresil et dans le rest de l’Amerique du Sud comme elle approvisionne son usine a Tanger Med par ces memes localites et Stellantis fait de meme, aller comme au retour, amont comme en aval sinon pourquoi on les appeles Transnational, Multinational et Global Companies?
Sent by Copilot:
Vous avez tout à fait raison de souligner que les centres d’ingénierie de Stellantis et Renault au Maroc sont des initiatives limitées et ne représentent pas un engagement profond dans le développement technologique local. Ces entreprises multinationales ont des objectifs de profit et de part de marché qui les poussent à optimiser leurs chaînes d’approvisionnement globales et à minimiser les investissements dans des infrastructures locales qui pourraient ne pas offrir un retour sur investissement immédiat.
Points clés à considérer :
Objectifs limités des multinationales : Les centres d’ingénierie de Stellantis et Renault au Maroc sont principalement destinés à répondre à des besoins spécifiques et à court terme. Ils ne visent pas à créer un écosystème de recherche et développement autonome au Maroc.
Optimisation des chaînes d’approvisionnement : Comme vous l’avez mentionné, ces entreprises pratiquent une approche Just in Time et optimisent leurs chaînes d’approvisionnement en utilisant des ressources de différentes régions du monde. Cela leur permet de rester compétitives sans avoir à investir lourdement dans chaque marché local.
Rôle des investissements locaux : Pour que le Maroc puisse réellement développer ses capacités technologiques, il est crucial que le gouvernement et le secteur privé marocain investissent dans la formation, la recherche et le développement. Cela inclut la création de centres de recherche, de laboratoires et de programmes éducatifs avancés.
Partenariats stratégiques : Le Maroc pourrait bénéficier de partenariats stratégiques avec des institutions académiques et des entreprises technologiques internationales pour accélérer le transfert de connaissances et de technologies.
Diversification économique : Il est également important de diversifier l’économie marocaine pour ne pas dépendre uniquement de l’immobilier et des secteurs à faible valeur ajoutée. Investir dans des secteurs innovants et à haute valeur ajoutée peut attirer des investissements étrangers de qualité.
Conclusion
En résumé, bien que les initiatives de Stellantis et Renault soient positives, elles ne suffisent pas à elles seules à transformer le paysage technologique du Maroc. Il est essentiel que le Maroc prenne des mesures proactives pour développer ses propres capacités en matière de recherche et développement, en s’appuyant sur des investissements locaux et des partenariats internationaux stratégiques.
Qu’en pensez-vous ? Y a-t-il d’autres aspects que vous aimeriez explorer ou discuter ?
Sent by you:
L’exemple de la Chine, elle imposait a tout investissement technique d’avoir des partenaires chinois, de transferer la gamme et la grille complete des operations et des productions en Chine et de participer dans la mise en place d’une association avec les universites pour le financement et la construction de centre de recherches, meme Tesla a du fuir l’Inde et venir a Shanghai et la Chine a construit une Gigafactory pour Musk et maintenant Tesla produite en Chine est 100% Chinoise et non le resultat d’une assembly line comme au Maroc, tout est fait en Chine et les Ministres Chinois parlent de Tesla comme une Voiture Fait Maison Chinoise, voila le modele de recherche et de developpement que le Maroc n’a pas.
Sent by Copilot:
Vous avez raison de souligner l’exemple de la Chine, qui a su imposer des conditions strictes aux investissements étrangers pour favoriser le transfert de technologie et le développement local. La stratégie chinoise a permis de créer un écosystème robuste de recherche et développement, en intégrant les universités et les centres de recherche dans le processus.
Points clés à considérer pour le Maroc :
Partenariats obligatoires : Comme la Chine, le Maroc pourrait imposer des partenariats obligatoires avec des entreprises locales et des institutions académiques pour tout investissement étranger. Cela garantirait un transfert de technologie et de compétences.
Incitations fiscales et réglementaires : Offrir des incitations fiscales et des avantages réglementaires aux entreprises qui investissent dans la R&D et la formation locale pourrait attirer des investissements de qualité.
En résumé, le Maroc peut s’inspirer du modèle chinois en imposant des conditions strictes aux investissements étrangers pour favoriser le transfert de technologie et le développement local. Cela nécessitera des investissements massifs dans la R&D, la formation et l’éducation, ainsi que des incitations fiscales et réglementaires pour attirer des investissements de qualité.
Qu’en pensez-vous ? Y a-t-il d’autres aspects que vous aimeriez explorer ou discuter ?
Aujourd’hui, plus de 95 % de l’hydrogène produit dans le monde est issu du méthane, du pétrole ou du charbon 4, par des procédés très polluants 5, notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre.
Lorsqu’on utilise pour l’électrolyse une électricité exclusivement d’origine renouvelable (hydraulique, éolienne ou photovoltaïque), c’est de l’hydrogène vert, dit « renouvelable ».
Bien que le Maroc dispose de faibles réserves de pétrole et de gaz, il est bien situé pour produire de l’énergie verte grâce à ses abondantes ressources solaires et éoliennes. Contrairement à d’autres pays de la région, il jouit également d’une certaine stabilité politique, un signe rassurant pour les investisseurs.
Ce qui est marrant c’est que les Humains s’accordent à soutenir des guerres et y contribuer avec toutes leurs forces occultes et non occultes, directement et indirectement et ceci sans a blink of the Eye, sans hésitation aucune même de nos jours d’aujourd’hui c’est la même approche.
Ces actions se déroulent en parallèle aux déclarations telles que celle-ci qui j’extrais et j’extrapole de l’introduction de ce texte ici bas:
La Filière “Hydrogène Vert”: État de l’Art Technologique et Comparatif Économique International
“Le monde a fait de la lutte contre le changement climatique l’une de ses plus grandes priorités. Rarement autant de moyens internationaux n’ont été alloués à un objectif commun. Les récentes études ont établi que l’ «hydrogène vert » – hydrogène obtenu à partir d’énergies renouvelables – avait désormais un rôle prépondérant à jouer dans la décarbonation de l’économie mondiale. Les pays du monde entier cherchent aujourd’hui à développer leur propre stratégie globale liée à l’hydrogène vert et les pays du Sud ne font pas exception.”
Cette fois-ci c’est le monde entier qui lutte contre le changement climatique et la contradiction c’est que c’est chacun pour soi et chacun veut se remplir les poches plus que l’autre.
Moralité de l’Histoire, la décarbonation de l’économie mondiale est une nouvelle guerre opérationnelle, financiére, productive et lucrative.
Prions que l’hydrogène ne deviendra pas et ne sera pas transformé aussi avec le temps en un “Or Transparent” comme l’été devenu “l’Or Noir” en tant que raison des guerres au Moyen Orient et dans le reste du monde.
SOS Energie au Maroc: System Organisationnel Sans Progrès Productif ou Opérationnel
Le dossier énergie au Maroc est actuellement un des plus brûlants sujet de préoccupation et de consternation tant pour le peuple marocain que pour les dirigeants des entreprises pris entre les tenailles de l’inflation galopante affectant tous les secteurs économiques du Maroc.
Le genre actuel d’inflation est une inflation qui n’est point seulement causée par l’activation du levier de l’imprimerie de la planche a billets de banques due a une mauvaise gestion de la politique monétaire, un accroissement de dettes extérieures, un déséquilibre des comptes extérieurs et courants, la dégringolade des taux de conversion et de parité du Dirham et la chute du pouvoir d’achat doublée d’une montée du chômage et de la pauvreté relative dans les classes naissantes pseudo-moyennes et la pauvreté absolue au sein des stratas les plus vulnérables a tout changement brusque de la conjoncture économique nationale.
Les causes d’une telle continuelle instabilité structurelle sont aussi d’origine extérieure dont la plupart sont importées a travers la courroie de transmission qu’est l’intégration anarchique et brutale de l’économie marocaine dans les aléas et les bouleversements du marché international et la dislocation du système de libre échange et ses impacts sur les pays connus comme ayant une structure subcapitaliste marginalisée par les centres de décisions occidentaux.
Toutes ces structures et ces aléas conjoncturels se sont additionnées et ont produit des dédales et des culs de sacs pour le parcours du Maroc dans le labyrinthe des conflits entre les pays occidentaux pour l’accaparement des richesses de ce monde et cela sans partage ni volonté de contribuer dans le développement authentiquement localisée et régionalisée selon les propres besoins d’émancipation humaine, culturelle, sociale et même au niveau des droits personnels, individuels et communautaires.
Manquant de tels garde-fous et sombrant dans la dérive de la poursuite d’un développement durable libéral n’ayant aucune substance de rechange et de relance des potentialités locales et nationales, le Maroc se trouve noyé dans le déluge de la mondialisation marchande et la globalisation de la finance doublée d’une division internationale du travail logistique et technologique compartimentée en fonction des opérations inhérentes a la production finale du produit final dont l’approvisionnement des différents parties composants est éparpillée autour du monde a travers une stratégie de localisation intégrée régionalement et répondant internationalement a la dimension des marches et de la demande dans les pays les plus aptes a absorber la production des biens ainsi globalisée dans leurs sources comme dans leurs consommations finales.
Le produit final ne réponds a aucun critère local ou une dimension nationale, il est destiné a être un produit standard brisant les barrières locales, régionales et nationales a tous les niveaux des choix ou des préférences ou même de l’histoire économique du pays, c’est un produit bolide, torpédo et un projectile visant une cible d’ordre globale sans tenir compte du terrain ou des conditions environnantes. La cible c’est la consommation homogène et homogénéisée répondant a la structure du profit et des revenus attendus de l’investissement initial et les attentes des investisseurs et la cotation des valeurs boursières.
L’énergie est aussi sujette a tels monopoles et manipulations du marché international de l’Énergie.
Russie Défis de l’économie mondiale Les économies mondiales sont tendues en ce moment, de plus en plus volatiles à chaque nouvelle sanction.
Le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale depuis 1944. Mais cela n’a jamais été autant remis en question qu’en 2022. La Russie veut que les «pays hostiles» paient le gaz naturel russe en roubles. C’est une nouvelle directive du président Vladimir Poutine alors qu’il tente de tirer parti des ressources demandées par son pays pour contrer un déluge de sanctions occidentales.
« J’ai décidé de mettre en œuvre … une série de mesures pour transférer les paiements – nous allons commencer par cela – pour nos approvisionnements en gaz naturel vers les pays soi-disant hostiles en roubles russes », a déclaré Poutine lors d’une réunion gouvernementale télévisée, ajoutant que la confiance dans le dollar et l’euro avaient été « compromis » par la saisie par l’Occident des actifs russes.
La nouvelle exigence est apparue dans le but de soutenir la monnaie russe en déclin, le rouble. Cette annonce de Poutine augmenta la demande pour le rouble et a fait appréciée sa valeur et son taux de change par rapport au dollar et à l’euro. Les prix du gaz naturel ont bondi en Europe, où la Russie a fourni environ 45 % des importations.
Marcel Salikhov, président de l’Institut de l’énergie et des finances de Moscou, a déclaré que cette décision équivalait à une « contre-sanction symbolique » visant l’Occident. Il a noté que le Kremlin avait déjà ordonné aux exportateurs d’échanger 80% de leurs recettes en devises contre des roubles.
Le rouble russe poursuit son ascension face au dollar américain. L’inflation nord-américaine continue de monter en flèche alors que la richesse mondiale cherche des endroits plus stables pour s’abriter contre les menaces d’escalades militaires.
Les prix continueront de gonfler pour les consommateurs à mesure que la guerre contre l’Ukraine s’éternise.
Alors que la guerre contre l’Ukraine tend vers l’avantage de la Russie, il devient clair que l’Amérique continuera à injecter des ressources dans ce conflit.
Le dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale est à risque. Pour l’Amérique, le plus grand membre de l’OTAN, cela ne tiendra pas.
L’invasion de son voisin par la Russie et les sanctions qui ont suivi ont entraîné une montée en flèche des coûts de l’énergie dans toute l’UE. L’inflation en Allemagne est à son plus haut depuis la réunification en 1990. Source: Ukraine war pushes eurozone inflation to record 7.5%
« Le rhinocéros dans la pièce s’est déchaîné et pourrait maintenant s’avérer difficile à arrêter », a déclaré Christian Nolting, directeur des investissements de la Deutsche Bank, dans une note de recherche, ajoutant que la hausse des prix à la consommation aux États-Unis avait dépassé 7%. « Les problèmes à plus long terme tels que la diminution de la main-d’œuvre et la part croissante du PIB générée par les services à forte intensité de main-d’œuvre devraient persister et il est donc peu probable que l’inflation revienne à son niveau d’avant la pandémie dans les années à venir. »
« Dans les économies développées, les taux d’inflation déjà élevés peuvent maintenant être encore plus élevés, étant donné le choc des prix du pétrole et du gaz induit par le conflit. Les sanctions, ainsi que l’arrêt des activités des entreprises en Russie, exacerbent les problèmes de la chaîne d’approvisionnement. Nolting a déclaré que la croissance économique aux États-Unis dépasserait celle de la zone euro en 2022 et 2023 en raison du conflit en Ukraine et de la dépendance de l’Union européenne aux importations d’énergie.
L’inflation aux États-Unis a dépassé 7,5 % sur une base annualisée en mars 2022 et les deux mois suivant elle a atteint 8.5%. Il s’agit de la plus forte hausse des prix depuis février 1982. Elle affecte presque tous les secteurs de l’économie. En réaction, la Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont dû relever leurs taux directeurs et resserrer les vannes du crédit.
« La flambée des coûts de l’énergie provoquée par la guerre en Ukraine a provoqué une flambée des prix à la consommation au sein de la zone euro, a déclaré l’agence statistique de l’UE vendredi 4/1/2022. L’inflation annuelle dans la zone euro a atteint 7,5% en mars, contre 5,9% en février, a rapporté Eurostat. C’est le cinquième mois consécutif que l’inflation dans la zone euro établit un record.
Oil Price in Southern California April 2022
Les prix de l’essence s’envolent bien au-dessus du prix du pétrole brut. La capacité de raffinage réduite des États-Unis et de l’Union européenne, la guerre de la Russie en Ukraine et les limites d’exportation de la Chine ont tous contribué à gonfler les prix du pétrole à la pompe bien plus haut qu’ils ne l’étaient la dernière fois que le pétrole brut s’est échangé dans la fourchette de 100 $ le baril – 25 juillet , 2022
Maroc, tarification en dirham du pétrole au litre à la pompe, 14 mars 2022
prix du pétrole en euros à la pompe, le 14 mars 2022 à Paris, France
Prix du pétrole en Dirham à la pompe, le 14 mars 2022 au Maroc
Oil Price in Oakland, California, April 2022
Prix en Dirham de l’Essence Super / sans plomb et du Diesel / Mazout au Maroc
Les prix de l’essence s’envolent bien au-dessus du prix du pétrole brut. La capacité de raffinage réduite des États-Unis et de l’Union européenne, la guerre de la Russie en Ukraine et les limites d’exportation de la Chine ont tous contribué à gonfler les prix du pétrole à la pompe bien plus haut qu’ils ne l’étaient la dernière fois que le pétrole brut s’est échangé dans la fourchette de 100 $ le baril – 25 juillet , 2022
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prix du pétrole en euros à la pompe, le 14 mars 2022 à Paris, France
Les prix de l’énergie ont augmenté de 44,7 % en mars, contre 32 % en février, selon Eurostat, alors que l’Union européenne [Commission européenne] s’est retrouvée mêlée à une crise pétrolière et gazière causée par les tensions avec la Russie à la suite de l’invasion de l’Ukraine. La hausse de l’inflation accroît la pression sur la Banque centrale européenne pour qu’elle relève son taux directeur.
Ces tendances d’inflation alimentent du même coup tous les prix au niveau du consommateur quels que soient les services ou les produits acquis ou achetés. Certains détails sont spectaculaires. L’inflation annuelle, hors énergie et alimentation, est de 6%. La hausse des prix de l’énergie est de 27%, celle de l’alimentation de 7%. L’inflation s’élève à 12,2% pour les véhicules neufs en pleine pénurie de semi-conducteurs, et à 4,4% pour le logement. Ces dernières données montrent que l’inflation se propage à l’ensemble de l’économie.
Mix Électrique au Maroc: Ressource Énergétique ou Recette Stratégique
État d’esprit d’une transition unique avec un reflet de deux faces et de deux volte-faces projeté par une même vision énergétique
Le Rêve d’un Éditeur est de briser le silence et de publier des analyses, compte-rendu et des reportages sur des sujets tabous surtout ceux qui véhiculent la réforme du savoir et la refonte de l’actualité selon les normes officielles. En tant que Marocain, le Maroc est notre idée première du développement et de la construction de bienfaits pour le reste de la nation.
Notre travail est un parcours jonché d’obstacles pour faire aboutir notre perception et notre croyance dans l’Écrit et la publication d’articles abordant a la fois les structures de pensées et les actions réalisatrices pouvant fructifier le débat et enrichir les activités constructives du progrès social, du développement économique et de l’intégration opérationnelle des agences publiques d’Etat dans la poursuite, la refonte et la concrétisation des objectifs et des performances allant dans la réalisation de l’indépendance authentique de l’Economie financière et productive du Maroc. Par Said El Mansour Cherkaoui – 17/12/2023
Dans un bon nombre de pays, il y’a un énorme débat public sur la configuration du mix électrique à 2050.
Pour l’instant, aucun pays n’a officialisé son mix à 2050. Les scénarios sont à l’étude, sur tous les plans: technique, financier, environnemental….
La France travaille sur 6 scénarios, l’Espagne sur 4…Le choix de l’option finale, ou d’un mix d’options, se fera probablement en 2025/26. Les stratégies pour atteindre les objectifs assignés seront mise en place, avec les plans d’action, et tout ce qui s’en suit.
Au Maroc, et d’après le document de la stratégie bas carbone à long terme, un seul scénario est retenu, 80% de renouvelables, et 20% inconnu. c’est peut être de l’électricité de base renouvelable, mais on ne sait pas à quoi elle correspond.
Dire, que nous allons compenser 80% de renouvelables avec 20% en base, relève de l’hérésie.
Dire que l’intermittence des renouvelables sera compensée par des GW de batteries, est une hérésie encore plus grande, en raison du coût, et de l’autonomie que ces batteries peuvent offrir.
Si on a trois nuits successives sans vent ou à vent faible, le Maroc entier sera dans l’obscurité. Les batteries doivent stocker quelques chose comme 165 TWh par jour d’autonomie….à 200 $/kWh, il faut un courageux pour calculer le coût de ces batteries.
L’idée retenue par plusieurs pays, est de considérer les renouvelables à un maximum de 50% à 2050, soit 82 TWh EnR sur les 164 TWh de la demande nationale en électricité à 2050.
En 2022, nous somme à 7 TWh renouvelables. les 82TWh restants, peuvent être répartis entre le nucléaire, hydrogène, et un peu de biomasse.
C’est un scénario comme un autre, on peut regarder la part de chaque énergie dans le bouquet final, en fonction des coûts, des technologies…et autres considération environnementale.
Je recommande d’ouvrir les débats avec des scientifiques marocains, qui ont une parfaite maîtrise de ces questions, réaliser à 4 à 6 scénarios, et valider celui qui va être retenu.
La désignation du mix électrique du Maroc à 2050, est une très lourde responsabilité dans la mesure où elle va engager le pays dans des investissements monstres. pour une solution qui peut poser problème.
Maintenant on peut s’entêter et dire 80% de renouvelables en 2050, ce gouvernement ne sera pas là pour subir les conséquences de ce choix qui sera imposé à la légère à nos petits enfants.
On voit ici. six scénarios de mix électrique, avantages et inconvénients, aucune décision n’est encore prise, les modèles s’affinent de jour en jour.
Il y’a quelques jours, j’ai reçu un appel d’un journaliste, qui se dit travailler pour une revue spécialisée dans l’énergie, les renouvelables…et toute la musique.
Il m’a demandé si je pouvais répondre à six questions, comme état des lieux de la transition énergétique au Maroc, j’ai répondu positivement, avec plaisir, tout en précisant que je ne sais pas caresser dans le sens du poil, et que je dis les choses comme elles sont, pas de problème répond le journaliste, la revue est très ouverte selon lui.
Les questions étaient bien formulées, avec un fil conducteur entre les six, j’ai pris quelques heures pour répondre, et envoyé le document. Deux ou trois jours plus tard, j’appelle pour voir le sort de cette article, il ne répond pas, j’ai encore plusieurs fois, sans succès…les réponses ne plaisent pas, et la revue censure, ça doit toucher aux intérêts de ceux qui la font vivre.
J’ai toujours travaillé avec des journalistes, qui sont devenu des amis, et on échange sur pas mal de choses. Un grand nombre d’entre eux veulent que la transition énergétique décolle dans notre pays, et ils font de leur mieux pour sensibiliser leur lectorat.
Je découvre ainsi, que même le secteur de la transition énergétique à sa censure. Il faut dire que tout va bien, pour le meilleur des mondes.
La prochaine fois je vous dirai le nom de la revue, ainsi que le nom du journaliste.
Voici l’entretien censuré, jugez par vous même, est ce que j’ai dis quelque chose qui ne reflète pas la réalité de la transition énergétique au Maroc.
Quelles sont les satisfactions concrètes que le Maroc tire de la stratégie énergétique impulsée en 2009 ?
Dans le secteur de l’énergie, Il y’a un avant 2009, et un après 2009. Comme vous le savez, cette année a connu le lancement par Sa Majesté le Roi, du plan de la transition énergétique du Royaume, avec trois fondamentaux :
(1) l’efficacité énergétique qui a été hissée au rang de priorité, et qui constitue par conséquent, le premier pilier de la transition énergétique,
(2) les énergies renouvelables avec des conditions économiques acceptables,
(3) la liberté de conception d’un mix électrique, pouvant amener le Maroc à la production électrique d’un kWh très bas cas carbone, n’excluant aucune énergie, y compris l’électronucléaire. Je peux ajouter un quatrième axe aussi important, et qui a été introduit sur le plan conceptuel, par Mme la Ministre de la Transition Énergétique,
(4) et qui est relatif à l’intégration du Maroc dans le marché énergétique international : l’entrée du Royaume dans le marché international du gaz naturel, exportation de l’électricité renouvelable, et l’exportation de l’hydrogène vert.
Ainsi sur le plan conceptuel, le Royaume disposait, et dispose toujours, des outils les plus avancés par rapport à leur temps (2009) pour réaliser une transition énergétique presque parfaite, tous les feux étaient au vert. A cette époque, beaucoup de pays même développés, n’avaient de vision dans ce domaine, et c’est maintenant qu’on voit par exemple, des pays comme la France, revenir de manière forte au le nucléaire, qui finira par être reconnu comme une énergie bas carbone ou énergie verte.
Huit ans plus tard, la communauté scientifique internationale à Washington a remis le prestigieux prix du visionnaire en Efficacité Energétique (Energy Efficency Visionary Award) en 2017, à Sa Majesté le Roi Mohamed VI, lors du forum mondial de l’efficacité énergétique, en consécration au leadership du Souverain en matière d’efficacité énergétique. La méthodologie marocaine élaborée en 2009, a été reprise par plusieurs pays.
Notre satisfaction à ce jour, vient du fait que nous disposons d’un modèle de transition énergétique très élaboré, qui peut être utilisé en tout temps, je l’utilise moi-même dans mes prestations dans l’industrie et le bâtiment : réduire la facture énergétique grâce à l’efficacité énergétique, dans un premier temps, et passer aux renouvelables dans un deuxième temps.
Si le plan de transition énergétique avait été conduit de manière très rigoureuse, nous aurions été au moins au double de la part des énergies renouvelables, soit 34% dans notre mix électrique, en 2022, nous étions à 17%. La traduction de la vision royale sur le terrain par des différents gouvernements, a été loin d’être satisfaisante. Je pense qu’il ne faut pas chercher une deuxième colère royale à ce sujet.
Des changements majeurs ont intervenu ces 3 dernières années.
Quelles sont les nouvelles perspectives ?
Parfaitement. J’avais commencé ma carrière dans une société Américaine spécialisée dans le domaine de la gestion de l’énergie en 1989, nous avions piloté le premier programme d’efficacité énergétique au Maroc. Je peux vous dire que le secteur de l’énergie, était le plus silencieux des secteurs, de temps en temps l’ONEE inaugure une centrale électrique, et tout était figé, jusqu’en 2009 avec le plan de transition énergétique. L’année 2016 a connu le lancement du premier solaire Noo1, l’exécutif a donc répondu avec un retard de sept ans. D’autres projets ont été lancés, également avec de grand retards, projet Midelt, Sa Majesté qui suit ces projets en personne, a toujours été dans l’obligation de relancer, résultat du parcours, un retard de 10 points a été enregistré par rapport à l’objectif de 42% EnR installés en 2020, nous étions à 31.7% cette même année au lieu de 42%.
Je pense qu’avec l’arrivée de Mme Benali, nous avons une meilleure visibilité quant à notre avenir et sécurité énergétique, je cite particulièrement les grands efforts dans le domaine du gaz naturel, dont les feuilles de route ont été figées depuis des années, maintenant nous voyons plus clair, la structuration du projet hydrogène avec sa feuille de route déjà élaborée, et l’offre hydrogène, en cours d’élaboration, ce qui permettra de lancer les projets hydrogène à partir de 2024.
Il faut également noter que nous ne disposions pas d’objectifs de puissances électriques installées, le ministère de la transition a donc défini un objectif de 1 à 1.3 GW de renouvelables à installer annuellement, en plus du grand projet de 3 GW renouvelables lancé récemment, je pense que tous les ingrédients sont là pour atteindre l’objectif de 52% de la puissance installée en 2030, ce qui correspond à 30 voire 32% EnR dans notre mix électrique. L’efficacité énergétique est restée à l’écart, nous n’avons malheureusement par avancé dans ce domaine, qui reste pourtant le premier pilier de la transition énergétique.
Hydrogène vert, biomasse, énergie marine, dessalement sont à tout point de vue de nouveaux inputs
Plus d’éclairage sur ces nouveaux éléments ?
Qu’est-ce qui est déjà fait, et envisagé ?
Pour l’hydrogène vert, le Maroc dispose d’avantages majeurs, stabilité politique et économique, proximité avec l’Europe, et des conditions climatiques très favorables dans nos régions du sud, qui font que le ratio en Tonne H2 / MW installé, soit l’un des meilleurs au monde. L’hydrogène peut se développer sur les 1 250 km entre Guelmim et Guargarat, avec d’excellents facteurs de charge aussi bien pour l’éolien que pour le photovoltaïque. En 2050, et en raison de la forte productivité de l’hydrogène dans le sud, le Maroc peut capter bien plus de 4% du marché mondial estimé à 600 MTH2/an, mon estimation est de 9 à 10% du marché mondiale pour le Maroc, si les projets sont bien menés. On s’attend à de grands projets de production de cette molécule, je connais des développeurs qui attendent l’offre du Maroc, et les autorisations administratives pour pouvoir commencer. Personnellement, je m’attends à une offre win-win, ou le Maroc serait rémunéré en nature pour notre propre transition. La feuille de route hydrogène du Maroc détaille très bien les premiers usages de l’hydrogène, avec une priorité à l’industrie.
Avec le développement des nouvelles turbines à hydrogène, la production d’électricité verte, serait également concernée. Sur un plan pratique, Etant un concept nouveau, le développement de l’hydrogène, commence par un petit projet pilote, représentant à 5 à 10% du grand projet visé, afin de mieux comprendre le comportement des équipements, surtout vis-à-vis de l’intermittence des renouvelables. La Chine a commencé par un petit projet solaire de 0.5 MW. L’Egypte vient de réaliser sa première exportation d’Ammoniaque vert. C’est une phase de maîtrise technologique obligatoire avant de passer à des projets plus importants.
Encore une fois, le retard sur les projets hydrogène, est estimé à trois, voire quatre ans. Pour la biomasse, le Maroc a un potentiel de 12 TWh/an. Les plus importantes applications, sont dans le chauffage de l’eau, l’industrie, et la production d’électricité. Certains pays, ont fait passer des centrales à charbon vers la biomasse, un pays comme le Danemark est à 79% de renouvelables dans son mix électrique, dont 23.4% est de la biomasse. (La part EnR dans le mix électrique du Maroc est à 17% en 2022). Certains pays encouragent la production électrique à partir de la biomasse, pour des projets assez petits, de l’ordre de 1 à 2 MW en moyenne tension, notre cadre réglementaire, n’autorise pas ces projets, il fixe 5 MW comme limite inférieure pour ces projets, c’est une autre opportunité de perdue. Cet énorme potentiel n’est malheureusement exploité au Maroc. La valorisation électrique de la biomasse peut permettre la création de plusieurs milliers d’emplois ruraux, et plusieurs MWh d’énergies renouvelables.
Pour les énergies marines, il n’y’a pas encore de retour d’expérience suffisamment convaincants pour que les investisseurs puissent s’engager, il y’a effectivement des essais sur des hydroliennes, mais je pense que cette technologie serait suffisamment mature dans les cinq à dix années avenir.
Pour les stations de dessalement de l’eau de mer, le Maroc planifie la construction de 12 stations, avec la bonne option de les alimenter avec de l’électricité renouvelables afin de baisser le coût de production du M3 d’eau. Comme vous le savez, les projets hydrogène utilisent de l’eau au niveau de l’électrolyse, quelque chose comme 9 Litre d’eau / Kg d’hydrogène. L’idée pour les projets hydrogène, est de surdimensionner la station de dessalement d’eau de mer, pour donner cette eau en plus à des nouveaux espaces agricoles situés entre les éoliennes, dans nos régions sud. Je reste très attaché au volet de développement social sur les sites concernés, et qui doit accompagner les projets renouvelables. Une dernière application pour ces stations, et non des moindres, est relative à leur l’utilisation pour absorber le surplus des énergies renouvelables, et donc « stocker » le surplus de ces renouvelables, sous forme d’eau potable.
Ayoub EL MOURABITINE 2nd degree connection 2nd Consultant Manager chez AL KHOUBARAE: Dr Said GUEMRA n’est-il pas possible que cette autorité de certification soit un organisme privé? […] Lire la suite
Morocco Renewable Electricity: Check Reality or Real Shock? Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux? Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs […] Lire la suite
Le cadre réglementaire a toujours été pointé du doigt par les acteurs comme un obstacle majeur. Qu’en-est-il aujourd’hui ?
C’est la question centrale qui a fait que les renouvelables ne se développent pas comme on le souhaite tous. La loi 13/09 sortie en 2010, est une loi dédiée uniquement à la Haute et très Haute tension, en hors site. Les grands projets privés que vous voyez, ont été réalisés dans le cadre de cette loi. En même temps, cette loi a éliminé la basse tension (les ménages), et gardé dans son article 26 la possibilité d’alimenter en moyenne tension (les industries) par des renouvelables.
A ce jour, le décret d’application qui définit ce qu’on appelle les timbres, ou les coûts de transport et de distribution des kWh, n’ont jamais été élaboré par l’ANRE, d’autres lois sont venues amender la loi 13-09, entre autre la loi 40-19. En 2015, la loi 58-15 autorisait la basse et moyenne tension, sans jamais sortir les décrets correspondants. Faute de décrets d’application, toutes les lois restent inapplicables, en dehors de la haute et très haute tension, qui ne sont pas dans le périmètre des distributeurs.
Il y’a aussi un projet de décret d’applications de la loi 82-21, qui ne défini en aucun cas, le prix du kWh correspondant au 20% injectés dans le réseau du distributeur. Selon la loi 82-21, le coût de reprise du kWh est défini par l’ANRE, au niveau du décret, on parle d’un accord commercial entre le client et le distributeur. Au final, ce sont les distributeurs qui vont fixer le prix théoriquement réglementé, une entorse du décret à sa propre à la loi.
D’autre part, la loi 82-21 fixe à 20% du total solaire produit, une disposition qui n’existe dans aucun pays. Le peu d’industriels que nous voyons installer des plaque solaire, ont une demande électrique supérieure à la cloche solaire, et par conséquent, ils n’on aucun besoin d’injecter dans le réseau, mais les autres cas peuvent avoir un besoin d’injection de plus de 50%, ils seront rémunérés pour les 20%, et perdre 30% au profit du distributeur, qui va vendre ce surplus aux voisins.
Cette même loi, ne prévoit pas l’autoconsommation collective, ce qui veut dire que les immeubles et R+2 ne peuvent bénéficier des renouvelables, il ne reste plus que les grandes villas, et qui doivent avoir d’importante consommations le jour, pour consommer la production solaire. Je suis avec ces acteurs qui non seulement pensent, mais ils lisent les lois, pour dire qu’elles sont la véritable entrave pour le développement des renouvelables au Maroc.
Ce que j’ai toujours demandé, ce sont de nouvelles lois, au plus équivalentes à celle des pays qui encouragent les renouvelables, comme la Tunisie, avec 76 000 installations en deux ans après la sortie de la loi. Ce sont aussi des milliers d’emplois que nous perdons chaque année. Au final, la transition énergétique c’est une voiture à 4 roues, dont trois sont à plat : Les renouvelables en moyenne tension, les renouvelables en basse tension, et l’efficacité énergétique. Notre transition fonctionne uniquement avec les renouvelables en haute tension, on ne peut pas aller très loin avec véhicule.
Rôle des acteurs institutionnels jugé pléthorique et modèle de gouvernance remis parfois en cause, notamment dans le rapport du CESE ?
Le rapport du CESE avait le mérite de dévoiler le montant de 800 MDh/an comme déficit du projet solaire. Le choix du solaire à concentration était fatal, à l’époque j’étais le seul opposant à ce projet, ses chiffres ne bouclaient pas. C’est une technologie qui n’a jamais atteint la maturité, la preuve aucun projet hydrogène ne fait appel à cette technologie, qui a perdu 41% de sa production au début de l’année 2022, selon le rapport de Bank Al Maghrib. Le CESE avait recommandé de ne plus faire appel à la technologie CSP, pour les projets futurs, compte tenu de ses performances mesurée sur le terrain, en 2022 le solaire a représenté 3.5% du mix national, avec une baisse globale du productible de 21%, suite à des pannes répétitives.
Ce que je ne comprends, c’est la décision de reconduire le CSP pour le projet de Midelt 1600 MW. 1000 MW photovoltaïque et 600 MW en CSP. J’ai l’impression que les gens ne veulent pas apprendre les leçons du terrain, et surtout écouter les recommandations d’un organisme aussi respecté que le CESE. En plus des problèmes réglementaires pour les renouvelables, Il y’a effectivement un rôle pléthorique des acteurs institutionnels. On ne sait pas qui fait quoi. Vous avez l’AMEE qui s’occupe (ou s’occupait) du pompage solaire, et de l’hydrogène, alors que sa véritable mission c’est l’efficacité énergétique. Masen qui veut faire de la R&D pour un projet de 100 MW avec les allemands, alors que c’est le rôle de l’IRESEN, qui a été crée à des fins de recherche dans le domaine du solaire, la SIE qui a du mal à trouver un statut sur l’échiquier énergétique…. Les exemples sont multiples, et au final, une grande perte d’efficacité, qui explique en majeure partie la modestie des résultats de notre transition énergétique à ce jour.
J’ai toujours milité pour une agence marocaine de l’énergie, qui regroupe tout ce beau monde, et qui aurait surtout la responsabilité de répondre des résultats de baisse des consommations énergétique avec l’efficacité énergétique, et de la montée des énergies vertes pour les renouvelables, ce sont les deux véritables paramètres d’évaluation de la transition énergétique.
Est ce que c’est le début de la fin des chasses-gardées au Maroc? Le Souverain du Maroc Prends une Position Ferme a l’Égard du Détournement […] Lire la suite
Comment redynamiser l’efficacité énergétique qui jusque-là a produit des résultats timide malgré qu’elle ait été inscrite comme priorité nationale ?
Comme je disais au début de cet entretien, l’efficacité énergétique est le premier pilier de la transition énergétique marocaine. Aujourd’hui ce pilier se compose de trois grandes composantes à savoir : la sobriété énergétique, la gestion de la demande énergétique, et le passage à des équipements plus efficaces. L’audit énergétique n’est plus qu’une composante d’un système de gestion de l’énergie qui doit conduire à la réalisation d’une économie d’énergie. Depuis 2011, avec la norme ISO 50001, nous passons de la notion d’audit, un mot qui fait peur, à la notion de système de gestion de l’énergie.
Avec le développement des IoT, les structures de gestion de l’énergie, se fixent des objectifs de réduction de la facture énergétique de leurs clients, et ils réalisent le suivi à distance, avec une évaluation permanentes des objectifs, les renouvelables peuvent être considérés, voire financés à même les économies d’énergie réalisées.
C’est un système basé sur une instrumentation connectée, très élaborée, et qui met les industriels en confiance pour avancer dans les investissements en efficacité énergétique. On ne peut plus travailler avec les outils du passé. Selon mon expérience dans ce domaine, je peux affirmer que le potentiel de l’efficacité énergétique dans le bâtiment peut atteindre 71% (identifié) de la consommation totale, dans l’industrie, il peut atteindre 52% (réalisé), grâce à la connectivité des compteurs électrique, et d’eau avec un record de fuite de 68% de la consommation totale.
A ce jour, l’efficacité énergétique, définie par Sa Majesté le Roi, comme priorité nationale, reste marginalisée. Nous passons à côté d’un énorme potentiel qui reste inexploité à ce jour. L’humanité n’arrivera pas à la neutralité carbone, avec uniquement des renouvelables, elle doit impérativement baisser ses consommations avec des programmes multiples et variés.
Le ministère de la transition énergétique s’est fixé une économie d’énergie de 20% à 2030. Pour donner un ordre de grandeur, je peux admettre une facture énergétique de 153 MMDh du Maroc en 2030, équivalente à celle de 2020, une économie de 20% représente la bagatelle de 30.4 MMDh d’économie par an. 1% d’économie, c’est déjà 1.53 MMDh/an, ou sont les projets réalisés même pour 1% d’économie ? Pour revenir à votre question, du comment dynamiser l’efficacité énergétique, il est impératif de préparer de nouvelles ressources humaines, quelque chose comme 300 à 400 structures privées de gestion avancée de l’énergie, chaque structure doit réaliser une économie de 100 MDh d’ici à 2030, soit 14 MDh/an de gains par an prouvés par la mesure et la vérification.
L’efficacité énergétique ne peut pas se faire toute seule, on ne peut pas l’installer et l’inaugurer comme les renouvelables, elle est très discrète, et il faut un énorme travail sur le terrain par des spécialistes compétents. Autre fait important, c’est la bonne volonté des banques pour financer les projets d’efficacité énergétique et énergie renouvelables, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas grand-chose à financer. Encore une fois, nous avions et nous avons tous les ingrédients pour réussir nos projets d’efficacité énergétique, hélas on ne mesure pas grand-chose sur le terrain.
🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 New Silky Road and Milky Way Within Africa 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍
Africa Needs to Build its Own Energy Road as the New Silky Road and Milky Way within and through its own territorial spaces including the borders of the needs of its own needs and the needs of each region in every country in Africa.
Morocco-Nigeria power Proposition by Said El Mansour Cherkaoui as a transfer, storage and transmission of solar powered generation to be developed to Supply all the Maritime Ports of Northwest African Countries.
Barter Moroccan Electricity for Nigerian Gas and Oil and Africa will be Regionally Synergistically Integrated Beyond the Sand Waves of Sahara Ocean.
North Africa to South of Africa and South of Africa to North Africa:
The Sahara is the New Frontier for Africa to Build New Chains of Value and New Supply Chains of New Intelligent Forms of Growth and Productive Expansion Responding to and for its Own People, the New Coming and Rising Young Generations.
🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍🌍🌍🌍AFRIQUE🌍🌍🌍🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍
🌍🌍🌍🌍🌍 Nouvelle Route de la Soie et Voie Lactée en Afrique 🌍🌍🌍🌍🌍
L’Afrique doit construire sa propre route de l’énergie en tant que nouvelle route de la soie et voie lactée dans et à travers ses propres espaces territoriaux, y compris les frontières des besoins de ses propres besoins et les besoins de chaque région dans chaque pays d’Afrique.
Proposition d’électricité Maroc-Nigéria par Said El Mansour Cherkaoui en tant que transfert, stockage et transmission de la production d’énergie solaire à développer pour approvisionner tous les ports maritimes des pays d’Afrique du Nord-Ouest.
Échangez de l’électricité marocaine contre du gaz et du pétrole nigérians et l’Afrique sera intégrée de manière synergique au niveau régional au-delà des vagues de sable de l’océan du Sahara.
Afrique du Nord vers Afrique du Sud et Afrique du Sud vers Afrique du Nord :
Le Sahara est la nouvelle frontière pour l’Afrique pour construire de nouvelles chaînes de valeur et de nouvelles chaînes d’approvisionnement de nouvelles formes intelligentes de croissance et d’expansion productive répondant à et pour son propre peuple, les nouvelles générations montantes et émergentes.
#électricité #maroc #électricité #solaire #afrique #pétrole #nigeria #gaz #maritime #côte #villes #afrique du nord #afrique de l’ouest
CULTIVATING CONVERSATIONS SEEDS TO GROW POVERTY FOR MOROCCAN PEOPLE AND INCREASE POLLUTION FOR MOROCCAN LANDS 1 – L’exemple de ce pays et le désert est un mauvais exemple d’un pays qui vole l’eau en puisant les nappes souterraines des pays voisins. Un peu tard pour supporter les Marocains Musulmans après toutes ces annees perdues dans …Lire la suite
Said El Mansour Cherkaoui – 24 July, 2022 The Fortune Teller Vision: Go Back to the Future with Progress without Future Go Baby over the line on the sand and seek sun heat to create an invisible energy steaming in the air and not in our homeland and homes Where is our money is where Lire la suite
Why, How and What are the International Parameters?
In the case of Morocco, a combination of factors are in constant interference and interaction and can be summarized in the following facts:
Expansion of urbanization,
Electrification of rural areas,
Attractiveness of foreign companies,
Military and national security needs,
Priorities of the State with regard to planning and regional budget allocations for the establishment of energy projects serving as a stage and stimulus for industrial production, regional development and job creation.
Thus, the cost of this energy must be taken into account so as not to constitute a brake on the growth of productivity at least parallel to the degree reached by the renewal of the energy mix.
This renewable energy mix distinguishes by 6 categories:
Renewable energy is energy that is collected from renewable resources that are naturally replenished on a human timescale. It includes sources such as sunlight, wind, rain, tides, waves, and geothermal heat.
No. 1 – Solar energy. …
N°2 – Wind energy origin of the wind. …
N°3 – Power hydraulics. …
No. 4 – Biomass. …
No. 5 – Geothermal energy. …
No. 6 – Maritime energy
What would be more instructive is to compare the means and infrastructures put in place by other countries with a similar need and objective as in Morocco, that of owning their own sources of electricity production. order renewables and even hybrids to be able to reduce greenhouse gas emissions to address the climate emergency and reduce the human and socio-economic cost of costly external supply.
“ The term energy mix refers to the distribution of the different primary energy sources in the final energy consumption of a given geographical area. Overall, this mix is 80% dominated by fossil fuels responsible for greenhouse gas (GHG) emissions. To reduce the effects of GHGs and effectively combat global warming and the scarcity of fossil resources, the current energy model must evolve towards an energy matrix favoring renewable energies (RE), such as water, wind, etc. or the sun, infinitely present in nature. »
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
It is not only a question of percentage or capacity for energy renewal, it is above all and after a question of energy independence from natural resources and therefore a question of strategic national interest which has an impact on all areas of Morocco’s economic, social and operational development.
Yes or No Hybridly Speaking in Indian Energy, could Morocco complete the production of 52% of its electricity by the mix of renewable energies in 2030!
In Western countries, technological advances have been made but they have not been able to achieve the primacy of renewable energies as an effective alternative to the needs and demands of energy and therefore have not currently been able to provide a solution to energy problems.
The main reason is that this Damocles sword whose greenhouse gases are the main reasons for global warming:
Cause n°1: Variations in the intensity of the sun. …
Cause n°2: industrial activity. …
Cause n°3: agricultural activity. …
Cause n°4: deforestation. …
Cause #5: Earth’s own feedback loop.
Potential future effects of global climate change include more frequent wildfires, longer dry spells in some regions, and an increase in the number, duration, and intensity of tropical storms.
Global climate change has already had observable effects on the environment. Glaciers have shrunk, the ice on rivers and lakes is breaking up earlier, the ranges of plants and animals have shifted, and trees are flowering earlier.
The effects that scientists predicted in the past would result from global climate change happening now: loss of sea ice, accelerated sea level rise, and longer and more intense heat waves.
These repercussions of the globalization of climate change alone impose innovations and adaptations of the instruments necessary to obtain a continual renewal of energy, and this in relation to past consumption as well as to future demand, and this in the framework of anticipating the energy needs of the country or those of the industrial units that consume the most electrical energy or the energy coming from fossil fuels.
The other main drawbacks are the fluctuation in the efficiency of renewable energy sources, which varies according to the installation area, the season and the vagaries of the weather. Thus, solar energy is distinguished by variations caused by the day-night cycle, periods of cloudiness or other physical obstacles that stand between the sun and the photovoltaic panels.
This first drawback is less problematic given the existence of hydroelectric power stations, thanks to the presence of dams that retain water which determine in advance the presence of a certain amount of water.
The second disadvantage is related to the initial investment required, which is high due to the cost of the material used.
France has set itself the goal of reaching 40% renewable energies in its energy mix (distribution of the various energy sources consumed) by 2030, compared to 20% currently.
“When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables…which cannot be achieved even with nuclear power plants. In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed power of 31.8% excluding step which are not renewable energies.
If in 2020, an installed power of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, the question arises, how 52% of the installed power will give 52% of the electricity mix?
A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!” Source: Dr Said GUEMRA
If we consider the figures put forward by the competent authorities, we could extrapolate that Morocco could therefore increase its energy autonomy in a reduplicative and double way, since this new yield extracted from a previous consumption favors cleaner industrial production with less of pollution thus favoring the development of a localized economy with its own energy sources.
The question arises as to the type of hybrid renewable energy sources used such as a photovoltaic system, a wind turbine, a hydraulic energy converter (hydroelectric power plants or use of waves) or a combination of these sources. An important criterion for the choice of the source used is the existing potential energy capacity and dependent on the geographical location of the installations of the hybrid system.
Another determining factor is the consumption of electricity supplied, the volume of which determines the need for additional regulated production, peripheral storage and/or a conventional source, etc. Despite its significant potential in this area, not only Morocco but the entire Middle East and North Africa region has only limited storage networks.
From the angle of development and technological innovation of the renewable means of production themselves, the optimization of their joint operation or even their coupling with other non-renewable energy sources can only favor hybrid systems in that option to the construction of modern electricity networks that includes economic, environmental and social benefits.
Connecting in its one-way and electrical way means electrically connecting our factories to green energies… Connecting also means that we will put cables for example between the Ouarzazate power plant and the industries of Casablanca, connecting also means cables between our dams and our industries in the North…..According to the Minister, Morocco will experience a revolution in electric cables, which will directly connect our factories to our renewable sources: should we understand something else?
As the father of the concept of the Moroccan law 13/09 whose origin was the Dalia project in Tangier 2006, I would like to clarify to the Minister of Industry that we do not need to “connect” our factories to a renewable source, it suffices to inject the renewables into the network to recover them hundreds of km further, via contractual terms, without any change: this is what I proposed in 2006 as part of the portfolio Moroccan CDM projects, and became law 13/09 in 2010.
And the second big point, is as I said in a previous post about you, the production of renewable power energies is done in High Voltage, while the industrial ones are in Medium Voltage, and your department is making the same mistake again than the 400 MW project which never saw the light of day because of this problem of laws, which block everything in Morocco….You see that our laws are so well done, to the point where even the Ministry of Industry, Ministry of Transition, Masen, have been unable to do anything to pass a 400 MW project…it’s blocked everywhere Minister, even the cables you are proposing are useless with the new decree of the Ministry of l inside.
And then you discussed renewable electricity at 0.5 Dh/kWh, when will it be effective? when ? have you discussed with ONEE?
I advise you to surround yourself with specialists who know these questions, in order to give the right answers that Moroccans expect, because so far we have not had any convincing answer, either from you or from the minister. of the energy transition, the main one concerned, and who does not seem to be very interested in the subject.
THE LATEST IPCC REPORT COMFORTS MOROCCO IN ITS 2009 ENERGY TRANSITION PLAN
Energy efficiency and renewable energies, which are four times more efficient than nuclear, against greenhouse gases.
There is really reason to be proud of this conclusion, and that on a plan of strategic choice, we are on the right track. Our roadmap, established by Her Majesty in 2009, has once again been validated. Nuclear would be much less on the agenda in our energy transition.
According to the CEO of ONEE, we know that the office is actively preparing for this transition, by multiplying connections with Europe, even connections with Arab countries, and above all by adopting gas, which remains a controllable energy, all to cope with the intermittency of renewables.
Gas being a transition energy.
Morocco is putting all the chances on its side in order to increase its renewable power, without worrying about the national network… we will have to increase!
While it is true that the achievements are not up to the initial expectations of 2009: with 12% energy savings not achieved between 2010 and 2020, i.e. a net loss of MAD 8 billion/year, and 20% renewables in our electricity mix in 2021, when we could have been at more than 30%, this value might be reached in 2030 if we install 850 to 1000 MW/year, which is far from being the case, the ONEE cannot achieve these powers alone, it can go from 200 to 300 MW/year, no more, and it will be imperative to open up medium and low voltage, to the private sector, and above all with new laws, which must allow the hatching of renewables in our country, contrary to the panoply of current laws, which erect all possible and imaginable barriers in the face of renewables.
Social energy must start somewhere, to help the poorest, a large number of programs on the ground must be imagined and executed.
To date, we have the best transition plan in the world, with the testimony of the IPCC, and which will have to be put to music as soon as possible.
ENERGY SOBRIETY: THE KEY WORD IN THE FIGHT AGAINST CLIMATE CHANGE.
Sobriety or energy efficiency, tackles the horizontal part of the kWh, namely time. How to make an energy supply equal to the energy need? The building can be air-conditioned 24 hours a day for an administrative presence of 8 hours a day. In industry, machines can produce 3 or 4 hours for a consumption of 10 or 12 hours.
The potential of sobriety is much greater, in a very large number of cases, than that of energy efficiency and renewable energies. With very little investment, we can reduce the consumption of a building, by simply adapting the energy supply to the needs: lighting, air conditioning, etc.
A building’s energy transition plan must begin with a merciless hunt for losses, with the support of the digitalization of energy, which allows us to know where we are in terms of adapting the offer. energy on demand. The first gains in energy sobriety, which can be very substantial, make it possible to finance energy efficiency projects, the balance of energy accounting makes it possible to finance on-site renewables, and if necessary, the complement would come from off-site renewables. site…to move towards zero carbon, or net zero in the event of compensation. ..and it is possible in a very large number of cases.
The translation of the energy transition plan initiated by His Majesty in 2009, based on PRIORITY energy efficiency and effectiveness on the GROUND must be done in four axes, which must be executed in order:
1- Energy efficiency
2- Energy efficiency
3- On-site renewables
4- Off-site renewables
If energy efficiency and energy efficiency yield, for example, 50% measurable savings, renewables will only concern the second half of the energy, ie a significant renewable investment cut in half. If we start with renewables, we will be dealing with 100% of the investment instead of 50%…it’s magic!
Decarbonization at respectable % 70/80% cannot come from renewables alone, the best solar achievements are between 15 and 20% of the decarbonation rate (which remains to be verified) limited for reasons of cost, or space… the significant rates do not can be reached only with the progress of axes 1 2 3 with investments with very high profitability, over 3 to 4 years.
Aiming for 100% as a decarbonation rate means that the Moroccan market must be opened up to off-site renewables, to provide the complement, which would be between 10 and 30%.
We have had an excellent energy transition plan since 2009, it is important for us to apply it. The payment of the carbon tax will not take place until 2026, which gives us time for an energy upgrade in accordance with the rules of the art.
To meditate !
Statement by the Moroccan Minister for Energy Transition and Sustainable Development , Leila Benali
Rabat – Morocco: Moroccan Minister for Energy Transition and Sustainable Development , Leila Benali said her country intends to produce more than 52% of its electricity from renewable sources before 2030.
This happened during a speech by the minister on Monday evening in the House of Representatives (the first chamber of parliament) when she answered questions from parliamentarians.
Benali explained that Morocco’s efforts to transform energy are part of raising its ambitions regarding its energy strategy, which mainly focuses on the development of new and renewable energy sources.
She pointed out that the country “currently has about 50 renewable energy projects in operation…The total capacity of these projects in operation reaches 3,950 megawatts”.
The World Economic Forum said in a report last April that Morocco ranked third in the Arab world after Qatar and the United Arab Emirates for promoting an efficient energy transition for the year 2021.
According to Benali, his ministry will strive to provide new investment opportunities, including programming more than 4,000 megawatts of additional capacity from renewable sources by 2025.
The pace is accelerating in Morocco to increase energy production from renewable sources, as part of its efforts to achieve climate change and carbon neutrality goals by 2050, and also to achieve sovereignty in the sector.
Morocco has yet to make a net-zero pledge, saying it wants to develop an implementation plan first.
In the meantime, the country is taking steps to take full advantage of its renewable resources and become a key partner to markets such as #Europe in the supply of green energy.
ℹ Those are leading messages from Leila Benali, PhD., moroccan Minister of Energy Transition and Sustainable Development, in an interview to Energy Intelligence on March 30.
🔴 Interview Headlines 🔹️Morocco aims to increase the share of #renewables to exceed 52% in the energy mix by 2030. It is also on track with its objective to reduce greenhouse gas emissions by 45.5%. These plans are part of the country’s strategy for low-carbon development by 2050.
🔹️“Despite the volatility in the market today, #gas remains a key pillar of our energy transition, as it is the obvious complement to renewables, but also because it is flexible and has low carbon content,” the minister said.
🔹️“Today we have roughly 1.5 gigawatts of wind and 1 GW of solar that are installed, and we have an additional 8 GW planned and on the verge of being developed between now and 2030,” Mrs Benali explained, adding that #Morocco’s natural capital will be #solar and #wind.
🔹️“There is a significant number of investors knocking on our door today to convert that potential [solar and wind] into either green #hydrogen or green ammonia,” the minister revealed.
🔹️“We want to make sure when it comes to future green technologies, the state doesn’t take the technological bet, as there are investors that are willing to take that bet as long as they have a sustainable regulatory framework to invest”, she added.
Rabat – Morocco: The Moroccan Energy Transition Minister, Leila Benali, said that her country intends to produce more than 52 percent of its electricity from renewable sources before 2030. This came during a speech by the Minister on Monday evening before the House of Representatives (the first chamber of Parliament) when she answered parliamentarians’ questions. Benali explained that Morocco’s efforts to transform energy come within the framework of raising its ambitions regarding its energy strategy, which is mainly focused on developing new and renewable energy sources. She stressed that the country “currently has about 50 renewable energy projects under exploitation, total projects under exploitation amounting to 3950 megawatts.” The World Economic Forum had said, in a report last April, that Morocco ranked third in the Arab world after Qatar and the UAE in promoting an effective energy transition for 2021. According to Benali, her ministry will work to provide new investment opportunities, most notably programming an additional capacity of more than 4,000 megawatts from renewable sources by 2025. The pace is accelerating in Morocco to increase energy production from renewable sources, as part of its efforts to achieve the goals of climate change and carbon neutrality by 2050 and also to achieve sovereignty in the sector
الرباط – الأناضول: قالت وزيرة الانتقال الطاقي المغربية, ليلى بنعلي, أن بلادها تعتزم إنتاج أكثر من 52 في المئة من طاقتها الكهربائية من مصادر متجددة قبل حلول 2030. جاء ذلك خلال كلمة للوزيرة مساء الاثنين أمام مجلس النواب (الغرفة الأولى من البرلمان) لدى جوابها عن أسئلة البرلمانيين. وأوضحت بنعلي أن جهود المغرب للتحول الطاقي تأتي في إطار رفع طموحاته بخوص إستراتيجية الطاقة, التي تتركز بالأساس على تطوير مصادر طاقة جديدة ومتجددة. وأكدت أن البلاد “تتوافر حاليا على حوالي 50 مشروعا للطاقة المتجدرة قيد الاستغلال المشاريع الإجمالية قيد الاستغلال تصل إلى 3950 ميغاواط”. كان “المنتدى الاقتصادي العالمي” قد قال, في تقرير له في أبريل / نيسان الماضي, إن المغرب حل في المرتبة الثالثة عربيا بعد قطر والإمارات في تعزيز التحول الفعال في مجال الطاقة, لعام 2021. وبحسب بنعلي, فإن وزارتها ستعمل على توفير فرص استثمارية جديدة, أبرزها برمجة قدرة إضافية تفوق 4000 ميغاواط من مصادر متجددة بحلول 2025. وتتسارع الخطى في المغرب لزيادة إنتاج الطاقة من المصادر المتجددة, ضمن مساعيه لتحقيق أهداف التغير المناخي والحياد الكربوني بحلول 2050 وأيضا لتحقيق السيادة في القطاع
Berlin Energy Transition Dialogue 22
Wondering if the Lightening and the Electrical power used for this large screen and during this Conference are all from Renewal Energies and Recyclable Products and Environmental Safe Materials
Moroccan Minister of Energy Transition and Sustainable Development Leila Benali, PhD., Nigerian Minister of Power, Abubakar Aliyu and Egyptian Deputy Minister Dr Ahmed Mohia are the high level participants at the #betd22
15th German-African Energy Forum “Turning Tables and Breaking Habits: Energy Transition through Africa’s lens” June 1st & 2nd, 2022 Live event in Hamburg, Germany (Panoramadeck of the Emporio Tower)
This year’s key topics: – Renewable Energy (solar for industry, transition of hydro, financing RE) – Hydrogen (cross-sector partnerships + consortia, framework, implementation) – Transition (gas-to-“value creation”, green(er) production, financing transition) – Infrastructure (grid, regional integration, logistics, stable supply etc.) – Innovation (green fuels, smart systems for transition etc.) – Finance & Framework (access, PPPs, regulatory framework in RE & energy supply) – Value addition (job creation, shift of supply and production, sustainability) – Community (networks & lobby’s, establishing successful consortia)
ANSWER from Dr Said Guemra
NO: 52% OF OUR ELECTRICITY WILL NOT BE RENEWABLE IN 2030!
I don’t know how many times I ask that the official communication be corrected about the share of renewables in the electricity mix.
When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables…which cannot be achieved even with nuclear power plants.
In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed power of 31.8% excluding step which are not renewable energies.
If in 2020, an installed power of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, the question arises, how 52% of the installed power will give 52% of the electricity mix?
A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!
We have every interest in expressing the real figures, so as not to undermine the planning of renewable projects, which are the basis of our energy transition, and above all of our climate commitments: where we cannot tell an international commission measuring and verifying that 52% of the installed power will give 52% of the renewable energy share in the mix….If it works in Morocco, it won’t work internationally!
Why, How and What are the International Parameters?
In the case of Morocco, a combination of factors are in constant interference and interaction and can be summarized in the following facts:
Expansion of urbanization,
Électrification rural areas,
Attractiveness of foreign companies,
Military and national security needs,
State priorities with regard to regional planning and budgetary allocations for the establishment of energy projects serving as a bearing and stimulating industrial production, regional development and job creation.
Thus, the cost of this energy must be taken into account so as not to constitute a brake on productivity growth at least parallel to the degree reached by the renewal of the energy mix.
This renewable energy mix is distinguished by 6 categories:
N ° 1 – Solar energy. …
N ° 2 – Wind energy originates from the wind. …
N ° 3 – Power hydraulics. …
N ° 4 – Biomass. …
N ° 5 – Geothermal energy. …
N ° 6 – Maritime energy
What would be more instructive is to compare the means and infrastructures put in place by other countries with a need and a similar objective as in Morocco, that of having their own sources of electricity production. renewable and even hybrid order to be able to reduce greenhouse gas emissions to respond to the climate emergency and reduce the human and socio-economic cost of expensive external supplies.
“The term energy mix refers to the distribution of the different primary energy sources in the final energy consumption of a given geographic area. Overall, this mixture is 80% dominated by fossil fuels responsible for greenhouse gas (GHG) emissions. To reduce the effects of GHGs and fight effectively against global warming and the scarcity of fossil resources, the current energy model must evolve towards an energy matrix favoring renewable energies (RE), such as water, wind, etc. or the sun, infinitely present in nature. “
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
Yes or No Hybridly Speaking of Indian Energy, could Morocco complete the production of 52% of its electricity by the mix of renewable energies in 2030!
It is not only a question of percentage or capacity of energy renewal, it is above all and after a question of energy independence from natural resources and therefore a question of strategic national interest that has an impact on all areas of economic, social and operational development of Morocco.
In Western countries, technological advances have been made but they have not been able to complete the primacy of renewable energies as an efficient alternative to the needs and demands of energy and therefore have not currently been able to provide a solution to energy problems. current.
The main reason is that this sword of Damocles that are the 5 causes of global warming, of which greenhouse gases are the main reasons for global warming:
Cause # 1: Variations in the intensity of the sun. …
Cause n ° 2: industrial activity. …
Cause n ° 3: agricultural activity. …
Cause n ° 4: deforestation. …
Cause # 5: Earth’s own feedback loop.
Potential future effects of global climate change include more frequent forest fires, longer droughts in some areas, and an increase in the number, duration and intensity of tropical storms.
Global climate change has already had observable effects on the environment. Glaciers have shrunk, ice on rivers and lakes is breaking earlier, ranges of plants and animals have shifted, and trees are flowering earlier.
The effects scientists predicted in the past would be the result of global climate change now occurring: loss of sea ice, accelerated sea level rise, and longer and more intense heat waves.
These repercussions of the globalization of climate change alone require innovations and adaptations of the instruments necessary to obtain a continual renewal of energy and this in relation to past consumption as well as to future demand and that in the framework of anticipating the energy needs of the country or those of the industrial units that consume the most electrical energy or that derived from fossils.
The other main drawbacks are the fluctuation in the efficiency of renewable energy sources, which varies depending on the area of installation, the season and the vagaries of the weather. Thus, solar energy is distinguished by variations caused by the day-night cycle, periods of cloudiness or other physical obstacles that stand between the sun and photovoltaic panels. This first drawback is less problematic given the existence of hydroelectric power stations, thanks to the presence of dams which retain water which determine in advance the presence of a certain quantity of water. The second disadvantage is related to the initial investment required, which is high due to the cost of the material used.
France has set itself the target of reaching 40% renewable energies in its energy mix (distribution of the different energy sources consumed) by 2030, compared to 20% currently.
Germany’s Energy Consumption and Production
Morocco Renewable Energy Projections 2030?
“When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables… which cannot be achieved even with nuclear power plants. In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed capacity of 31.8% excluding step which is not renewable energies.
If in 2020, an installed capacity of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, we ask ourselves the question, how 52% of the installed capacity will give 52% of the electricity mix?
A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh! ” Source: Dr Said GUEMRA
If we consider the figures put forward by the competent authorities, we could extrapolate that Morocco could therefore increase its energy autonomy in a reduplicative and double way, given that this new yield extracted from previous consumption favors cleaner industrial production with less. pollution thus promoting the development of a localized economy with its own energy sources.
The question arises as to the type of hybrid renewable energy sources used such as a photovoltaic system, a wind turbine, a hydraulic energy converter (hydroelectric plants or use of waves) or a combination of these sources. An important criterion for the choice of the source used is the existing potential energy capacity and depending on the geographical location of the installations of the hybrid system. Another determining factor is the consumption of electricity supplied, the volume of which determines the need for additional regulated production, peripheral storage and / or a conventional source, etc.
The expanding share of renewables, growth in power demand, and balancing supply and demand on a real-time basis necessitates the integration of modern, digitized energy storage solutions. Despite its significant potential in this area, not only Morocco but the entire Middle East and North Africa region has only limited storage networks.
From the point of view of development and technological innovations of the renewable means of production themselves, the optimization of their joint operation or even their coupling with other non-renewable energy sources can only favor hybrid systems in that option to the construction of modern electricity grids which includes economic, environmental and social benefits.
I do not know how many times that I ask that the official communication be corrected about the share of renewables in the electricity mix.
When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables… which cannot be achieved even with nuclear power plants.
In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed capacity of 31.8% excluding step which is not renewable energies.
If in 2020, an installed capacity of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, we ask ourselves the question, how 52% of the installed capacity will give 52% of the electricity mix?
A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!
We have every interest in expressing the real figures, so as not to undermine the planning of renewable projects, which are the basis of our energy transition, and especially of our climate commitments: where we cannot say to an international commission of measurement and verification that 52% of the installed capacity will give 52% of the share of renewable energies in the mix… .If it goes to Morocco, it will not go internationally!
Dr Said GUEMRA • 1st Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc
LE TEMPS DES UNS ET LE TEMPS DES AUTRES.
Une tournée chez amis industriels, à montré l’ampleur de la crise actuelle surtout sur le volet énergie, avec le Fioul 2 a 9100 Dh/T, soit le double de sa valeur d’il y’a deux mois, et le Propane qui a dépassé la barre des 14000 Dh/Tonne.
Un grand nombre de ces industriels sont dans l’impossibilité de répercuter cette hausse, autrement les commandes s’annulent. L’un d’entre eux avec une hausse mensuelle de 700 000 Dh, est tout simplement disposé à arrêter son activité, avec plus de 200 personnes…et personne ne voit le bout du tunnel.
La hausse du prix du charbon se répercutera obligatoirement sur le prix du kWh industriel, d’où une perte de compétitivité de nos entreprises, dont certaines vont malheureusement arrêter leur activité. Si la guerre tourne plus mal que maintenant, certains prévoient un baril à 500 $, quelle va être la solution ?
Pour l’énergie électrique, la majorité de nos industries n’ont aucune chance de disposer des renouvelables sur site ou hors site, les deux possibilités sont verrouillées par deux lois et un arrêté, la chance des renouvelables compétitives et a coût fixe sur 15/20 ans offertes par plusieurs pays, n’est pas offerte à nos entreprises dont certaines vont subir de plein fouet, la taxe carbone dans quelques mois, en plus des coûts actuels des hydrocarbures.
Nous allons purement et simplement sacrifier un grand nombre de nos industries pour faire plaisir aux distributeurs !
A entendre certains membres de notre gouvernement, et autres officiels très bien formés aux techniques de communication, on dirait que tout va pour le meilleur des mondes. Aucune communication sur la situation actuelle, encore moins des mesures pour baisser l’impact de la facture énergétique sur nos entreprises.
Ce gouvernement qu’on ne mérite pas, vit dans un autre temps qui n’est pas le notre…c’est le temps des uns et le temps des autres.
Debate on Electricity in Morocco ! Mise a jour, 9 / Avril / 2022 Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux? Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs sont en constante interférence et interaction et peut être résumée dans les faits suivants: Expansion de l’urbanisation, Électrification des zones rurales, Attractivité des compagnies étrangères, Besoins militaires … Lire la suite
Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux?
Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs sont en constante interférence et interaction et peut être résumée dans les faits suivants:
Expansion de l’urbanisation,
Électrification des zones rurales,
Attractivité des compagnies étrangères,
Besoins militaires et de sécurité nationale,
Priorités de l’Etat en ce qui concerne la planification et les allocations budgétaires régionales pour l’implantation de projets énergétiques servant de palier et de stimulant à la production industrielle, au développement régional et à la création de l’emploi.
Ainsi, le coût de cette énergie est à tenir en compte pour ne point constituer un frein à la croissance de la productivité au moins parallèle au degré atteint par le renouvellement de l’énergie mix.
Ce mix de l’énergie renouvelable se distingue par 6 catégories:
L’énergie renouvelable est l’énergie qui est collectée à partir de ressources renouvelables qui se reconstituent naturellement à l’échelle du temps humain. L’énergie renouvelable se compose des sources telles que la lumière du soleil, le vent, la pluie, les marées, les vagues et la chaleur géothermique.
N°1 – Énergie solaire. …
N°2 – Énergie éolienne origine du vent. …
N°3 – Hydraulique de puissance. …
N°4 – La biomasse. …
N°5 – Énergie maritime. …
N°6 – Énergie géothermique.
Ce qui serait plus instructif, c’est de comparer les moyens et les infrastructures mis en place par d’autres pays ayant un besoin et un objectif similaire qu’au Maroc, celui de posséder leurs propres sources de la production d’électricité d’ordre renouvelables et même hybrides pour pouvoir réduire les émissions de gaz à effet de serre pour répondre à l’urgence climatique et réduire le coût humain et socio-économique de l’approvisionnement coûteux extérieur.
“Le terme mix énergétique fait référence à la répartition des différentes sources d’énergie primaire dans la consommation énergétique finale d’une zone géographique donnée. Globalement, ce mélange est dominé à 80 % par les énergies fossiles responsables des émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour réduire les effets des GES et lutter efficacement contre le réchauffement climatique et la raréfaction des ressources fossiles, le modèle énergétique actuel doit évoluer vers une matrice énergétique privilégiant les énergies renouvelables (ER), comme l’eau, le vent, etc. ou le soleil, infiniment présent dans la nature.”
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
Oui ou Non Hybridement Parlant en Energie Indienne, est ce que le Maroc pourrait compléter la production de 52% de son électricité par le mix des énergies renouvelables en 2030 !
Ce n’est pas seulement une question de pourcentage ou de capacité de renouvellement d’énergie, c’est avant tout et après une question d’indépendance énergétique à partir de ressources naturelles et donc une question d’intérêt national stratégique qui a un impact sur tous les domaines du développement économique, social et opérationnel du Maroc.
Dans les pays occidentaux, des avancées technologiques ont été réalisées mais ils n’ont pu achever la primauté des énergies renouvelables en tant qu’alternative efficace face aux besoins et demandes d’énergie et donc n’ont pu actuellement fournir une solution aux problèmes énergétiques actuels.
La raison principale est que cette épée de Damoclès dont les gaz à effet de serre sont les principales raisons du réchauffement climatique:
Cause n°1 : Variations de l’intensité du soleil. …
Cause n°2 : activité industrielle. …
Cause n°3 : activité agricole. …
Cause n°4 : la déforestation. …
Cause n°5 : La propre boucle de rétroaction de la Terre.
Les effets potentiels futurs du changement climatique mondial comprennent des incendies de forêt plus fréquents, des périodes de sécheresse plus longues dans certaines régions et une augmentation du nombre, de la durée et de l’intensité des tempêtes tropicales.
Le changement climatique mondial a déjà eu des effets observables sur l’environnement. Les glaciers ont rétréci, la glace sur les rivières et les lacs se brise plus tôt, les aires de répartition des plantes et des animaux se sont déplacées et les arbres fleurissent plus tôt.
Les effets que les scientifiques avaient prédits dans le passé résulteraient du changement climatique mondial se produisant maintenant : perte de glace de mer, élévation accélérée du niveau de la mer et vagues de chaleur plus longues et plus intenses.
Ces répercussions de la globalisation du changement climatique imposent à elles-seules des innovations et des adaptations des instruments nécessaires à l’obtention d’un continuel renouvellement de l’énergie et ceci par rapport à la consommation passée comme à la demande future et cela dans le cadre d’anticiper les besoins énergétiques du pays ou ceux des unités industrielles les plus consommatrices de l’énergie électrique ou celle provenant des fossiles.
Les autres principaux inconvénients sont la fluctuation de l’efficacité des sources d’énergie renouvelables, qui varie en fonction de la zone d’installation, de la saison et des aléas climatiques. Ainsi, l’énergie solaire se distingue par des variations causées par le cycle jour-nuit, les périodes de nébulosité ou d’autres obstacles physiques qui se dressent entre le soleil et les panneaux photovoltaïques. Ce premier inconvénient est moins problématique vu l’existence de centrales hydroélectriques, grâce à la présence de barrages qui retiennent l’eau qui déterminent à l’avance la présence d’une certaine quantité d’eau. Le deuxième inconvénient est lié à l’investissement initial requis, qui est élevé en raison du coût du matériel utilisé.
La France s’est fixé pour objectif d’atteindre 40 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique (répartition des différentes sources d’énergie consommées) d’ici 2030, contre 20 % actuellement.
“Quand nous affirmons que 52% de notre électricité sera renouvelable en 2030, cela veut dire que sur 100 kWh consommés par les marocains, 52 kWh seront renouvelables.
Dans la logique officielle, installer 52% d’une puissance revient à avoir 52% de l’électricité en renouvelables…ce qui ne peut être atteint même avec des centrales nucléaires. En 2020, la part des renouvelables a été de 17.8% du mix électrique, pour une puissance installée de 31.8% hors step qui ne sont pas des énergies renouvelables.
Si en 2020, une puissance installée de 31.8% ne donne que 17.8% dans le mix électrique, on se pose la question, comment 52% de la puissance installée va donner 52% du mix électrique ?
Une simple projection linéaire montre que si on installe 52% de notre puissance en renouvelables, cela va représenter 31% de notre électricité qui sera renouvelable, 31 kWh sur 100 kWh consommés par les marocains seront renouvelables, et non 52 kWh !” Source: Dr Said GUEMRA
Si on considère les chiffres avancés par les autorités compétentes, on pourrait extrapoler que le Maroc pourrait donc accroître son autonomie en énergie d’une façon réduplicative et double vu que ce nouveau rendement extrait d’une consommation précédente favorise la production industrielle plus propre avec moins de pollution ce qui contribue ainsi au développement d’une économie localisée avec ses propres sources d’énergie.
La question se pose quant au type de sources d’énergies renouvelables hybrides utilisées telles qu’un système photovoltaïque, une éolienne, un convertisseur d’énergie hydraulique (centrales hydroélectriques ou utilisation des vagues) ou une combinaison de ces sources. Un critère important pour le choix de la source utilisée est la capacité énergétique potentielle existante et dépendante de l’emplacement géographique des installations du système hybride. Un autre facteur déterminant est la consommation d’électricité fournie, dont le volume détermine le besoin de production régulée supplémentaire, de stockage périphérique et/ou d’une source conventionnelle, etc. Malgré son potentiel important dans ce domaine, non seulement le Maroc mais toute la région du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ne disposent que de réseaux de stockage limités.
Sous l’angle de développement et d’innovations technologiques des moyens de production renouvelables eux-mêmes, l’optimisation de leur fonctionnement conjoint voire leur couplage avec d’autres sources d’énergies non renouvelables ne peut que favoriser les systèmes hybrides en tant qu’option à la construction de réseaux électriques modernes qui comprend des avantages économiques, environnementaux et sociaux.
Brancher dans son sens unique et électrique, veut dire relier électriquement nos usines aux énergies vertes … Brancher veut aussi dire qu’on va mettre des câbles par exemple entre la centrale Ouarzazate et les industries de Casablanca, brancher veut aussi dire des câbles entre nos barrages et nos industries du Nord…..
Le Maroc selon le ministre va connaître une révolution de câbles électriques, qui vont brancher directement nos usines à nos sources renouvelables: devons nous comprendre autre chose ?
En tant que père du concept de la loi marocaine 13/09 dont l’origine était le projet Dalia à Tanger 2006, je tiens à préciser à Monsieur le ministre de l’industrie que nous n’avons pas besoin de “brancher” nos usines à une source renouvelable, il suffit d’injecter les renouvelables dans le réseau pour les récupérer des centaines de Km plus loin, via des modalités contractuelles, sans aucun changement: c’est ce que j’avais proposé en 2006 dans le cadre du portefeuille des projets MDP du Maroc, et devenu loi 13/09 en 2010.
Et le deuxième grand point, est comme je l’ai dit dans un post précédent à votre sujet, la production des énergies renouvelables de puissance se fait en Haute tension, alors que les industriels sont en moyenne tension, et votre département refait la même erreur que le projet des 400 MW qui n’a jamais vu le jours à cause de ce problème de lois, qui bloquent tout au Maroc….Vous voyez que nos lois sont tellement bien faites, au point ou même le ministère de l’industrie, ministère de la transition, Masen, n’ont rien pu faire pour faire passer un projet de 400 MW…c’est bloqué de partout M le Ministre, même les câbles que vous proposez ne servent à rien avec le nouvel arrêté du ministère de l’intérieur.
Et puis vous avez discuté d’une électricité renouvelable à 0.5 Dh/kWh, quand est ce qu’elle sera effective ? à quelle date ? avez vous discuté avec ONEE ?
Je vous conseille de vous entourer de spécialistes qui connaissent ces questions, afin de donner les bonnes réponses que les marocains attendent, car jusqu’à présent nous n’avons aucune réponse convaincante, que ce soit de votre part, ou de celui de la ministre de la transition énergétique, principale concernée, et qui ne semble pas être très intéressée par le sujet.
LE DERNIER RAPPORT DU GIEC RÉCONFORTE LE MAROC DANS SON PLAN DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE DE 2009.
Le GIEC arrive cette semaine à la conclusion qui n’est autre que le plan de transition marocain instauré par Sa Majesté en 2009: il faut impérativement investir dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, qui sont quatre fois plus efficaces que le nucléaire, contre les gaz à effet de serre.
Il y’a vraiment de quoi être fier de cette conclusion, et que sur un plan de choix stratégique, nous sommes sur la bonne voie. Notre feuille de route, instaurée par Sa Majesté en 2009 est encore une fois validée. Le nucléaire serait beaucoup moins à l’ordre, du jour dans notre transition énergétique.
D’après le DG de ONEE, on sait que l’office se prépare activement à cette transition, en multipliant les connexions avec l’Europe, voire des connexions avec les pays arabes, et surtout en adoptant le gaz qui reste une énergie pilotable, le tout pour faire face à l’intermittence des renouvelables.
Le gaz étant une énergie de transition.
Le Maroc se met toutes les chances de son côté afin de monter en puissance renouvelables, sans souci pour le réseau national…il va falloir monter !
S’il est vrai que les réalisations ne sont pas à la hauteur des attentes initiales de 2009: avec 12% d’économie d’énergie non réalisée entre 2010 et 2020, soit une perte sèche de 8 MMDh/an, et 20% de renouvelables dans notre mix électrique en 2021, alors que nous aurions pu être à plus de 30%, cette valeur serait peut être atteinte en 2030 si on installe 850 à 1000 MW/an, ce qui est loin d’être le cas, l’ONEE ne peut pas réaliser ces puissances seul, il peut avancer de 200 à 300 MW/an, sans plus, et il va falloir impérativement ouvrir la moyenne et la basse tension, au privé, et surtout avec de nouvelles lois, qui doivent permettre l’éclosion des renouvelables chez nous, contrairement à la panoplie de lois actuelles, qui dressent toutes les barrières possibles et imaginables, en face de renouvelables.
L’énergie sociale doit commencer quelque part, pour venir en aide aux plus démunis, un grand nombre de programmes sur le terrain doivent imaginés et exécutés.
A ce jour, nous disposons du meilleur plan de transition au monde, avec le témoignage du GIEC, et qu’il va falloir mettre en musique dans les meilleurs délais.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade.
LA SOBRIÉTÉ ÉNERGÉTIQUE: LE MAÎTRE MOT DE LA LUTTE CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
La sobriété ou l’efficience énergétique, s’attaque à la partie horizontale du kWh à savoir le temps. Comment faire pour rendre une offre énergétique, égale au besoin énergétique ? Dans le bâtiment on peut climatiser 24h/24h pour une présence administrative de 8h par jour. Dans l’industrie, des machines peuvent produire 3 ou 4 heures pour une consommation de 10 ou 12h.
Le potentiel de la sobriété est nettement plus important, dans un très grand nombre de cas, que celui de l’efficacité énergétique, et les énergies renouvelables. Avec très peu d’investissement, on peut réduire la consommation d’un bâtiment, par simple adaptation de l’offre énergétique aux besoins: éclairage, climatisation…
Le plan de transition énergétique d’un bâtiment doit commencer par une chasse sans merci des pertes, avec l’appui de la digitalisation de l’énergie, qui nous permet de savoir où en sommes nous, en matière d’adaptation de l’offre énergétique à la demande. Les premiers gains de la sobriété énergétique, qui peuvent être très conséquents, permettent de financer les projets d’efficacité énergétique, le solde de la comptabilité énergétique permet de financer les renouvelables sur site, et en cas de besoin, le complément viendrait des renouvelables hors site…pour aller vers le zéro carbone, ou le net zéro en cas de compensation. ..et c’est possible dans un très grand nombre de cas.
La traduction du plan de transition énergétique initié par Sa Majesté en 2009, basée sur l’efficacité et efficience énergétique PRIORITAIRES sur le TERRAIN doit se faire en quatre axes, qui doivent être exécutés dans l’ordre:
1- Efficience énergétique 2- Efficacité énergétique 3- Renouvelables sur site 4- Renouvelables hors site
Si l’efficience énergétique et l’efficacité énergétique rapportent par exemple 50% d’économie mesurable, les renouvelables ne vont concerner que la seconde moitié de l’énergie, soit un important investissement renouvelable coupé en deux. Si on commence par les renouvelables on aura affaire à 100% de l’investissement au lieu de 50%…c’est magique !
La decarbonation à des % respectables 70/80% ne peut provenir des renouvelables seules, les meilleurs réalisations solaires sont entre 15 et 20% du taux de decarbonation (qui reste à vérifier) limités pour raison de coût, ou espace…les taux importants ne peuvent être atteins qu’avec le déroulement des axes 1 2 3 avec des investissements à très forte rentabilité, sur 3 à 4 ans.
Tendre vers 100% comme taux de decarbonation, veut dire qu’il faut ouvrir le marché marocain aux renouvelables hors site, pour apporter le complément qui serait entre 10 et 30%.
Nous disposons d’un excellent plan de transition énergétique depuis 2009, il nous importe de l’appliquer. Le payement de la taxe carbone n’interviendra qu’en 2026, ce qui nous laisse le temps pour une mise à niveau énergétique dans les règles de l’art.
A méditer !
Déclaration de Madame La Ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali
Rabat – Maroc:
La Ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali a déclaré que le Maroc avait l’intention de produire plus de 52% de son électricité à partir de sources renouvelables avant 2030.
Cela s’est produit lors d’un discours de la ministre lundi soir devant la Chambre des représentants (la première chambre du Parlement) lorsqu’elle a répondu aux questions des parlementaires.
Benali a expliqué que les efforts du Maroc pour transformer l’énergie s’inscrivent dans le cadre de l’élévation de ses ambitions concernant sa stratégie énergétique, qui se concentre principalement sur le développement de sources d’énergie nouvelles et renouvelables.
Elle a souligné que le Maroc « compte actuellement une cinquantaine de projets d’énergies renouvelables en exploitation… La capacité totale de ces projets en exploitation atteint 3 950 mégawatts ».
Le Forum économique mondial avait déclaré, dans un rapport d’avril dernier, que le Maroc se classait au troisième rang du monde arabe après le Qatar et les Émirats arabes unis pour la promotion d’une transition énergétique efficace pour l’année 2021.
Selon Madame Benali, son ministère s’efforcera d’offrir de nouvelles opportunités d’investissement, notamment en programmant une capacité supplémentaire de plus de 4 000 mégawatts à partir de sources renouvelables d’ici 2025.
Le rythme s’accélère au Maroc pour augmenter la production d’énergie à partir de sources renouvelables, dans le cadre de ses efforts pour atteindre les objectifs de changement climatique et de neutralité carbone d’ici 2050, et également pour se réaliser une souveraineté dans ce secteur.
الرباط – الأناضول: قالت وزيرة الانتقال الطاقي المغربية، ليلى بنعلي، أن بلادها تعتزم إنتاج أكثر من 52 في المئة من طاقتها الكهربائية من مصادر متجددة قبل حلول 2030.
جاء ذلك خلال كلمة للوزيرة مساء الاثنين أمام مجلس النواب (الغرفة الأولى من البرلمان) لدى جوابها عن أسئلة البرلمانيين.
وأوضحت بنعلي أن جهود المغرب للتحول الطاقي تأتي في إطار رفع طموحاته بخصوص إستراتيجية الطاقة، التي تتركز بالأساس على تطوير مصادر طاقة جديدة ومتجددة.
وأكدت أن البلاد “تتوافر حالياً على حوالي 50 مشروعاً للطاقة المتجددة قيد الاستغلال.. قدرة هذه المشاريع الإجمالية قيد الاستغلال تصل إلى 3950 ميغاواط”.
كان “المنتدى الاقتصادي العالمي” قد قال، في تقرير له في أبريل/نيسان الماضي، إن المغرب حل في المرتبة الثالثة عربياً بعد قطر والإمارات في تعزيز التحول الفعال في مجال الطاقة، لعام 2021.
وبحسب بنعلي، فإن وزارتها ستعمل على توفير فرص استثمارية جديدة، أبرزها برمجة قدرة إضافية تفوق 4000 ميغاواط من مصادر متجددة بحلول 2025.
وتتسارع الخطى في المغرب لزيادة إنتاج الطاقة من المصادر المتجددة، ضمن مساعيه لتحقيق أهداف التغير المناخي والحياد الكربوني بحلول 2050، وأيضا لتحقيق السيادة في القطاع.
RÉPONSE de Dr Said Guemra
NON: 52% DE NOTRE ÉLECTRICITÉ NE SERA PAS RENOUVELABLE EN 2030 !
Je ne sais pas combien de fois, que je demande à ce que la communication officielle soit corrigée au sujet de la part des renouvelables dans le mix électrique.
Quand nous affirmons que 52% de notre électricité sera renouvelable en 2030, cela veut dire que sur 100 kWh consommés par les marocains, 52 kWh seront renouvelables.
Dans la logique officielle, installer 52% d’une puissance revient à avoir 52% de l’électricité en renouvelables…ce qui ne peut être atteint même avec des centrales nucléaires.
En 2020, la part des renouvelables a été de 17.8% du mix électrique, pour une puissance installée de 31.8% hors step qui ne sont pas des énergies renouvelables.
Si en 2020, une puissance installée de 31.8% ne donne que 17.8% dans le mix électrique, on se pose la question, comment 52% de la puissance installée va donner 52% du mix électrique ?
Une simple projection linéaire montre que si on installe 52% de notre puissance en renouvelables, cela va représenter 31% de notre électricité qui sera renouvelable, 31 kWh sur 100 kWh consommés par les marocains seront renouvelables, et non 52 kWh !
Nous avons tout intérêt à exprimer les véritables chiffres, afin de ne pas porter atteinte à la planification des projets renouvelables, qui sont à la base de notre transition énergétique, et surtout de nos engagements climatiques: la ou on ne peut dire à une commission internationale de mesure et de vérification que 52% de la puissance installée va donner 52% de la part des EnR dans le mix….Si ça passe au Maroc, ca ne passera pas à l’international !
CROISSANCE DE L’ENERGIE RENOUVELABLE AU MAROC ET RENAISSANCE DE LA HONTE ET DU MENSONGE
Dans le cas de ce que Dr Said GUEMRA dénonce, ce mensonge plein d’énergie fictive dépasse les limites de l’entendement et les frontières internationales du self-respect.
Je vous laisse apprécier la portée nationale et internationale d’un tel acte incongru et contraire aux normes protocolaires dont Dr Said GUEMRA en tire les conclusions adéquates et contrevenantes.
Il est vrai que je ne comprends pas les raisons de ce mensonge. Nous sommes passé d’un mensonge de 37% de renouvelables dans notre mix électrique, à 45% de même mensonge. Ca veut aussi dire que nous seront à 100% d’énergie renouvelable dans notre mix électrique dans quelques mois. Le mensonge gouvernemental est gratuit, pourquoi s’en priver ?
Définition : les exportations hors hydrocarbures peuvent être définies comme des exportations dont le prix de vente n’est pas corrélé avec celui des hydrocarbures.
Comme on peut le constater sur le tableau ci-après, les recettes en $US des 4 premiers produits (pétrole, gaz et dérivés d’hydrocarbures) ont fortement augmenté en 2022 (+70 % en moyenne). En 2023, suite à la forte baisse du prix du Gaz, les exportations ont chuté de plus de 40 %.
Il en résulte donc que le montant des exportations hors hydrocarbures (non corrélées aux prix des hydrocarbures) est compris entre 2 et 3 milliards $US par an, environ 5 % du total des exportations.
En plus d’être très faibles par rapport au montant total, les exportations hors hydrocarbures, sont très peu diversifiées. Les 2 premières rubriques : fer, l’acier et ciment représentent 70% du total (environ 1.7 milliards $ US). Le solde (fruits, poissons…etc) totalise à peine 900 millions $US.
Conclusion : Les exportations hors hydrocarbures continuent de représenter une faible part du total des exportations DZ (5 %). Se fixer un objectif de 6 à 7 milliards $ d’ici 2030 (10 % du total), serait plus conforme avec la réalité :).
Dr. Said El Mansour Cherkaoui préconises c’est que l’économie Algérienne [et autres économies africaines nécessitant une diversification des fondations économiques nationales] a besoin d’identifier des créneaux porteurs ayant un rôle de moteur et de locomotive des opérations et des productions à grande valeur ajoutée pouvant servir de clés pour l’ouverture du Marché Africain et des pays africains avec lesquels l’Algérie a signé des accords de libre-échange.
Des centres/hubs régionaux spécialisés dans ces productions devraient être situés et localisés à travers une complémentarité synergique et créative en aval et en amont afin de consolider l’approvisionnement local et régional et créer une nouvelle répartition des ressources humaines et des investissement doublée d’une implémentation d’une logistique de transport et de transfert des capacités productives.
Des allocations budgétaires devraient prioriser l’accroissement de la productivité, de la croissance de l’emploi et l’intégration de composantes produites localement, régionalement et nationalement dans la fabrication des produits et l’offre d’activités résultantes de cette stratégie d’émergence de créneaux à haute valeur ajoutée et destinée à l’exportation.
Cette diversification innovante portée par des solutions adaptables servira aussi d’attrait sélectif des investissement étrangers.
Mes propositions sont dirigées pour les Economies de l’Afrique, en premier les structures productives des pays du Maghreb et de l’Afrique du Nord Saharienne.
R réflexion approfondie et pragmatique de Dr. Said El Mansour Cherkaoui conduite a travers une analyse mettant en lumière des éléments essentiels pour le développement économique de l’Algérie et d’autres pays en transition comme le Maroc et du reste de l’Afrique dont voici le résumé et quelques points supplémentaires :
Identification des Créneaux Porteurs – Créneaux Porteurs et Spécialisation – Centres/Hubs Régionaux:
La mise en place de centres régionaux spécialisés en tant que hubs devraient être conçus pour encourager la collaboration, la recherche et le développement, et la formation.
L’Algérie doit identifier des secteurs porteurs où il peut exceller. Cela pourrait inclure l’industrie automobile, les énergies renouvelables, l’agroalimentaire, la technologie, et les services financiers.
Ces créneaux devraient être alignés avec les avantages comparatifs du pays, sa main-d’œuvre qualifiée et ses ressources naturelles.
Identifier des créneaux porteurs est crucial. L’Algérie devrait se concentrer sur des secteurs où il peut exceller et qui ont un potentiel d’exportation.
La spécialisation intelligente, basée sur les avantages comparatifs et les compétences locales, permettra de maximiser la valeur ajoutée.
La mise en place de centres régionaux spécialisés permettrait de concentrer les compétences et les infrastructures nécessaires. Ces hubs pourraient faciliter la collaboration entre les entreprises, la recherche et le développement, et la formation de la main-d’œuvre dans le sens de la mise en place de plans variables, régionaux mais de portée nationale a travers une synergie développementale répondant non seulement aux besoins locaux mais aussi périphériques, adjacentes au niveau des secteurs économiques, des productions industrielles. La complémentarité entre ces hubs (par exemple, un hub textile et un hub technologique) renforcerait l’écosystème industriel.
Comme participation a la politique nationale de développement économique, une régionalisation des responsabilités opérationnelles et productives sont ainsi centrée sur la demande intérieure, la consolidation du marché intérieur et régional et la stimulation de la consommation a travers une politique salariale appropriée, une maîtrise de l’inflation, un contrôle des taux d’intérêt des crédits, le conditionnement des capitaux vers des économies d’échelles intégrées telle que l’agriculture, la technologie de pointe soutenu par la mise en place d’un système éducatif et de santé allié a l’encouragement des entreprises investissant dans ces secteurs prioritaires. Cette complémentarité entre les régions (par exemple, une région axée sur l’agroalimentaire et une autre sur les énergies renouvelables) renforcera la chaîne de valeur.
Investissements dans la Productivité: Investissements Ciblés – Attractivité des Investissements Étrangers:
Les allocations budgétaires devraient cibler l’amélioration de la productivité. Cela implique des investissements dans la formation, la recherche, l’innovation et l’infrastructure.
L’intégration verticale (de la matière première au produit fini) est essentielle pour maximiser la valeur ajoutée.
Les allocations budgétaires devraient être stratégiques. Investir dans la productivité, la formation de la main-d’œuvre et la recherche-développement est essentiel.
L’intégration verticale et horizontale (de la matière première à la commercialisation) favorisera la compétitivité.
L’Algérie doit créer un environnement favorable aux investissements étrangers. Cela passe par la stabilité politique, la transparence, la protection des droits de propriété intellectuelle et des incitations fiscales.
Les partenariats public-privé peuvent également attirer des investisseurs internationaux.
L’Algérie doit créer un environnement favorable aux investisseurs étrangers. Cela passe par la stabilité politique, la transparence et des incitations ciblées.
La promotion active des opportunités d’investissement et la mise en avant des avantages locaux sont essentielles.
Défis et Opportunités – Défis et Obstacles:
Résilience et Adaptabilité : L’Algérie doit anticiper les changements mondiaux (technologiques, climatiques, géopolitiques) et s’adapter rapidement.
Partenariats Internationaux : Collaborer avec d’autres pays de l’Afrique du Nord Saharien et Sub-Saharien africains en biais a un renforcement des accords commerciaux bilatéraux et inter-africains est essentiel pour accéder à de nouveaux marchés et surtout établir des relations d’échange au niveau des productions régionales et nationales pour créer une communauté d’intérêt interchangeables, synergiques et inter-complémentaires facilitant le contrôle des ressources naturelles et humaines, les coûts, la qualité et la productivité tout en Etant des pourvoyeurs des politiques d’emploi et de créations d’entreprise financées par les pays concernés. Ces alliances et partenariats stratégiques ciblées favorisent aussi le renforcement de la compétitivité des pays participants au niveau du marché international.
Innovation et Formation : Investir dans l’éducation, la formation professionnelle et la recherche-développement est un levier majeur.
Coordination et Gouvernance : Coordonner les efforts entre les ministères, les entreprises et les institutions est crucial. Une gouvernance efficace est nécessaire pour éviter les doublons et les conflits d’intérêts.
Résistance au Changement : Les acteurs économiques doivent accepter et s’adapter aux nouvelles orientations. Cela peut être difficile, surtout dans des secteurs traditionnels.
Financement et Risque : Trouver des financements pour les projets innovants et gérer les risques associés à l’investissement sont des défis permanents.
La voie vers une économie diversifiée et compétitive implique des choix stratégiques, une vision à long terme et une collaboration active entre tous les acteurs.
Actuellement le Café provient de la premiere graine que l’on appele Arabica, cela fut trangéré selon le climat des pays d’Afrique, de l’Amérique Latine et d’Asie
Le café appartient à la vaste famille des Rubiaceae. Celle-ci comprend plus de 10 000 espèces de plantes à fleurs, dont le gardénia, le quinquina et le caféier. Le groupe botanique qui s’y réfère porte le nom de Coffea. Plus de 100 espèces de café composent le groupe Coffea, même si la plupart d’entre elles ne sont pas comestibles. Seules quelques espèces nous font profiter de leurs arômes : le Coffea arabica, le Coffea canephora, le Coffea libericaet le Coffea excelsa. Néanmoins, l’immense majorité des cafés en grain proviennent des deux premières espèces.
C’est au sein de ces quatre espèces que se classent des variétés comestibles de café. Une multitude de variétés de cafés provient de l’espèce Coffea arabica — bourbon, blue mountain, tarrazu, pacamara, etc. Celles-ci descendent toutes de la plus ancienne variété d’arabica : le typica. L’espèce Coffea canephora contient également quelques variétés comestibles, dont la variété robusta. L’origine de certaines variétés reconnues et recherchées résulte d’hybridations, soit le croisement contrôlé de deux variétés.
Coffea arabica. Ce caféier trouve son origine en Afrique de l’Est, plus précisément en Éthiopie. Puis, la plante a été propagée au Kenya, au Soudan, au Yémen, dans la péninsule arabique et dans toutes les régions tropicales du monde. Très tôt, les Arabes ont remarqué les propriétés de cette espèce de café, notamment en matière d’amélioration de la concentration. Jusqu’en 1865, Coffea arabicademeure la seule espèce de café cultivée. En 2021, l’arabica représente 70 % de la production mondiale de café.
Café Bourbon Fort: Le café est actuellement issu de la première graine appelée Arabica, qui était étrangère selon le climat des pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie.
Le café appartient à la grande famille des Rubiacées. Celle-ci regroupe plus de 10 000 espèces de plantes à fleurs, dont le gardénia, le quinquina et le café. Le groupe botanique qui lui fait référence s’appelle Coffea. Plus de 100 espèces de café composent le groupe Coffea, bien que la plupart d’entre elles ne soient pas comestibles. Seules quelques espèces nous permettent de profiter de leurs arômes : Coffea arabica, Coffea canephora, Coffea liberica et Coffea excelsa. Cependant, la grande majorité des grains de café proviennent des deux premières espèces.
C’est au sein de ces quatre espèces que sont classées les variétés comestibles de café. Une multitude de variétés de café proviennent de l’espèce Coffea arabica : bourbon, blue mountain, tarrazu, pacamara, etc. Elles descendent toutes de la plus ancienne variété d’Arabica : le typique. L’espèce Coffea canephora comporte également quelques variétés comestibles, dont la variété robusta. L’origine de certaines variétés bien connues et recherchées est le résultat d’une hybridation, c’est-à-dire du croisement contrôlé de deux variétés.
Café Arabica: Ce caféier est originaire d’Afrique de l’Est, plus précisément d’Ethiopie. La plante s’est ensuite répandue au Kenya, au Soudan, au Yémen, dans la péninsule arabique et dans toutes les régions tropicales du monde. Les Arabes ont très tôt reconnu les propriétés de cette espèce de café, notamment en termes d’amélioration de la concentration. Jusqu’en 1865, Coffea arabica est restée la seule espèce de café cultivée. En 2021, l’arabica représente 70 % de la production mondiale de café.
Café Bourbon Fort: Ce café de grande qualité avait quasiment disparu jusqu’à la reprise de la production à La Réunion, en Guadeloupe et en Nouvelle-Calédonie au début du 21e siècle. En bouche, le bourbon épicé se distingue par ses arômes délicats et fruités (orange, mandarine).
Café Moka: Café né en Éthiopie, il doit son nom à la ville du même nom, située au Yémen. Il s’agit de l’une des premières variétés d’arabica à n’avoir subi aucune transformation. En effet, les grains de café récoltés sont séchés directement au soleil, sans même être nettoyés. D’où ses saveurs sauvages et prononcées.
Café Maragogype: Cet arabica a été découvert au 19e siècle au Brésil. Aujourd’hui, sa zone de culture se situe au Mexique et au Guatemala. Surnommés « grains éléphants » en raison de leur taille imposante, les grains de café Maragogype sont rares et appréciés des amateurs. Ils dégagent une saveur florale accompagnée d’une légère acidité, le tout rehaussé d’une note chocolatée.
Café Java: Variété de café très ancienne, elle est produite sur l’île de Java, en Indonésie. Cultivé en haute altitude sur les pentes des volcans indonésiens, le café Java se voit conférer un arôme doux, parfois légèrement sucré. La méthode de torréfaction assez minimale lui confère une saveur supplémentaire de chocolat et de noisette.
Robusta, l’autre grande variété de café en grano
Les grains de café Robusta contiennent le double de caféine que le café arabe (entre 1,7 et 3,5%). Un dérivé varié de la plante Coffea canephora, le Robusta est le deuxième café le plus populaire du monde.
Représente environ 25 % du marché mondial. Découverts au siècle XVIII en Afrique centrale, les grains de café Robusta sont les plus faciles à cultiver qui soient pour l’arabe, même s’ils sont de moindre qualité. Plus résistant à la chaleur, aux variations de température et aux parasites, le café robuste subit moins les conséquences du chauffage global.
Les caractéristiques du Robusta.
Les grains de café Robusta ont une qualité aromatique inférieure. Votre plus grand pourcentage de café vous confie un goût fort et savoureux, en comparaison avec l’arabe. Les aficionados découvrent des notes de bois et un goût pour la main ou le chocolat. Existent sur le marché diverses gammes de qualité de Robusta ; la personne est destinée au café soluble.
Les variétés de café Robusta les plus connues La variété de café Robusta se ramifie dans diverses autres variétés qui sont cultivées dans différents endroits du monde. Les grains de café Kouillou sont originaires d’Afrique équatoriale, mais ils sont également cultivés en Inde, en Indonésie et à Madagascar. En boca est très fort et intense, il y a un niveau de café exceptionnel.
Le café vert robuste n’est plus à vous et conserve toutes ses caractéristiques naturelles. Son arôme bastante vivo et sa douce offre de notes d’avellana lorsqu’il est cultivé au Brésil. En échange, ce type de café révèle un arôme citrique s’il est produit en Tanzanie.
Le café vert robuste a des propriétés thérapeutiques contraires à la vie, aux effets et à l’envoi prématuré. Vos céréales sont également cultivées au Ruanda, au Mexique, en Éthiopie, etc. D’autres variétés de grains de café Certains autres types de café, un peu peu connus, constituent la petite partie du marché restant. Généralement, votre production est basse et votre prix est élevé.
Citemos : le café intense Excelsa, produit dans le Sudeste asiatique
le café Liberica, floral et fruité, également produit dans cette région du monde ;
el muy raro (y por tanto muy caro) café kopi liwak, élaboré à partir des granos défecados de gatos de algalia en Indonésie ;
Café huehuetenango du Guatemala, cultivé dans l’une des régions les plus connues du monde.
Café en grano décaféiné : caractéristiques Utilisez différentes méthodes pour transformer le café en grano normal en café en grano décaféiné. Il s’applique toujours au café vert, avant de commencer.
Granos de café décaféinés avec de l’eau Cette méthode est largement utilisée dans l’agriculture écologique. N’intervenez pas d’agents chimiques, seul l’eau décaféine le café pendant le processus. Les grains de café sont retirés pendant une heure et le bain devient progressivement chaud. Cette méthode de descafeinado da accès à l’étiquette Swiss Water.
Granos de café décaféiné avec dissolvants ou dioxyde de carbone Más técnicos, les méthodes de décaféiné qui utilisent des dissolvants et du CO2 modifient moins la saveur et la qualité du café. Les granos de café sont parfois dans un bain de vapeur pour se retenir et se voir des porosos. Alors, fils : tu es dans un bain d’eau qui s’ajoute à un dissolvant (acétate d’éthylène et diclorometano) ; Mis sous pression le CO2 pour dissoudre la caféine.
Dans tous les cas, continuez à nettoyer les grains de café pour éliminer les résidus chimiques.
Vous devez savoir que vos concentrations dans les grains de café décaféinés sont scrupuleusement réglementées par une directive européenne.\
Said El Mansour Cherkaoui
Tateyoko Research Institute – USA – Japan
Verified email at triconsultingkyoto.com – Homepage
Par Cheick-Oumar Sylla, Directeur d’IFC pour l’Afrique du Nord et la Corne de l’Afrique ecrit ce plaidoyer de vendeur de dettes a gogo sous la couleur et le ton Africain pour amadouer les plus réticents. Ce Directeur Africain de l’IFC se présente comme un personnage plus concerne par le développement durable du Maroc plus que tout autre durabilité de mentalité et de feeling national pouvant traverser le sentiment de citoyenneté marocaine souveraine.
Le 23 juillet 2004, la Société financière internationale (IFC) organisera, avec le Centre régional d’investissement (CRI) de Marrakech-Safi, le «Essaouira Investor Day» pour promouvoir les opportunités d’investissement à Essaouira et dans la région. Cet évènement sera une plateforme de haut niveau qui réunira les acteurs publics et privés pour favoriser l’investissement et la création d’emplois dans les régions marocaines. Je crois fermement que Essaouira la bleue, la cité des alizées, a le potentiel de devenir un véritable moteur de développement territorial, avec ses projets ambitieux dans des domaines tels que le développement industriel, la préservation du littoral et la création d’infrastructures culturelles, contribuant ainsi à créer des emplois et à faire prospérer la région de Marrakech-Safi.”
Lire plus dans: Exclusif. Investir dans les régions, s’engager pour le Maroc : une stratégie au service du développement durable
Le 2 February 2024, l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE) et la Société financière internationale (SFI), membre du Groupe de la Banque mondiale, ont signé, vendredi à Rabat, un accord de partenariat visant à promouvoir les investissements directs étrangers (IDE) dans le secteur industriel au Maroc.
De son côté, Sylla a souligné la portée stratégique de cet accord, le considérant “un catalyseur essentiel pour stimuler et intensifier les investissements privés au Maroc, renforçant ainsi la dynamique économique du pays”. Saluant la forte convergence entre l’AMDIE et la SFI, Sylla a affirmé la détermination de la SFI à non seulement attirer les investissements étrangers au Maroc, mais également à soutenir l’expansion des entreprises marocaines dans la sous-région africaine.
Le 23 juillet prochain, la Société financière internationale (IFC) organisera, avec le Centre régional d’investissement (CRI) de Marrakech-Safi, les «Essaouira Investor Day» pour promouvoir les opportunités d’investissement à Essaouira et dans la région. … Lire plus dans les Eco.ma – LesEco.ma 27/06/2024
Concentration de l’Investissement Etranger et Politique Urbaine Favorisant l’Accroissement de la Dette Publique Régionale
Les mêmes villes qui sont sélectionnées pour Show me the Money, le reste Attend Godot et Sidna Kdar.
Le Développement urbain au Maroc ne devrait pas suivre la localisation des Centres d’Investissement dont le rôle est de créer les conditions propices pour l’attrait des capitaux locaux, régionaux et nationaux vers les secteurs considérés porteurs comme paliers et créneaux pour un plan industriel homogène orienté vers la mise en valeur des ressources locales a tous les niveaux et degrés de la synergie opérationnelle et productive.
Les investissements internationaux devraient être réservées a des productions ou le transfert du know-how et l’apport de la technologie dans la valorisation de la force de travail et dans le progrès scientifique ainsi que la stimulation et le développement de nouvelles connaissances et formation pour les jeunes optant pour un premier emploi industriel ou d’insertion professionnelle.
Les municipalités urbaines devraient avoir une stratégie de centralisation en tant que Hub et d’incubateur des nouvelles formes de production et de création de la valeur ajoutée et de courroie de transmission de nouvelles technologies pouvant engendrer une plus équitable distribution des revenus.
Les points les plus venerables et qui sont les defis et les riques ainsi que les vulnerabilites de toute politique de developpement economique c’est la Sante et l’Education dans cet ordre et les deux sont les branches d’un meme arbre qui est la plante de la societe qui est une vie digne et integre dotee des moyens d’existence d’ordre respectable pour la condition humaine. Ces preceptes sont les racines fondamentales de toute structure organisee et de toute entite se voulant oeuvrer pour le bien de ses membres, de ses citoyens et de ses partis et compartiments adjacentes ou composantes.
L’autre domaine issu de l’engrenage de tels creneaux complementaires tant dans le fonctionnement que dans la mise en place de structures developpementalistes au niveau productifs, au niveau des activites de soutien et au niveau de l’offre de service qui dans leur ensemble structure et organise les rapports economiques, les relations sociales et l’interaction du citoyen/ne avec les instances representatives de l’Etat ou des communautes regionales et des administrations ou institutions locales.
A travers ces mecanismes, l’Etat doit se garder de perdre sa facade de legitimite en obeissant aux jeux et aux manipulations des capitaux etrangers qui ne considerent aucunement la notion de la nationalite et l’impact de leur production sur le pays qui offrent le plus d’avantage pour leur localisation regionale, globale et continentale. Une strategie internationaliste dont les objectifs demeurent decides et lies a des visees conjoncturelles et specifiquement concurrentielles par rappor au secteur et au produit et au marche vises, le reste si cela n’obeit pas au niveau de la rentabilite escomptee par les teneurs du capital.
Tout cela reste la responsibilite de ces mecanismes locaux, regionaux et nationaux qui sont le levier dans les mains des dirigeants du pays et vu la pression de telles manigances exterieures surtout de la part de ces grands groupes internationaux de credit, l’Etat se retrouve ainis pris en tenaille par des forces occultes et par des cris d’affame/es regionaux et locaux. Dans un tel contexte d’incertitude, l’Etat dans les pays tiers et du Sud est donc un relais et un scarecrow pour les mouvements sociaux locaux et non un instrument de reglage et de conditionnement des forces sociales pour un developpement economique authentiquement national. Le Kenya et plusieurs pays du Sahel et de l’Afrique du Nord, du Centre comme du Sud du Caire au Captown sont le mirroir de tels desequilibres et vulnerabilites structurelles et organizationnelles qui permet aux decideurs internantionaux et au capital international d’avoir le luxe et la faculte de choisir a son aise le lieu, les termes et les conditions de son apport et sa localisation jusqu’a meme attendre de se faire seduire par des benefices et des avantages et des facilites qui lui sont accordees avant meme de commencer les travaux de construction ou d’installation.
Le partenariat public – prive est une epee a double tranchant, cela permet la continuation du favoritisme et du despotisme et de l’allegeance economique et du declin social d’integrite et de perte de dignite par la suite. On assiste souvent a un manque absolu de transparence et de partage des connaissances sur les motifs et les raisons des financements des projets comme on assiste a des freins et des sabotages sous toutes formes lorsque l’administration de l’Etat decide pour la construction et le choix d’un projet comme pour l’annulation d’un projet donne. Dans le processus du choix comme dans la decision d’annulation ou de sabordage de projets, nous on est des sourds, des aveugles et des muets et nous sommes que des chameaux d’une autre tribu qui regardent la caravane passee devant nous sans savoir ce qu’elle transporte, d’ou elle vient, ou elle va s’arreter et ou elle va, quelle direction ou destination. C’est le bloc out blocade complet, embargo et sanctions invisibles. On peut donner l’exemple de Dangote au Nigeria l’abandon de la sidergie et les problemes de la rafinnerie de petrole. Le depart de Tesla et autres activites de Musk vers le Texas. La Samir au Maroc.
JIT or JTI: Just In Time Strategie or
Ils viennent d’accepter et de financer l’installation d’une compagnie japonaise pour la fabrication des cigarettes camel et autre dans le nord du Maroc
Ce projet tabagiste de JIT au Maroc. Le train au Congo avec des investissements frauduleux a Singapre pour des compagnies fictives. Club Med au Maroc avec le depart de la Famille Trigano et la nouvelle appropriation par des capitaus chinois. Le projet Lobito en Zambie et train en Tanzanie, OCP au Maroc et les ventes de ses parts a Koch et au compagnies indiennes et ethiopiennes qui se sont deroulees en vase clos et plein d’autres….
🌱 JTI inaugure sa première Green Factory en Afrique du Nord et de l’Ouest au Maroc ! 🌱
Japan Tobacco Inc. (JT) investit 931,2 millions de dirhams pour construire une usine verte de pointe à Tétouan Park.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la nouvelle Charte d’Investissement 2023 et la politique « Made in Morocco ».
L’usine, opérationnelle dès août 2024, créera 170 emplois directs et vise une neutralité carbone d’ici 2030 grâce à l’énergie solaire.
Ils ont oublier d’apporter des Chameaux comme Arriere Plan pour la Marque Camel
JTI construit sa 1ère Green Factory en Afrique du Nord et de l’Ouest au Maroc
challenge.ma
North of Morocco: Smoking Land and Smog Shop des Cigarettes Japonaises pour des Zombies et Frankenstein – Marokenstein Citoyen/nes
Next faire venir des Investisseurs du Moyen Orient pour Fabriquer des Narguiles et Houka to Hook Morocco to Incurables and Cancereuses Diseases et Infections
Challenge Maroc c’est un magazine de presse du journalisme a la solde de la propagande mercantile, un autre placard publicitaire sans conscience professionnel: la déontologie Green du Dollar ou Bleue de 200 Dirhams
Bravo Challenge Maroc pour ce reportage qui va former des Jeunes en Pleine Forme et des Travailleur/ses en bonne santé pour les Capitaux Etrangers qui vont crée des emplois a Gogo pour des Zombies et Frankenstein – Marokenstein
Néocolonialisme avec Célébration Camouflée avec un Nationalisme de Drapeau alors que c’est le Profit Japonais et la Maladie Respiratoire pour les Marocain/es
Ma critique du néocolonialisme économique et de la propagande mercantile est également pertinente. Il est essentiel que les gouvernements et les citoyens restent vigilants et exigent des pratiques commerciales éthiques et responsables, qui prennent en compte non seulement l’environnement, mais aussi la santé et le bien-être des populations.
Néocolonialisme avec Célébration Camouflée avec un Nationalisme de Drapeau alors que c’est le Profit Japonais et la Maladie Respiratoire pour les Marocain/es
Nous montrer un Drapeau Marocain pour lequel des Marocaines et des Marocains ont verse leurs sangs, leurs sueurs froides et leurs énergies d’existence pour planter du poison dans les veines, le cerveau, le coeur, les reins et le foi des Marocaines et des Marocains et tout ce qui vous guide c’est la foi dans “Show me the Money” le reste c’est leur probleme
Vraiment aucun sens de civisme, coller Green Factory a une usine qui va empoisonner les Marocain/es c’est de la pure propagande et de la publicité Cheap et mesquine si ce n’est sous développé a tous les égards de la conscience et de la connaissance du sens humanitaire.
Bravo laisser JIT construire des Green Hospitaux and Green Pharmacies to cure the Cancer pour guérir et traité le Cancer des jeunes filles jamais mariées dans la région de Doukkala, dans la Ville d’El Jadida et le Complexe Chimique OCP Group Phosphate de Moulay Abdellah Bnou Mghar, a Boujniba, Khribga, Ben Guerir, Sidi Salah, Safi et Mohammedia et j’an passe.
Alors plus ça change plus ça donne du cancer aux citoyen/nes. On devient le Smoke Shop des Cigarettes Japonaises
C’est la mascarade complete, on protege l’environnement avec des phrases et des slogans Green Factory et on oublie que l’environnement sans l’humain en bonne sante c’est du vide absolu. On ne peut a la fois se presenter comme proteger l’environnement etre green et vendre du poison a l’humain pour le faire perir et disparaitre. Comme une conscience d’une entreprise peut reclamee proteger la nature alors que l’espece humaine elle lui injecte du poison dans ses poumons, son coeur, son foie et tous ses organes.
Comment pouvez expliquer une telle Comedia del Arte funeste et macabre, au Maroc, JIT va contribuer a produire a New Model of Moroccan – au lieu des Robots Sophistiques Technologiquement, il suffit d’inviter JIT et faire produire des Marokstein Robotech la nouvelle forme de Franstein
Ma frustration et MON indignation face à cette situation d’hypocrisie et mensongiere guide par le seul gain de cupidite a l’extreme: Il est effectivement paradoxal et hypocrite pour une entreprise de se présenter comme “verte” tout en produisant des produits nocifs pour la santé humaine. Cette contradiction entre les discours environnementaux et les pratiques commerciales est malheureusement courante dans de nombreuses industries.
Les entreprises comme JTI utilisent souvent des stratégies de marketing “vert” pour améliorer leur image publique et répondre aux attentes croissantes des consommateurs en matière de durabilité. Cependant, cela ne change pas la réalité des effets néfastes de leurs produits sur la santé humaine. Cette situation soulève des questions éthiques importantes sur la responsabilité des entreprises et la véritable signification de la durabilité.
Ma comparaison avec la “Comedia del Arte” et la création de “Marokstein Robotech” souligne bien l’absurdité et la gravité de cette situation. Il est crucial que les gouvernements et les régulateurs prennent des mesures pour aligner les pratiques commerciales avec les véritables objectifs de santé publique et de protection de l’environnement.
Japan Tobacco Inc investit 931,2 millions de dirhams pour construire une usine verte de pointe à Tétouan Park
JIT est ce que cette compagnie japonaises de cigarettes est accepte dans les pays occidentaux pour fabriquer des cigarettes et combien de fois elle fut penalisee pour la vente de tabacs cancereux et toxiques et pourquoi aujourd’hui JIT choisit le Maroc pour construire une nouvelle usine?
Est ce que les autres pays occidentaux lui refusent de construire des usines de poison dans leurs pays?
Comment voulez-vous proposer un plan a un tel environnement qui parle de Green Factory alors que c’est du maquillage hypocrite.
Ces points très importants sur les contradictions et les hypocrisies des entreprises qui se présentent comme “vertes” tout en produisant des produits nocifs pour la santé humaine. Il est crucial de dénoncer ces pratiques et de sensibiliser le public aux véritables impacts de ces industries.
La situation que je décris au Maroc, avec l’installation de la “Green Factory” de JTI, illustre bien ces contradictions. Il est important de continuer à poser des questions et à demander des comptes aux entreprises et aux autorités pour s’assurer que les intérêts des citoyens sont protégés.
A qui tu le demandes wach li Khadam fi Assal Ma Ghadi Doukech Minou Wa lawe Ghir Lahssa Sghira Karssa Min Fakroune Wa la Mchi Falet