Haraga sont celles et ceux qui quittent le Maroc clandestinement. Avant de s’embarquer ou se jeter à l’Océan, ils brûlent tous les papiers d’identité. Ils brûlent aussi tout ce qui peut avoir leur identité dessus. C’est un départ sans retour.
Brûler en Arabe dialectale veut dire HRAG et celles et ceux qui brûlent leurs papiers d’identité sont désigné/es et appelé/es: HERAGA
D’un autre cote, Ghorba désigne en Arabe Dialectale l’Ouest dans le sens négatif.
Cela évoque la perte et la disparition culturelle.
Quitter son Pays, le Maroc a cause des difficultés de vie locales, c’est d’aller vers Ghorba
Etre obligé/e de partir a Contre Cœur, de quitter tout, y compris bruler sa propre identité vers d’aller vers l’inconnu de l’Ouest:
Idéologie de la Surenchère Dominante: Branche Fleurie Cachant une Forêt d’Arbres Calcines
Son Excellence Mr. le Ministre Othman Nasrou a été donné un Maroquin qui est au service de la France, point final. Toutes nos félicitations. Nous lui souhaitons plus de succès. Nous espérons qu’il soit plus victorieux que ses prédécesseur/es. Leur tenure de ce poste fut léthargique et amnésique tant au niveau culturel que social. Si ce n’est législatif et représentatif, au niveau de la défense des droits de la citoyenneté française.
Par dessus toutes ces considérations, Mr. Othman Nasrou est un HERRAG comme nous autres tout/es.
Eh oui quand on chasse la vérité, elle revient en galop:
Que l’on le veille ou non, comme on dit bien chez les Amerlogues: “the Truth comes from the Horse Mouth”
Elle Court, Elle Court. Elle Galope la Maladie de l’Amour de la Verité Eternelle.
Elle galope pour dire que Mr. Othman Nasrou est aussi un HERRAG avec papiers ni plus ni moins. C’est une vérité non seulement selon les Amerlogues mais aussi une donnée amère marocaine.
Dans sa qualité de nouveau Secrétaire d’Etat à la Citoyenneté, il a tourné son dos à sa Marocanité. Il est maintenant un représentant officiel de l’Etat Français et de la République de France. Toute autre considération et étirement nationaliste sont des élongations inappropriées. Peu importe leur motivation, elles demeurent faussaires et comme usurpation d’identité institutionnelle et de statut juridique professionnel.
De tout ce que Mr. Othman Nasrou peut se targuer avec, c’est que dorénavant il occupe un Maroquin. Il a le poste de “Secrétaire d’Etat à la Citoyenneté”. Il est Secrétaire d’Etat Français et de la Citoyenneté Française.
Avec les courants emportant nos élites jeunes vers des horizons hasardeux, l’Europe ne peut rester impassible. Ce sont des courants naturels humains que notre destin en fut l’un. L’Europe continue d’être le témoin de vagues déchaînées contre l’amertume de l’injustice et de l’inégalité. Elles n’ont en main que la volonté de lutter. Elles se battent contre les fantômes de la malchance téléguidée contre elles et contre eux. Elles cherchent à s’évader de cette sentence et de cette prison dans lesquelles ils se considèrent des accusés sans preuves. Ils subissent l’intolérance et le dédain habituel.
Celles et Ceux qui ont les moyens de tourner la roue de la richesse le font à leur propre vitesse. Ils la font rouler dans la direction de leurs propres destins et celui de leurs progénitures fortunées. Ces enfants ont non seulement des parents aisés. Ils ont surtout des parents bien connectés. Ce sont des parents dans le circuit de “dis-moi qui tu connais, je te dirai ce que tu es.” Ils ont des parents dans le circuit de “ceux que tu connais et non ce que tu sais.”
Dans un tel environnement partiel et ignorant, le savoir ne possède pas le levier de la richesse. La formule de Bak Sahbi Wa Wassani alike c’est la clé du succès. Elle est essentielle dans un espace meurtri par de telles pratiques parallèles et sous la table.
Madame Samia HERRAG – Minister Counsel, nous devons encourager et publier des articles et des self-gratifying messages et posts. Ils concernent les Marocains qui plongent dans l’Océan et dans les Abimes du désespoir. Ils se retrouvent dans un rêve tronqué et corrompu par l’insouciance et l’indifférence des ravageurs de jeunesse. Cette jeunesse est broyée par le destin planifié par des Ghosts et des Zombies. Ces derniers détiennent des portefeuilles et des positions électoralistes passagères et éphémères mais détruisent des vies toutes entières.
Arrêtons de chercher et de nous faire gober les réussites des autres qui se plantent sous d’autres cieux. Ils se font reconnaitre. S’ils étaient restés parmi la populace, ils seraient plantés dans des chambres à air. Ils flotteraient sur des vagues de l’inconnu. Ils termineraient leur passage dans “l’au-delà Espagnol et Européen”. Ils finiraient dans des chambres noircies par la manipulation des nouvelles et des déclarations funestes. Ces déclarations ne changent rien à la réalité du Maroc. Le pays est désespéré d’aller dans des pays qui peuvent l’acquérir lui et sa propre mère. Le Marocain est à la dérive du temps.
“Un Vagabond des Océans et des Mers, franchissant les lames douloureuses. En compagnie de sa Propre Mère juste assise derriere son dos. Les deux tournant leurs dos à leurs propre Mères Patrie.
C’est tout ce qu’on a trouvé pour lui ? un ministère sans objet a connotation ethnicco – indigéne ! Un maroquin ( sécretaire d’Etat !!) de citoyenneté et la lutte contre les discriminations. Dites vous ? J’en ai discuté longuement, il y a quelques années avec celui qui a l’précédé à ce portefeuille Azoug Begag. Il me disait qu’il était le seul ministre, a n’avoir aucun budget spécifique et qui dépendait corps et âme de Matignon. Depuis 40 ans, un arabe s’occupe des pauvres indigènes, et Dieu reconnaîtra les siens. Le jour où un « indigène » occupera le poste du ministre aux affaires étrangères, ce jour-là la France aura changé de fusil d’épaules
Hajar B. • 2nd – Pharmaceutical /Biotech Project Management
Ministère poubelle. Rama Yade et fadela amra bis.
Quel destin et quelle ironie du devenir Maternel et National pour nous Marocain/es vivant dans l’Exil Volontaire. Nous souffrons de l’Absence Eternelle de notre Propre Mère et de la Mère de Nos Propres Grandes Mères. Notre Mère Patrie que le Temps ne fait que rendre lointaine dans la brume du désespoir de notre heritage. Notre jeunesse d’aujourd’hui est engloutie au fin fond marins. Elle est matraquée sur les dunes de notre propre territoire par des kakis et des uniformes. Cela se fait comme défense des palissades barbelées érigées sur notre propre territoire national. Les Goums, les Chabakounis, les Forces de l’ordre marocain défendent ces palissades en tabassant leurs propres compatriotes. Ces jeunes ne veulent qu’améliorer leur sort et leur condition de vie. Ils veulent aussi améliorer le sort de toute une tribu. Toute une famille voit en eux des lumières d’espoir.
Etouffer de tels élans sans leur donner des alternatives et des réponses justes a leurs doléances, c’est enterrer des Ames vivantes bienfaitrices en les condamnant a l’acceptation de l’injustice et l’acceptation de l’occupation de notre propre terre, une terre qui devrait être leur jardin d’effervescence et de croissance dans le bien être et la reconnaissance de leurs droits et leurs privilèges d’appartenir un Royaume Millénaire Chérifien Alaouite – Allah – Watan – Malik devrait être placardé sur ces palissades et ces barbelés rappelant les Camps de Concentration Nazis sur notre propre territoire Souverain de Tanger a La Gouira – Lagouira et tout ce qui l’entoure comme terre ancestrale”
Des enfants, des jeunes et plus jeunes, on nous vole notre jeunesse. On nous vole nos cerveaux.
On nous vole notre ressource la plus valable. Elle est la plus chère à nos yeux et à nos sentiments de parents. On nous vole nos enfants, nos racines et nos fleurs de l’âge. Et nous continuons à parler Franco-Marocain.
Arrêtons de mettre de l’acide sur des blessures profondes et des entrailles dénudées en ajoutant l’insulte a l’affront quotidien.
Arrêtons de chanter des fausses notes de gloire des Franco-Marocains que vous mettez sur un piédestal Marocain. Ils sont des personnalités politiques françaises dans leur droit et leur profession. Cela inclut leur pratique sociale, institutionnelle ainsi que culturelle. Ils le font dans le cadre d’un pays qui leur offrit les conditions de réussir. Ils ne sont pas d’appartenance de la classe de BAK SAHBI WA WASSANI ALIKE.
Célébrons la réussite de Marocain/e dans notre propre chagrin et notre propre turf. Ne célébrons pas celles ou ceux que l’on emprunte avec gage et conditionnalité exogène. Ces dernières sont importées par un Ego démesuré. Il met en avant la notion d’un nationalisme mal placé et faussaire. C’est un usurpateur d’identité professionnelle d’intérêt mercantile et de blasphème.
On ouvre les Portes du Maroc. Cela se passe dans le domaine du Savoir et de la Connaissance. C’est également pour le Développement de Relations Équitables et Justes. C’est pour notre Royaume du Maroc et cela autour du Monde.
Aucune autorité marocaine n’a reconnu notre volonté de servir ce Maroc. Ils sont en train de brader ce Maroc au moindre souffle aux argentiers rapaces internationaux.
On Fait Connaitre Morocco et on Développe des Relations Bénéfiques pour le Maroc et les Marocain/es. On Recoit Rien en Retour Directement de notre Labeur et Effort.
Nous Rendons le Royaume du Maroc Aimé par le Reste du Monde et de l’Humanite que je fréquentes et que je recontres.
TRI CONSULTING KYOTO TRI CK USA Casablanca Cafe July 7, 2004, with the Presence of His Excellency Mr. Arthur Riley U.S. Ambassador in Morocco, Mr. Omar Bouafi a Moroccan Assistant to Dr. Said El Mansour Cherkaoui and Dr. Cherkaoui at the Casablanca Café organized in Morocco by the U.S. Department of State, the U.S. Food and Drug Administration … Continue reading Said El Mansour Cherkaoui: Mr. International
Il y a surtout des Écrits. En vain, ils ne peuvent être des écrits saints ni sains. Ils demeurent donc des écrits sans bien et ne valent rien.
Antonio Gramsci, Abdelkebir Khatibi, Jeunesse Marocaine Exporté par le Service et l’Office des Affaires de Desespoir et de l’Espoir de ne plus regarder derriére et pour cela sans le besoin d’avoir et sans garder des Papiers de cette Idéologie Dominante Importée avec Célébration Officielle qui a dilapidé leur existence au sein mème de leur propre famille
Franchement, vous continuez à placer des notions rétrogrades du développement économique.
Avec ces titres-choc, les présentations de vidéo, projections et les conférences et les trade-show. Tout cela c’est bien lorsqu’on est vraiment un pays développé au vrai sens du mot. Cependant, il ne s’agit pas d’avoir des enclaves sinistrées. Elles sont isolées opérationnellement et approvisionnées par le Capital Étranger Multinational. Et pourtant, on les présente comme une performance marocaine.
Bridge to Europe, Bridge to Europe, Gateway to Africa, Gateway to Africa and the Door to the Mediterranean Portal for the Mediterranean and Window to the Atlantic. To find out more Morocco (http://www.invest.gov.ma/?Id=10&lang=en)
Initially, there was the Emergence Plan, initiated following a study by the McKinsey firm commissioned by mandate in the Industry Portfolio (2004-2007).
Ahmed Réda Chami, tried to give substance to a National Pact of Industrial Emergence, a strategy focused on sectors in which Morocco is competitive through its cheap labor. Then came the Industrial Acceleration Plan (IAP), launched with great fanfare in 2014 by Moulay Hafid Elalamy, a few months after his arrival at the head of the Ministry of Industry.
Does Morocco have an economic development strategy?
Learn more: CHRONICLES DRIVERS
The Automobile Industry in Morocco – Renault and Tangier Med
Cluster for Automotive Platform for deployment of the input range The Renault plant in Tangier is dedicated to the production of Lodgy and Dokker models, from stamping to assembly to sheet metal and paint. The project is located on 300 hectares with all utilities with a capacity of low cost vehicles. The Logdy family vehicle, the latest from Dacia, the “low-cost” branch of the Renault group, will be manufactured in this new factory. Intended primarily for emerging markets, it will also be marketed in Europe. This unit, taking advantage of the low cost of labor, could create 6,000 direct and 30,000 indirect jobs in northern Morocco. Leading suppliers or subcontractors are already established in the export processing zone, located opposite Spain.
This unit benefits from a tax exemption for companies for five years, VAT relief, training subsidies, financial aid for construction.
According to various sources, the cost structure of this project is € 1.1 billion committed in two tranches, of which equity capital, equity and current accounts amount to € 240 million, divided by 51% and 51% respectively. 49% between Renault-Nissan (France) and Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG – Morocco). Renault’s financial contribution is therefore 122.4 million euros, while 117.6 million euros come from CDG, contributing 11.12% of the total amount of 1.1 billion euros. euros, while for Renault, the essential remains its contribution in technology and know-how. The Hassan II fund is one of the largest contributors to this project with an investment of 200 million euros in the form of a loan at a subsidized interest rate to Renault. Three other Moroccan banks Attijariwafa Bank, the Banque Populaire Group and the BMCE, provided funding of 105 million euros, with equal participation in the project aspect in infrastructure equipment and civil engineering.
These banks also finance the other subcontractor facilities which are formed by about 80 companies in order to supply spare parts for the production of cars by Renault as well as for the export to other Renault sites in Europe and Europe. elsewhere. In the structuring of this financing, the Moroccan State commits itself through a direct contribution of 95 million euros, (more than a billion dirhams), on the total amount of the first tranche of the investment. This amount was realized at the level of subsidies from the Moroccan State in the form of land developed off site of several hectares.
Among these financial interventions of the Moroccan State directly concern the infrastructural and logistic development such as the construction of railways and roads by the ONCF and the ONEP conceived for the needs of the transport of the cars intended for the export through in particular the new port of Tangier Med. This synergy is actually the responsibility of the Moroccan State which directly finances the equipment of the new facilities of storage and parking as well as the construction of port moles such as Tanger Med where all the port infrastructures are put at the disposal of the project as well as a storage space of several hectares reserved on the port to park cars waiting for export.
The second tranche is approximately 460 million euros (more than 5 billion dirhams) and was reserved through partial financing in the form of cash receipts – free cash flow and up to 40% to 60% by debt .
The interests of Renault in Morocco are mainly constituted by the desire to consolidate the control of the Moroccan automobile market and by the unique opportunities that are offered by the operation of Tangier. Renault is currently the dominant company in the Moroccan automotive market. The Dacia and Renault brands, owned and operated by Renault, represent respectively 20% and 17% of the market. Renault is already operating a plant in Casablanca and the increased production of this new plant will allow the company to maintain its market share as the Moroccan automotive industry grows.
Container bridge for exports to emerging and European markets
However, this facility meets a much more important goal for Renault than simply maintaining control of the Moroccan market. The Tangier industrial zone offers a number of significant advantages for industrial operations. First and foremost, the Renault plant is located near the port of Tangier Med, allowing for easy and efficient shipment of goods. This port is located in a key geostrategic location at the intersection of Africa and Europe.
Renault plans to exploit the location of this port, as it will be shipped to Europe, Turkey, Africa and South America from Tangier. In addition, the port has developed a number of logistics and post-processing services dedicated to the automotive industry, which add greater value to Renault’s operations in Tangier.
In 2010, Renault employed 1,800 people in Morocco and assembly facilities accounted for 1.4 per cent of the Group’s total, whose production in 2007 was 28,764 vehicles, or 1 per cent of the Renault Group’s total. Renault production started in Morocco in 2012 produced 229,000 cars in 2015. The initial annual production capacity of 170,000 models has increased significantly to 229,000 cars in 2015 and currently reach 400,000 vehicles per year.
“Today, we are reaching the full potential of this plant, which has a production capacity of 400,000 vehicles a year and has become one of the most efficient in the world,” said Carlos Ghosn.
Tangier, Morocco: 2015
Tangier as an industrial location for Renault has also helped structure the network of suppliers supplying the Renault plant and also for export to Europe and elsewhere. The Renault plant served as a magnet for these peripheral automotive parts suppliers, not only in northern Morocco, but also near and just north of Casablanca, in Kenitra, where PSA Peugeot Citroën is currently building a plant to be completed. 2019. Peugeot is planning an initial production capacity of 90,000 cars per year and 200,000 in 2022. Peugeot vehicles will mainly be destined for African markets.
Created October 26, 2018 – Said El Mansour Cherkaoui – El Jadida – Morocco and Oakland, California – USA
Le Maroc, Une Terre d’Acceuil de Tous les Temps
600 hôtels a Essaouira! C’est normal, le Maroc investit dans la construction bétonneuse. C’est l’esprit de rentier. Selon l’adage, quand le bâtiment va, tout va. Mais le bâtiment va au Maroc avec le modèle de libéralisme suivi. Tout ne va pas très bien.
On reste à la remorque de l’extérieur à tous les points de vue.
Le Maroc ne fait que louer sa terre pour le capital etranger avec des incitations et une main-d’œuvre docile. La création d’emploi reste une des utopies dictées dans des discours et des déclarations à grande pompe. Les prix des produits de consommation c’est comme l’Europe mais les salaires ne le sont pas, une aubaine pour les entreprises étrangères au Maroc
Sans créer une ossature nationale solide, le Maroc demeure une rente.
LA CREATION D’EMPLOI AU MAROC, L’INDUSTRIE AUTOMOBILE ROBOTIQUE
Le Vrai Proprio de Renault Group: SUCCESS-STORY POUR LES INVESTISSEURS ETRANGERS: 15% POUR L’ETAT FRANCAIS ET 15% POUR NISSAN ET LE RESTE DES INVESTISSEURS INSTITUTIONALS ET CAPACITAIRES
Robotique et automatisation dans l’industrie automobile marocaine
UGGC Africa 1,516 followers – 4mo – [Ecofact📈] 30% C’est le taux d’augmentation des exportations du secteur automobile au Maroc. Cette hausse résulte notamment de l’implantation en 2015 et 2016 des usines Renault Group et Stellantis dans le pays. Au total, le marché représente environ 13 milliards de dollars. Le Maroc est désormais le premier exportateur de voitures vers l’Union européenne. (Via La Tribune Afrique et @Africa News)
S’il vous plait ! UGGC Africa – Arrêter de lécher les pneus des fabricants de voitures en Afrique et au Maroc. Ce sont des compagnies européennes qui font l’assemblage de pièces détachées importées au Maroc. Celles-ci sont bien produites par un faisceau de compagnies étrangères sous-traitantes. Elles s’installent autour de Renault et Peugeot. Elles leur répondent et leur fournissent les composantes pour leurs productions exportées vers l’Europe.
Renault et Peugeot utilisent des robots et des technologies de pointe de production au Maroc. ou n’existe aucun centre de recherche et de développement a ce niveau de production, ni les institutions validées dans un tel domaine de la haute technologie robotique et opérationnelle pouvant soutenir ou démontrer la véracité sans équivoque que votre déclaration suivante:
“.. le Maroc est désormais le premier exportateur de voitures vers l’Union européenne.”
Fausse, caduque et non avenue par les faits sur le terrain marocain, lire pour plus de détails dans mon article présent sur ce sujet d’abus de l’image réelle du Maroc industriel par les compagnies étrangères utilisant le Maroc comme une plateforme de production homogénéisée a travers un processus de globalisation synergique, complémentaire et interchangeables:
Dans ces conditions, on peut se poser les questions suivantes:
Est ce que Renault est une compagnie qui appartient au Maroc?
Est ce que Renault, est une compagnie possédant une Nationalité Marocaine?
Est ce que Peugeot est une compagnie qui appartient au Maroc?
Est ce que Peugeot une compagnie possédant une Nationalité Marocaine?
Est-ce que les recettes encaissées par Renault quand elle exporte ses Dacia et ses Logan en Amérique Latine, en Europe?
Est-ce que l’argent de ces ventes est dans les coffres de l’État et de la Banque d’Etat du Maroc?
Est-ce que ces recettes sont distribuées aux Citoyen/nes Marocain/es à travers les allocations budgétaires et la Loi des Finances?
Est-ce que c’est l’Etat Marocain qui décide d’investir ces recettes?
Est-ce que le Maroc choisit-il où les investir au sein des opérations et les filiales de Renault et Peugeot?
L’Etat Marocain choisit-il où investir dans Renault et Peugeot?
Cela concerne-t-il les autres structures manufacturières et opérationnelles affiliées à Renault et à Peugeot?
Qu’en est-il des filiales et des showrooms de Renault et de Peugeot?
Est ce que l’Industrie Automobile est Marocaine?
Nous allons essayer de trouver des réponses a ces questions en analysant les réelles opérations de constructeurs automobiles au Maroc.
En Février 2008, Renault a célébré 80 années de présence au Maroc. Renault a eu une longue durée et une relation ininterrompue doublée d’une présence active qui ne fut réaffirme qu’a partir de 1966 lorsque Renault a commencer l’assemblage de ses voitures dans la banlieue de Casablanca dans l’usine SOMACA (Société marocaine de l’Automobile Construction). Cette unité appartenait à 80% au Groupe Renault et 20% par Peugeot. En 2005, SOMACA avait commencé l’assemblage de Dacia Logan.
Cet assemblage du modèle de Dacia Logan a permis à Renault de renforcer sa présence dans un marché porteur, où les ventes des voitures de marque Renault occupaient la première place à la fin de Août 2000. Avant 2000, Nissan était une marque jamais vu au Maroc. Ensuite, Renault a pris la majorité participation dans le constructeur automobile. L’étape suivante a été faite par Renault Maroc en reprenant SIAB, le Nissan importateur exclusif au Maroc, qui était jusque-là entièrement détenue par le Groupe ONA. Renault Maroc intensifié la distribution de voitures Nissan travers le même groupe, et en 2006 1100 Nissan ont été vendus.
Maroc-Renault: plus qu’un siècle de mémoires et le Développement de Tanger Med
Transfert technologique et développement local
Les progrès technologiques ne sont pas apportés au Maroc. Renault est présent au Maroc depuis 1914. Aucune voiture n’a été construite au Maroc sur la base du transfert de technologie de Renault jusqu’à présent. Il n’y a pas de voiture qui soit 100% marocaine et puisse rivaliser sur le marché mondial de l’industrie automobile.
Extrait de ma recherche sur le développement international de Renault. Renault a choisi d’installer une usine d’assemblage dans le Nord du Maroc. Cette usine complète ses locations en Amérique Latine et en Europe de l’Est.
À l’étape initiale, Renault et Nissan ont projeté un projet Alliance avec deux usines: une pour Renault et une pour Nissan. Après un réexamen dû à l’impact de la crise financière de 2008, Nissan a reconsidéré son investissement et a préféré se concentrer sur ses capacités de production des usines britanniques et espagnoles, ce qui est suffisant pour le marché automobile européen marqué par une longue stagnation. Parallèlement à ce changement de cœur, Renault a continué à progresser sur son emplacement stratégique dans le nord du Maroc à proximité de Tanger et à une demi-heure du port de Tanger-Med qui est relié à un train spécial qui transporte les voitures assemblées. Renault a ensuite établi la présence d’un pôle automobile à la Porte du Maroc vers la mer Méditerranée et l’océan Atlantique et à une portée des rives d’Espagne à moins de 30 kilomètres de distance.
Pour Renault, l’usine de Tanger s’est concentrée sur la production et l’exportation du véhicule de la gamme Entry, commercialisé sous la marque Dacia en Espagne, en France et en Allemagne.
L’usine de Tanger a été coordonnée avec le lancement de nouveaux modèles de la gamme: un monospace (Lodgy) et une petite fourgonnette (Dokker).
Si le Maroc a pu concrétiser un tel relatif envol dans l’automobile, c’est d’abord grâce aux nombreux atouts structurels que lui procurent particulièrement
Sa stabilité institutionnelle, politique et macroéconomique – NSSAR LI SIDNA MALIK
Son ouverture sur l’extérieur par les divers accords de libre-échange conclus avec les partenaires du pays
Au Maroc, nous ne sommes jamais mieux servis que par nous-mêmes – On n’est jamais mieux servit que par soi-même. Conflits d’intérêts et bénéfices personnels Avant l’intérêt national. Au Maroc, nous assemblons des pièces automobiles pour vendre des voitures nécessitant une assurance, ce qui crée une demande nationale et régionale en matière d’assurances et des achats de voitures en crédit pour les institutions financières prêteuses. Face ces transactions, le ministre chargé de l’attraction du capital Etranger et des compagnies fabricant les voitures étrangères et les producteurs de pièces, il est également le propriétaire de l’une des plus grandes compagnies d’assurances d’Afrique avec des ramifications directes avec des institutions de crédit et du financement des prêts.
Les réformes structurantes menées pour l’amélioration du climat des affaires qui ont permis au Maroc de faire un bond de 43 places en 5 ans dans le classement Doing Business, passant de la 130ème place en 2009 à la 87ème en 2014
Les efforts massifs consentis dans les infrastructures routières aériennes portuaires et industrielles qui permettent rapidité des déplacements des hommes, des flux de marchandises et des données. L’essor de l’industrie automobile marocaine est aussi le fruit de la vision tracée pour le secteur et de l’offre de valeur particulièrement attractive développée. Cette offre repose sur
La mise en place d’une infrastructure d’accueil de qualité avec 2 plateformes industrielles intégrées dédiées ayant un statut de zone franche a savoir Tanger Automotive City et Kénitra Automotive City.
Une stratégie de formation innovante et pragmatique adaptée au besoin du secteur: 3 instituts de formation aux métiers de l’industrie automobile (IFMIA) ont été mis en place.
La contribution de l’Etat à l’installation et à l’acquisition d’équipements via le Fonds Hassan II pour le Développement Economique et Social en vue d’alléger le coût de l’investissement initial (30% des coûts professionnels de construction, limités à 180 EUR/m², 15% des coûts d’équipements pour l’investissement en machines, contribution du fond à 15% du montant de l’investissement, plafonné à 30 millions de dirhams).
★ CHRONIQUE 🌎 CHERKAOUI ★ ★ Said El Mansour Cherkaoui ★ Works on Automobile Industry ★ Carlos Ghosn a siphonné des fonds pour des maisons View Post Le conseil de Nissan a voté à l’unanimité de révoquer le président Carlos Ghosn de son poste, à la suite de son arrestation lundi. Ghosn est soupçonné d’inconduite financière et d’avoir détourné … Lire la suite
Il n’y a pas mieux comme confirmation de notre analyse que vous allez lire dans le passage suivant.
Nous décrivons un parcours professionnel au niveau ministériel. Nous présentons le processus réel de son déroulement. Les formes médiatiques ont transmis et partagé ces informations avec le public marocain, ni plus ni moins. C’est la réalité telle qu’elle est venue par les personnalités décrites ici bas.
Référez-vous aux déclarations d’un des responsables de l’accéleration de l’installation des investissements privees étrangers au Maroc. Il en fut un des “attracteurs”. Son propre intéret était effectivement et solidement lié a la croissance de la fabrication des voitures Renault et autres.
Ses propres affaires qu’il a fondé et géré au Maroc sont directement liées a la vente. Elles sont aussi directement connectées à l’achat de voitures étrangeres assembées au Maroc. Cela inclut l’offre de facilitation de crédits, même pour l’achat d’une machine à laver, d’un réfrigérateur ou d’une cuisinière. Les crédits sont proposés aux administrations pour attirer les fonctionnaires. Ces fonctionnaires ont un salaire, ce qui garantit le paiement des crédits. Cela inclut aussi jusqu’à la voiture et son garage et sa maison. En même temps, l’offre aussi de l’assurance et la couverture contre les accidents de toutes sortes.
Plus que cela, ce Grand Chef d’Entreprise d’origine de Marrakech, debarqué du Canada et transformé en Ministre avait sélectionné son propre Chef de Cabinet qui n’est rien d’autre que Si Ryad Mezzour, une personnalité rodée sur les routes vehiculant des évolutions professionnelles motorisées et motrices dans son propre parcours de compétences manageriales:
De 1996 à 1998, Mezzour a travaillé chez ABB en Suisse en tant qu’ingénieur de recherche et développement. Après avoir terminé son Master, il a travaillé comme consultant en services financiers pour Deloitte de 2000 à 2003. Cette même année, il est retourné au Maroc. Il a été directeur général de Budget Rent a Car. Entre 2006 et 2009, Mezzour a occupé plusieurs postes de direction chez SOMED. Il a été nommé directeur général de Suzuki Maroc en 2009.
De 2013 à 2019, Mezzour a été directeur du cabinet du président du Conseil économique, social et environnemental marocain (CESE). En 2019, il a été nommé chef de cabinet du ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique. C’est le commencement de la fin pour le tenant des renes de cette fonction ministérielle.
Depuis le 7 octobre 2021, Mezzour est Ministre de l’Industrie et du Commerce du Maroc. Lors de la passation des renes du pouvoir ministeriel, Mr. Moulay Hafid Elalami et Si Ryad Mezzour se sont retrouvés ensemble. Ils se sont échangés des directives. Cette fois-ci, ce n’était pas comme Ministre et Chef de Cabinet. C’était pour se séparer et investir le nouveau Ministre, Si Ryad Mezzour.
Moulay Hafid Alami a versé des larmes. Moulay Hafid Alami venait de céder le pouvoir ministeriel à Si Ryad Mezzour. Moulay Hafid Alami, a perdu ses assurances et a versé des larmes. Heureusement, Moulay Hafid Elalami a versé des larmes. Il a pleuré devant les autres. Il a aussi pleuré en présence de l’ensemble de son ex-administrative équipe.
Cela a laissé la porte ouverte a des courants d’air de commerages sans retenue doublés des dires populaires. Ces racontars commentent. Ils considèrent que ce sont des larmes de regret. Considerant que Moulay Hafid Alami regrette d’avoir pris sous son aile une personnalité plus apte que lui. Le commerage allait bon train et bonne route sur ce revers de la médaille pour Moulay Hafid Elalamyi. Il avait surtout une emprise sur le secteur automobile. Là, il pouvait vendre son assurance et le crédit pour acheter des Logan et des Dacia, entre autres.
Moulay Hafid Elalamy a quitté ce Ministère. Il a choisi de démissionner de Saham, le Hub de l’Assurance et du crédit. Ce sont les deux piliers pour l’acquisition de voitures et pour la couverture d’assurances pour les voitures. Ces deux éléments étaient entre les mains d’un Ministre qui s’occupe directement de l’Industrie. L’Industrie Automobile est l’un des vecteurs de sa politique ministérielle de soutien au secteur et à ses composantes au Maroc. On ne peut trouver mieux comme synergistique relation entre la fonction administrative gouvernementale et l’appropriation d’une enterprise de services opérationnels.
🌎 Said El Mansour Cherkaoui 🌍 BAGNOLE CHERKAOUI 1920 – 24 🌎Analyses et Publications sur l’Industrie Automobile🌍 Past Trends and Present Perspectives of Alliance of Multinational Automobile Manufacturers Renault – Nissan – Mitsubishi Worldwide Alliance Driving Through – Feb 20, 2023 … Continue … Lire la suite★ Renault ★ Nissan ★
Privatisée en 2003, la SOMACA (Société Marocaine de Constructions Automobiles). Elle est détenue à 100% par Renault Group depuis mars 2019. L’usine de Casablanca est pionnière de l’industrie automobile au Maroc. Elle produit des modèles Logan et Sandero pour la marque Dacia. Elle produit également des modèles Taliant pour la marque Renault. En plus de répondre à la demande locale, l’usine exporte près de 70% de son volume de production global.
Said El Mansour Cherkaoui has conducted research and published analyses on Renault and Nissan since 2010. Among this body of works on the automobile industry, he has published an acclaimed article. This article discusses the transformation of Renault from a regional player. It also covers how Renault became a global star in the international market of cars. Read the rest of…Lire la Suite → Article mis en avant à la Une
Janvier 1, 2018 – Le groupe Renault Maroc a décidé de suspendre l’activité de ses deux sites de production. Les sites concernés sont à Tanger et Casablanca. Cette suspension commence à partir du jeudi 19 mars, 2020 jusqu’à nouvel ordre. Cela a été annoncé par le constructeur automobile dans un communiqué. Cette mesure temporaire, qui concerne près de 11 000 salariés répartis dans les deux usines, intervient dans le…Lire la Suite →
L’usine Renault-Nissan Tanger est un site industriel du groupe Renault, situé dans la commune de Melloussa près de Tanger. L’usine de Tanger a été inaugurée le 9 février 2012. La cérémonie s’est déroulée en présence du roi du Maroc Mohammed VI. Le P-DG du groupe Renault, Carlos Ghosn, était également présent.
Ainsi, même si le Maroc ne possède pas les marques, il joue un rôle crucial dans le processus de production. Il joue aussi un rôle crucial dans l’exportation. Cela contribue de manière significative à l’économie du pays. Cela le positionne comme l’un des principaux exportateurs automobiles en Afrique. Donc, Renault et Peugeot bénéficient du rôle de l’État marocain. Ce dernier ouvre les portes du pays pour ces compagnies, tant au niveau de l’import que de l’export. Cela inclut leurs productions et les productions nécessaires à la continuation de leurs opérations.
Point valable sur la propriété et la nature des exportations de l’industrie automobile marocaine.
Les principales pièces et composants qui ont les valeurs les plus élevées pour Renault et Peugeost sont importés. Alors lorsque les voitures sont assemblées au Maroc, à qui appartiennent-elles ?
Si le constructeur automobile en était propriétaire, nous ne pouvons pas dire que le Maroc est le premier exportateur. Ces voitures n’appartiennent pas au Maroc. Elles ne sont pas des produits du Maroc. Seuls le terrain, la main d’œuvre et les installations sont marocains, étant donné qu’ils sont moins chers qu’ailleurs. les intrants outre d’autres incitations financières et fiscales ainsi que les aides notamment à la construction des infrastructures des ports, des routes et des écoles financées directement données par l’Etat marocain pour attirer Renault et Peugeot au Maroc:
Propriété et production
Propriété des voitures :
Les voitures assemblées au Maroc par Renault et Peugeot appartiennent à ces sociétés respectives. Les marques, la propriété intellectuelle et les produits finaux appartiennent à Renault et Peugeot, pas au Maroc.
The following File Format publication is a research I conducted that was selected as one of the Top 4 Articles published on ♦ 04-03, 2010 ♦ by the Global Edge Review at the Michigan State University – International Business Center Business College Complex – USA … Continue Reading
Les voitures ne sont pas des produits marocains en termes de propriété de marque et de composants de grande valeur. Cependant, le processus d’assemblage et d’exportation ayant lieu au Maroc permet au pays d’être reconnu. Le Maroc est reconnu comme l’un des principaux exportateurs de voitures en Afrique. Les avantages économiques, la création d’emplois et les progrès technologiques apportés par cette industrie sont importants pour le Maroc.
Composants et assemblage :
Les principales pièces et composants sont souvent importés de différents pays et l’assemblage a lieu au Maroc. Cela signifie que même si l’assemblage final est effectué au Maroc, les composants de grande valeur proviennent du monde entier.
Statut d’exportation:
Classification des exportations : Malgré leur propriété et leurs composants importés, les voitures sont considérées comme des exportations marocaines. Cela s’explique par le fait qu’elles sont assemblées et expédiées depuis le Maroc. Cette classification est basée sur le lieu de l’assemblage final et de l’exportation, et non sur l’origine des composants.
Contributions économiques : Le Maroc fournit le terrain, la main d’œuvre et les installations. Ces ressources sont effectivement plus rentables que d’autres régions. De plus, le gouvernement marocain propose diverses incitations. Ces incitations comprennent un soutien financier. Elles incluent également des allègements fiscaux et le développement des infrastructures. Toutes ces mesures visent à attirer ces fabricants.
Impact sur l’économie du Maroc
Croissance économique: L’industrie automobile est devenue un contributeur important à l’économie marocaine, dépassant les secteurs traditionnels comme les phosphates. La présence de grands fabricants a entraîné la création d’emplois, des progrès technologiques et d’importants investissements étrangers.
Intégration locale : Les composants de grande valeur sont importés. L’intégration locale des pièces et des services est croissante. Cela inclut les fournisseurs locaux et le développement d’un écosystème de soutien autour de l’industrie automobile.
La China a ouvert les portes a Tesla en accordant tous les bénéfices qu’Elon Musk demandait. C’était en échange de transférer toute sa technologie. Cela incluait son savoir faire et ses brevets de production au profit de la Chine. En échange, les responsables régionaux et nationaux lui ont réservé un accueil digne des leaders actuels. Ils lui ont réservé un accueil digne des dignitaires politiques actuels. Les autorités chinoises ont construit pour Tesla une usine de fabrication de voitures en Chine. C’est l’une des usines les plus sophistiquées jamais réalisées ailleurs. Des fondations jusqu’au plafond, tout est selon les dernières normes de l’innovation technologique, robotique et logistique. Cela inclut l’utilisation de l’énergie renouvelable et des principes de Green Factory. Les avancées réalisées au niveau du recyclage sont appliquées à tous les niveaux de la production. Elles sont également appliquées à la transformation des matières. Les ressources utilisées dans le processus du design sont soigneusement gérées.
Said El Mansour Cherkaoui – Chinese competition on the Top and under the hood of Tesla Tesla Motors: Driving News, Dance and Transe Moves – BAGNOLE CHERKAOUI 1920 – 24 🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐🌐 Tesla Global Car Development and Local Energy Production BAGNOLE CHERKAOUI 1920 – 24 AVRIL 14, 2019 – 11/24/2021 Said El Mansour Cherkaoui and 7/20/2024 Diaspora … Continue reading
L’approvisionnement des composants est inclus. Le moulage des carlingues est également inclus. La peinture et le soudage sont inclus. La mise en place des éléments de chargement des batteries est aussi incluse. De plus, la fabrication des sièges est incluse. Cela comprend aussi les composantes électroniques et toutes les phases de production des instruments de conduite. Les phases incluent aussi les pneus et le châssis. Les autres nécessités pour le fonctionnement intégral de toutes ces pièces détachées sont également incluses. Cela est fait pour chaque modèle d’une façon distincte.
Ce processus a permis à la Chine d’avoir sur place l’ensemble des éléments nécessaires à la production d’un véhicule électrique. Cela commence du niveau de la conception jusqu’à la sortie du produit fini des lignes d’assemblage.
A ce niveau de presentation, nous allons aborder et formuler notre analyse sur la Marocanite de l’Industrie Automobile. Cela est fait comme tous ces analystes, ces journalistes et même les responsables politiques. Ils trouvent et identifient dans les exportations de Renault et de Peugeot une fierté nationale. Ils remarquent aussi des records d’exportation. Par exemple, un chiffre a récemment été glané et diffusé sur tous les toits médiatiques du Monde. Ce chiffre montre que les exportations de voitures par le Maroc atteignent 14 milliards de dhm.
Nous allons suivre ces méandres de déclarations. Cela se fera à travers cette approche. Ainsi, nous répondrons mieux sur la question de la Marocanité de Renault et Peugeot.
Notre analyse va donc suivre un chemin de rationalite et de bons sens sans aucune dose de nationalisme deviant ou de confusion entre la citoyennete marocaine et la realite economique marocaine et cela en mettant a leur juste et correcte place et fonction, ainsi que role l’ensemble de ces principaux intervenants et locomotives de l’Industrie Automobile au Maroc
Pour resumer les descriptions de l’Industrie Automobile au Maroc, on va proceder par les citer tel que ce qu’elles cheminent comme explication et raisonnment, dont voici l’essentiel:
Un point important sur la profondeur du transfert technologique et le développement d’une marque automobile entièrement marocaine. Renault et Peugeot ont implanté d’importantes opérations de fabrication au Maroc. Cependant, l’ampleur du transfert de technologie est une question complexe. La création d’une voiture 100 % marocaine capable de rivaliser à l’échelle mondiale constitue également une question complexe.
Renault et Peugeot sont en effet présents au Maroc depuis de nombreuses années. Il y a eu des accords pour intégrer des technologies avancées. Celles-ci incluent la mobilité électrique dans les véhicules produits au Maroc. Le développement d’une marque automobile marocaine entièrement autochtone n’a pas encore été réalisé. L’accent a souvent été mis sur l’assemblage et la fabrication. On a moins insisté sur le transfert complet de technologie. Ce transfert permettrait aux entreprises locales de concevoir et de produire leurs propres véhicules compétitifs à partir de zéro.
La présence de ces fabricants a apporté des avantages économiques importants, notamment la création d’emplois et le développement des infrastructures. Cependant, les composants de grande valeur et les technologies critiques sont encore largement importés. Le gouvernement marocain a fourni des incitations substantielles. Celles-ci incluent un soutien financier, des allègements fiscaux et des investissements dans les infrastructures pour attirer ces fabricants.
Développer une voiture entièrement marocaine, capable de rivaliser à l’échelle mondiale, demanderait des investissements substantiels en recherche et développement. Il faudrait aussi un solide écosystème de fournisseurs locaux. De plus, l’expertise technologique serait essentielle. Des opportunités existent pour le Maroc de tirer parti de son industrie automobile actuelle. Ces opportunités peuvent renforcer ses capacités locales. Elles permettent également d’augmenter progressivement le contenu local et la sophistication technologique de ses produits automobiles.
Le Maroc est l’un des principaux exportateurs de voitures en Afrique. Cela est dû aux activités d’assemblage et d’exportation de Renault et Peugeot. Cependant, créer une marque automobile entièrement marocaine, capable de rivaliser sur la scène mondiale, est un chemin toujours en cours. L’accent mis sur l’assemblage et la fabrication a apporté des avantages économiques. Le défi reste d’atteindre un niveau plus profond de transfert technologique et d’innovation locale.
Ces presentations soulignent l’importance de continuer à promouvoir de plus grands progrès technologiques. Elles insistent également sur le développement local au sein de l’industrie automobile marocaine.
Voici un point de vue critique sur la nature de l’industrie automobile au Maroc. Cela concerne notamment l’utilisation de la robotique et de l’automatisation.
L’industrie automobile implantée au Maroc utilise la robotique. Elle met en place des circuits de gestion de la chaîne d’approvisionnement. Le Maroc est utilisé uniquement comme chaîne de montage locale. C’est une forme un peu avancée des usines Maquiladoras.
J’appelle cela « usine de tournevis ». Ici au Maroc se trouve l’usine de tournevis robotique, de soudure et de peinture, etc.
Si vous regardez même les photos des chaînes de montage dans toutes ces usines installées au Maroc, vous le verrez. Vous verrez l’absence de travailleurs. Il y a des machines et des robots qui effectuent des tâches. Ils réalisent aussi des travaux. Le paradoxe réside dans le fait qu’il y a plus de responsables et de dirigeants dans l’usine. Il y a moins d’ouvriers au Maroc. Ils accompagnent la délégation de l’entreprise étrangère pour l’inauguration et coupent le ruban. Tout est robotique.
Robotique et automatisation dans l’industrie automobile marocaine
Les usines de montage de l’Industrie Automobile au Maroc sont pleines à craquer. Elles débordent d’ouvriers. On les voit partout dans ces photos suivantes. Une creation d’emploi de premier ordre au Maroc!
ADMIREZ LE PAYSAGE ROBOTIQUE, L’HORIZON MECANIQUE INTELLIGENT ET LE TERRITOIRE DE LA LOGISTIQUE HUMANOROBOTIQUE SANS LES RESSOURCES HUMAINES
Usines « Tournevis » : Le terme « usine de tournevis » décrit avec justesse la nature de ces opérations. Le rôle principal est l’assemblage plutôt que la fabrication ou l’innovation à grande échelle.
Véhicules produits: L’usine de Tanger fait l’assemblage à 100 % certains modèles de Dacia (Dokker, Renault Express, Sandero et Lodgy). Les voitures sont vendues au Maroc. Elles sont exportées principalement vers l’Europe, l’Afrique et la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord). Le 10 juillet 2017, l’usine de Tanger a fêté la millionième3 voiture produite sur le site en cinq ans.
RENAULT: CREATION D’EMPLOI ROBOTIQUE ET LOGISTIQUE INTELLIGENTE AU MAROC
La Situation de l’Industrie Automobile Marocaine
Quand le Maroc exporte des voitures Renault assemblées par Renault à Tanger et Peugeot à Kénitra, est-ce que cela fait du Maroc les propriétaires de ces voitures ?
Dans des articles, ils écrivent que le Maroc est le premier exportateur de voitures en Afrique. Ces voitures sont fabriquées par Renault et Peugeot.
Dr Said GUEMRA• 1st Energy Transition Operator19h • Edited • 19 hours ago LE MAROC DOIT ARRÊTER LA SUBVENTION DE L’ÉLECTRICITÉ AU PROFIT DE RENAULT ET PEUGEOT. Je ne sais pas comment les français ont fait au moment des négociations avec Renault pour convaincre les « négociateurs » marocains en leur disant que l’électricité industrielle en Haute tension marocaine était plus chère qu’en France , et le Maroc … Continuer de lire
Rôle des Entreprises Etrangères et Utilisation Stratégique des Accords de Libre-Echange.
Les postes hautement qualifiés ne sont pas accordés aux Marocains. Aucun programme éducatif hautement qualifié n’existait au Maroc. Tous ces robots et dispositifs technologiques utilisés sont importés. Le Maroc ne dispose pas de centres de recherche et développement d’un tel niveau de sophistication. Le Maroc n’a même pas des centres de recherche et de développement pour peindre ou concevoir des voitures. Il ne peut même simplement mener des recherches scientifiques sur les progrès de l’industrie automobile. Les emplacements de l’industrie automobile à Tanger et Kénitra sont des enclaves. Elles n’ont aucune relation synégétique avec les pièces ou les composants. Ces derniers sont maintenant produits par des sociétés étrangères telles que des sociétés chinoises. Elles ressemblent davantage aux Vassal et Courtisan situés dans la périphérie entourant le Château Forteresse: de Renault et Peugeot. BYD et Gotion High Tech.
Cette compagnie chinoise est la dernière entreprise à investir dans la fabrication de batteries pour véhicules électriques au Maroc. Le pays ne cherche pas à faire du Maroc un constructeur maîtrisant des avancées technologiques dans les batteries. Il ne veut pas non plus maîtriser la fabrication de véhicules électriques. Pas du tout, ils lorgnent et ciblent. le marché américain via l’accord de libre-échange signé entre les États-Unis et le Maroc. Ils bénéficient aussi de relations durables puisque le Maroc a été le premier pays à reconnaître l’indépendance des États-Unis. Il s’agit d’une stratégie complémentaire. C’est un raccourci pris par certaines entreprises chinoises. Elles contournent les règles et lois adoptées par les États-Unis sur les importations en provenance de Chine. Des importations comme le fer et l’acier sont importées via l’ACEUM. Mais ils sont en fait originaires de Chine et entrent aux États-Unis en franchise de droits.
Utilisation stratégique des accords de libre-échange
Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. – December 16, 2020 – The U.S.-Moroccan Free Trade Agreement (FTA) was signed in 2006. This made Morocco the first African country to sign such an agreement with the United States. Such action has renewed the privilege that Morocco had to be the first … Continue reading
Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. – January 1, 2022 – The Morocco Free Trade Agreement (MAFTA) went into effect on January 1, 2006. Under the agreement, most Moroccan goods enter the United States duty-free. Virtually all goods will enter free by the time it is fully implemented on January 1, 2023. The Morocco FTA does NOT give merchandise processing Continue reading
Ces observations mettent en lumière les complexités et les paradoxes de l’industrie automobile marocaine. L’utilisation de la robotique et de l’automatisation a apporté des avantages économiques. Elle a positionné le Maroc comme un acteur clé des exportations automobiles. Cependant, elle souligne également la nécessité d’une approche équilibrée. Cette approche doit inclure le développement des capacités technologiques locales et la création d’emplois qualifiés.
Postes hautement qualifiés et éducation
Programmes éducatifs:
Recherche et développement – Rôle des entreprises étrangères
Opérations enclavées :
Mes idées mettent en évidence les complexités et les considérations stratégiques impliquées dans l’industrie automobile marocaine. La présence d’entreprises étrangères apporte des avantages économiques. Elle souligne aussi la nécessité pour le Maroc de développer ses propres capacités technologiques. Le Maroc doit également promouvoir ses propres capacités technologiques. Le pays doit aussi promouvoir ses programmes éducatifs pour tirer pleinement parti de ces opportunités.
Le Maroc avec des Défis Embedded dans Ses Choix de Politique Economique et de Strategie Financiere Tournees vers l’Exterieur
Franchement, vous continuez à placer des notions rétrogrades du développement économique.
Avec ces titres-choc, les présentations de vidéo, projections. Les conférences et les trade-show, tout cela c’est bien lorsqu’on est vraiment un pays développé. C’est au vrai sens du mot, et non avoir des enclaves sinistrées, isolées opérationnellement. Elles sont approvisionnées et appropriées par le Capital Étranger Multinational et que l’on présente comme une performance marocaine.
On reste à la remorque de l’extérieur à tous les points de vue.
Le Maroc ne fait que louer sa terre pour le capital etranger avec des incitations et une main-d’œuvre docile. La création d’emploi reste une des utopies dictées dans des discours et des déclarations à grande pompe. Les prix des produits de consommation c’est comme l’Europe mais les salaires ne le sont pas, une aubaine pour les entreprises étrangères au Maroc
Sans créer une ossature nationale solide, le Maroc demeure une rente.
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Said El Mansour Cherkaoui. Bonne question, mais elle se pose aussi pour les voitures de marques américaines assemblées au Mexique et au Canada et reexportées aux US ainsi qu’aux voitures europeennes, japonaises ou coréennes assemblées aux US. Le Mexique a acquis une véritable expertise dans l’industrie automobile dont les chinois vont faire usage afin de pouvoir pénétrer sur le marché nord-américain. Idem pour l’industrie aeronautique. Tout investissement étranger créateur d’emplois est toujours bon à prendre et il aboutit plus tard à améliorer la chaine de valeur (valeur ajoutée) dans le pays de sous traitance.…moreShow translationShow translation of this comment
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Je connais les Maquiladoras et le Bracero Program, j’ai travaillé dessus comme Chercheur Associé au CREDAL et au CERDI et Doctorant à Sorbonne, l’Institut des Hautes Etudes d’Amérique Latine, à Paris.
J’ai visité le Mexique et les Maquiladoras, j’ai été reçu par Alain Rouquié à l’Ambassade de France, il était l’Ambassadeur de France au Mexique comme j’ai eu des entrevues / interviews avec Cuauhtemoc Cardenas, le fils du Président Lazaro Cardenas, j’ai rencontré aussi des chercheurs français et mexicains travaillant sur les Maquiladoras.
J’ai publié des extraits de mes recherches en France et à l’Université Golden Gate University, San Francisco ou j’ai introduit pour la première fois de leur histoire des cours sur NAFTA et EEC.
Lazaro Cardenas avait construit une industrie nationale solide y compris les banques bien avant les Maquiladoras.
Lors des négociations sur l’ALENA, le Mexique ne voulait pas transiger avec le pourcentage d’intégration des composantes “mexicaines” dans la fabrication des véhicules. Composantes mexicaines, pas des sous-traitants étrangers comme c’est à Tanger Med ou tout est étranger, a part le sol.
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. Oui, je sais tout cela (ainsi que tes recherches dans ce domaine). Il n’en reste pas moins que le Maroc – tel le Mexique – saura, á termes, transformer ces usines à faible VA locale en véritables industries nationales. Regardes ce que sont devenues les villes telles que Monterey, Guadalajara, Quetetaro au Mexique. Rappellons-nous aussi combien le seul tourisme a permis à l’Espagne de sortir de la pauvreté entre 1950 et 1970. Je le répète: ne boudons pas les IED car ils seront sources d’expansion future. Soyons optimistes.Show translationShow translation of this comment
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Mon Frère je sais que tu connais nos racines, on a fréquenté les mêmes cours – leçons et cours de jeu/ avec les mêmes Profs et le même Lycée tous les deux a El Jadida, je t’estimes comme un Marocain du Bled Chtouka de notre région natale Doukkala, notre mémoire est identique.
Allah ya Rham Walidayna Ajmaeen, Nos Peres et Familles ont tous les deux contribuer construit la région d’Azemmour, Mazagan et El Jadida.
Mes réponses ici sont pour le reste du monde des lecteur/rices qui ne me connaissent pas. Merci Hbibi Khouya pour m’avoir donné l’occasion de me présenter avec ces documentations et pour ton engagement envers notre pays et notre région de Doukkala ou se trouvent nos deux racines.
Juste un exemple, Tesla en Chine comment Tesla et Musk laissant tomber l’Inde, construit New Gigafactory avec transfert de toute la tech Tesla a Shanghai, accueilli comme un dignitaire mondial.
Now les VE fabriquées en Chine et assemblées au Mexique sont les principaux concurrents dans le berceau de Tesla et en Europe, voila mes écrits sur ce point qui peuvent éclairer cette discussion:
Comment le Maroc peut-il améliorer ses programmes éducatifs pour la fabrication de pointe ?
Quelles mesures peuvent être prises pour promouvoir la recherche et le développement local dans l’industrie automobile ?
Parlez-m’en davantage sur les implications stratégiques des accords de libre-échange pour le Maroc.
Renault est un important constructeur automobile et transporteur français. Contrôlé par l’État français , il est le plus grand fabricant et exportateur de véhicules automobiles du pays et l’une des marques d’entreprise les plus importantes du pays. Son siège social est à Boulogne-Billancourt.
L’entrepreneuriat n’est pas la solution. Les moyens et les outils financiers sont monopolisés par des individus. Les circuits de distribution et d’approvisionnement sont monopolisés par des individus. Même les investissements réalisés dans le secteur informel sont monopolisés par des individus. Ils servent de prêtes-noms à des grosses légumes et des grosses têtes. Ces dernières se camouflent derrière les pauvres et les miséreux. Cela en fait à la fois des victimes et des travailleurs. Ils n’ont aucune reconnaissance institutionnelle ou droits protégeant leurs conditions de travailleur dans le marché gris.
Selon France 24: 90% des ivoiriens travaillent dans le secteur informel qui représente 40% du PIB.
Le poids du secteur informel est unanimement considéré comme un obstacle au développement de l’économie marocaine. En 2022, le secteur informel représente 41 % des emplois (hors agriculture, administration et collectivités locales). Il représente également 14 % du PIB. On l’accuse de tous les maux : fraude fiscale et sociale, exploitation de la main d’œuvre, corruption et j’en passe. On ne trouvera personne pour en faire l’éloge.
Même les importations des produits que le secteur informel est codifié sous la table. Tout entrepreneur sans une table de négoce ne pourra jamais décoller. C’est un espace de négociation par dessus la table et par dessous la table. Ils ne pourront pas concurrencer les vendeurs soutenus par des Zombies et des Fantômes bien placés dans l’administration locale.
D’autre part, les bourses et les financements par des organisations internationales pour la formation d’entrepreneuriat demeurent une source d’investissement détournée. Ils deviennent aussi un moyen d’achat du loyalisme électoraliste. Cela inclut le favoritisme et les alliances pour le renouvellement des mandats pour les élus locaux.
Le Secteur Informel est issu de la multinationalisation de la chaîne supply pour les produits vendus. Il résulte de l’absence de vecteurs locaux pour la circulation du capital entrepreneurial. Cela affecte la production et la vente des produits locaux, régionaux et nationaux.
Le secteur informel permet la cohabitation de ces deux secteurs antagoniques. Ces secteurs sont contradictoires au niveau de la stratégie de développement national.
Plusieurs produits importés sont saisis par les douanes et vendus sur le marché informel. Aussi, les produits qui sont rejetés de l’exportation. Il y a aussi des produits locaux offshore acquis sous la table. Ces produits sont en principe destinés à l’exportation.
L’imbrication des intérêts entre des administrateurs haut placés au niveau régional permet aussi le financement. Elle permet également le transfert et la répétition de ces transactions. Cela procure une immunité contre les saisies par les forces de l’ordre. Ils peuvent ainsi opérer au grand jour. Ainsi, si un secteur et une économie informelle existent, elle reçoit d’une façon informelle des investissements directs locaux. Ces investissements viennent de régions et souvent de la capitale du pays. Cela permet de traverser plusieurs cascades de financement et d’opération. Ces cascades favorisent le camouflage des investisseurs originaux.
L’économie informelle possède ses propres caractéristiques en fonction de son cadre culturel et historique environnant. L’entrepreneuriat sert comme un tremplin dans le décollage économique régional et même national. Il demeure un phénomène propre aux pays actuellement encore au stade subcapitaliste. Cela contraste avec les pays avancés ou industrialisés qui ont opté pour le redéploiement de leurs productions manufacturières. Ce redéploiement agit comme une parade et un bouclier contre l’accroissement des coûts locaux de production. Il agit également contre l’inflation des prix des matières premières et des produits de consommation courante. Enfin, il combat la cherté du coût de la vie. Toutes ces facteurs impactent les revendications salariales et conduisent à une augmentation des salaires. Cette augmentation érode la compétitivité internationale, la valeur ajoutée et surtout le profit des grandes entreprises nationales et internationales. De ce fait, un rétrécissement de la base industrielle internationale se répercute dans les pays avancés. Cela se répercute sous forme de réduction de l’emploi. Il peut y avoir un déphasage ou bien une immigration des industries vulnérables, appelées en l’occasion par les canards boiteux.
La France et les pays de l’Europe occidentale furent les premiers à subir les répercussions de l’amalgame de ces vecteurs. Ils furent les premiers à subir les causes. La France et d’autres pays d’Europe occidentale ont été les premiers touchés. Ils ont été touchés par la combinaison de ces vecteurs. Ils ont également été touchés par ces causes. Leur réaction de faire venir des travailleurs des pays africains. Ils ont fait venir des travailleurs de Turquie et des anciens pays de l’Europe de l’Est. Cette réaction provoqua ces répercussions. Ils ont fait venir des travailleurs des pays africains, de Turquie et des anciens pays de l’Europe de l’Est. Cette réaction imposa un autre fléau social. Les nouvelles masses travailleuses, en général d’origine rurale et illettrée, furent effectivement sélectionnées sur de telles bases. Elles furent donc considérées comme des solutions temporaires et conjoncturelles.
La France et les pays de l’Europe occidentale furent les premiers à subir les répercussions de l’amalgame de ces vecteurs. Ils furent les premiers à subir les causes. La France et d’autres pays d’Europe occidentale ont été les premiers touchés. Ils ont été touchés par la combinaison de ces vecteurs. Ils ont également été touchés par ces causes. Leur réaction de faire venir des travailleurs des pays africains. Ils ont fait venir des travailleurs de Turquie et des anciens pays de l’Europe de l’Est. Cette réaction provoqua ces répercussions. Ils ont fait venir des travailleurs des pays africains, de Turquie et des anciens pays de l’Europe de l’Est. Cette réaction imposa un autre fléau social. Les nouvelles masses travailleuses, en général d’origine rurale et illettrée, furent effectivement sélectionnées sur de telles bases. Elles furent donc considérées comme des solutions temporaires et conjoncturelles.
L’entrepreneuriat se trouve dans les pays où l’esprit d’entreprise est à sa naissance. Les conditions de son adoption et de sa croissance ne sont pas mises en place. Elles ne sont pas non plus accessibles à celles et ceux qui le méritent le plus.
A travers ces politiques opportunes, les pays avancés cherchaient des réponses. Elles dépendaient de la durée du mandat de celles et ceux élu/es occupant les sphères de la décision nationale. Ils agissaient en défenseurs des secteurs industriels devenus décadents sous les coups brusques des aléas de la conjoncture internationale. La conjoncture est devenue sujette à des crises et à des récessions. Les États-Unis d’Amérique en deviennent les pourvoyeurs et les conducteurs. Ainsi, c’est la recherche de la valeur ajoutée qui domine. Elle est primordiale dans la mise en place des affaires dans les pays avancés. L’obsession du taux de croissance domine également. Dans les pays subcapitalistes désignés par pays en voie de développement, il s’agit plutôt de la survie. Il s’agit aussi de la riposte face au favoritisme, le népotisme et la marginalisation.
Votre Ville le Deauville Marocain Devenu le Dos d’Âne Marocain
Quand on voit cela, il n’y a qu’un pas a franchir pour comprendre pourquoi, ils ont effacé Doukkala de la Carte du Découpage Régional du Maroc
les inégalités sociales au Maroc qui selon les dires des organismes prives bancaires et ils ne peuvent plus les cacher voila les chiffres de ces inégalités sociales qui s’aggravent dans les villes, dans les campagnes et touchent la fragile position des mères marocaines puisque les femmes auxquelles ont rajoute plus de vulnérabilités par de telles persistantes et aggravantes inégalités sociales;
“Selon le Rapport sur le capital immatériel élaboré par Bank Al-Maghrib et le CESE, (Voir aussi nos analyses dans les éditions n°4943 et 4944 du 20 au 23 janvier 2017), les riches consomment 13 fois plus que les pauvres. En 2014 (dernières données disponibles), les dépenses des 10% des ménages les plus aisés représentaient plus du tiers des dépenses totales de consommation (33,8%) contre seulement 2,6% pour les 10% les moins aisés. Ces chiffres brûlants devraient alimenter le débat sur la capacité des pouvoirs publics à garantir l’égalité des chances et des opportunités à l’ensemble des citoyens.
En effet, les inégalités sociales restent particulièrement perceptibles entre le milieu urbain et rural. La campagne concentre plus de 85% de la population en état de pauvreté absolue et 60% de la population se trouvant dans une situation de vulnérabilité. Cette disparité sociale touche essentiellement les personnes âgées, les enfants, les adolescents, et les personnes en situation de handicap.
Pour lutter contre la pauvreté et réduire les inégalités sociales, des avancées ont été réalisées entre 1993 et 2013, grâce à l’initiative nationale du développement humain (INDH). Sur cette période, la dépense annuelle moyenne par habitant s’est nettement améliorée de plus de 50%, passant d’environ 10.000 dirhams à plus de 15.000 dirhams par personne (en dirhams constants de 2014). En parallèle, le niveau de vie des catégories sociales les plus modestes a progressé en moyenne annuelle de 3,6% que celui des catégories intermédiaires (+3,3%) ou aisées (+3,2%). Cela a fait chuter le taux de pauvreté absolue de 15,3% en 2001 à 4,2% en 2014.
Double peine pour les femmes
Côté emploi, malgré une transition démographique favorable, le taux d’activité demeure faible. Au troisième trimestre 2016, il est passé de 47,9% à 46,7%, enregistrant une diminution de 1,2 point. Les inégalités d’emploi touchent particulièrement les femmes avec un taux d’activité qui reste particulièrement faible (23,4% au premier trimestre 2016). Cela pèse fortement sur la dynamique de la croissance et par la suite la richesse globale. Le taux de chômage des femmes (11,2% au premier trimestre 2016) est plus élevé que celui des hommes (9,6%). Paradoxalement, elles sont de plus en plus diplômées.
Le rapport s’inquiète du chômage des jeunes contre lequel aucun remède ne semble efficace. D’une part, plus des deux tiers de la tranche 15-24 ans est sans emploi depuis un an et la situation ne cesse de s’aggraver. D’autre part, le chômage reste fortement corrélé au niveau d’éducation de la population active. Entre le troisième trimestre de l’année 2015 et celui de 2016, le taux de chômage des diplômés (niveau supérieur) représentait 22,3% (voir l’infographie). La fragilité du tissu productif national, le faible niveau d’investissements, notamment dans les secteurs industriels, les rigidités du marché du travail, et la faiblesse structurelle de la demande restent des obstacles très forts à la résorption du chômage des jeunes et à la création de nouvelles opportunités durables
Le poids de la précarité, notamment au sein du secteur informel reste important. Ce qui impacte négativement l’efficacité des politiques menées par l’Etat, ainsi que la compétitivité des opérateurs. Pour la qualité de l’emploi, elle demeure fragile avec plus de 62% des salariés qui exercent sans contrat de travail.
Peu de confiance en la justice
La confiance des citoyens vis-à-vis des institutions publiques est un aspect de la dimension sociale du capital immatériel et donc la richesse globale d’une nation. Les enquêtes menées dans ce sens indiquent qu’en dehors des institutions régaliennes qui bénéficient de la confiance de la population, le sentiment de la défiance s’accentue. En effet, les études montrent que le gouvernement, le parlement, les syndicats bénéficient d’un niveau de confiance relativement faible. Pareil pour les partis politiques. Par ailleurs, les faibles taux de participation enregistrés, lors des différents scrutins, confirment la désaffection des citoyens pour l’offre politique”
Fin de citation. Source: Ces inégalités qui s’aggravent au Maroc, dans Développement 27/01/2017
Analyse des Raisons et des Similarités du Secteur Informel en Amérique Latine pour comprendre le Mouvement des Feracha au Maroc:
Le Secteur Informel, nous avons conduit plusieurs recherches a ce niveau en ce qui concerne l’Amérique Latine qui a vu ce phénomène s’ériger comme alternative a l’inertie bureaucratique des Etats gouvernés a l’époque par des juntes militaires dont l’essentiel de la politique etait de lutter contre ce qu’ils considéraient la subversion militante des syndicats et des partis représentants les travailleurs et les paysans pauvres, donc tout ce qui pouvait de se réclamer de gauche ou de sympathie d’ordre sociale.
Cette lutte acharnée contre les forces sociales étaient paradoxalement menées par les militaires au nom de la sauvegarde de la démocratie et de la religion chrétienne face a ce qu’ils considéraient comme atteinte et menace a l’ordre établi.
Dans cette forme de technocratisation des rouages de l’Etat, puisque celle une élite technocratique pouvait engager et s’engager avec les militaires, le peuple en tant que tel etait laisser pour compte et les intérêts étrangers devenaient la force motrice pour la croissance économique basée sur la discipline et la répression des mouvements sociaux offrant ainsi une main-d’oeuvre docile, relativement beaucoup moindre dans les coûts au niveau du salaire comme au niveau des autres droits et couverture sociale.
Cette nouvelle classe de travailleurs etait donc conditionnée par l’embrigadement militaire et technocratique pour le bien des grandes compagnies internationales tant au niveau de l’exploitation des ressources naturelles, financières qu’humaines. Cette coalition et complicité entre la classe dirigeante et le capital international favorisa et objectiva la creation d’une nouvelle base sociale du pouvoir a partir d’un amalgame de l’ancienne petite moyenne classe des entrepreneurs ayant épousé les principes d’une telle internationalisation docile des travailleurs locaux et la technocratie qui était la prolongation d’allure civile des enseignements militaires sur la sauvegarde du patrimoine chrétien, de la démocratie d’ordre nationaliste et martiale et aussi comme réponse aux nouvelles de l’internationalisation du capital productif et commercial.
Dans ces enchaînements multilatéraux et d’ordre de complémentarité entre ce qui fut appelé le centre et la périphérie, les classes paysannes marginalisées des terres devenues la cible d’une exploitation internationale et les autres strates urbaines ne pouvaient plus adhérer ou défier une telle stratégie de collaboration internationale; elles demeuraient ainsi a la dérive et furent ainsi contraintes de gonfler les villes par une exode rurale devenant le propre de l’accroissement de la démographie des bidonvilles et des constructions de logement n’ayant et ne répondant a aucune normes officielles.
Les besoins d’une telle construction combinée a d’autres et vu la situation irrégulière de toutes les actions et interactions correspondantes ainsi que les initiatives prises par ces nouvelles couches sociales ayant émigré en ville, furent ainsi le berceau du secteur informel qui se développait dans la nuit et en dehors de tout contrôle de l’Etat central ou des autorités locales et régionales.
En somme, voila grosso modo comme ce phénomène du secteur informel fut crée pour combler le vide laisser par la désertion de l’Etat militaire des secteurs sociaux ne répondant pas a la logique de l’internationalisation de l’économie nationale et a la sécurisation des créneaux sociaux concurrents ou menaçants. L’ennemi n’etait plus aux frontières, il etait identifie dans un autre voisin intérieur celui qui revendique les vrais droits démocratiques.
Face a cette dureté des régimes militaires, les tenants du capital etranger voulait aussi avoir des garanties de droit soutenu par la majorité de la nation et non juste par des juntes militaires et leurs soutiens factices et ses prolongations technocratiques. Les militaires n’avaient pas réussi a créer une assise large de légitimité de leurs actions de protection de la religion chrétienne puisque un mouvement de Libération prit place au sein même de l’Eglise qui devient la protectrice des paysans pauvres démunis de leurs terres et jetés dans les rues des nouveaux Shanti town.
Cette dislocation intérieure du pouvoir central porta un coup dur a l’harmonie religieuse visée par les militaires et sapaient la revendication centrale de la défense de l’Occident Chrétien contre l’Athéisme des militants de gauche représentant des intérêts communistes étrangers. La Guerre Froide trouvait aussi ses limites idéologiques dans une telle perte du soutien direct de l’Eglise. Les prêtres et les cardinaux devenaient du jour au lendemain des victimes de la répression comme le reste de la population engagée.
C’est effectivement cette nouvelle théologie de la Libération qui asséna un coup fatal aux régimes militaires en Amérique Latine qui fut déclenchée par l’assassinat de Monseigneur Romero au Guatemala. Face aux effets néfastes de telle campagne répressive, le capital etranger senti le vent tourner et opta pour plus de reformes et d’ouverture pouvant aboutir a ce qui fut désigné comme la nouvelle formule de développement pour ces masses délaissées socialement en prônant effectivement une nouvelle stratégie nommée pour la circonstance comme un dépassement des périodes noires transitoires de la croissance économique doublée de répression sociale, on appela donc cette stratégie:
“le Développement Durable et la Bonne Gouvernance” en lui donnant plus de poids et la présentant comme une innovation, on y ajouta le sens de responsabilisation basé sur des avancées démocratiques notamment par la multiplication des partis politiques et des échéances électorales ainsi que par une plus grande condensation du découpage et de la désignation de la régionalisation administrative doublée d’une plus large division par districts électoraux.
Cette ouverture s’était aussi traduite par une tolérance plus grande du secteur informel, puisqu’il fut considéré dorénavant comme levier de changement social et économique faisant parti de ce concept de Développement Durable.
Exode Judaïque, Exil Intellectuel et Exportation Manouvrière
Un article qui n’arrive pas a prendre des rides même si les temps ont changé alors que notre culture locale et régionale a subi des alternances “modernistes” et non modernisatrices. Ces coups-bas furent synchronisés en premier a travers la nouvelle intégration de l’entité marocaine citadine et cela a travers les rouages de la négociation avec la Métropole de France.
En second, l’autre élément concomitant et pourvoyeur s’était réalisé par les manifestations locales et par les effets de démonstration culturelles provenant de la consommation élitiste des sphères sociales éduquées a la Française et cherchant au delà du mouvement d’indépendance politique a maintenir une jonction économique et consommatrice directe avec la France.
A travers de telles connexions, une substitution de l’appropriation des outils de production légués par les colons fut entreprise au profit des nouvelles classes issues ou pivotant dans la mouvance du parti de l’Istiqlal.
Le besoin d’instaurer une nouvelle forme d’alliance fut ainsi véhiculer par les nouveaux besoins de gestion, de reproduction et d’administration des secteurs industriels, bureaucratiques, sécuritaires et éducationnels. Le savoir-faire Français demeurait la référence centrale pour la garantie et la préservation des nouveaux acquis et des privilèges correspondants par cette nouvelle classe urbaine, entreprenante et gestionnaire tant dans les rouages de l’Etat que dans les mécanismes de la reproduction des bases de la mise en valeur des investissements. En fait une symbiose devenait nécessaire et fut donc implémenter dans l’occupation et l’héritage des centres de décisions tant au niveau de l’appareil de l’Etat que celui productif au niveau agricole qu’industriel.
Il en résulta une dualité culturellement antagoniste et des fois même conflictuelle a travers notamment une importation des valeurs mercantiles et consommatrices doublée d’une utilisation des experts étrangers et la formation d’une élite professorale française instillée dans le tissu éducatif marocain a travers la coopération technique avec la France qui en échange facilita paradoxalement une exportation des intellectuels et de la main d’oeuvre marocaine vers les pays d’Europe occidentale.
La correspondance involontaire entre cet élans intellectuel cherchant un ressourcement occidental et l’impact du dépeuplement de ressources humaines régional du a l’exode rurale vers les métropoles occidentales imposèrent toutes les deux d’une façon propre et distancié un profond, un involontaire mais simultané et différencié impact dans l’origine et l’évolution sociale et économique de chacune de ces nouvelles composantes sociales marocaines.
L’un des premiers résultats palpables de cette dualité extrapolée fut en premier la réduction et en second la fusion si ce n’est l’altération profonde des bases et des liens indépendance de nos traditions familiales, tribales et même individuelle surtout en ce qui concerne la cohésion des valeurs traditionnelles qui avaient imprégnées de particularités populaires les croyances religieuses dans les régions du Maroc Profond.
Par cette graduelle “émancipation” a l’égard des références et des symboles de la culture populaire, les fonctions citadines et leur façon de vivre devinrent vulnérables aux répercussions externes résultantes des nouvelles formes d’intégration du Maroc dans le Marché du Travail International.
A cette jonction et ce clash culturel, le Maroc subit un tournant historique dans l’évolution de ses propres mécanismes de production et devint plus sensibles aux effets et aux contre-coups de la concurrence internationale entre les nations cherchant a s’asseoir et a récupérer certaines pertes dues aux conséquences de la Seconde Guerre Mondiale, les incertitudes de la reconstruction en Europe face a l’édification du bloc des pays de l’Est, les effets des conflits régionaux alimentés par la Guerre Froide, les continuelles modifications du système monétaire international et ses effets sur la décolonisation politique.
En cela, les rapports inter-confessionnels ont suivi la même trajectoire d’extrapolation et d’extériorisation pour épouser et intégrer des dimensions nouvelles d’ordre idéologiques, politiques et institutionnelles qui régissent les interactions et les différentiations entre les entités étatiques régionales et lointaines mais deviennent des données propres a la définition et a l’expression des relations internationales entre les peuples et leurs Etats respectifs a travers l’édification d’une proximité et une identification purement d’ordre idéologique.
Face a l’émergence de ces nouvelles exigences pour le contrôle des régions et des zones d’influence, y compris la mise en place de stratégies d’intervention même secrète mais légitimées en tant qu’une sauvegarde de l’intérêt National, le Maroc fut amené a contribuer par sa propre population en Europe comme tout ailleurs dans la récupération des vestiges des anciens formes de domination culturelle par l’Occident et dans la consolidation des bases nouvelles de la production internationale et ses fondements basés sur la multinationalisation et l’internationalisation de la division du travail en fonction des cultures régionales encore résistantes ou authentiques si ce n’est originelle.
Dans cette même optique, le Maroc s’était ainsi engagé dans la mise en place d’une planification le dotant en premier de bases pour l’insertion internationale suite aux recommandations des grands groupes financiers internationaux et par la suite dans l’érosion des ses propres fondations de take-off par le biais d’une politique de privatisation des secteurs clés. Ces deux vecteurs demeurent encore incontournables dans le façonnement de l’évolution économique et financière du Maroc, si ce n’est dans le renouvellement et la consolidation des bases de négociation et d’insertion dans la Nouvelle Division Internationale Technologique. Par cette voie, même le secteur informel devint une source de productivite et d’emploi pour les masses populaires égarées dans cette confusion culturelle du Maroc alternant “le Modernisme Occidentalise,” la Religiosité Divine, et les Traditions Populaires” sauvegardées pour des besoins touristiques, de consommation et d’orientation privées dont les vrais bénéficiaires demeurent les investisseurs étrangers dans les circuits et les services adjacent et en aval et en amont de l’industrie du tourisme.
A travers ces rouages de manipulation et de dépendance extraverties, le Maroc ayant perdit une part de sa propre population (Judaïques, Intellectuelle et Manouvrière) devint ainsi une économie sujette aux altérations et aux influences extérieures sans pour autant posséder une alternative de décision sur les réelles orientations nécessaires a un développement national utilisant les ressources nationales a tous les niveaux de ses propres besoins nationaux.
J’ai rédigé quelques articles relatifs a cette tendance qui n’est pas seulement propre au Maroc mais peut être observé dans plusieurs pays “Tiers-Mondistes.”
L’Afrique Entre dans l’Entrepreneuriat de Plein Pied
Sadikh DIOP · J’ai écrit hier : “le secteur informel de la presse”… et quelqu’un m’envoie un Inbox pour me dire : “grand tu abuses”… Ce qui me fascine le plus dans ce pays, c’est l’extraordinaire capacité des gens à se voiler la face … a faire semblant de ne rien voir…
Vous avez un secteur médiatique informel (en bonne partie pour ne pas dire presque tous les médias privés), vous avez des marchands ambulants de l’info pour ne pas dire des marchands ambulants “d’opinion” qui font le tour des Louma/marchés (plateaux télé et chaines youtube) pour vendre de la friperie non réglementée. La plupart des Louma (médias) ne respectent rien…
Qu’est ce qui leur différencie du secteur informel (pas d’ état financier pour certains, pas de déclaration fiscale pour la plupart, pas de cotisation sociale presque pour tous, des ambulants/rangu man pour animer les plateaux…)?
Pour les médias publics, ils bénéficient des fonds du contribuable mais ils sont incapables de “sortir d’usine” des produits impeccables…
Réwmi lifi nekoul secteur informel bariwoul dei…
Selon France 24: 90% des ivoiriens travaillent dans le secteur informel qui représente 40% du PIB.
400 000 Jeunes sortent du système de formation chaque année en Côte d’Ivoire dont 25% trouvent un emploi dans le secteur public et privé formel. Les 75% alimentent les réseaux migratoires et le secteur informel licite et illicite, Ce dernier secteur comprenant les vols, l’escroquerie, le trafic d’armes, d’organes humains et de drogue. Ces trafiquants deviennent des proies faciles du djihadisme qui frappent aux portes du pays par effet de contagion. Le désespoir de ces jeunes, illustre d’ailleurs la situation globale du continent Africain.
Pendant ce temps, 80% des richesses produites et 80% des bénéficiaires de la dette échappent aux acteurs locaux, conséquence du pacte économique colonial et postcolonial qui réduit considérablement le contenu local de la croissance et de l’endettement.
Sans rupture du pacte économique postcolonial et une révolution sécuritaire, monétaire, digitale, ferroviaire, maritime, aérienne, énergétique et pédagogique capables de provoquer une révolution industrielle accélérée et intégrée qui absorberait tous ces jeunes, la Côte d’Ivoire en particulier et l’Afrique en général, courent le risque d’être des théâtres d’expansion du djihadisme, de la pauvreté, du surendettement et de toutes sortes d’activités illicites. La montée de l’extrême droite en Europe et du djihadisme en Afrique ferme les portes de la solution migratoire et du secteur formel et informel licites.
Seul un gouvernement souverain ouvert à tous les pôles dans un monde multipolaire, peut tirer le meilleur de chaque pôle pour faire du pôle Africain le meilleur des meilleurs.
Laurent GBAGBO, locomotive de la gauche et de l’opposition incarne cet espoir. Se battre pour son inscription sur la liste électorale, est la condition pour réaliser cette rupture et cette révolution au risque de voir la guillotine juridique écarter les têtes qui chercheront à incarner cet espoir partout en Afrique. C’est donc la suite logique du combat pour la souveraineté de l’Afrique.
Bonne et heureuse année 2024 à toutes et à tous. – Ahoua DONMELLO
Issakha Mbaye · @URGENT : Soutien de l’Etat au secteur informel
Idrissa Seck président du parti rewmi: Nous pensons que la construction du pays doit d’abord passer par un soutien abondant et ferme de l’Etat en direction de ceux qui entreprennent, de ceux qui ont le courage et l’initiative de se réveiller et de se mettre en mouvement pour créer de la ressource, pour créer de la richesse, pour entretenir leur famille
l’informel n’est pas une fatalité mais plutôt une niche d’opportunités. Tous les jours ces travailleurs sont en quête de revenus, quelque faible que cela puisse être, pour assurer leur dépense quotidienne, nourrir leur famille, les loger, financer l’éducation et la santé de leur famille. Et c’est quelque chose qui me touche personnellement puisque mon père était dans le secteur informel. Il m’est arrivé plusieurs fois de porter son baluchon, de l’amener au marché avant d’aller à l’école. Si cela a pu produire un ancien ministre du Commerce, un ministre d’État, un Premier ministre qui aspire à diriger le Sénégal, c’est la preuve qu’avec le courage, avec l’endurance, avec la volonté de travailler, on peut y arriver. Et c’est ce que je souhaite à toutes les familles du secteur informel du Sénégal
La Solution Radicale du Gouvernement Ivoirien pour le Secteur Informel – Table-Rase
“Ils ont cassé ma maison. […] On va finir par partir et Abidjan va rester pour les riches.”
À Abidjan, en #CôtedIvoire, mendiants et vendeurs ambulants voient leurs biens saisis et leur matériel détruit. Le gouverneur entend lutter contre le “désordre urbain” avec la création d’une nouvelle brigade de police spéciale
90% dans le secteur informel
40 % du PIB
Mais en détruisant tous ça l’objectif c’est quoi en faite ?
On se rappelle tous de vos projets de gouvernement lutter contre la pauvreté la vie chère,mais sérieux vie chère la on n’a vue ça avec avec vous
On se trouve dans le contexte où le riche devient de plus en plus riches et le pauvre de plus en plus pauvre.
On ne gère pas une nation avec seulement un projet de gouvernement,mais aussi avec le coeur
Une théorie des économistes soutien que lorsque des personnes décident de partir dans d’autre pays c’est parce que les conditions de ce pays sont plus favorable à celle de leurs pays d’origine
On ne peut pas dire lutter contre l’immigration clandestine si nous même sommes acteurs de celà
Quand vous délogez les travailleurs du secteur informel sans proposer d’alternatives(que feront ils? Quelle sera l’incidence sur la qualité de vie?quel sera le taux de banditisme ?)
Quelle est la cohérence !
Quand les services municipaux prélèvent des taxes sur le secteur informel et ne font rien pour défendre leur cause?Quand vous dites des contre-vérités au peuple ?
N’est ce pas incongru!
Que l’Etat fasse semblant face à la paupérisation et la déception grandissante ?
Que dire!
Lorsque les chefs sont de mauvais exemples (aucune ampathie,manque d’intégrité, prevaricateur en chef?)
FUIR ET PARTIR MOURIR DANS L’OCÉAN NEST PAS UNE OPTION OU VIVRE COMME DES DÉGLINGUÉS DANS LES CENTRES D’ACCUEIL EN OCCIDENT N’EST PAS VIABLE.
Personne ne fera notre bonheur sans nous..
oui la liberté s’arrache, elle s’arrache avec tact,elle s’arrache avec intelligence et elle s’arrache avec le cœur.
Secteur informel : le Chef de l’État échange avec les acteurs sur la problématique de l’insertion socioprofessionnelle des jeunes
(Ouagadougou, 13 novembre 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a reçu en audience ce lundi matin, le Conseil national de l’économie informelle du Burkina Faso. Accompagné du ministre en charge de la jeunesse, Boubakar SAVADOGO, les membres du conseil sont venus échanger avec le Chef de l’État sur la problématique de l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.
Pour le ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, Boubakar SAVADOGO, il a été question du placement en position de stage des jeunes dans les entreprises du secteur informel. « Dans son appel le 17 janvier dernier à l’Université Joseph KI-ZERBO, le Chef de l’État a souhaité qu’on fasse en sorte que les jeunes apprennent rapidement des métiers pour rentrer plus facilement dans le monde du travail. Nous avons beaucoup de jeunes diplômés aujourd’hui, qui ont du mal à s’insérer dans le monde du travail ; et il y a des entreprises du secteur informel qui sont disposées à les recevoir pour leur permettre de comprendre le milieu économique de notre pays », a indiqué le ministre SAVADOGO.
Sur une prévision de 200 jeunes à placer en position de stage, l’initiative enregistre aujourd’hui plus de 3000 demandes de stages dans les entreprises du secteur informel.
Pour le président du Conseil national de l’économie informelle du Burkina Faso, Salifou NIKIEMA, cette initiative va permettre à beaucoup de jeunes diplômés de faire une immersion dans le monde du travail au sein de plusieurs entreprises du secteur informel. Selon lui, le Chef de l’État a encouragé le Conseil national de l’économie informelle et a invité tous les acteurs à une synergie d’actions en vue du renforcement de l’économie nationale.
Direction de la communication de la présidence du Faso
En République démocratique du Congo, plus de 80% des femmes entrepreneuses évoluent dans le secteur informel. Ce qui ne leur permet pas de développer leur activité ni de contribuer aux ressources fiscales congolaises. À Lubumbashi, une structure de la société civile, Heshima International, qui a récemment organisé un forum des femmes entrepreneures de RDC, encourage la formalisation de ces entreprises.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : malgré leur nombre égal dans la population mondiale, les #femmes ne sont pas également représentées dans le monde du travail.
Cette disparité se creuse encore plus dans le secteur informel, où elles rencontrent des défis uniques.
Une récente étude a mis en lumière que les entreprises détenues par des femmes dans le #SecteurInformel affichent une productivité du travail inférieure d’environ 15,6 % à celles détenues par des hommes. Ces écarts reflètent des réalités complexes liées à l’éducation, à l’expérience de gestion, à l’accès aux ressources et aux facteurs structurels.
Pourtant, le secteur informel offre des opportunités uniques en termes de flexibilité et d’accessibilité. Cependant, il est crucial de reconnaître et de surmonter les obstacles auxquels les femmes sont confrontées, notamment en matière d’accès aux ressources et de promotion de leur productivité.
Cette étude souligne l’importance de politiques et de programmes ciblés visant à soutenir les entreprises féminines dans le secteur informel, à renforcer l’éducation et la formation, ainsi qu’à promouvoir une culture inclusive et égalitaire.
Le secteur informel en Guinée englobe une variété d’activités économiques non régulées, allant du commerce de rue à l’artisanat, en passant par les services de transport et les petites entreprises familiales. Selon les statistiques de 2024, environ 70% de la population active guinéenne travaille dans ce secteur. Cette prédominance s’explique par plusieurs facteurs, notamment la faiblesse des opportunités d’emploi dans le secteur formel, le manque de qualifications professionnelles et les obstacles administratifs à la création d’entreprises formelles.
Dr. Said El Mansour Cherkaoui avec Dr. Jacques Chonchol, Ancien Ministre d’Agriculture dans le Gouvernement de Salvador Allende (Chili), Directeur de Recherches / Professeur a l’Institut des Hautes Etudes de l’Amérique Latine, Paris, 1992.
DIAL 2575
AMÉRIQUE LATINE – Essor du travail informel
Eduardo Tamayo – mardi 16 juillet 2002, par Dial
L’évolution de l’économie ces dernières années a souvent eu un coût social important, particulièrement dans les pays en développement. La dégradation des conditions de travail est marquée notamment par la part croissante de l’activité économique réalisée en dehors des structures légales établies, dans ce qu’il est convenu d’appeler le secteur informel. Dans cet article diffusé par l’agence de presse Alai/América latina en movimiento (18 juin 2002), Eduardo Tamayo revient sur ce phénomène mondial préoccupant.
Said El Mansour Cherkaoui August 24, 2014 · La poursuite de la Paix par les administrations de Washington est figée. Elle est complètement arrêtée. Elle n’avance pas du tout. Elle est sans issue. Cette situation est symbolisée par cette fenêtre/porte. Au niveau national et au sein de ses propres frontières, les Etats continuent de lutter contre la criminalité et l’accroissement des délits qui ne sont Continuer de lire plus – PubliéAugust 28, 2020
Initialement publié en October 25, 2018, 9:00 am Collection et Recueil par by Said El Mansour Cherkaoui – publié en partenariat avec le Forum MEDays. “Laissez faire!”, disaient les chantres du libéralisme au XIXème siècle. En réalité, la seule nation qui pratiquait, à cette époque, un libéralisme directement inspiré des manuels d’économie politique, était la Grande-Bretagne. … Lire la suite
Juste pour situer ce phénomène, le Mexique fait partie de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM). Il a donc des partenaires hautement développés. Néanmoins, c’est le secteur informel qui est dominé par les entrepreneuses. Ce secteur fournit le plus d’emploi tant au niveau du gendre que celui de la famille.
Au niveau de ce que l’on appelle le Secteur Informel. J’ai personnellement conduit plusieurs recherches à ce niveau. Ces recherches concernent l’Amérique Latine.
Le secteur informel du Pérou, du Brésil et de la Colombie s’était érigé comme une alternative. Le Mexique aussi en faisait partie, pour ne citer que les plus en vue. Il offrait une réponse à l’inertie bureaucratique des États. Ceux-ci étaient gouvernés a l’époque par des juntes militaires ou des -bureaucrates-technocratiques. L’essentiel de leur politique était de lutter contre ce qu’ils considéraient la subversion militante des syndicats. Ils combattaient aussi les partis représentants les travailleurs et les paysans pauvres. Leur hantise provenait donc de tout ce qui pouvait de se réclamer de gauche. Ou de sympathie d’ordre socialisante. Cela sans être pour autant communiste ou socialiste dans le vrai sens du concept idéologique et politique. … Lire la suite
Cette lutte acharnée contre les forces sociales étaient paradoxalement menée par les militaires. Ils agissaient au nom de la sauvegarde de la démocratie et de la religion chrétienne. Ils faisaient face à ce qu’ils considéraient comme atteinte et menace à l’ordre établi national. Donc une coloration nationaliste justifiait l’atteinte à la sécurité de l’appareil de l’Etat dominé par une alliance militaro-bureaucratique et technocrate. Cette religiosité de la dictature militaire apaisait l’Eglise. Elle ralliait l’Eglise à la cause des régimes autocratiques et militaires. Ces régimes craignaient une percée institutionnelle des fractions communistes au sein des communautés populaires et des groupements sociaux. Ce nouvel rapprochement et intégration de l’élément religieux fut aussi imposé par le fait. Le populisme avait démontré ses limites avec les alliances avec régimes fascistes d’Europe. Cette alliance entre l’Eglise et les Militaires ne montra ses limites qu’après leur commun conservatisme fut fissuré. Leur conservatisme a été fissuré par l’émergence d’initiatives des prêtes embrassant la Théologie de la Libération. Ils reprennaient le flambeau de la résistance des premiers Jésuites arrivées en Amérique Latine. Ils opposaient les abus exercés contre les populations “indigènes – amérindiennes”. Ils dénonçaient les violences exercées contre ces populations par les colons Européens et Ibériques.
Dans cette forme de technocratisation des rouages de l’Etat, une élite technocratique pouvait engager et s’engager avec les militaires. Le peuple en tant que tel était laissé pour compte. Des aides et des faveurs fiscales, financières et même logistiques furent octroyées aux grands groupes d’intérêts étrangers. Les multinationales devenaient ainsi la force motrice pour la croissance économique. Cette croissance était basée sur la discipline et la répression des mouvements sociaux. Cela offrait ainsi une main-d’œuvre docile. Les coûts étaient relativement beaucoup moindres au niveau du salaire comme au niveau des autres droits et couverture sociale. La protection sociale demeurait donc défaillante. Parallèlement, un dosage minutieux d’insécurité sociale était répandu. Il était renforcé par la propagande sur le spectre diabolique des régimes “communistes”. La bureaucratie profitait de la précarité sociale de l’emploi informel. Celle-ci devenait une source d’additionnels revenus à travers la corruption.
Une nouvelle classe de travailleurs était donc conditionnée par l’absence d’alternatives sociales d’émancipation. L’embrigadement militaire et technocratique servait au bien des grandes compagnies internationales. Cela se faisait tant au niveau de l’exploitation des ressources naturelles, financières qu’humaines. Cette coalition et complicité entre la classe dirigeante d’élite et le capital international comprenait des éléments militaro-bureaucratique-technocrate. Elle favorisa la création d’une nouvelle base sociale du pouvoir. La coalition impliquait des éléments militaro-bureaucratique-technocrate et le capital international. Ils formèrent une nouvelle base sociale de pouvoir. Cela se fit en amalgamant l’ancienne petite moyenne classe des entrepreneurs. Ces derniers avaient épousé les principes d’une telle internationalisation. La docile technocratie se joignit à eux. Cette dernière prolongeait de manière civile les enseignements militaires sur la sauvegarde du patrimoine chrétien. Elle assurait aussi la démocratie d’ordre nationaliste et martiale. C’était également une réponse aux nouvelles de l’internationalisation du capital productif et commercial.
Dans ces enchaînements multilatéraux et d’ordre de complémentarité entre ce qui fut appelé le centre et la périphérie, les classes paysannes étaient marginalisées. Il y avait des enchaînements multilatéraux. Ils étaient d’ordre de complémentarité entre ce qui fut appelé le centre et la périphérie. Les terres devenaient la cible d’une exploitation internationale. Les classes paysannes ne pouvaient plus adhérer. Elles étaient marginalisées. Ces terres étaient devenues la cible d’une exploitation internationale. Elles ne pouvaient pas adhérer à de telles conditions. Elles ne pouvaient plus défier une telle stratégie. Ces terres étaient devenues la cible d’une exploitation internationale. Les autres strates urbaines ne pouvaient plus adhérer ou défier une telle stratégie. Elles demeuraient ainsi à la dérive. Elles furent ainsi contraintes de gonfler les villes par une exode rurale. Cela devenait le propre de l’accroissement de la démographie des bidonvilles. Les constructions de logement n’avaient et ne répondaient à aucune normes officielles.
Les besoins d’une telle construction combinée a d’autres ont été essentiels. La situation irrégulière de toutes les actions et interactions correspondantes a changé les dynamiques. Les initiatives prises par ces nouvelles couches sociales ayant émigré en ville ont aussi contribué. Il y a eu de nouvelles dynamiques. Celles-ci furent ainsi le berceau du secteur informel. Ce secteur se développait dans la nuit. Il se développait en dehors de tout contrôle de l’Etat central ou des autorités locales et régionales.
En somme, voila grosso modo. Ce phénomène du secteur informel fut crée pour combler le vide. Ce vide a été laissé par la désertion de l’Etat militaire des secteurs sociaux. Ces secteurs ne répondent pas à la logique de l’internationalisation de l’économie nationale. Ils ne répondent pas à la sécurisation des créneaux sociaux concurrents ou menaçants. L’ennemi n’était plus aux frontières, il était identifié dans un autre voisin intérieur celui qui revendique les vrais droits démocratiques.
Face a cette dureté des régimes militaires, les tenants du capital étranger voulaient aussi avoir des garanties de droit. Ces garanties devaient être soutenues par la majorité de la nation. Elles ne devaient pas être soutenues juste par des juntes militaires, leurs soutiens factices et ses prolongations technocratiques. Les militaires n’avaient pas réussi à créer une assise large de légitimité. Ils n’avaient pas légitimé leurs actions de protection de la religion chrétienne. Un mouvement de libération prit place au sein même de l’Église. L’Église devint la protectrice des paysans pauvres démunis de leurs terres et jetés dans les rues. Elle devint aussi constructrice des nouveaux Shanti town.
Cette dislocation intérieure du pouvoir central porta un coup dur à l’harmonie religieuse visée par les militaires. Elle sapait aussi la revendication centrale de la défense de l’Occident Chrétien. Les militaires tentaient de contrer l’athéisme des militants de gauche représentant des intérêts communistes étrangers. La Guerre Froide trouvait aussi ses limites idéologiques dans une telle perte du soutien direct de l’Eglise. Les prêtres et les cardinaux devenaient du jour au lendemain des victimes de la répression. Ils souffraient comme le reste de la population engagée.
“Le Développement Durable et la Bonne Gouvernance” en lui donnant plus de poids et la présentant comme une innovation. On y ajouta le sens de responsabilisation basé sur des avancées démocratiques. Cela inclut notamment la multiplication des partis politiques et des échéances électorales. Il y a aussi une plus grande condensation du découpage et de la désignation de la régionalisation administrative. Cette dernière est doublée d’une plus large division par districts électoraux.
Cette ouverture s’était aussi traduite par une tolérance plus grande du secteur informel. Il fut considéré dorénavant comme levier de changement social et économique faisant partie de ce concept de Développement Durable. Cependant, la realité sur le terrain demeure toute autre.
Dans les pays d’Amérique latine, le taux d’emploi dans le secteur informel est même très élevé. Une augmentation rapide le caractérise par rapport à l’ensemble des emplois urbains. Le taux est passé de 50 % en 1990 à 58 % en 1997. Enfin, il se situe autour de 70 % (en moyenne). Ce chiffre, assez stable dans le temps, représente environ 35 % du PIB (en moyenne).
Dix-huit millions de personnes sont employées comme domestiques dans des foyers latino-américains. Cela représente 7 pour cent du total de la population employée. Presque 80 pour cent d’entre elles sont soumises à des conditions de travail informelles. Par conséquent, elles sont privées de la protection de la sécurité sociale. Elles touchent des salaires de misère. Elles effectuent des journées de travail épuisantes. Comme le souligne un rapport du Bureau régional de l’OIT publié aujourd’hui [11 juillet 2016].
Le travail domestique est une profession très informelle. Cette profession connaît l’un des plus hauts taux d’informalité en Amérique latine et dans les Caraïbes. Huit travailleurs domestiques sur dix sont touchés par l’informalité. Cela représente 10 pour cent de tout l’emploi informel dans la région. Le Directeur du Bureau régional de l’OIT, José Manuel Salazar, a commenté le nouveau rapport.
M. Salazar a ajouté: «C’est une situation discriminatoire complexe. Elle plonge ses racines dans l’histoire de nos sociétés. Nos sociétés sont basées sur la servitude. Elles reposent sur des attitudes. Celles-ci rendent invisible le travail des femmes, des populations autochtones, des descendants d’Africains et des migrants.»
«Améliorer les conditions de travail pour les travailleurs domestiques est une dette historique. C’est une nécessité. Nous voulons faire un saut qualitatif vers l’éradication des inégalités. Cela inclut les discriminations liées au sexe. Cela inclut aussi la pauvreté dans notre région», a conclu le Directeur du Bureau régional de l’OIT. Source
Les actualités du monde marocain ne sont que des répliques d’autres actualités. Il n’y a aucune publication basée sur une analyse ou une recherche. Vous avez donc besoin d’une meilleure référence. Pour la Banque mondiale, il s’agit de politiques de conditionnalité. Ce ne sont pas des préoccupations profondes concernant les Marocains qui n’ont pas de compte bancaire. Ce n’est pas non plus lié à des préoccupations pour ceux qui n’ont pas de revenus réguliers. Ce dernier est l’élément le plus important à présenter dans toute recherche ou étude sur le système bancaire marocain.
Dans ce classement, la présentation s’est concentrée uniquement sur le dernier trou en cascade des tendances. Elle s’est aussi concentrée sur les flux de revenus en aval. Ces flux proviennent de la source qui est un emploi régulier et reconnu. La propriété d’entreprise, qui sont les 2 bases pour ouvrir un compte courant au Maroc, a été également considérée. Pas d’argent, pas de miel, pas de compte courant, pas de travail, pas d’argent à montrer. De nombreuses transactions au Maroc sont effectuées en espèces. L’argent reste l’autre roi au Maroc, même pour les personnes qui ont un compte courant ou un compte d’épargne. Le système informel n’est pas seulement pratiqué par les citoyens marocains.
De nombreuses nationalités venant également des pays subsahariens le pratiquent également. Ils ont un grand niveau d’adaptation à l’environnement commercial parallèle marocain. Ils veulent aussi intégrer le tissu de la culture des moyens marocains. Ils adoptent aussi les façons marocaines de mener des opérations et des transactions commerciales. Cela se fait à travers une clientèle spécifique et sélectionnée des classes populaires.
Ces services apportent une grande contribution à la vie quotidienne au Maroc et fournissent des services plus proches des gens. L’importance du secteur informel est également pertinente pour les économies latino-américaines. Elles ont été les premières à lancer ce mouvement. Ce phénomène est apparu au cours des années 60 et au début des années 70. Parmi elles se trouvent le Mexique et le Pérou comme plateformes initiales. Cela s’explique par la montée de l’exode rural. La récession a dominé l’économie mondiale suite à la quadruplication du prix du pétrole en 1973.
Dans ce domaine, il faut aussi prendre en compte ce point. De nombreuses institutions financières offrent des services bancaires sans être une banque. C’est le cas de la Poste – Barid. La présentation ici reste instructive. Elle indique une réalité qui doit être abordée de l’intérieur du pays. Cela ne doit pas être fait du point de vue de ces institutions financières internationales. Ces institutions ont leurs motivations dans leurs soi-disant conclusions et recommandations. Ces conclusions restent déformées par l’intérêt personnel et l’autopromotion. Cela s’applique aux solutions et services qu’elles fournissent. Cela s’applique également à la ligne de crédit qu’elles ouvrent aux pays membres de leur organisation.