AGOA 2025: Opportunités économiques en Afrique Subsaharienne
Said El Mansour Cherkaoui ©
AGOA 2025: Opportunités économiques en Afrique Subsaharienne
Ce titre met en avant les opportunités économiques offertes par l’AGOA jusqu’en 2025, attirant ainsi l’attention des lecteurs intéressés par les affaires en Afrique.Développement économique en Afrique: Loi AGOA et opportunités commerciales
Ce titre met en avant la loi AGOA comme un catalyseur de développement économique en Afrique, attirant ainsi l’attention des lecteurs intéressés par les affaires et le commerce sur le continent.Loi AGOA: Croissance économique et opportunités commerciales en Afrique
Ce titre met en avant le lien entre la loi AGOA, la croissance économique et les opportunités commerciales en Afrique, attirant ainsi l’intérêt des lecteurs concernés par les affaires sur le continent.
Photo de l’audience durant la Conférence Internationale sur l’Afrique organisée par Said El Mansour Cherkaoui en association avec le East Bay Center for International Trade Development et les organismes de l’Etat de Californie et Fédéraux versés dans la promotion de l’AGOA et l’Afrique. La conférence eut lieu dans l’Hôtel Claremont à Oakland, Californie.
L’African Growth and Opportunity Act (AGOA) est une loi commerciale américaine promulguée en 2000. L’AGOA a été créée dans le cadre d’une législation plus large adoptée par le président Bill Clinton pour renforcer les liens commerciaux des États-Unis avec l’Afrique et les Caraïbes. La loi bénéficie d’un large soutien bipartisan aux États-Unis.
La loi offre un accès en franchise de droits au marché américain pour la plupart des exportations en provenance des pays éligibles d’Afrique subsaharienne. L’objectif de l’AGOA est de promouvoir la croissance économique grâce à la bonne gouvernance et au libre marché.
L’AGOA a été prolongée en 2015 pour 10 ans supplémentaires, jusqu’en 2025. La loi offre un accès en franchise de droits aux marchés américains aux pays d’Afrique subsaharienne qui remplissent certaines conditions en matière d’état de droit, de droits de l’homme et de protection du travail. L’AGOA offre un accès en franchise de droits au marché américain pour plus de 1 800 produits.
Ce qui se passe actuellement en Afrique n’est pas seulement la moisson des récoltes saisonnières du passe colonial ou bien le produit des nouvelles graines biotechniques d’effervescence néo-colonial transformant la nature Africaine en un territoire parsemé d’artifices et de déviations artificielles entraînant des déviations de toutes les possibilités de croissance ou de progrès au niveau de émergence de possibilités d’indépendance et d’autosuffisance.
Loin de tout cela, l’Afrique est restée au berceau de l’apprentissage martial sans déborder sur le plan de la découverte de nouveaux espaces de recherche et developpement d’aggrandissement des reves et des espoirs de celles et ceux ayant mis leurs vies sur le chemin de l’emancipation tribale, le recouvrement de l’identite locale, regionale et nationale si ce n’est intercontinentale, et qui voulaient que l’Afrique devienne le lieu de la cohabitation humaine liberee du fardeau d’une histoire gommee, et d’une memoire imposee d’allure amnesique.
Ces individus etaient des aventuriers de la liberte institutionnelle et de la dignite culturelle, sans pour autant avoir des ideologies et des croyances dogmatiques pouvant les opposer a toute forme de contradictions heritees ou face a la montee de nouvelles formes importees sous forme de recommendations et de plan de developpement erigees par des institutions occidentales se voulant et se presentant comme les detentrices des modeles de la croissance et des verites de développement vu que ces memes sources de conseils etaients les pourvoyeurs des ressources financieres et d’investissement dans ces programmes de redressement et de stimulation de la croissance ainsi que sous forme de remedes face aux malaises resultant de ces memes recommendations. Des Institutions qui recommendaient des plans de développement qui sont en meme temps les fournisseurs de therapie et de remede-choc et meme d’amaigrissement avec des mesures “Tight-belt policies” se creant ainsi des demandes et des clients en aval et en amont dans le meme marche et dans la meme demande et le meme client.
Ainsi, le client est rendu malade pour en faire un patient et par la suite lui administrer a compte goutte des pains killers et non des remedes definitifs pour le rendre dependant de ces adoucissants limitant la souffrance dans le temps, l’espace et l’etendue afin de pouvoir continuer cette forme relationnelle interdependante.
Qu’est ce que vous pensez de tout cela?
Veuillez partager votre réaction, point de vue ou considération sur ce que l’Afrique est en train de traverser en cette traversée temps a travers les Coups d’Éclat Militaires dont certains sont considérés comme préventifs au lieu d’etre des actions orientées par et visant des changements réels pour l’éclatement des maillons de la chaîne de complicité institutionnelle, de contrôle et de domination tant locale, régionale et nationale.
Dans cette perspective, le Coup d’Etat du Gabon est définit par certains comme étant une action de préservation du pouvoir entre les mains de la même clique qui depuis plus de 50 ans avait instaure une dynastie gouvernante avec l’aval des puissances étrangers et a leur tete, les occupants du Palais de l’Elysee Metropolitain. De meme, le coup d’Etat au Gabon est justifie par les ecrits de plusieurs journalistes et reporteurs qui presentent les difficultes sociales, la pauvrete, l’absence de bonne gouvernance, la corruption et les autres maux sociaux comme etant de la responsibilite directe du President Ali Bongo et les membres de sa famille. Par contre pour ce qui est des autres coups d’etats militaires dans la region, sans exception, ils furent condamnes et le Niger fut et continue d’etre menace d’intervention militaire africaine et francaise pour retablir le president elu qui fut ecarte du pouvoir par un coup d’etat militaire.
Ainsi, le soit-disant renversement de Ali Bingo Binga Bongo n’est en définitive selon certains skeptiques n’est une dispute dans le Palais Présidentielle d’envergure familiale et de rivalités internes faisant des bulles a la suite d’une tempête dans une bouteille de champagne. La direction relation du Leader , vu que l’actuel leader est le cousin direct du President déchu. En plus, juste une semaine apres un coup d’état sans effusion de sang, le général Oligui, qui a mené le coup d’Etat du 30 août 2023 contre un Ali Bongo à peine proclamé réélu dans une élection «frauduleuse», a prêté serment lundi en tant que Président d’une période de transition dont il n’a pas fixé la durée, et au terme de laquelle il promet de «rendre le pouvoir aux civils» par des élections.
Le président de la transition au Gabon, le général Brice Oligui Nguema, a nommé jeudi le 7 Septembre 2023 comme premier ministre Raymond Ndong Sima, un économiste et virulent opposant au président Ali Bongo Ondimba, renversé par les militaires il y a une semaine.
Raymond Ndong Sima, 68 ans, avait été chef du gouvernement d’Ali Bongo de 2012 à 2014 mais s’était éloigné du pouvoir qu’il accusait depuis de mauvaise gouvernance, jusqu’à se présenter aux présidentielles de 2016 et 2023. Pour cette dernière, il s’était désisté au dernier moment au profit d’un candidat commun de l’opposition.
Mes écrits sur l’Afrique remonte a des décennies et embrasse plusieurs aspects de son évolution et son avance vers la prise de conscience intrinsèque.
Pour moi l’Afrique depuis que j’ai commencé mes études en France en 1972/73, je me suis progressivement heurter a des résistances de la part de ceux que je pensais être les supporteurs du changement et du progrès social dans les pays a cette époque que l’on désignait comme le Tiers-Monde et plus tard le Quart-Monde.
A SciencesPo Grenoble, lors de ma deuxieme annee d’etudes, cette resistance de la part de certaines personnes etait devenu agressive et ouverte ainsi que repressive. Je vous laisse decouvrir la suite dans mes publications sur cette periode obscurtantiste de la part de ceux qui devraient etre les lumieres de la connaissance:
Afrique – Chine: 1977 Grand Prix SciencesPo Grenoble
Posted on April 10, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Modèle de la Chine pour l’Afrique Défendu par Said El Mansour Cherkaoui pour le Grand Prix SciencesPo Grenoble Afrique Murée à Sciences Po Grenoble: Forteresse […]
https://marocroissance.wordpress.com/2023/04/10/prix-defense-chinois-sciencespo-grenoble/
Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec toi et que tu peux consulter et reviser dans ce lien:
Destin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
Posted on August 25, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Résultats de recherche pour : africafrique memoire
Afrique, Coup d’État Militaire, Destin Africain
Destin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
Photo de l’audience durant la Conférence Internationale sur l’Afrique organisée par Said El Mansour Cherkaoui en association avec le East Bay Center for International Trade Development et les organismes de l’Etat de Californie et Fédéraux versés dans la promotion de l’AGOA et l’Afrique. La conférence eut lieu dans l’Hôtel Claremont à Oakland, Californie. L’African Growth and Opportunity Act (AGOA) est une loi commerciale américaine promulguée en 2000. L’AGOA a été créée dans le cadre d’une législation plus large adoptée par le président Bill Clinton pour renforcer les liens commerciaux des États-Unis avec l’Afrique et les Caraïbes. La loi bénéficie d’un … Continuer de lireDestin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
Afrique, Coup d’État Militaire, Destin Africain, GABONLaisser un commentaire
Destin Africain, Gabon: Bingo Bongo: Coup d’Éclat – Coup d’Etat
IL Y A EU LE PRINTEMPS ARABE ET MAINTENANT ON A L’ÉTÉ INDIEN AFRICAIN Continuer de lireDestin Africain, Gabon: Bingo Bongo: Coup d’Éclat – Coup d’Etat
Africa, Chine, Développement Durable Régional, FRANCE, Maroc, Said El Mansour Cherkaoui
Afrique – Chine: 1977 Grand Prix SciencesPo Grenoble
AFRICAFRIQUE Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec vous et que vous pouvez consulter et réviser et remonter a mon attachement a l’Afrique encore Etudiant a SciencesPo Grenoble et ayant le courage et la volonté de présager l’Afrique dans ses nouvelles formes d’expression propres quitte a se faire menacer directement d’être même expulser de cette enceinte du Savoir SciencesPo de Grenoble et je ne fus pas le seul dans ce cas, seul échappait ceux qui faisait parti de la bande des « Beni Oui Oui » et « Oui Missiou. » SciencesPo … Continuer de lire
Espace Athlétique de Said El Mansour Cherkaoui Publiee 6 Septembre 2023
Les Bases Militaires Étrangères en Afrique c’est les Bases de la Construction de la Soumission des Pays Africains aux Pouvoirs Étrangers
Quand une simple petite épine s’est plantée dans la patte du Lion Africain, même le plus maladroit singe peut danser et se moquer du Lion sans que le Lion puisse sauter, réagir ou courir après le singe et le singe le sait.
🌍 Voilà ce qu’est une base militaire étrangère plantée dans le pied d’un pays Africain, il ne peut marcher ni chasser les moqueries et les manipulations agaçantes et sous-développantes 🌍
Changement dans la Continuité Saisonnière
🌍
Printemps Arabe – Été Africain
🌍 Une Grande Question se Pose
🌍
A qui Profite ces Coups d’États Cascades? 🌍
Durant les trois années passées, l’Afrique anciennement colonisée par la France est le théâtre de 9 coups d’État – Mali, Guinée, Burkina Faso, Tchad, Niger, Tunisie, et actuellement Gabon qui partagent un commun dénominateur: voisins et localisés dans la région de l’Afrique morcelée par le colonialisme Français et par les Élites Techno-Énarques Parisiennes soutenant banques, compagnies minières avec l’aval de politiciens à la solde des grands groupes financiers investisseurs.
Cette Afrique “Française,” devint exposée à l’Islamisme et au résidu de l’assassinat de Kadhafi et fut progressivement Prise en Otage par les Menaces d’Intervention Militaires Externes et Régionales.
Les Leaders Africains continuent de prêcher l’alternance démocratique mais appliquent la maintenance de la notion dynastique de Chef de Tribu à la tête d’un État Électoraliste Militarisé. Cette militarisation de régimes favorisa l’émergence de nouvelles castes militaires professionnalisées et diplômées des écoles technico-martiales et d’intelligence anti-insurrectionnelles dépassant le savoir des parlementaires. Ces programmes financés par les métropoles occidentales sont consolidés sur le terrain par un encadrement local concurrentiel sous forme d’installations de bases militaires européennes, américaines, russes et même de Chine.
Ce bouclier et oasis de Paix fictif, derrière lequel les Présidents Construisent leurs Mansions – Prisons dont les gardiens sont leurs gardes présidentielles. Ces Bastions Présidentiels deviennent des Châteaux de Carte et se transforment en Maison d’Arrêt de leurs propres bâtisseurs. Ainsi, un moindre coup de semonce se transforme en coup d’État et tout s’écroule autour de la Démocratie de façade à l’Africaine.
Combien de combines et de candidats restent-ils en Afrique pour un coup d’Éclat militaire?
Est ce que les militaires africains ont déposé les armes du changement dans une boîte de suggestions?
Une boîte ou on dépose et on propose les candidatures de pays ou renverser la vapeur du pouvoir et changer la direction libérale démodée du train de vie politicien?
La chaudronnière africana en effervescence et le rouleau compresseur africain remontent la pente de la tromperie électoraliste pour aplanir le terrain populaire de la représentation directe.
Chaudevant – vent chauderrière – Au suivant – ALLEZ BINGO ALI BONGO
La dernière goutte dynastique qui fait déborder le vase de la Présidence à Vie!
Hasta la vista l’héritage dynastique et élitiste
DESTIN AFRICAIN AUJOURD’HUI : AFRICAFRIQUE
LA DÉCONSTRUCTION DE LA MISSION DE LA SOI-DISTANTE MISSION DE PAIX AU NIGER
En Afrique, on ne peut être au four et au moulin en même temps vu que les pays africains sont des mosaïques imbriquées construits a travers une dispersion des ethnies et des tribus qui sont identiques et similaires sans pour autant être abritées dans un même pays couvrant un territoire qui leur est propre. Les ethnies africaines sont parsemées dans différents pays voisins tout en étant de la même langue et la même culture mais ne possédant pas la même nationalité ni jouissant ensemble en tant que communauté homogène et intégrée des mêmes droits. Chaque ethnie demeure donc minoritaire et sujette d’abus et de manipulation des autres ethnies périphériques et surtout devenant marginalisée par rapport a l’ethnie qui au centre forme l’Élite dirigeante et militaire si ce n’est entreprenante recevant et jouissant des faveurs du pouvoir central.
Cet heritage politico-ethnique et topographique de la distribution du pouvoir et de la répartition déséquilibrée des ethnies dans des pays partageant les mêmes frontières sans pour autant partageant les mêmes objectifs de développement ou de répartition équitable de la reconnaissance sociale et politique des ethnies ayant des extensions dans le pays voisin avec lequel a travers de tel accaparement et une pareille monopolisation du pouvoir dans un environnement socio-ethnique contrôlé par l’existence de forces dominantes dans un équilibre des forces tribales et ethniques caractérisé et alimenté par des faiblesses de représentation, de reconnaissance et d’acceptation.
Ces faiblesses distillées selon les circonstances et la volonté de maintenir un système de castes monolithiques imposent et provoquent des tensions permanentes alimentées notamment par l’existence de foyers de mécontentements et de conflits inter-tribaux qui dégénèrent en guerre civile, en soulèvement régional et en conflit inter-étatique en Afrique.
Une aubaine a se faire manipuler comme des marionnettes par des mains étrangères portant des gants pour ne point dévoiler leur origine ethnique ou nationale.
#afrique #saidelmansourcherkaoui #triconsultingkyoto #tateyokoresearchinstitute #morocco #africa #africandiaspora #africanentrepreneurs #saidelmansourcherkaoui #afrique #africafrique
Driss Chraïbi 🌐Frantz Fanon Abdelkebir Khatibi:
Driss Chraïbi 🌐 Abdelkebir Khatibi font partie intégrante des écrivains marocains les plus célèbres qui ont axé leurs premières œuvres sur la narration d’une mémoire sculptée telle qu’une Œuvre Autobiographie unique enracinée dans l’évolution sociale du Maroc devenant ainsi une référence incontournable dans l’histoire littéraire et culturelle marocaine, nord-africaine et africaine.
MÉMOIRE D’AFRIQUE EN FRANCE
🌍 La meilleure manière et la bonne gouvernance c’est de dénoncer l’abus et l’injustice sans bouger le petit doigt pour la détruire et la rendre plus juste.
Apres la dénonciation, on continue le Business comme rien n’était, on ne bouge pas le petit doigt, mieux encore on s’en lave les mains et c’est le changement du ton dans la continuité de l’exploitation qui prime dorénavant.
Avec tout le respect pour Jacques Chirac Repose en Paix et Béatitude Éternelle, mais il faisait parti de tout un système érigé et oriente vers l’exploitation de l’Afrique et tous en profitaient a gauche comme a droite. j’ai paye un grand prix pour cela voila mon récit et cela durant l’Apogée et l’ascendance de Jacques Chirac comme pilier de la V “aime République”.
🌍 Africa and Said El Mansour Cherkaoui at Sciences Po Grenoble in 1977-78 – Said El Mansour Cherkaoui May 26, 2023 –
🌍 Africa – Afrique by Said El Mansour Cherkaoui – Said El Mansour Cherkaoui May 13, 2023 –
🌍 Chinese Development Model Defended: SciencesPo Grenoble Prize for Said El Mansour Cherkaoui – Said El Mansour Cherkaoui April 20, 2023 –
Destin Africain, Guinée: Bauxite, Beau Exit Alpha Condé
Destin Africain, Guinée: Bauxite, Beau Exit Alpha Condé par Said El Mansour Cherkaoui
Infrastructure héritée de la France au Nord Mali et Guinée, Image _Cellou Kansala Diallo Editor Said El Mansour Cherkaoui ★ Africa ★ Afrique ★ Said … Continue reading Destin Africain, Guinée: Bauxite, Beau Exit Alpha Condé
Destin Africain, Congo: Tensions Extraverties et Richesses Minières
Destin Africain, Congo: Tensions Extraverties et Richesses Minières – par Said El Mansour Cherkaoui – Congo Distorsions Africaine Richesse Minière, Pauvreté Sociale, Déphasage Institutionnel, Violence Organisationnelle En 2019, le continent a produit près d’un milliard de tonnes de minerais d’une … Continue reading Destin Africain, Congo: Tensions Extraverties et Richesses Minières
Destin Africain, Niger: Tensions Extraverties et Richesses Minières
Destin Africain, Niger: Tensions Extraverties et Richesses Minières par Said El Mansour Cherkaoui
Afrique: Territoires bouleversés, frontières disputées, espaces éclatés, régimes renversés, richesses minières usurpées Destin Africain, Guinée: Bauxite, Beau Exit Alpha Condé Destin Africain, Congo: Tensions Extraverties … Continue reading Destin Africain, Niger: Tensions Extraverties et Richesses Minières
Destin Africain: Endetté, les créanciers vous prendront …
Destin Africain: Endetté, les créanciers vous prendront par Said El Mansour Cherkaoui …
Dans son rapport intitulé “Perspectives économiques en Afrique”, la BAD montre que la dépréciation d’une devise est l’un des principaux moteurs de la dynamique de … Continue reading Destin Africain: Endetté, les créanciers vous prendront …
Destin Africain: Commentaire des Citoyens Français
Destin Africain: Commentaire des Citoyens Français par Said El Mansour Cherkaoui
Destin Africain: Déformée, Découpée, Éclatée Teresita Dussart Teresita Dussart• 2nd• 2nd Directeur des Opérations. Experte en Intelligence Stratégique. 3d • • Follow -Anne, … Continue reading Destin Africain: Commentaire des Citoyens Français
Said El Mansour Cherkaoui ©
L’Etranger
Etranger dans sa Demeure de Vacances, Etranger dans sa Résidence Quotidienne
D’autres destinations plus abordables à l’étranger, comme toujours, vous citez toujours une fausse raison et une fausse cause.
Quand vous prenez l’avion, vous payez 100 dollars pour avoir un sac en plus a faire rentrer dans l’avion, un sac avec des gâteaux marocains vu que c’est le Ramadan et vous voulez ramener du Maroc les petits gâteaux pour vos enfants pour partager avec eux durant le mois de Ramadan quelques traditions marocains et qu’un énergumène se dresse devant vous et vous donnes l’ordre de lui donner ce petit sac et bloque votre entrée dans la passerelle pour joindre l’Avion de Air France alors que que la majorité des Français voyageurs avaient deux sacs a main y compris le sac a dos, et tant que Marocain résidant a l’Etranger pour 50 ans, vous faites face a une telle situation, qu’est ce que vous allez penser du Maroc.
A Casablanca, cet individu vous dit de se mettre dans le coin et vous traite comme un rien du tout pour attendre son MANAGER, alors que tous le personnel est Marocain, vous leur parler en tant que Marocain, vous leur expliquer le contenu léger du petit sac, ils vous regardent comme si vous leur demander l’aumône. Le MANAGER arrive, il ne veut pas m’écouter, je lui dis que j’ai paye 100 dollars en supplément du prix du ticket pour couvrir les frais du sac additionnel.
Au lieu de vérifier sur l’Écran du PC, il me demande la preuve. Bravo la tech est en panne a Nouasseur. Comme mon accent est de Doukkala, il croit que je suis derriere les plantes du Karmousse et Bacor, et aussi comme si je transporte avec moi un bureau.
Eh oui, j’ai paye 100 dollars ce que ces deux energumenes n’encaissent pas pendant toute une journee de travail et il me demande de fournir une preuve, alors que le gars avant me dit que sur l’ordinateur sans me le montre j’ai droit a un sac. Encore, on est des immigres qui ne savent rien, donc il nous bombarde avec le computer sans nous montrer la preuve.
A leur grand étonnement, je leur montre la copie du reçu avec les 100 dollars écrit noir sur blanc. Bingo, leurs bouches deviennent soudainement cousues mais no excuse rien, no paroles explicatives, je suis le dernier a monter a bord, tous les passagers étaient déjà assis. Le Chef de Cabine Français de Air France m’approche et me demande la raison de ce retard, je lui reponds que c’est une fausse manœuvre de gestion du bagage. En fait, j’ai vecu presque 15 ans en France avant d’aller aux USA.
Et voila que l’énergumène Marocain me poursuit dans l’avion, et je lui dit en Dialecte de Doukkala que entre Marocains on devrait avoir une certaine équité et une égalité de se faire traiter par des compatriotes et non pas faire la différence alors que les autres passagers français ne furent soumis au même régime que vous avez fait, alors il commence a me menacer de me faire descendre de l’avion de Air France, il ne sait pas que seul le Chef de Cabine a ce pouvoir. Ils nous traitent comme ignorant des règles du bon service de clientèle.
Il ne faut aller chercher des raisons abordables au niveau des prix ou de coût, on a pour 50 ans paye les prix pour revenir chez nous, sans essayer de marchander ce prix, c’est ces manières de nous traiter a tous les niveaux que l’on a simplement marre ni plus ni moins.
On nous prends nos propriétés héritées de nos parents en plus de que j’ai décrit, comment voulez vous que l’on retourne alors que nous sommes pas chez nous selon ce Maroc qui nous exploite et rejette, nous pille de nos propres biens familiaux que nous voulons légitiment garde pour les passer comme ancrage a/pour nos enfants avec ce Maroc qui n’est plus de rêve mais proche du cauchemar.
La diaspora marocaine aux États-Unis : Un aperçu
La diaspora marocaine aux États-Unis est un sujet complexe et riche d’histoire. Bien qu’il soit difficile d’établir des chiffres précis en raison de la mobilité de cette population et des différentes méthodes de recensement, on estime que la communauté marocaine aux États-Unis se compte en centaines de milliers d’individus.
Les origines de la diaspora
Les premiers Marocains à s’installer aux États-Unis étaient principalement des étudiants et des professionnels qualifiés. Cependant, c’est à partir des années 1960, avec le développement économique américain et la recherche de main-d’œuvre, que les flux migratoires se sont intensifiés. De nombreux Marocains ont alors quitté leur pays d’origine pour travailler dans divers secteurs, notamment l’industrie, la construction et les services.
Les raisons de l’émigration
Les raisons qui poussent les Marocains à émigrer vers les États-Unis sont multiples :
- Raisons économiques: La recherche d’un emploi mieux rémunéré et de meilleures conditions de vie est souvent le principal moteur de l’émigration.
- Raisons familiales: Le regroupement familial est un autre facteur important, avec de nombreux Marocains rejoignant des membres de leur famille déjà installés aux États-Unis.
- Raisons politiques: Les périodes de troubles politiques au Maroc ont également pu inciter certains à quitter leur pays.
- Raisons éducatives: De nombreux jeunes Marocains choisissent de poursuivre leurs études supérieures aux États-Unis, attirés par la qualité de l’enseignement et les opportunités professionnelles.
L’intégration et la contribution à la société américaine
Les Marocains vivant aux États-Unis se sont généralement bien intégrés dans la société américaine. Ils ont contribué au développement économique du pays et ont enrichi la culture américaine par leur diversité. On retrouve des Marocains dans tous les domaines d’activité, de l’entreprise à la politique, en passant par la science, la culture et les arts.
Les défis
Malgré leur succès, les Marocains aux États-Unis ne sont pas à l’abri des défis. Ils doivent faire face à des problèmes similaires à ceux rencontrés par d’autres communautés immigrées, tels que la discrimination, la préservation de leur identité culturelle et l’accès à certains services.
Les liens avec le Maroc
Les Marocains vivant aux États-Unis entretiennent des liens étroits avec leur pays d’origine. Ils contribuent au développement économique du Maroc en envoyant des fonds à leurs familles et en investissant dans le pays. Ils jouent également un rôle important dans la promotion de l’image du Maroc à l’étranger.
En conclusion, la diaspora marocaine aux États-Unis est une communauté dynamique et diversifiée qui joue un rôle important dans les relations entre les deux pays.
Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter les ressources suivantes :
- Livre blanc sur les Marocains des États-Unis : https://www.fh2mre.ma/wp-content/uploads/2023/05/Livre-marocain-de-lexterieur-2021-chapirtre-24.pdf
- Article sur la diaspora marocaine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora_marocaine
- https://www.linkedin.com/embed/feed/update/urn:li:share:7230876196928966656
Diaspora marocaine aux Etats Unis Show drafts
La diaspora marocaine aux États-Unis : Un aperçu
La diaspora marocaine aux États-Unis est un sujet complexe et riche d’histoire. Bien qu’il soit difficile d’établir des chiffres précis en raison de la mobilité de cette population et des différentes méthodes de recensement, on estime que la communauté marocaine aux États-Unis se compte en centaines de milliers d’individus.
Les origines de la diaspora
Les premiers Marocains à s’installer aux États-Unis étaient principalement des étudiants et des professionnels qualifiés. Cependant, c’est à partir des années 1960, avec le développement économique américain et la recherche de main-d’œuvre, que les flux migratoires se sont intensifiés. De nombreux Marocains ont alors quitté leur pays d’origine pour travailler dans divers secteurs, notamment l’industrie, la construction et les services.
Les raisons de l’émigration
Les raisons qui poussent les Marocains à émigrer vers les États-Unis sont multiples :
- Raisons économiques: La recherche d’un emploi mieux rémunéré et de meilleures conditions de vie est souvent le principal moteur de l’émigration.
- Raisons familiales: Le regroupement familial est un autre facteur important, avec de nombreux Marocains rejoignant des membres de leur famille déjà installés aux États-Unis.
- Raisons politiques: Les périodes de troubles politiques au Maroc ont également pu inciter certains à quitter leur pays.
- Raisons éducatives: De nombreux jeunes Marocains choisissent de poursuivre leurs études supérieures aux États-Unis, attirés par la qualité de l’enseignement et les opportunités professionnelles.
L’intégration et la contribution à la société américaine
Les Marocains vivant aux États-Unis se sont généralement bien intégrés dans la société américaine. Ils ont contribué au développement économique du pays et ont enrichi la culture américaine par leur diversité. On retrouve des Marocains dans tous les domaines d’activité, de l’entreprise à la politique, en passant par la science, la culture et les arts.
Les défis
Malgré leur succès, les Marocains aux États-Unis ne sont pas à l’abri des défis. Ils doivent faire face à des problèmes similaires à ceux rencontrés par d’autres communautés immigrées, tels que la discrimination, la préservation de leur identité culturelle et l’accès à certains services.
Les liens avec le Maroc
Les Marocains vivant aux États-Unis entretiennent des liens étroits avec leur pays d’origine. Ils contribuent au développement économique du Maroc en envoyant des fonds à leurs familles et en investissant dans le pays. Ils jouent également un rôle important dans la promotion de l’image du Maroc à l’étranger.
En conclusion, la diaspora marocaine aux États-Unis est une communauté dynamique et diversifiée qui joue un rôle important dans les relations entre les deux pays.
Pour en savoir plus, je vous invite à consulter les ressources suivantes :
- Livre blanc sur les Marocains des États-Unis : https://www.fh2mre.ma/wp-content/uploads/2023/05/Livre-marocain-de-lexterieur-2021-chapirtre-24.pdf
- Article sur la diaspora marocaine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora_marocaine
Avez-vous d’autres questions sur la diaspora marocaine aux États-Unis ?
- Les principales villes où vivent les Marocains aux États-Unis
- Les associations marocaines présentes aux États-Unis
- L’impact de la diaspora sur les relations entre le Maroc et les États-Unis
Les principales villes où vivent les Marocains aux États-Unis
Les associations marocaines présentes aux États-Unis
L’impact de la diaspora sur les relations entre le Maroc et les États-Unis
Les Marocains aux États-Unis : Une présence diversifiée et dynamique
Les principales villes où vivent les Marocains aux États-Unis
La diaspora marocaine aux États-Unis est dispersée à travers le pays, mais on retrouve des concentrations importantes dans certaines villes. Les principales agglomérations où les Marocains sont nombreux sont :
- New York : La Grosse Pomme abrite l’une des plus importantes communautés marocaines aux États-Unis. La diversité des quartiers de New York permet aux Marocains de s’intégrer tout en préservant leur identité culturelle.
- Los Angeles : La ville des anges accueille également une communauté marocaine florissante, notamment dans des quartiers comme Westwood et North Hollywood.
- Detroit : La ville du Michigan a attiré de nombreux travailleurs marocains dans le secteur automobile, ce qui a contribué à former une communauté solide.
- Chicago : La troisième plus grande ville des États-Unis compte également une communauté marocaine active, particulièrement dans les quartiers sud et ouest.
- Washington D.C. et ses environs : La capitale fédérale et les villes voisines abritent une communauté marocaine composée en grande partie de professionnels et de diplomates.
Il convient de noter que cette liste n’est pas exhaustive et que de nombreuses autres villes à travers le pays comptent des communautés marocaines plus petites mais tout aussi dynamiques.
Les associations marocaines présentes aux États-Unis
Pour maintenir leurs liens avec la culture marocaine et favoriser l’entraide, les Marocains aux États-Unis ont créé de nombreuses associations. Ces organisations ont pour objectifs :
- L’entraide sociale : Elles offrent une assistance aux nouveaux arrivants, organisent des événements culturels et des collectes de fonds pour des causes humanitaires au Maroc.
- La promotion de la culture marocaine : Les associations organisent des festivals, des cours de langue et de danse, et participent à des événements interculturels.
- Le lobbying : Elles défendent les intérêts de la communauté marocaine auprès des autorités américaines et marocaines.
Ces associations jouent un rôle essentiel dans la vie de la diaspora marocaine aux États-Unis. Elles permettent aux membres de se retrouver, de partager leurs expériences et de renforcer leur sentiment d’appartenance à la communauté.
L’impact de la diaspora sur les relations entre le Maroc et les États-Unis
La diaspora marocaine joue un rôle important dans le renforcement des relations entre le Maroc et les États-Unis. En effet, elle contribue à :
- Renforcer les liens économiques : Les Marocains vivant aux États-Unis investissent dans leur pays d’origine, créent des entreprises et facilitent les échanges commerciaux.
- Promouvoir la culture marocaine : Les associations culturelles organisent des événements qui permettent de faire connaître la richesse et la diversité de la culture marocaine aux Américains.
- Influencer les politiques publiques : Les membres de la diaspora peuvent influencer les décisions politiques des deux pays en faisant entendre leur voix et en participant à la vie politique.
La diaspora marocaine aux États-Unis est donc un pont entre les deux pays, favorisant la compréhension mutuelle et le développement de relations solides et durables.
En conclusion, la diaspora marocaine aux États-Unis est une communauté dynamique et diversifiée qui contribue au développement économique et culturel des deux pays. Les Marocains vivant aux États-Unis sont fiers de leurs origines et s’engagent à préserver leur identité culturelle tout en s’intégrant pleinement dans la société américaine.
Pour approfondir vos connaissances, je vous invite à consulter les ressources suivantes :
- Livre blanc sur les Marocains des États-Unis : https://www.fh2mre.ma/wp-content/uploads/2023/05/Livre-marocain-de-lexterieur-2021-chapirtre-24.pdf
- Diaspora marocaine – Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora_marocaine
Les principales villes où vivent les Marocains aux États-Unis Où il y a le plus de marocain ? Quel est la meilleur ville du Maroc pour vivre ?
La diaspora marocaine aux États-Unis : Une analyse plus approfondie
Vous avez tout à fait raison de souligner le caractère général de ma réponse précédente. Pour apporter plus de précisions, il est nécessaire d’approfondir certaines données et d’analyser les spécificités de la diaspora marocaine aux États-Unis.
Difficultés d’obtenir des données précises
Malheureusement, il est complexe d’obtenir des statistiques exactes et à jour sur la diaspora marocaine aux États-Unis. Plusieurs raisons expliquent cette situation :
- Absence de recensement spécifique: Les recensements américains ne catégorisent pas les individus par origine nationale aussi précisément que dans certains autres pays.
- Mobilité de la population: Les migrations intra-États-Unis et les retours au Maroc rendent difficile le suivi de la population marocaine.
- Auto-identification: La manière dont les individus se déclarent (Marocain, Arabe, Nord-Africain) peut varier.
Quelques estimations et tendances
Malgré ces difficultés, certaines estimations et tendances peuvent être observées :
- Croissance constante: On estime que la communauté marocaine aux États-Unis a connu une croissance constante depuis les années 1960, bien qu’à un rythme moins rapide que dans d’autres pays d’accueil.
- Concentration dans les grandes villes: Comme mentionné précédemment, les grandes métropoles comme New York, Los Angeles, Chicago et Detroit concentrent une part importante de la diaspora.
- Forte présence dans les secteurs de l’éducation et de la santé: De nombreux Marocains aux États-Unis sont des professionnels qualifiés travaillant dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’ingénierie et des technologies de l’information.
- Engagement civique: La communauté marocaine est activement impliquée dans la vie civique américaine, en participant à des élections, en créant des associations et en soutenant des causes sociales.
Les organisations marocaines aux États-Unis
Il existe un réseau dense d’associations marocaines aux États-Unis, couvrant un large éventail d’activités :
- Associations culturelles: Elles organisent des festivals, des cours de langue et de danse, et promeuvent la culture marocaine.
- Associations religieuses: Elles gèrent des mosquées et organisent des activités spirituelles.
- Associations professionnelles: Elles regroupent des professionnels marocains issus de différents secteurs (médecine, ingénierie, etc.).
- Associations étudiantes: Elles soutiennent les étudiants marocains et organisent des événements sur les campus universitaires.
Quelques exemples d’organisations marocaines aux États-Unis:
- Le Conseil Américain-Marocain (AMC): Une organisation à but non lucratif qui promeut les relations entre les États-Unis et le Maroc.
- Les associations régionales: Il existe de nombreuses associations régionales, comme l’Association des Marocains de New York ou l’Association des Marocains de Californie.
- Les associations étudiantes: De nombreuses universités américaines abritent des associations étudiantes marocaines.
L’impact de la diaspora sur les relations bilatérales
La diaspora marocaine joue un rôle crucial dans le renforcement des relations entre le Maroc et les États-Unis. Elle contribue à :
- Renforcer les liens économiques: Les transferts de fonds, les investissements et les échanges commerciaux entre les deux pays sont en partie le fruit de l’activité de la diaspora.
- Promouvoir la culture marocaine: Les événements culturels organisés par les associations marocaines contribuent à faire connaître la richesse et la diversité de la culture marocaine aux États-Unis.
- Influencer les politiques publiques: La diaspora exerce une influence sur les décisions politiques des deux pays, en particulier en matière de coopération économique et culturelle.
En conclusion, la diaspora marocaine aux États-Unis est une communauté dynamique et diversifiée qui joue un rôle important dans les relations entre les deux pays. Bien qu’il soit difficile d’obtenir des données précises sur cette communauté, les tendances observées montrent une croissance constante et une intégration réussie dans la société américaine.
Pour obtenir des informations plus précises, je vous recommande de consulter les rapports suivants:
- Livre blanc sur les Marocains des États-Unis: [https://www.fh2mre.ma/wp-content/uploads/2023/05/Livre-marocain-de-lexterieur-2021-chapirtre-24.pdf]
- Rapports des organisations marocaines aux États-Unis: De nombreuses associations publient des rapports annuels ou des études sur leur communauté.
N’hésitez pas à me poser d’autres questions si vous souhaitez approfondir certains aspects de cette thématique.
Seriez-vous intéressé par des statistiques plus précises sur un aspect particulier de la diaspora marocaine aux États-Unis, comme par exemple leur répartition géographique, leur niveau d’éducation ou leur participation à la vie politique ?
Je suis d’origine marocaine et je vis depuis 35 ans aux Etats Unis, vos reponses sont tres pauvres avec une absence totale de donnees et d’intelligence analytique et de defition. Si on arrive pas a avoir des donnees sur les Marocain/es c’est que le Gouvernement des Etats Unis nous considerent et nous classifie comme des Caucasiens et a partir de la, on est europeanise a contre verite et on nous fait diluer dans le savon d’Omo qui lave plus blanc que le blanc, selon une publicite d’Omo en France dans les annees 70. Show drafts
Je comprends votre frustration. Il est en effet difficile d’obtenir des données précises et détaillées sur la diaspora marocaine aux États-Unis, notamment en raison des catégories raciales utilisées dans les recensements américains qui ne correspondent pas toujours à l’auto-identification des individus.
Votre observation sur la classification des Marocains comme “Caucasiens” est pertinente et soulève d’importantes questions. Cette catégorisation, qui ne tient pas compte de la diversité ethnique et culturelle du continent africain, a des conséquences sur la visibilité et la reconnaissance des communautés d’origine nord-africaine aux États-Unis.
Pourquoi il est difficile d’obtenir des données précises ?
- Catégories raciales limitées: Les catégories raciales utilisées par le Bureau du recensement des États-Unis sont souvent binaires (noir/blanc) ou regroupent des populations très hétérogènes sous des termes génériques comme “blanc” ou “asiatique”.
- Auto-identification variable: La manière dont les individus se déclarent peut varier en fonction de leur génération, de leur niveau d’éducation et de leur expérience personnelle. Certains peuvent se déclarer “arabes”, “nord-africains” ou “blancs”.
- Sous-dénombrement: Il est possible que certains Marocains ne soient pas comptabilisés dans les statistiques officielles, soit parce qu’ils ne se sont pas identifiés comme tels lors du recensement, soit parce qu’ils vivent dans des communautés marginalisées.
Quelles sont les conséquences de cette invisibilisation statistique ?
- Manque de reconnaissance: L’absence de données spécifiques sur la communauté marocaine limite sa visibilité et peut entraver la reconnaissance de ses besoins spécifiques.
- Difficulté à obtenir des financements: Les organisations communautaires marocaines peuvent avoir du mal à obtenir des financements publics ou privés en l’absence de données solides sur leur communauté.
- Sous-représentation politique: La sous-représentation statistique peut se traduire par une sous-représentation politique, les décideurs politiques étant moins susceptibles de prendre en compte les intérêts de la communauté marocaine.
Des pistes pour améliorer la situation
- Militantisme communautaire: Les organisations marocaines aux États-Unis peuvent mener des campagnes de sensibilisation pour promouvoir une meilleure reconnaissance de la communauté et encourager les membres à se faire recenser en utilisant des catégories plus spécifiques.
- Collaboration avec les chercheurs: Les chercheurs peuvent mener des études approfondies sur la diaspora marocaine afin de mieux comprendre sa situation et ses besoins.
- Réforme des catégories raciales: Il est nécessaire de repenser les catégories raciales utilisées dans les recensements pour qu’elles reflètent mieux la diversité de la population américaine.
En conclusion, la question de l’identité et de la visibilité de la diaspora marocaine aux États-Unis est complexe et multidimensionnelle. Il est essentiel de continuer à travailler pour améliorer la collecte de données et la reconnaissance de cette communauté.
- La répartition géographique de la communauté marocaine aux États-Unis ?
- Le niveau d’éducation et les professions exercées par les Marocains-Américains ?
- Les défis auxquels ils sont confrontés en matière d’intégration et de discrimination ?
20 ans de Travaux de Said El Mansour Cherkaoui sur les États-Unis et le Royaume du Maroc
2004 – 2024
23 Juillet 2004 – Said El Mansour Cherkaoui –
Célébration des 20 ans de travail sur la relation USA – Royaume du Maroc par Dr Said El Mansour Cherkaoui
2004
2024
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – ★ Catalyseur stratégique stimulant les investissements, le commerce et le développement des affaires entre les États-Unis, le Maroc et l’Afrique ★ Conseiller politique principal en affaires internationales ★ Conférencier accompli ★ Rédacteur en chef de l’actualité distinguée ★ E-mail : Saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
7 – 23 – 2004 – 7 – 23 – 2024
Célébration des 20 ans de travail sur la relation USA – Royaume du Maroc par Dr Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.
Affaires, investissement, commerce, culture et éducation
S’appuyant sur le Royaume du Maroc et le Traité de paix et d’amitié des États-Unis de 1787
Dr Saïd Cherkaoui Ph.D. a consacré les 20 dernières années au renforcement des relations entre le Royaume du Maroc et les Etats-Unis
Le Dr Said El Mansour Cherkaoui a consacré les 20 dernières années au renforcement des relations entre le Royaume du Maroc et les États-Unis. Son travail couvre divers secteurs, notamment les affaires, l’investissement, le commerce, la culture et l’éducation.
Contributions clés :
- Centre pour le Développement du Commerce International (CITD) au Maroc : Représentation de 25 produits et entreprises alimentaires de Californie et des États-Unis à l’American Café / Trade Show organisé par la FDA américaine et le Département d’État américain à Casablanca, au Maroc.
- Visites officielles : A joué un rôle central dans l’organisation de la visite ministérielle officielle à Palo Alto le 10 mai 2024, renforçant ainsi la coopération bilatérale.
- Échange culturel : Organisation de nombreux événements culturels et échanges éducatifs pour promouvoir la compréhension et l’appréciation mutuelles des cultures marocaine et américaine.
- Collaborations académiques : partenariats établis entre des universités marocaines et américaines, favorisant les échanges académiques et la collaboration en matière de recherche.
- Publications et plaidoyer : Rédaction de plusieurs articles et rapports soulignant les avantages d’une relation USA-Maroc solide et plaidant en faveur de politiques de soutien.
- Leadership à la Chambre de Commerce de San Francisco : A été co-président du Comité des affaires internationales de 1994 à 1998, contribuant à l’arrivée de la première délégation chinoise, de la première délégation égyptienne, du Conseil camerounais du thé et du café et de la délégation ghanéenne. , entre autres activités.
Expérience en enseignement:
Officiers enseignants de l’US Air Force à Fairfield Base, Californie : Le Dr Tony Branch m’a donné le privilège et le devoir d’enseigner des cours à la Travis Air Force Base. Cette « lettre de reconnaissance » a été écrite par le capitaine Larson, l’un de mes « étudiants-gentleman-officiers ». En plus de m’appeler dans les airs depuis le carling de leurs « Funny Flying Machines », ils m’ont également montré les avions qui ont atterri au Maroc pendant la Seconde Guerre mondiale et plus tard. Cet épisode de formation des pilotes seniors de l’US Air Force est l’une des meilleures de mes médailles d’honneur académiques.
Lettre de recommandation:
- Capitaine Scott Larson : A rédigé une lettre de recommandation mettant en avant les cours et programmes de formation que j’ai dispensés à la base aérienne de Travis.
- Premier lieutenant Steve Martinez : J’ai également fourni une lettre de recommandation pour mon travail à la base aérienne de Travis.
Références académiques et commerciales :
- Dr Wesley Young, directeur des services aux étudiants et universitaires internationaux à l’Université de Californie, Davis : A loué ma solide formation universitaire et ma riche expérience en affaires, faisant de moi l’un des membres du corps professoral les plus efficaces de l’Université dominicaine de San Rafael.
- Ersan Ertuzun, superviseur des communications d’entreprise au WTC Istanbul : a reconnu ma contribution exceptionnelle au développement des affaires internationales, y compris les missions commerciales et le développement des petites entreprises.
Citation : « Je suis honoré d’avoir consacré les 20 dernières années au renforcement des relations entre le Maroc et les États-Unis. Notre histoire commune et nos intérêts mutuels constituent une base solide pour une collaboration et une croissance continues », a déclaré le Dr Cherkaoui.
Objectifs futurs : Le Dr Cherkaoui vise à approfondir davantage les relations Maroc-États-Unis à travers de nouvelles initiatives et partenariats, axés sur le développement durable, l’innovation et les échanges culturels.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Dr Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. à Saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
À propos du Dr Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. : Il est un expert reconnu en matière de commerce international et de développement, qui se concentre sur la promotion de relations bilatérales solides entre le #Maroc et les #États-Unis. Son travail couvre plusieurs secteurs, notamment les affaires, l’investissement, le commerce, la culture et l’éducation.
Dr Cherkaoui & Centre pour le Développement du Commerce International ★ CITD au Maroc
Le Dr Cherkaoui a représenté 25 entreprises/produits alimentaires de Californie et des États-Unis à l’American Cafe/Trade Show organisé par la FDA américaine et le Département d’État américain à Casablanca, au Maroc.
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Analyse de l’Afrique – Maroc
🌍 Top Analyses et Priorités de l’Afrique 🌍 Top Analyses et Priorités pour l’Afrique 🌍 Newsletter hebdomadaire 937 abonnés Abonnés
My Father Moulay Ahmed Cherkaoui at 24 was the First Muslim Transporter in the History of Morocco
The First Muslim Moroccan Investor in Starting Transportation Operations Toutes Directions in the History of Morocco
First Moroccan Muslim Contractor of Public Transport in Early 1920 – Twenties of 20th Century: Moulay Ahmed Cherkaoui at 24 was the First Muslim Transporter in Morocco By Dr. Said El Mansour Cherkaoui Son of Moulay Ahmed Cherkaoui Father of Moulay Ahmed Cherkaoui Said El Mansour Cherkaoui PARENTAL HERITAGE OF MOROCCAN NATIONALISM This is Haj Ahmed Cherkaoui All … Continue reading
Said El Mansour Cherkaoui Pro Endeavors
🌎 Analyst World Affairs ★ Author ★ Elaboration of Predictive Studies ★ Keynote Speaker ★ Entrepreneurial Planning ★ Business Development ★ United States ★ Europe ★ France ★ Morocco ★ China ★ Sub-Saharan Africa 🌍 Project Development Specialist ★ Entrepreneurship ★ International Trade and Business ★ Faculty ★ 🌍 France and USA: Research and Academia, Letters … Continue reading
Étude de cas d’opportunité d’investissement : Royaume du Maroc
Comme pour tout service organisationnel ou investissement étranger recherché, TRI CK USA propose à ses clients de mener des recherches approfondies et de prendre en compte des facteurs tels que la réglementation, les nuances culturelles et la gestion des risques, ce qui fournira des vues latérales actualisées et un panorama horizontal du climat d’investissement et des pratiques commerciales dans Maroc
Synthèse sur la nouvelle stratégie de développement et d’investissement du Royaume du Maroc
Le Maroc met en place un cadre et des composantes qui peuvent être multiples et diverses dans leur contenu local et dans leurs déterminations régionales ainsi que dans leurs objectifs externes et globaux. Cette stratégie est orientée par la sélection de ressources minières, de secteurs industriels et de productions technologiques et énergétiques de premier plan qui deviennent le centre et la raison d’une concurrence internationale acharnée. Ces domaines avancés de conception et de développement sont les sujets et les objectifs qui différencient le niveau de maîtrise technologique et d’autosuffisance et le leadership productif sectoriel entre les nations dans leur volonté d’établir de nouvelles règles de gouvernance comme alternative à l’échec de la mondialisation qui n’a pas répondu. aux intérêts géostratégiques locaux, régionaux, nationaux et « internationaux » mais imposent des interventions plus compétitives et motivées par la guerre comme la régulation du flux de ressources naturelles et primaires nécessaires pour alimenter une telle expansion mondiale réalisée sans coussins ni filets sociaux de sécurité et sans défense idéologique. et les remèdes politiques.
La dynamique du Maroc est une réponse à ces interférences et à une démarche de rejet et d’adhésion des nations dans une nouvelle identification des formes de concurrence. Le Maroc positionne son économie et ses alliances extérieures comme un agent de liaison régional, un canal de dialogue, un interlocuteur allié et un négociateur commercial au sein duquel il équilibre les forces entre les sphères d’influence et les groupes de changements.
Le Maroc a ratifié 72 traités d’investissement pour la promotion et la protection des investissements et 62 accords économiques, notamment avec les États-Unis et la plupart des pays de l’UE, qui visent à éliminer la double imposition des revenus ou des gains. Le Maroc est le seul pays du continent africain à avoir conclu un accord de libre-échange (ALE) avec les États-Unis, éliminant les droits de douane sur plus de 95 pour cent des biens de consommation et industriels éligibles.
Le gouvernement du Maroc prévoit d’éliminer progressivement les droits de douane sur certains produits jusqu’en 2030. L’ALE soutient les objectifs du Maroc de se développer en tant que centre financier et commercial régional, offrant des opportunités de localisation de services et de finition et de réexportation de marchandises vers les marchés d’Afrique. , l’Europe et le Moyen-Orient. Depuis l’entrée en vigueur de l’ALE entre les États-Unis et le Maroc, le commerce bilatéral de marchandises a presque quintuplé.
Les gouvernements américain et marocain travaillent en étroite collaboration pour accroître le commerce et les investissements par le biais de consultations de haut niveau, de dialogues bilatéraux et d’autres forums visant à informer les entreprises américaines des opportunités d’investissement et à renforcer les liens interentreprises.
Réflexions du Royaume du Maroc en Californie
Par Said El Mansour Cherkaoui – TRI CONSULTING KYOTO – 27 MAI 2024 – Said El Mansour Cherkaoui accueillant Son Excellence Si Mohcine Jazouli, le Ministre de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des Publics … Continuer la lecture
Quelles sont les mesures gouvernementales pour motiver ou restreindre les investissements au Maroc ?
La nouvelle charte des investissements introduite en juillet 2016 dans le cadre de la loi 60-16 et remplaçant une précédente charte mise en place en 1995, crée des zones de libre-échange dans chacune des 12 régions du pays , reconnaît le statut d’exportateur indirect et crée des incitations. pour les entreprises industrielles et exportatrices. Il restructure également les activités de promotion des investissements sous l’égide de l’Agence marocaine centralisée pour le développement des investissements et l’exportation. Une direction générale du commerce, une direction générale de l’industrie et une agence dédiée au développement de l’économie numérique et de l’e-gouvernement ont également été créées dans le cadre de la nouvelle charte.
Les IDE (Investissement Direct Etranger) en Chiffres
Après une baisse pendant la récession mondiale, les flux d’IDE (Investissements Directs Étrangers) vers le Maroc ont augmenté en 2014 et 2015, dépassant les 3 milliards de dollars. Toutefois, en 2016, les flux ont chuté de 29 %, à 2,32 milliards de dollars. La stabilité du pays devrait attirer davantage d’investisseurs. Par ailleurs, un vaste projet de modernisation économique a été lancé pour dynamiser les IDE. Casablanca ambitionne notamment de devenir une place financière internationale. Traditionnellement, la France, l’Arabie Saoudite et l’Espagne sont les trois principaux investisseurs. Les IDE se concentrent principalement dans le secteur immobilier, suivi de l’industrie et du tourisme.
Source : Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED)
Flux d’investissements directs étrangers par pays et secteur au Maroc
Investissement direct étranger, entrées nettes (% du PIB) – Maroc
Fonds monétaire international, bases de données sur les statistiques financières internationales et la balance des paiements, Banque mondiale, statistiques de la dette internationale et estimations du PIB de la Banque mondiale et de l’OCDE. Licence : CC BY-4.0
Voici quelques pays et secteurs qui ont investi au Maroc à travers des investissements directs étrangers (IDE) : En 2022, les principaux pays investisseurs par actions étaient la France (30,8%), les Émirats arabes unis (EAU) (20,3%), l’Espagne (8 %), la Suisse (5,7 %) et les États-Unis (5 %). Au premier trimestre 2022, les principaux investisseurs étaient les États-Unis, la France et les Émirats arabes unis.
Les secteurs qui reçoivent le plus d’IDE sont :
- Industrie : près d’un quart des IDE
- Immobilier : 20% des IDE
- Communication : 12,4% des IDE
- Tourisme : 9,5% des IDE
- Énergie et mines : 6,4% des IDE
- Banque : 5,7% des IDE
L’objectif est d’être considéré comme un intermédiaire alternatif et fiable et comme une plateforme de transfert et de transformation des valeurs existantes créées et recherchées de manière avancée. La participation multiple du Maroc aux événements internationaux, la signature de traités commerciaux et d’accords d’investissement, l’implication directe dans la sécurité et les alliances stratégiques sont les expressions institutionnelles de l’intégration des affaires, de l’acceptation diplomatique et de l’harmonisation culturelle motivées par la recherche de bénéfices mutuels et d’échanges complémentaires. avec un transfert d’intelligence technologique et de savoir-faire opérationnel que le Maroc s’efforce de concrétiser. Un nouveau modèle de développement basé sur la production d’énergie propre reste le facteur déterminant pour conglomérer ces facteurs de développement similaires mais non identiques.
MAROCAINS DIASPORA AFRICAINE ENSEMBLE NOUS LEVONS
Stamp on Moroccan-American Treaty of Peace and Friendship
Treaty of Peace and Friendship between the United States and the Moors
★ Maroc ★ États-Unis ★ Maroc ★ Californie ★
Articles sur les relations Maroc – USA par Said El Mansour Cherkaoui
Said El Mansour Cherkaoui: U.S. and International Reflections on the Kingdom of Morocco
Dr. Said El Mansour Cherkaoui Approches Explained: Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. Said Cherkaoui Ph.D. I publish articles, reports, and analyses on #Morocco #Africa #Europe #Northamerica #SouthAmerica and #Asia. Memories and Writers of Legacies are among my favorites where I extract personages and wise minds when I am writing about the treasures of humanity identified in my cultural background like … Continue reading
Said El Mansour Cherkaoui: Mr. International
Legend of the Article Cover Image: 2004 a Casablanca with His Excellency, the U.S. Ambassador Mr. Arthur Riley U.S. Ambassador in Morocco, Mr. Omar Bouafi a Moroccan Assistant to Dr. Said El Mansour Cherkaoui, and at the Casablanca Café organized in Morocco by the U.S. Department of State, the U.S. Food and Drug Administration and … Continue reading
Avec EBCITD – Said El Mansour Cherkaoui Représentant 25 Entreprises US/Californies à Casablanca – Maroc
American Café à Casablanca – Maroc en présence de Said Cherkaoui représentant l’EBCITD et 25 entreprises alimentaires américaines. Ce salon a été un facilitateur pour les négociations à venir et la signature de l’accord de libre-échange États-Unis – Maroc. J’ai rencontré des exportateurs, des importateurs, des dirigeants des plus grandes entreprises et des décideurs aux niveaux local, régional et national.
Le Dr Cherkaoui a représenté 25 entreprises/produits alimentaires de Californie et des États-Unis à l’American Café/Trade Show organisé par la FDA américaine et le Département d’État américain à Casablanca, au Maroc.
Said El Mansour Cherkaoui: Mr. International
Ms. Agricultural and Commercial Attache at the Embassy in Morocco His Excellency, the U.S. Ambassador Mr. Arthur Riley U.S. Ambassador in Morocco, Mr. Assistant to the Ambassador, Dr. Said El Mansour Cherkaoui and Mr. Omar Bouafi at the Casablanca Cafe organized in Morocco by the U.S. Department of State, the U.S. Food and Drug Administration and the U.S. Department of Commerce … Continue reading
USMO: United States and Morocco
Initially published on December 1, 2023, 5:45 AM – Updated on 6/11/2024 at 5:45 PM
Said El Mansour Cherkaoui: Trade Missions and International Conferences
Dr. Said El Mansour Cherkaoui Leading United States Trade and Business Mission in Morocco
Glocentra, EBCITD with the U.S. Department of States, U.S. Department of Food and Drug Administration, U.S. Department of Commerce, and the U.S. Embassy in Morocco … Continue reading
★ Morocco ★ USA ★ California ★ International Relations by Said El Mansour Cherkaoui ★
TRI CK USA – By Said El Mansour Cherkaoui Sciences Po, GrenobleUniversité Grenoble Alpes – IREPInstitut des Hautes Etudes de l’Amérique Latine, ParisUniversité de la Sorbonne, Paris III The Moroccan-American Friendship up-to-this date [2019] has lasted more than 240 years: The Barbary Treaties 1786-1816 Treaty with Morocco June 28 and July 15, 1786 Treaty of Peace and Friendship, with additional article; also Ship-Signals Agreement. … Continue reading
Morocco ★ USA ★ Morocco ★ California
Articles on Morocco – USA Relations by Said El Mansour Cherkaoui
Said El Mansour Cherkaoui: U.S. and International Reflections on the Kingdom of Morocco
Dr. Said El Mansour Cherkaoui Approches Explained: Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. Said Cherkaoui Ph.D. I publish articles, reports, and analyses. Memories and Writers of Legacies are among my favorites where I extract personages and wise minds when I am writing about the treasures of humanity identified in my cultural background like … Continue reading
US-Morocco Free Trade Agreement
Said El Mansour Cherkaoui, January 2, 2018 The Morocco Free Trade Agreement (MAFTA) went into effect on January 1, 2006. Under the agreement, most Moroccan goods enter the United States duty-free, and virtually all will enter free by the time it is fully implemented on January 1, 2023. The Morocco FTA does NOT provide … Continue Reading →
Morocco Profile: Investment and Trade Trends
May 2, 2024 Said El Mansour Cherkaoui Morocco and United States Trade Relations Morocco is located in Northwestern Africa and is slightly geographically larger than California. The capital of Morocco is Rabat, which is bordered. …Rea Mord
Said El Mansour Cherkaoui and U.S. – Morocco Trade, Business and Investment Missions
April 21, 2024 – Said El Mansour Cherkaoui – High-level Moroccan Delegation in a Business, Investment, and Trade Mission Inviting Silicon Valley – Bay Area U.S. and Moroccan Professionals MAY 10, 2024 – 6:00 PM Event of the Cocktail. … Read More
Trade and Diplomacy: USA and Morocco
December 16, 2020 – Said El Mansour Cherkaoui The U.S.-Moroccan Free Trade Agreement (FTA), signed in 2006, made Morocco the first African country to sign such an agreement with the United States. Such action has renewed the privilege that Morocco had to be the first … Continue reading
MAFTA – Morocco Free Trade Agreement
– Editor: Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. The Morocco Free Trade Agreement (MAFTA) went into effect on January 1, 2006. Under the agreement, most Moroccan goods enter the United … Continue reading
Morocco and California Trade
– Said El Mansour Cherkaoui, December 16, 2020 California exported to Morocco $116.9 million in 2019 and $111 million of goods. … Continue reading
Trade MOROCCO USA
Articles on Morocco – USA Relations by Said El Mansour Cherkaoui Trade and Diplomacy: USA and Morocco Said El…Continue Reading →
United States of America and Kingdom of Morocco
Morocco and United States Trade Relations by Said El Mansour Cherkaoui December 29, 2020, U.S. Trade and Investment with Morocco Revitalized by Said El Mansour Cherkaoui December 25, 2020, Lire la suite United States of America and the Kingdom of Morocco Continue reading→
United States and California Relations with Morocco
The Moroccan-American friendship on this date [2019] has lasted more than 240 years: The Barbary Treaties 1786-1816 Treaty with Morocco June 28 and July 15, 1786 … Continue reading
Prospects of the US and Morocco Relation
Said El Mansour Cherkaoui, Executive Editor, October 25, 2020 United States Ambassador to Morocco, Mr David Fischer … Continue reading
Morocco and United States Trade Relations
December 29, 2020 – Dr. Said El Mansour Cherkaoui and His Global Interactions and Endeavors Morocco has ratified 71 bilateral investment treaties for the promotion and protection of investments and 60 economic agreements – including with the United States and most EU nations– that aim to eliminate the double taxation of income or gains. Morocco is the only country on the African continent with … Continue reading
U.S. Trade and Investment with Morocco Revitalized
Said El Mansour Cherkaoui, 12/25/2020 – Northern California Office The US DFC has made several announcements signifying its efforts to expand into Morocco – including the opening of a new Prosper Africa regional office … Continue reading
29 JUN 2024 – Said El Mansour Cherkaoui
Investment
Determinations and Qualifications: Orientations and Results
L’Invitation au Voyage au Pays des Merveilles for and to our Future Readers
Meeting with Moroccans in Silicon Valley
Dr. Said El Mansour Cherkaoui Road to Morocco and USA Roadshow by Moroccan Officials By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. _ Said Cherkaoui Ph.D.Contact: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com Invest in Morocco: Where Vision Creates Opportunities – Where Culture, History, and Present Progress Are the Driving Forces of Change and DevelopmentMorocco offers a wealth of investment opportunities driven by … Continue reading
Moroccan High-Ranking Government Officials Blessing Frisco Bay
Moroccan Trade Mission in Silicon Valley – California Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. ★ Senior Policy and Business Adviser ★ Consultant ★ News Executive Editor ★ Public Speaker ★ Good Day U.S. and Moroccan Professionals in the Silicon Valley and Bay Area of San Francisco High-level Moroccan Delegation in a Business, Investment and Trade Mission … Continue reading
Moroccans Meeting in the United States of America
Said El Mansour Cherkaoui Welcoming His Excellency Si Mohcine Jazouli, the Minister of Investment, Convergence and Evaluation of Public Policies « Thrilled to have convened an inspiring gathering in Silicon Valley, bringing together Moroccan professionals from diverse sectors. Proud of such a dynamic community and excited for future collaborations!» Declaration by His … Continue reading
Investment and Trade Moroccan Delegation in USA
Moroccan Diaspora Worldwide Network – 4 – 23 – 2024 – Ali MEHREZ • Dear Moroccan Professionals in Silicon Valley, Looking forward to welcoming you! The venue will be shared shortly. ★ Morocco ★ USA ★ California ★ International Relations by Said El Mansour Cherkaoui ★ TRI CK USA By Said El Mansour … Continue reading
Publications by Said El Mansour Cherkaoui: USA-Morocco
Said El Mansour Cherkaoui: Mr. International Legend of the Article Cover Image: His Excellency, the U.S. Ambassador Mr. Arthur Riley U.S. Ambassador in Morocco, Mr. Omar Bouafi a Moroccan Assistant to Dr. Said El Mansour Cherkaoui at the Casablanca Café organized in Morocco by the U.S. Department of State, the U.S. Food and Drug Administration … Continue reading
From West North Africa to West North America
Morocco-United States Relation and American-Moroccan Diaspora M Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – Said Cherkaoui Ph.D. Contact for needs of additional info:– Email: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com MEETING WITH MOROCCANS IN SILICON VALLEY Meeting with Moroccans in Silicon Valley Dr. Said El Mansour Cherkaoui Road to Morocco and USA Roadshow by Moroccan Officials By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. _ Said … Continue reading
Morocco Tech Representatives at Silicon Valley Tech Firms
Real High-Level Delegation of Moroccan Government Visiting E-Gov and Cloud of Silicon Valley Computing and E-Gov A high-level Moroccan delegation in a trade mission in the U.S. Ghita Mezzour, PhD Ministre Déléguée Chargée de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration Ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration … Continue reading
Morocco Flying Clouds from Palo Alto, Silicon Valley to Marrakech, GITEX AFRICA
From West North Africa to West North America Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. ★ Strategic Catalyst Driving U.S.-Morocco-Africa Investment, Trade, and Business Development ★ Senior Policy Adviser in International Affairs ★ Accomplished Public Speaker ★ Distinguished News Executive Editor ★ 95 articles May 28, 2024 By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. _ Said Cherkaoui Ph.D. … Continue reading
TRI CK USA – Good Day U.S. and Moroccan Fellows U.S. and Moroccan Professionals in the Silicon Valley and Bay Area of San Francisco It is with immense personal pride and a professional sense of dignity to be able in a lifetime to receive representatives of the Country of my birth and growth and growth and my own ancestral family: the … Continue reading
Road to Morocco and USA Roadshow
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. ★ Strategic Catalyst Driving U.S.-Morocco-Africa Investment, Trade, and Business Development ★ Senior Policy Adviser in International Affairs ★ Accomplished Public Speaker ★ Distinguished News Executive Editor ★ Road to Morocco and USA Roadshow by Moroccan Officials Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. welcoming His Excellency Si Mohcine Jazouli, the MICEPP – … Continue reading
Investment and Trade Moroccan Delegation in USA
TRI CONSULTING KYOTO – Strategic planning provides a roadmap, aligns objectives, and optimizes resource allocation, while business development identifies opportunities, builds relationships, and drives revenue growth. TRI CK USA delivers solutions and results that … Continue reading
From West North Africa to West North America
Be Better Informed on Africa – Published weekly1,019 subscribers
Published By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. ★ Strategic Catalyst Driving U.S.-Morocco-Africa Investment, Trade, and Business Development ★ Senior Policy Adviser in International Affairs ★ Accomplished Public Speaker ★ Distinguished News Executive Editor ★
“The Best Is Yet To Come “
Investment and Trade Moroccan Delegation in USA
Dear Moroccan Professionals in Silicon Valley, Looking forward to welcoming you! Venue will be shared shortly. ★ Morocco ★ USA ★ California ★ International Relations by Said El Mansour Cherkaoui ★ TRI CK USA By Said El Mansour Cherkaoui – Sciences Po, Grenoble Université Grenoble Alpes – IREP – Institut des Hautes … Continue Reading
DIASPORA OF AFRICAN EXECUTIVES
95 articles – May 28, 2024
By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. _ Said Cherkaoui Ph.D. – Contact: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
La conquête de l’Ouest américain – Comment la technologie ouest-américaine a été conquise par les Maures d’Afrique de l’Ouest
Morocco-United States Relation and American-Moroccan Diaspora
Relation Maroco-Américaine et Diaspora Américano-Marocaine
Moroccan Diaspora Worldwide NetworkMoroccan Diaspora Worldwide NetworkSaid El Mansour Cherkaoui Ph.D. • YouSaid El Mansour Cherkaoui Ph.D. • You1mo • Edited • 2 months ago
Attention Please:
Click on this weblink first to access the related pages on the meeting with the Moroccan Official Delegation at the Silicon Valley – Palo Alto
https://lnkd.in/ge_U2thF
https://triconsultingkyoto.com/?s=Delegation
Contact for needs of additional info:– Email: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – Said Cherkaoui Ph.D.
I hope you have a great day and Welcome, it will be nice to See there.
Moroccan Trade Mission – triconsultingkyoto.com
Investment and Trade Moroccan Delegation in USA
Dear Members of the @Moroccan Diaspora Worldwide Network
We have corrected the link to our publications.
Below you’ll be able to access the correct pages and documents stating directly and related to the visit of our Moroccan Official Delegation to the Silicon Valley, the San Francisco Bay Area, and the related meeting presenting the Moroccan Drive and Attractivity of Talents, Entrepreneurs, and High-level Moroccan delegation in a trade mission Inviting Silicon Valley – Bay Area U.S. and Moroccan Professionals
Moroccan Trade Mission – Good Day U.S. and Moroccan Fellows
MAY 10, 2024 – 06:00 PM – Event of the Cocktail Reception at
FOUR-SEASON HOTEL IN SILICON VALLEY EAST OF PALO ALTO
2050 UNIVERSITY AVENUE, EAST PALO ALTO, CALIFORNIA 94303 U.S.A.
– Phone: 1 (650) 566 -1200
Please CLICKING on the next link to access and fill out the form that will confirm your attendance at the event: https://forms.office.com/r/G2ZjmJW2TN
Please spread the news about this highly sought-after Moroccan Business Meeting in Silicon Valley, California.
Dear Moroccan Professionals in the Silicon Valley,
Looking forward to welcoming you!
Venue will be shared shortly.
Confirmations to:
–> moroccousa@amdie.gov.ma
PREVIOUS ANNOUNCEMENT PRESENTED HERE ONLY FOR ARCHIVAL REFERENCE – CHECK THE AFOREMENTIONED UPDATE
Moroccan Official Delegation will be in the USA from May 6th to 14, 2024:
Texas – California – Washington State
State of Texas:
– Dallas: May 6th and 7th
– Austin: May 8th
State of California:
– San Francisco: May 9 to 11
A cocktail will be hosted on May 10th (evening).
State of Washington:
– Seattle: 13th and 14th.
Moroccan Investment and Export Development Agency – AMDIE
Official Moroccan Delegation Visiting the United States To Meet with All of You – Welcome to All of You –
The Red and Green Moroccans – Moors Are Coming to America:
Get Ready to Meet the Official Moroccan Delegation seeking to reinforce trends and diversify exchanges of investment, business, and trade relationships between the U.S. and Morocco by showcasing and increasing awareness about Morocco’s potential as an international investment and sourcing hub.
This Morocco Delegation is formed by Government Decision-Makers and Business Leaders who will meet with all interested private and group investors, business owners, and individual entrepreneurs interested in Morocco as a competitive manufacturing/outsourcing platform to address markets in Europe, Africa, and the Middle East, utilizing the numerous Free Trade Agreements the Kingdom has signed.
This Moroccan Official Delegation will be in the USA from May 6th to 14, 2024, visiting the following U.S. States and Cities on these dates:
All Moroccan professionals are welcome. For more details, click on the aforementioned weblink or the article listed here below this text.
Confirmations to: moroccousa@amdie.gov.ma
Moroccan Official Delegation will be in the USA from May 6th to 14, 2024: Texas – California – Washington State
Dear Moroccan Professionals in the USA,
An important business delegation, including high government officials and private sector representatives, will be in the USA during the period May 6th to 14:
– Dallas: May 6th and 7th
– Austin: May 8th
– San Francisco: May 9 to 11
A cocktail will be hosted on May 10th (evening). All Moroccan professionals are welcome. Confirmations to: moroccousa@amdie.gov.ma
– Seattle: 13th and 14th.
The delegation is aimed at showcasing Morocco’s potential as an international investment and sourcing hub In addition to meeting with American companies interested in Morocco as a competitive manufacturing/outsourcing platform to address markets in Europe, Africa, and the Middle East, utilizing the numerous Free Trade Agreements the Kingdom has signed.
I will be grateful for your advice, information, and introductions to companies or private-sector institutions.
moroccousa@amdie.gov.ma
Looking forward to hearing from you.
Presented by Said Cherkaoui Ph.D. – Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – Contact us: support@triconsultingkyoto.com
International Affairs Analyst
-4-20-24 – You can contact me at these emails for further interest: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com or info@triconsultingkyoto.com
Website: https://triconsultingkyoto.com/
https://www.linkedin.com/company/18446860/admin/feed/posts
Said El Mansour Cherkaoui Works on Kingdom of Morocco Investment and Trade
TRI CONSULTING KYOTO TRI CK USA – Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – ★ Strategic Catalyst Driving U.S.-Morocco-Africa Investment, Trade, and Business Development ★ Senior Policy Adviser in International Affairs ★ Accomplished Public Speaker ★ Distinguished News Executive Editor ★ Email: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com Morocco Maroc المغرب Marruecos Марокко 摩洛哥 Publications Said El Mansour Cherkaoui My Father Moulay Ahmed Cherkaoui at 24 was the … Continue reading Said El Mansour Cherkaoui Works on Kingdom of Morocco Investment and Trade
USMO: United States and Morocco
December 1, 2023 – Treaty of Peace and Friendship between the United States and the Moors Morocco ★ USA ★ Morocco ★ California With EBCITD – Said El Mansour Cherkaoui Representing 25 US / Californian Companies at Casablanca – Morocco American Café at Casablanca – Morocco attended by Said Cherkaoui representing the EBCITD and 25 US Food companies. This trade […] Read More »
Morocco – USA
November 15, 2023 – Morocco – USA Trade & Investment Summary The United States and Morocco have a Free Trade Agreement (FTA). Morocco – USA: Trade and Investment Said El Mansour Cherkaoui October 27, 2023 Morocco – USA Past and Current Relations Said El Mansour Cherkaoui August 5, 2022 In 2022, U.S. goods exports to Morocco were $3.7 billion, up 33.3 […] Read More »
Treaty of Peace & Friendship 1787 Between Morocco and The United States
Treaty of Peace and Friendship between the United States and the Moors
Stamp on Moroccan-American Treaty of Peace and Friendship
To all persons to whom these presents shall come or be made known- WHEREAS the United States of America in Congress assembled by their
Commission bearing date the twelfth day of May One Thousand, Seven-Hundred and Eighty-Four thought proper to constitute John Adams, Benjamin Franklin and Thomas Jefferson their Ministers Plenipotentiary, giving to them or a Majority of them full powers to confer, treat & negotiate with the Ambassador, Minister or Commissioner of His Majesty the Emperor of Morocco concerning a Treaty of Amity and Commerce, to make & receive propositions for such Treaty and to conclude and sign the same, transmitting to the United States in Congress assembled for their final Ratification.
And by one other commission bearing date the Eleventh day of March One-Thousand Seven-hundred & Eighty-five did further empower the said
Ministers Plenipotentiary or a majority of them, by writing under the hands and Seals to appoint such agent in the said business as they might think proper with authority under the directions and instruction of the said Ministers to commence & prosecute the said Negotiations & Conferences for the said Treaty provided that the said Treaty should be signed by Ministers: And Whereas, We the said John Adams & Thomas Jefferson two of the said Ministers Plenipotentiary (the said Benjamin Franklin being absent) by writing under the Hand and Seal of the said John Adams at London, October fifth, One-thousand Seven-hundred and Eighty-five, & of the said Thomas Jefferson at Paris October the Eleventh of the same year, did appoint Thomas Barclay, Agent in the business aforesaid, giving him the Powers therein, which by the said second commission we were authorized go give, and the said Thomas Barclay in pursuance thereof, bath arranged Articles for a Treaty of Amity and Commerce between the
United States of America and His Majesty the Emperor of Morocco & sealed with His Royal Seal, being translated into the language of said United States of America, together with the Attestations thereto annexed are in the following words, To Wit:
In the name of Almighty God.
This is a Treaty of Peace and Friendship established between us and the United States of America, which is confirmed, and which we have ordered to be written in the Book and sealed with our Royal Seal at our Court of Morocco in the Twenty-Fifth day of the blessed month of Shaban, in the year One-Thousand Two-hundred, trusting in God it will remain permanent.
ARTICLE 1
We declare that both Parties have agreed that this Treaty consisting of twenty five Articles shall be inserted in this Book and delivered to the Honorable Thomas Barclay, the Agent of the United States now at our Court, with whose Approbation it has been made and who is duly authorized on their part, to treat with us concerning all the matters contained therein.
ARTICLE 2
If either of the parties shall be at war with any nation whatever, the other party shall not take a commission from the enemy nor fight under their colors.
ARTICLE 3
If either of the parties shall be at war with any nation whatever and take a prize belonging to that nation, and there shall be found on board subjects or effects belonging to either of the parties, the subjects shall be set at liberty and the effect returned to the owners. And if any goods belonging to any nation, with whom either the parties shall be at war, shall be loaded on vessels belonging to the other party, they shall pass free and unmolested without any attempt being made to take or detain them.
ARTICLE 4
A signal or pass shall be given to all vessels belonging to both parties, by which they are to be known when they meet at sea, and if the commander of a ship of war of either party shall have other ships under his convoy, the Declaration of the commander shall alone be sufficient to exempt any of them from examination.
ARTICLE 5
If either of the parties shall be at war, and shall meet a vessel at sea, belonging to the other, it is agreed that if an examination is to be made, it shall be done by sending a boat with two or three men only, and if any gun shall be bread and injury done without reason, the offending party shall make good all damages.
ARTICLE 6
If any Moor shall bring citizens of the United States or their effects to His Majesty, the citizens shall immediately be set at liberty and the effects restored, and in like manner, if any Moor not a subject of the dominions shall make prize of any of the citizens of America or their effects and bring them into any of the ports of His Majesty, they shall be immediately released, as they will be considered as under His Majesty’s Protection.
ARTICLE 7
If any vessel of either party shall put into a port of the other and have occasion for provisions or other supplies, they shall be furnished without any interruption or molestation.
ARTICLE 8
If any vessel of the United States shall meet with a disaster at sea and put into one of our ports to repairs, she shall be at liberty to land and reload her cargo, without paying any duty whatever.
ARTICLE 9
If any Vessel of the Untied States shall be cast on Shore on any Part of our Coasts, she shall remain at the disposition of the Owners and no one shall attempt going near her without their Approbation, as she is then considered particularly under our Protection; and if any Vessel of the United States shall be forced to put in to our Ports, by Stress of weather or otherwise, she shall not be compelled to land her Cargo, but shall remain in tranquility until the Commander shall think proper to proceed on his Voyage.
ARTICLE 10
If any Vessel of either of the Parties shall have an engagement with a Vessel belonging to any of the Christian Powers within gunshot of the Forts of the other, the Vessel so engaged shall be defended and protected as much as possible until she is in safety; and if any American Vessel shall be cast on shore on the Coast of Wadnoon or any Coast thereabout, the People to her shall be protected, and assisted until by the help of God, they shall be sent to their Country.
ARTICLE 11
If we shall be at War with any Christian Power and any of our Vessels sail from the Ports of the United States, no Vessel belonging to the enemy shall follow until twenty four hours after the Departure of our Vessels; and the same Regulation shall be observed towards the American Vessels sailing from our Ports be the enemies Moors or Christians.
ARTICLE 12
If any ship of war belonging to the United States shall put into any of our ports, she shall not be examined on any pretense whatever, even though she should have fugitive slaves on board, nor shall the governor or commander of the place compel them to be brought on shore on any pretext, nor require any payment for them.
ARTICLE 13
If a ship of war of either party shall put into a port of the other and salute, it shall be returned from the fort with an equal number of guns, not with more or less.
ARTICLE 14
The commerce with the United States shall be on the same footing as is the commerce with Spain, or as that with the most favored nation for the time being; and their citizens shall be respected and esteemed, and have full liberty to pass and repass our country and seaports whenever they please, without interruption.
ARTICLE 15
Merchants of both countries shall employ only such interpreters, and such other persons to assist them in their business, as they shall think proper. No commander of a vessel shall transport his cargo on board another vessel; he shall not be detained in port longer than he may think proper; and all persons employed in loading or unloading goods, or in any labor whatever, shall be paid at the customary rates, not more and not less.
ARTICLE 16
In case of a war between the parties, the prisoners are not to be made slaves, but to be exchanged one for another, captain for captain, officer for officer, and one private man for another; and if there shall prove a deficiency on either side, it shall be made up by the payment of one hundred Mexican dollars for each person wanting. And it is agreed that all prisoners shall be exchanged in twelve months from the time of their being taken, and that this exchange may be effected by a merchant or any other person authorized of by either of the parties.
ARTICLE 17
Merchants shall not be compelled to buy or sell any kind of goods but such as they shall think proper; and may buy and sell all sorts of merchandize but such as are prohibited to the other Christian nations.
ARTICLE 18
All goods shall be weighed and examined before they are sent on board , and to avoid all detention of vessels, no examination shall afterwards be made, unless it shall first be proved that contraband goods have been sent on board, in which case, the persons who took the contraband goods on board, shall be punished according to the usage and custom of the country, and no other person whatever shall be injured, nor shall the ship or cargo incur any penalty or damage whatever.
ARTICLE 19
No vessel shall be detained import on any pretense whatever, nor be obliged to take on board on any articles without the consent of the commander, who shall be at full liberty to agree for the freight of any goods he takes on board.
ARTICLE 20
If any of the citizens of the Untied States, or any persons under their protection, shall have any disputes with each other, the consul shall decide between the parties, and whenever the consul shall require any aid or assistance from our government, to enforce his decisions, it shall be immediately granted to him.
ARTICLE 21
If any citizen of the Untied States should kill or wound a Moor, or, on the contrary, if a Moor shall kill or wound a citizen of the United States, the law of the country shall take place, and equal justice shall be rendered, the consul assisting at the trial; and if any delinquent shall make his escape, the consul shall not be answerable for him in any manner whatever.
ARTICLE 22
If an American citizen shall die in our country, and no will shall appear, the consul shall take possession of hi affects; and if there shall be no consul, the effects shall be deposited in the hands of some person worthy of trust, until the party shall appear, who has right to demand them; but if the heir to the person deceased be present, the property shall be delivered to him without interruptions; and if a will shall appear, the property shall descend agreeable to that will as soon as the consul shall declare the validity thereof.
ARTICLE 23
The consuls of the United States of America, shall reside in any port of our dominions that they shall think proper; and they shall be respected, and enjoy all the privileges which the consuls of any other nation enjoy; and if any of the citizens of the United States shall contract any debts or engagements, the consul shall not be in any manner accountable for them, unless he shall have given a promise in writing for the payment or fulfilling thereof, without which promise in writing, no application to him for any redress shall be made.
ARTICLE 24
If any differences shall arise by either party infringing on any of the articles of this treaty, peace and harmony shall remain notwwithstanding, in the fullest force, until a friendly application shall be made for an arrangement, and until that application shall be rejected, no appeal shall be made to arms. And if a war shall break out between the parties nine months shall be granted to all the subjects of both parties, to dispose of their effects and retire with their property. And it is further declared, that whatever indulgences, in trade or otherwise, shall be granted to any of the Christian Powers, the citizens of the United States shall be equally entitled to them.
ARTICLE 25
This treaty shall continue in full force, with the help of God, for fifty years. We delivered this book into the hands of the before mentioned Thomas Barclay, on the first day of the blessed month of Ramadan, in the year one thousand two hundred.
I certify that the annexed is a true copy of the translation made by Isaac Cardoza Nunez, interpreter at Morocco, of the treaty between the Emperor of Morocco and the United States of America.
ADDITIONAL ARTICLE
Grace to the only God.
I, the under-written, the servant of God, Taher Ben Abdelkack Fennish, do certify, that His Imperial Majesty, my master, (whom God preserve), having concluded a treaty of peace and commerce with the United States of America, has ordered me, the better to complete, it, and in addition of the tenth article of the treaty, to declare, “That if any vessel belonging to the United States, shall be in any of the ports of his Majesty’s dominions, or within gun-shot of his forts, she shall be protected as much as possible; and no vessel whatever, belonging either to Moorish or Christian Powers, with whom the United States may be at war, shall be permitted to follow or engage her, as we now deem the citizens of America our good friends.”
And, in obedience to this Majesty’s commands, I certify this declaration, by putting my hand and seal to it, on the eighteenth day of Ramadan, (a) in the year one thousand two hundred. The servant of the King, my master, whom God preserve.
TAHER BEN ABDELKACK FENNISH.
I do certify that the above is a true copy of the translation made at Morocco, by Isaac Cordoza Nunez, interpreter, of a declaration made and signed by Sidi Hage Taher Fennish, in addition to the treaty between the Emperor of Morocco and the United States of America, which declaration the said Taher Fennish made by the express directions of his Majesty.
THOMAS BARCLAY.
TREATY WITH MOROCCO. 1787
Now, KNOW YE, That we, the said John Adams and Thomas Jefferson, Ministers Plenipotentiary aforesaid, do approve and conclude the said treaty, and every article and clause therein contained, reserving the same nevertheless to the Untied States in Congress assembled, for their final ratification.
In testimony whereof, we have signed the same with our names and seals, at the places of our respective residence, and at the dates expressed under our signatures respectively.
JOHN ADAMS, (L.S.)
London, January 25th, 1787.
THOMAS JEFFERSON, (L.S.)
Paris, January 1st, 1787.
La Concurrence Chinoise sous le Capot de Tesla
La concurrence chinoise sous le capot de Tesla
Times are starting to get tough for Tesla.
Tesla et la Chine : une idylle électrisante automobile
22 JUIN 2023 – 6 juillet 2023 – 7 Juillet 2024
Times are starting to get tough for Tesla.
Les récentes performances commerciales de Tesla ont été étroitement surveillées.
Au deuxième trimestre 2024, le constructeur automobile a fait face à des chiffres décevants:
- Baisse de la production : Tesla a construit 418 831 véhicules électriques, soit une baisse de 14,4 % par rapport au deuxième trimestre 2023.
- Ralentissement des ventes : Tesla a vendu 443 956 véhicules électriques au cours du même trimestre, ce qui reflète une baisse de 4,8 % sur un an.
- Défis : Malgré l’influence d’Elon Musk, Tesla était aux prises avec une petite gamme de produits et une guerre des prix, notamment en Chine.
- Inventaire excédentaire : Il est intéressant de noter que Tesla a livré plus de modèles 3 et Y qu’elle n’en a produit, éliminant ainsi potentiellement les stocks excédentaires.
- Division de l’énergie solaire : la division de l’énergie solaire et du stockage de Tesla a connu un bon trimestre, déployant 9,4 GWh de stockage d’énergie.
- Le pivot de Musk : Elon Musk se concentre désormais sur les robots humanoïdes, une rupture avec l’industrie automobile.
Alors que les ventes automobiles de Tesla sont confrontées à des difficultés, Musk reste optimiste quant à la croissance.
La croissance de Tesla nécessite une propulsion et un contrôle supérieurs des coûts de maintenance et de recharge électrique
L’inventaire de Tesla est stationnee a proximite de leur usine a Fremont en Californie et ce n’est pas le seul endroit et le seul camion remorque et cela depuis l’été de 2023 lorsque l’auteur de cet article s’est rendu sur les lieux pour prendre ces photos de Tesla a proximité du lieu de sa fabrication et cette photo c’est de Tesla juste fraichement sorti des bras des Robots de fabrication sans aucune plaque d’imatriculation et tout l’intérieur de ces voitures est tapisé et couvert de plastique protectif.
Les temps commencent à être durs pour Tesla . Le constructeur automobile de véhicules électriques était en pleine croissance, avec trimestre après trimestre de croissance successive et de nombreux bénéfices dans le processus. Mais dernièrement, ce succès est principalement dû à une série de baisses de prix destinées à inciter les clients à acheter une gamme vieillissante.
En mars 2024, l’entreprise a enregistré sa première baisse trimestrielle depuis 2020. Elle prévoit désormais de licencier plus de 10 % de ses effectifs, selon une note interne consultée par Reuters . “Alors que nous préparons l’entreprise pour notre prochaine phase de croissance, il est extrêmement important d’examiner tous les aspects de l’entreprise pour réduire les coûts et augmenter la productivité”, a déclaré le PDG de Tesla, Elon Musk, aux employés dans la note. Musk a poursuivi une stratégie de réduction incessante des coûts, mais toutes ces baisses de prix ont fait que les marges bénéficiaires autrefois enviées de Tesla n’ont plus rien de spécial.
Note interne consultée par Reuters . “Alors que nous préparons l’entreprise pour notre prochaine phase de croissance, il est extrêmement important d’examiner tous les aspects de l’entreprise pour réduire les coûts et augmenter la productivité”, a déclaré le PDG de Tesla, Elon Musk, aux employés dans la note. Musk a poursuivi une stratégie de réduction incessante des coûts, mais toutes ces baisses de prix ont fait que les marges bénéficiaires autrefois enviées de Tesla n’ont plus rien de spécial.
Tesla supprime 10 % de ses effectifs
Solution énergétique LG
Une unité de LG Chem, ce fournisseur de batteries sud-coréen est au coude à coude avec CATL en tant que premier fournisseur mondial de batteries lithium-ion pour véhicules électriques.
Bien qu’il y ait eu une certaine controverse en cours de route – LG Chem a poursuivi avec succès ses rivaux SK Innovations il n’y a pas si longtemps pour vol de secrets commerciaux – l’avenir s’annonce prometteur pour l’entreprise, avec LG Energy Solution commençant la production de 4680 cellules en 2023, les mêmes cellules. qui constituent la batterie la plus avancée de Tesla à ce jour.
Les cellules cylindriques grand format 4680 augmenteraient la puissance par six et l’énergie par cinq, et augmenteraient l’autonomie d’un véhicule électrique jusqu’à 54 pour cent.
Ces 4 680 cellules devraient également ramener le prix des véhicules électriques Tesla à environ 25 000 dollars, selon le fondateur de Tesla, Elon Musk.
La société possède également une usine de 303 millions de dollars à Holland, dans le Michigan, capable de produire suffisamment de cellules par an pour construire entre 50 000 et 200 000 batteries pour hybrid manufacturers comme Ford, General Motors, Hyundai, Volvo, Renault and Chevrolet.
D’ici 2025, toutes les usines de Corée du Sud, d’Amérique du Nord, d’Europe et de Chine fonctionneront à 100 % avec des énergies renouvelables.
BYD
Autrefois radié par Elon Musk, le chinois BYD a donné tort à ses détracteurs en devenant le premier vendeur mondial de véhicules électriques en juillet 2022, après avoir vendu 641 000 véhicules au premier semestre 2022, soit près de 80 000 véhicules électriques de plus que Tesla.
Bien qu’il ait acquis une solide assise sur le marché des véhicules électriques, BYD a débuté sa vie en tant que fabricant de batteries rechargeables en 1995 et a construit en 2021 une nouvelle usine à Chongqing, en Chine, pour produire ses batteries à lames, qui sont plus fines et plus longues que les batteries au lithium conventionnelles. cellules ioniques.
Les batteries Blade sont également considérées comme les batteries EV les plus sûres, car elles sont beaucoup moins susceptibles de prendre feu en cas d’accident. Ils sont également 50 % plus petits que les autres blocs de batteries, ce qui donne lieu à des véhicules électriques plus légers et plus efficaces.
Il ne semble y avoir aucune rancune entre le géant chinois et Elon Musk : le vice-président exécutif de BYD, Lian Yubo, affirme désormais que BYD est de « bons amis » avec M. Tesla et qu’il envisage de fournir à son entreprise des batteries pour véhicules électriques.
Panasonic
Panasonic est un autre des plus grands fabricants de batteries lithium-ion au monde. Le géant de l’électronique s’est associé à Tesla pour construire Giga Nevada – ou Gigafactory 1, comme on l’appelle également – une usine de batteries lithium-ion et de composants pour véhicules électriques d’une valeur de 5 milliards de dollars située dans le comté de Storey, au Nevada. , qui produit une batterie Panasonic EV exclusivement pour les SUV Model 3, Model S et Model X de Tesla.
Panasonic aurait investi 1,6 milliard de dollars dans Gigafactory 1 pour devenir le principal fournisseur de batteries pour véhicules électriques de Tesla, les matières premières étant fournies par une société minière qui extrait le lithium d’un site situé à 320 km de l’usine.
Conçue et fabriquée conjointement par Tesla et Panasonic, la batterie « 2170 » est produite en série depuis janvier 2017, et la nouvelle cellule de batterie 4680 améliorée, qui présente des améliorations significatives de capacité, entrera en production en 2023.
Tournant un regard vers l’avenir, Shoichiro Watanabe, directeur technique de Panasonic Energy, affirme que l’entreprise atteindra une amélioration de 20 % de la densité énergétique de ses cellules de batterie d’ici la fin de la décennie.
De la même manière que Tesla s’est associé à d’autres fabricants de batteries pour véhicules électriques sur d’autres marchés internationaux, Panasonic s’est également associé à Toyota pour construire une usine de batteries lithium-ion au Japon qui fournira des batteries pour les véhicules électriques Toyota. Source:
Tesla et la Chine : une idylle électrisante automobile – Par Said El Mansour Cherkaoui 6 juillet 2023
Tesla va supprimer plus de 10 % de ses effectifs mondiaux, soit jusqu’à 14 000 employés,
Tesla, le constructeur automobile électrique, prévoit en effet d’importantes réductions d’effectifs. Selon un email interne d’Elon Musk, PDG de Tesla, l’entreprise va supprimer « plus de 10 % » de ses effectifs mondiaux. Cette décision intervient alors que Tesla est aux prises avec le ralentissement de la demande et les défis du marché des véhicules électriques (VE) dans le monde entier.
Voici les points clés :
Raisons des licenciements : La décision de l’entreprise de réduire ses effectifs est motivée par la nécessité de réduire les coûts et d’augmenter la productivité. Tesla a averti les investisseurs que la croissance des ventes pourrait être « sensiblement inférieure » en 2024 par rapport à son objectif déclaré de 50 % de croissance chaque année. De plus, Tesla se trouve actuellement entre deux cycles de production, le coûteux Cybertruck étant récemment entré en production et le populaire Model Y entrant dans sa quatrième année sans mises à jour significatives.
Départ de dirigeants : Le même jour que les licenciements, deux dirigeants de haut niveau ont quitté Tesla. Drew Baglino, vice-président directeur du groupe motopropulseur et de l’énergie de Tesla, et Rohan Patel, vice-président des politiques publiques et du développement commercial, ont tous deux quitté l’entreprise. Baglino a supervisé l’ingénierie des technologies de groupe motopropulseur et de batterie de l’entreprise, tandis que Patel avait une expérience en politique climatique et énergétique. Leurs départs interviennent dans le cadre des efforts de restructuration de l’entreprise.
Dans la note, le PDG Elon Musk écrit que la duplication des rôles et la nécessité de réduire les coûts sont à l’origine des licenciements. Le constructeur automobile avait presque doublé ses effectifs au cours des trois dernières années en augmentant la production dans plusieurs usines, mais a enregistré le mois dernier sa première baisse trimestrielle des livraisons en quatre ans. Les actions de Tesla ont chuté de 31 % cette année, ce qui la place parmi les moins performantes du S&P 500.
Elon Musk a exprimé sa gratitude pour leurs contributions, mais a souligné la nécessité de réduire les coûts et d’augmenter la productivité alors que Tesla se prépare à sa prochaine phase de croissance. Cette situation reflète les défis auxquels est confrontée l’industrie des véhicules électriques et la nécessité pour des entreprises comme Tesla de s’adapter à l’évolution de la dynamique du marché. 🚗🔌
Les ventes globales de véhicules électriques ont ralenti au premier trimestre, augmentant de moins de 3 %, tandis que les ventes d’hybrides ont augmenté de 43 %.
Les difficultés de Tesla ont largement contribué à la tiédeur du C, puisque les voitures de l’entreprise représentent environ la moitié du marché électrique américain, selon le cabinet d’études Motor Intelligence.
Mises à jour du flux Storyline
Le Cybertruck tue-t-il Tesla ?
Le seul lancement de produit de Tesla au cours des six dernières années a épuisé d’énormes ressources et n’est toujours pas prêt à être diffusé aux heures de grande écoute. Le Cybertruck a du mal à se vendre aux fervents fans à son prix actuel. L’avenir de Tesla est lié aux robots-taxis qui pourraient ou non être mis en service au cours de cette décennie. Face à la concurrence chinoise croissante, Tesla a un million de raisons de s’inquiéter. #ElonMusk n’est que l’un d’entre eux.
Tesla Motion and Evolution by Said El Mansour Cherkaoui
13 Jul, 2018 – China powers up US business outreach in talks with Elon Musk – China rolled out the red carpet for US business again on Thursday, with a meeting between Chinese Vice-President Wang Qishan and Tesla chief Elon Musk under the shadow of more American tariffs – November 12, 2019
Tesla supprime 10 % de ses effectifs
Tesla va supprimer plus de 10 % de ses effectifs mondiaux, soit jusqu’à 14 000 employés,
Tesla, le constructeur automobile électrique, prévoit en effet d’importantes réductions d’effectifs. Selon un email interne d’Elon Musk, PDG de Tesla, l’entreprise va supprimer « plus de 10 % » de ses effectifs mondiaux. Cette décision intervient alors que Tesla est aux prises avec le ralentissement de la demande et les défis du marché des véhicules électriques (VE) dans le monde entier 1 2 .
Tesla (TSLA) is rumored to be preparing a massive round of layoffs
Tesla layoffs an ‘ominous sign’ for the company, analyst says
finance.yahoo.com • 3 min read
Tesla a annoncé une réduction importante de ses effectifs à la suite d’un rapport de livraison décevant au premier trimestre, suivant les traces des constructeurs automobiles traditionnels et des fabricants de véhicules électriques purement spécialisés, selon une note interne. Le célèbre taureau Tesla, Dan Ives de Wedbush Securities, a averti que les licenciements étaient un signe négatif pour Tesla, comme le montre la baisse des actions de lundi. Ives a un objectif de cours de 300 $ et une note d’achat sur le titre. “C’est un signal inquiétant qui annonce des temps difficiles à venir pour Tesla alors que Musk traverse cette tempête de catégorie 5”, a déclaré Ives dans un commentaire à Yahoo Finance. “La demande a été faible à l’échelle mondiale, et c’est malheureusement une mesure nécessaire pour que Tesla réduise ses coûts avec des perspectives de croissance plus modérées.”
Tesla layoffs an ‘ominous sign’ for the company, analyst says
finance.yahoo.com • 3 min read
Pendant des décennies, les efforts déployés par l’UAW pour syndiquer les grandes usines automobiles étrangères du sud des États Unis ont échoué. Il semble désormais que cela soit sur le point de changer, avec des conséquences considérables. J’ai voyagé plusieurs fois au Tennessee et en Alabama pour raconter pourquoi le syndicat est sur le point de remporter une victoire historique cette semaine chez Volkswagen à Chattanooga, et comment cela pourrait soutenir ses efforts partout, de Mercedes à Tesla. « Lorsque nous avons lancé cette campagne, vous ne parliez pas très ouvertement d’un syndicat dans l’usine », m’a dit l’un des centaines de travailleurs de VW qui siégeaient au comité d’organisation du syndicat. “Maintenant, c’est tout ce dont nous parlons.”
How the UAW Is Winning Over New Plants — Starting with Volkswagen – bloomberg.com • 1 min read
Elon Musk a annoncé dans une note interne que Tesla envisageait de supprimer plus de 10 % de ses effectifs mondiaux. Le PDG de Tesla a déclaré qu’à mesure que le fabricant de véhicules électriques se développait rapidement, il y avait eu une certaine « duplication » des rôles. Il a ajouté que les réductions l’aideront à devenir « simple, innovante et avide de la prochaine phase de croissance ». »
Read the memo Elon Musk sent Tesla staff announcing that the company is laying off more than 10% of the workforce – businessinsider.com
Exode des cadres et réduction de 10 % des effectifs chez Tesla. Nous avons signalé que Drew Baglino avait démissionné de Tesla . Baglino travaillait chez Tesla depuis 2006 et était vice-président directeur de l’ingénierie du groupe motopropulseur et de l’énergie. Il était l’un des quatre dirigeants nommés et faisait partie intégrante du travail que l’entreprise effectuait dans tous les domaines, des véhicules électriques au stockage d’énergie et aux cellules 4680 de nouvelle génération. Drew a posté sur les réseaux sociaux quelques heures après notre story pour confirmer son départ. Rohan Patel, responsable de la politique publique de Tesla, a également quitté l’entreprise, avons-nous rapporté. Si l’on prend en compte le départ des noms clés de l’équipe des semi-conducteurs de Tesla plus tôt cette année et celui de Zach Kirkhorn en août, cela représente beaucoup de capital intellectuel et d’expérience. Pourtant : on me dit que les choses vont bien – en particulier dans la division énergie – et l’une des raisons du départ de Baglino est qu’il sentait que l’endroit était entre de bonnes mains. Hier soir, Musk a déclaré au personnel du monde entier que Tesla supprimerait 10 % ou plus de ses effectifs mondiaux. Les raisons sont claires : poursuite de la réduction des coûts et de la productivité dans un environnement difficile. Mais Tesla a connu une croissance rapide. Et Musk a cité le nombre de rôles en double dans sa justification du RIF. 10 % du personnel de Tesla représente environ 14 000 personnes. C’est donc de grande taille, le plus gros RIF jamais vu.
Tesla Executive Baglino Leaves as Musk Loses Another Top Deputy – bloomberg.com • 1 min read
Voici les points clés :
Raisons des licenciements : La décision de l’entreprise de réduire ses effectifs est motivée par la nécessité de réduire les coûts et d’augmenter la productivité. Tesla a averti les investisseurs que la croissance des ventes pourrait être « sensiblement inférieure » en 2024 par rapport à son objectif déclaré de 50 % de croissance chaque année. De plus, Tesla se trouve actuellement entre deux cycles de production, le coûteux Cybertruck étant récemment entré en production et le populaire Model Y entrant dans sa quatrième année sans mises à jour significatives.
Départ de dirigeants : Le même jour que les licenciements, deux dirigeants de haut niveau ont quitté Tesla. Drew Baglino, vice-président directeur du groupe motopropulseur et de l’énergie de Tesla, et Rohan Patel, vice-président des politiques publiques et du développement commercial, ont tous deux quitté l’entreprise. Baglino a supervisé l’ingénierie des technologies de groupe motopropulseur et de batterie de l’entreprise, tandis que Patel avait une expérience en politique climatique et énergétique. Leurs départs interviennent dans le cadre des efforts de restructuration de l’entreprise.
Dans la note, le PDG Elon Musk écrit que la duplication des rôles et la nécessité de réduire les coûts sont à l’origine des licenciements. Le constructeur automobile avait presque doublé ses effectifs au cours des trois dernières années en augmentant la production dans plusieurs usines, mais a enregistré le mois dernier sa première baisse trimestrielle des livraisons en quatre ans. Les actions de Tesla ont chuté de 31 % cette année, ce qui la place parmi les moins performantes du S&P 500.
Elon Musk a exprimé sa gratitude pour leurs contributions, mais a souligné la nécessité de réduire les coûts et d’augmenter la productivité alors que Tesla se prépare à sa prochaine phase de croissance. Cette situation reflète les défis auxquels est confrontée l’industrie des véhicules électriques et la nécessité pour des entreprises comme Tesla de s’adapter à l’évolution de la dynamique du marché. 🚗🔌
Les ventes globales de véhicules électriques ont ralenti au premier trimestre, augmentant de moins de 3 %, tandis que les ventes d’hybrides ont augmenté de 43 %.
Les difficultés de Tesla ont largement contribué à la tiédeur du C, puisque les voitures de l’entreprise représentent environ la moitié du marché électrique américain, selon le cabinet d’études Motor Intelligence.
Mises à jour du flux Storyline
Le Cybertruck tue-t-il Tesla ? Le seul lancement de produit de Tesla au cours des six dernières années a épuisé d’énormes ressources et n’est toujours pas prêt à être diffusé aux heures de grande écoute. Le Cybertruck a du mal à se vendre aux fervents fans à son prix actuel. L’avenir de Tesla est lié aux robots-taxis qui pourraient ou non être mis en service au cours de cette décennie. Face à la concurrence chinoise croissante, Tesla a un million de raisons de s’inquiéter. #ElonMusk n’est que l’un d’entre eux.
Tesla Motion and Evolution by Said El Mansour Cherkaoui
13 Jul, 2018 – China powers up US business outreach in talks with Elon Musk – China rolled out the red carpet for US business again on Thursday, with a meeting between Chinese Vice-President Wang Qishan and Tesla chief Elon Musk under the shadow of more American tariffs – November 12, 2019
Mondialisation de la production de véhicules électriques et de batteries
Said El Mansour Cherkaoui – Said Cherkaoui – saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
Initialement publié – 25 septembre 2023, 03h43 – mis à jour le 28 juin 2024
🌍 MONTÉE DES VOITURES CHINOISE HORS DE CHINE 🚗
The race to win: How automakers can succeed in a post-pandemic China – August 13, 2021 | Report
Globalization of EV and Battery Production
:: Electric Vehicle :: English Version
🌍 MONTÉE DES VOITURES CHINOISE HORS DE CHINE 🚗
The race to win: How automakers can succeed in a post-pandemic China – August 13, 2021 | Report
Introduction
Perspectives actuelles de la capacité mondiale de fabrication de batteries
Alors que le monde se prépare à l’ère des véhicules électriques, la fabrication de batteries est devenue une priorité pour de nombreux pays, dont les États-Unis. Cependant, entrée très tôt dans la course aux batteries, la Chine est de loin en tête.
L’Afrique possède des métaux vitaux pour les batteries, tel que le cuivre, le cobalt, le lithium, le nickel, le graphite, le manganèse, les minéraux des terres rares et les 3 T : l’étain, le tungstène et le tantale – dont beaucoup peuvent être trouvés en République Démocratique du Congo et sont considérés comme essentiels pour la fabrication des batteries et les voitures electriques.
En novembre 2023, la République Démocratique du Congo, la Zambie et les États-Unis ont ratifié un accord stratégique de collaboration sur la fabrication de batteries. Le gouvernement de la République Démocratique du Congo a également conclu en decembre 2022 un accord similaire avec le gouvernement japonais, pour le secteur de l’extraction des métaux des batteries au Congo.
L’avantage bien établi de la Chine devrait perdurer jusqu’en 2027, avec 69 % de la capacité mondiale de fabrication de batteries. Avec près de 900 gigawattheures de capacité de fabrication, soit 77 % du total mondial, la Chine abrite six des dix plus grands fabricants de batteries au monde . Derrière la domination chinoise des batteries se cache son intégration verticale dans le reste de la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques, de l’extraction des métaux à la production des véhicules électriques. C’est également le plus grand marché de véhicules électriques , représentant 52 % des ventes mondiales en 2021.
Les États-Unis devraient multiplier par plus de 10 leur capacité au cours des cinq prochaines années. Les crédits d’impôt pour véhicules électriques prévus dans la loi sur la réduction de l’inflation sont susceptibles d’encourager la fabrication de batteries en récompensant les véhicules électriques fabriqués avec des matériaux nationaux. Aux côtés de Ford et General Motors, des entreprises asiatiques, dont Toyota, SK Innovation et LG Energy Solution, ont toutes annoncé des investissements dans la fabrication de batteries aux États-Unis ces derniers mois.
L’Europe accueillera six des dix premiers pays producteurs de batteries en 2027. Les usines de batteries actuelles et futures de l’Europe proviennent d’un mélange d’entreprises nationales et étrangères, dont l’allemand Volkswagen, le chinois CATL et la sud-coréenne SK Innovation.
Combattre la domination chinoise coûtera cher. Selon Bloomberg, les États-Unis et l’Europe devront investir respectivement 87 et 102 milliards de dollars pour répondre à la demande nationale de batteries avec des chaînes d’approvisionnement entièrement locales d’ici 2030.
Dans un monde aussi déséquilibré en matière de capacité de fabrication de batteries et étant donné que l’Europe utilise une approche mixte, le Maroc est bien placé pour bénéficier de la dépendance de l’Europe à l’égard des fabricants de batteries nationaux et étrangers.
Les marques automobiles chinoises doivent encore être ajoutées au marché américain, mais les voitures fabriquées en Chine sont toujours vendues aux États-Unis.
• Les Américains ont acheté 104 000 voitures fabriquées en Chine en 2023 et près de 28 000 au premier trimestre 2024.
• Buick, Lincoln, Polestar et Volvo vendent toutes des voitures américaines fabriquées en Chine.
Ce que certains ne réalisent peut-être pas, cependant, c’est que des dizaines de milliers de voitures fabriquées en Chine sont vendues chaque année aux États-Unis. La berline S60L de Volvo a été l’une des premières voitures fabriquées en Chine à être vendue aux États-Unis à partir de 2016, suivie par le SUV Envision de Buick et l’hybride CT6 de Cadillac.
Les consommateurs américains ont acheté plus de 104 000 véhicules fabriqués en Chine en 2023, soit une hausse de 45 % par rapport à 2022. Les Américains ont acheté 28 000 autres voitures fabriquées en Chine au cours du premier trimestre 2024.
Buick, Lincoln, Polestar et Volvo vendent des véhicules fabriqués en Chine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, les seuls véhicules électriques fabriqués en Chine proviennent de Polestar, une marque détenue par Volvo et sa société mère, Geely. La marque EV n’a importé que 2 217 voitures au cours des trois premiers mois de 2024. Polestar devrait démarrer la production en Caroline du Sud cette année. Le gouvernement américain va-t-il décourager la production nationale de Polestar?
Montée mondiale des voitures chinoises
Perspectives actuelles de la capacité mondiale de fabrication de batteries
Alors que le monde se prépare à l’ère des véhicules électriques, la fabrication de batteries est devenue une priorité pour de nombreux pays, dont les États-Unis. Cependant, entrée très tôt dans la course aux batteries, la Chine est de loin en tête.
L’essor des voitures chinoises a eu un impact significatif sur l’industrie automobile mondiale, suscitant diverses réactions et réflexions de la part des constructeurs automobiles du monde entier. Source : Intelligence artificielle et fabrication de voitures mécaniques
Intensification de la concurrence :
- Niveau mondial : Les constructeurs automobiles traditionnels du monde entier sont confrontés à une concurrence intensifiée en raison de la domination de la Chine. Les marques chinoises gagnent des parts de marché, notamment sur le segment des véhicules électriques (VE).
- Aux niveaux local et régional : Sur les marchés américain, européen et asiatique, les constructeurs automobiles surveillent de près l’expansion de la Chine. Ils reconnaissent la nécessité d’investir dans la technologie et la conception des véhicules électriques pour rester compétitifs.
Innovation et investissement :
- La stratégie chinoise : la Chine a investi plus de 230 milliards de dollars au cours de la dernière décennie pour développer son industrie des véhicules électriques. Cet investissement stimule l’innovation et oblige les autres fabricants à suivre le rythme.
- Collaboration : Les marques étrangères collaborent avec les fabricants chinois de véhicules électriques, mais les résultats prennent du temps. Les coentreprises et les partenariats visent à bénéficier de l’expertise et de l’accès au marché chinois.
Dépendance et diversification de la chaîne d’approvisionnement :
- Le rôle de la Chine : La Chine joue un rôle central dans la chaîne d’approvisionnement mondiale pour les composants essentiels des véhicules électriques (par exemple, les batteries lithium-ion, les matériaux de terres rares). Les fabricants du monde entier doivent se diversifier pour atténuer les risques de dépendance.
- Production locale : Certains constructeurs automobiles établissent des installations de production locales en Chine pour exploiter leur chaîne d’approvisionnement tout en s’adaptant à la demande régionale.
Changements de part de marché :
- Exportations automobiles chinoises : La Chine est devenue le plus grand exportateur automobile au monde, l’un de ses constructeurs nationaux étant leader dans le secteur des voitures électriques5 . Ce changement a un impact sur les acteurs établis à l’échelle mondiale.
- Changements en matière de fidélité à la marque : la fidélité à la marque diminue et les marques chinoises locales gagnent du terrain dans les segments non premium. Les préférences des consommateurs évoluent, affectant la dynamique du marché.
Guerre des prix et course aux parts de marché :
- Concurrence sur les prix : les équipementiers automobiles se lancent dans une guerre des prix, se précipitant pour des parts de marché dans un contexte d’offre croissante . La stratégie de prix compétitifs de la Chine influence la dynamique mondiale des prix.
- Mouvements stratégiques : les acteurs établis s’adaptent en investissant dans des unités à faible coût, en explorant de nouveaux marchés et en optimisant les chaînes d’approvisionnement6 .
Considérations environnementales:
- Durabilité : la domination chinoise des véhicules électriques soulève des préoccupations environnementales. Alors que les exportations d’aluminium prospèrent, les critiques plaident en faveur d’applications plus respectueuses de l’environnement des énergies renouvelables .
- Équilibrer la croissance : À mesure que la Chine se développe, trouver un équilibre entre croissance et responsabilité environnementale devient crucial pour l’industrie automobile mondiale.
Ceci a été initialement publié sur Elements .
Prédominance de la capacité manufacturière mondiale de la Chine
– La Chine contrôle les matières premières –
Autre facteur clé de la suprématie chinoise : le contrôle des matières premières nécessaires à la fabrication des batteries : le lithium et le cobalt.
Selon Bloomberg, les sociétés chinoises Ganfeng et Tianqi contrôlent respectivement 17 et 12 pour cent de la production mondiale de lithium grâce à leurs investissements dans des mines en Australie et en Amérique du Sud.
Tianqi a acquis une participation de 24 % dans la société minière chilienne SQM pour 4,1 milliards de dollars en décembre 2018. Avec la société américaine Albemarle, elle contrôle également l’immense mine de Greenbushes en Australie.
Pendant ce temps, les entreprises chinoises contrôlent au moins la moitié du cobalt extrait en République démocratique du Congo, d’où provient 70 % de la production mondiale, selon les estimations citées par Bloomberg.
China Molybdenum a acheté un site majeur à la société américaine Freeport-McMoran pour 2,65 milliards de dollars en 2016. La Chine possède également 80 % de la capacité mondiale de production de cobalt raffiné par des procédés chimiques.
Il ne s’agit pas d’une compétence de base (« Nous sommes un constructeur automobile, pas chimique », a déclaré l’année dernière Marianne Battalion, chef de projet chez Renault E), mais deuxièmement, que la production ait été sous-traitée à des Coréens ou à des Chinois, de nombreuses usines automobiles sont au chômage.
La Chine compte 6 des 10 principaux fabricants de batteries pour véhicules électriques avec 60 % de part de marché, menés par CATL et BYD, soutenu par Warren Buffett.
- Outre CATL et BYD, CALB, Gotion High-tech, Sunwoda et Eve Energy figurent parmi les 10 principaux fabricants mondiaux de batteries pour véhicules électriques, selon SNE Research.
- CATL a installé 165,7 gigawattheures de cellules de batterie au cours des 11 premiers mois de l’année dernière, ce qui lui confère une part de marché mondiale de 37,1 %.
Les stations chinoises d’échange de batteries intelligentes peuvent changer automatiquement les batteries des véhicules électriques
https://youtube.com/watch?v=1kZgG58zz8U%3Ffeature%3Doembed
Chinese smart-battery swap stations can change EV batteries automatically
Production, Coût et Investissement dans les Batteries pour Véhicules Électriques
En 2022, les cinq plus grands fabricants contrôlent plus de 80 % du marché des batteries. Avec un intérêt accru pour les véhicules électriques – les ventes mondiales de voitures électriques ont totalisé 4,2 millions d’unités en 2021, en hausse de 108 % par rapport à 2020 – on craint qu’une longue liste de constructeurs automobiles ne soient bientôt confrontés à une pénurie de batteries pour véhicules électriques de la part des fabricants de batteries de voitures électriques.
Rappelons ici rapidement les avantages qui attirent les investissements dans les nouvelles technologies au sein des pays du Sud tant de la Chine que des pays occidentaux ou d’autres nationalités visant à délocaliser certaines phases de leur production.
Le coût de la production intermédiaire, le coût et la disponibilité locale des matières premières, de la main d’œuvre, la proximité des fournisseurs et des acheteurs automobiles, les facilités financières et les incitations fiscales, la flexibilité des lois sur la pollution, la flexibilité du travail, la docilité des mouvements revendicatifs sociaux et la taux de charges sociales et de recouvrement des pensions de retraite, l’assurance maladie ainsi que le niveau de syndicalisation, le coût de la propriété foncière et la mise à disposition de ces terres par l’Etat, le niveau des infrastructures logistiques, la facilité de circulation des capitaux, la fiscalité et la le taux des charges sociales et le recouvrement des pensions de retraite ainsi que le niveau de syndicalisation, les envois de fonds et les bénéfices d’exportation ainsi que le taux d’appropriation de l’entreprise. Sans oublier l’intégration des opérateurs et dirigeants du pays d’origine bénéficiant de tous les avantages financiers et fiscaux reconnus par les pouvoirs publics.
L’avantage bien établi de la Chine devrait perdurer jusqu’en 2027, avec 69 % de la capacité mondiale de fabrication de batteries. Avec près de 900 gigawattheures de capacité de fabrication, soit 77 % du total mondial, la Chine abrite six des dix plus grands fabricants de batteries au monde . Derrière la domination chinoise des batteries se cache son intégration verticale dans le reste de la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques, de l’extraction des métaux à la production des véhicules électriques. C’est également le plus grand marché de véhicules électriques , représentant 52 % des ventes mondiales en 2021.
Les États-Unis devraient multiplier par plus de 10 leur capacité au cours des cinq prochaines années. Les crédits d’impôt pour véhicules électriques prévus dans la loi sur la réduction de l’inflation sont susceptibles d’encourager la fabrication de batteries en récompensant les véhicules électriques fabriqués avec des matériaux nationaux. Aux côtés de Ford et General Motors, des entreprises asiatiques, dont Toyota, SK Innovation et LG Energy Solution, ont toutes annoncé des investissements dans la fabrication de batteries aux États-Unis ces derniers mois.
La Réaction des États-Unis Face a l’Expansion de la Chine dans le Marché Mondial des Batteries Électriques
Les États-Unis tentent de réduire leur dépendance en matière de batteries à l’égard de la Chine, qui domine le marché depuis des années et possède environ 80 % de la capacité de fabrication mondiale. Ford, qui a fabriqué environ 132 000 véhicules électriques en 2022, espère en produire 2 millions d’ici 2026.
Les usines – deux au Kentucky et une au Tennessee – sont déjà en chantier dans le cadre de BlueOval SK, un partenariat entre Ford et la société sud-coréenne de batteries SK On. Le coût total projeté est de 11,4 milliards de dollars.
Les efforts de l’Oncle Sam en faveur des énergies propres
www.energy.gov • 3 min read – 6/22/2023
Les efforts de l’Oncle Sam en faveur des énergies propres donnent à Ford un coup de pouce majeur. Le ministère de l’Énergie a accordé au constructeur automobile un prêt massif de 9,2 milliards de dollars pour financer la construction de trois usines de batteries pour véhicules électriques.
Une décision que Bloomberg rapporte est « de loin le plus grand soutien gouvernemental à un constructeur automobile américain depuis les plans de sauvetage de la crise financière de 2009 ». »
Le département américain de l’Énergie a annoncé jeudi son intention de prêter jusqu’à 9,2 milliards de dollars à une coentreprise réunissant Ford Motor et la société sud-coréenne SK On pour l’aider à construire trois usines de batteries au Tennessee et au Kentucky, un prêt record pour un projet de chaîne d’approvisionnement de véhicules. L’engagement conditionnel pour le prêt gouvernemental à faible coût pour la coentreprise BlueOval SK provient du programme de prêt gouvernemental pour la fabrication de véhicules à technologie avancée (ATVM).
SCOOP : Ford Motor Company et le fabricant de batteries sud-coréen SK On obtiennent un prêt de 9,2 milliards de dollars du ministère américain de l’Énergie pour trois usines de batteries en construction dans le Kentucky et le Tennessee. Il s’agit d’un moment décisif dans la course aux États-Unis pour rattraper la Chine en matière de technologie des véhicules verts.
U.S. Department of Energy Loan Programs Office
Les chocs en provenance de Chine font frissonner Ford et 9,2 milliards de dollars pour les batteries de véhicules électriques
C’est un autre jour marquant pour la fabrication nationale de batteries pour véhicules électriques aux États-Unis ! Aujourd’hui, LPO a annoncé un engagement conditionnel pour un prêt pouvant atteindre 9,2 milliards de dollars à BlueO v al SK, LLC (BOSK) pour la construction de trois usines de fabrication destinées à produire des batteries pour les futurs véhicules électriques (VE) Ford et Lincoln de Ford Motor Company. . Il s’agit du huitième engagement conditionnel pour un prêt – et le plus important jamais annoncé à ce jour – que LPO a annoncé au cours des 15 derniers mois dans le cadre du programme de prêt Advanced Technology Vehicles Manufacturing (ATVM), deux de ces prêts ayant depuis été finalisés et émis.
Cet effort soutient le programme Investir en Amérique du président Biden visant à délocaliser et à relocaliser la fabrication nationale de technologies essentielles à la réalisation d’un avenir en matière d’énergie et de transport propres. L’expansion de la production nationale de batteries fabriquées aux États-Unis est essentielle pour atteindre les objectifs de l’administration Biden-Harris visant à ce que les véhicules électriques représentent au moins 50 % de toutes les ventes de voitures neuves aux États-Unis d’ici 2030, atteignent une électricité nette nulle d’ici 2035 et une consommation nette nulle d’ici 2035. économique d’ici 2050.
Ensemble, les usines, une située au Tennessee et deux au Kentucky, permettront de produire annuellement plus de 120 gigawattheures de batteries aux États-Unis et de déplacer plus de 455 millions de gallons d’essence par an pendant toute la durée de vie des véhicules alimentés par ces batteries. Le projet devrait créer au total environ 5 000 emplois dans le secteur de la construction au Tennessee et au Kentucky, ainsi que 7 500 emplois dans l’exploitation une fois les usines opérationnelles.
L’essor des voitures chinoises remodèle le paysage concurrentiel, accélère l’innovation et suscite des réponses stratégiques de la part des constructeurs automobiles du monde entier. L’industrie doit faire face à l’évolution des préférences des consommateurs, à la dynamique de la chaîne d’approvisionnement et aux impératifs de durabilité.
Combattre la domination chinoise coûtera cher. Selon Bloomberg, les États-Unis et l’Europe devront investir respectivement 87 et 102 milliards de dollars pour répondre à la demande nationale de batteries avec des chaînes d’approvisionnement entièrement locales d’ici 2030.
L’Europe accueillera six des dix premiers pays producteurs de batteries en 2027. Les usines de batteries actuelles et futures de l’Europe proviennent d’un mélange d’entreprises nationales et étrangères, dont l’allemand Volkswagen, le chinois CATL et la sud-coréenne SK Innovation.
Dans un monde aussi déséquilibré en matière de capacité de fabrication de batteries et étant donné que l’Europe utilise une approche mixte, le Maroc est bien placé pour bénéficier de la dépendance de l’Europe à l’égard des fabricants de batteries nationaux et étrangers.
Le sud-coréen LG Chem Ltd
Le Maroc et le sud-coréen LG Chem Ltd
Le Maroc, pôle régional des usines de matériaux pour batteries
La société sud-coréenne LG Chem, en partenariat avec le groupe China Huayou, a annoncé un projet de construction au Maroc d’une usine commune de matériaux pour batteries de véhicules électriques (VE). De l’autre côté, le CNGR, le fabricant chinois de pièces de batteries et le fonds africain Al Mada visent à construire une base industrielle au Maroc pour une installation de production et de recyclage de matériaux de batteries. Toute la production de ces installations est destinée à l’exportation pour répondre à la forte demande en Europe et en Amérique.
La société sud-coréenne LG Chem Ltd (051910.KS) a conclu un partenariat avec Youshan, filiale du groupe chinois Huayou, dans le cadre d’un projet de construction d’une usine commune de matériaux pour batteries de véhicules électriques (VE) au Maroc afin de diversifier son portefeuille.
L’usine marocaine, qui devrait démarrer sa production en 2026, vise à produire 50 000 tonnes de matériaux cathodiques lithium-phosphate-fer (LFP) par an, suffisamment pour être installés dans 500 000 véhicules électriques d’entrée de gamme , a déclaré le fabricant de produits chimiques sud-coréen dans un communiqué.
Huayou a rejoint le nombre croissant d’entreprises chinoises de véhicules électriques et de batteries qui cherchent à se développer à l’étranger pour se rapprocher de leurs clients étrangers et bénéficier d’incitations locales.
Dans un communiqué distinct, la filiale cotée de Huayou, Zhejiang Huayou Cobalt Co (603799.SS), a annoncé son intention de construire des usines avec LG Chem en Indonésie et au Maroc dans le cadre d’un partenariat stratégique visant à promouvoir la croissance internationale.
L’usine marocaine, qui devrait démarrer sa production en 2026, vise à produire 50 000 tonnes de matériaux cathodiques lithium-phosphate-fer (LFP) par an, suffisamment pour être installés dans 500 000 véhicules électriques d’entrée de gamme, a déclaré le fabricant de produits chimiques sud-coréen dans un communiqué.
LG Chem, connu pour fabriquer des cathodes nickel-cobalt-manganèse (NCM) plus coûteuses, se lance dans le secteur des cathodes LFP pour répondre à la demande croissante de batteries LFP moins chères alors que l’industrie automobile cherche à produire des véhicules électriques plus abordables, dont les composants les plus chers sont les batteries.
LG Chem a déclaré que les cathodes LFP produites dans l’usine marocaine seront fournies au marché nord-américain et pourraient être éligibles pour recevoir des subventions de la Inflation Reduction Act (IRA), le Maroc étant un partenaire de libre-échange avec les
La société sud-coréenne LG Chem Ltd (051910.KS) a conclu un partenariat avec Youshan, filiale du groupe chinois Huayou, dans le cadre d’un projet de construction d’une usine commune de matériaux pour batteries de véhicules électriques (VE) au Maroc afin de diversifier son portefeuille.
L’usine marocaine, qui devrait démarrer sa production en 2026, vise à produire 50 000 tonnes de matériaux cathodiques lithium-phosphate-fer (LFP) par an, suffisamment pour être installés dans 500 000 véhicules électriques d’entrée de gamme , a déclaré le fabricant de produits chimiques sud-coréen dans un communiqué.
Huayou a rejoint le nombre croissant d’entreprises chinoises de véhicules électriques et de batteries qui cherchent à se développer à l’étranger pour se rapprocher de leurs clients étrangers et bénéficier d’incitations locales.
Dans un communiqué distinct, la filiale cotée de Huayou, Zhejiang Huayou Cobalt Co (603799.SS), a annoncé son intention de construire des usines avec LG Chem en Indonésie et au Maroc dans le cadre d’un partenariat stratégique visant à promouvoir la croissance internationale.
L’usine marocaine, qui devrait démarrer sa production en 2026, vise à produire 50 000 tonnes de matériaux cathodiques lithium-phosphate-fer (LFP) par an, suffisamment pour être installés dans 500 000 véhicules électriques d’entrée de gamme, a déclaré le fabricant de produits chimiques sud-coréen dans un communiqué.
LG Chem, connu pour fabriquer des cathodes nickel-cobalt-manganèse (NCM) plus coûteuses, se lance dans le secteur des cathodes LFP pour répondre à la demande croissante de batteries LFP moins chères alors que l’industrie automobile cherche à produire des véhicules électriques plus abordables, dont les composants les plus chers sont les batteries.
LG Chem a déclaré que les cathodes LFP produites dans l’usine marocaine seront fournies au marché nord-américain et pourraient être éligibles pour recevoir des subventions de la Inflation Reduction Act (IRA) , le Maroc étant un partenaire de libre-échange avec les États-Unis.
Le Maroc et CNGR, fabricant chinois de pièces de batteries et fonds africain Al Mada
CNGR, le fabricant chinois de pièces de batteries, s’associe au fonds africain Al Mada pour planifier une entreprise de 2 milliards de dollars au Maroc – Le volume d’investissement est d’environ 20 milliards de dirhams marocains (1,8 milliard d’euros). CNGR Advanced Material Co., un fabricant chinois de composants de batteries, s’associe au fonds d’investissement privé africain Al Mada pour construire une base industrielle au Maroc le {18/09/2023} pour une installation de production et de recyclage de matériaux de batteries. Le partenariat stratégique vise à produire des précurseurs ternaires CAM pour les batteries lithium-ion ainsi que du lithium fer phosphate (LFP) et à recycler la masse noire des batteries usagées. Une coentreprise a été créée entre les deux sociétés pour faire avancer le projet.
Matériel de batterie pour plus d’un million de véhicules électriques par an
La construction devrait commencer cette année et la production progressive devrait démarrer au quatrième trimestre 2024. Le plan est de produire des matériaux pour batteries pour plus d’un million de véhicules électriques par an, avec 120 000 tonnes de précurseurs CAM, 60 000 tonnes de LFP. , et 30 000 tonnes de recyclage de masse noire.
Négociations avec le principal fournisseur de phosphate et d’engrais au Maroc
CNGR Maroc Nouvelles Energies, filiale du CNGR, détiendra une participation majoritaire de 50,03 pour cent dans la coentreprise, tandis que la filiale d’Al Mada, NGI, en détiendra 49,97 pour cent.
Les deux partenaires négocient actuellement avec le groupe OCP pour acheter les matières premières nécessaires, dont des produits phosphatés. Jorf Lasfar est situé directement sur la côte atlantique et un port maritime est également disponible à El Jadida.
Jusqu’à présent, Jorf Lasfar est principalement connue pour la plus grande centrale électrique au charbon du pays. Le Groupe OCP, l’un des principaux fournisseurs marocains de phosphate et d’engrais, s’approvisionne en sels de phosphate de la plus haute qualité pour la production de précurseurs LFP et CAM ternaires à partir de l’usine. Le Maroc est un important producteur mondial de sels de phosphate : ses réserves représentent 71 % du total mondial.
Les autres fournisseurs, tels que les produits à base de cobalt et de manganèse, ne sont pas nommés dans l’annonce.
CNGR Advanced Material Al Mada Recycling
L’accent sera mis sur la production de précurseurs pour les matériaux cathodiques NCM et LFP. L’usine comprendra également des installations de recyclage. Les entreprises prévoient des capacités annuelles de 120 000 tonnes pour les précurseurs NCM, 60 000 tonnes pour les précurseurs LFP et 30 000 tonnes pour le recyclage des matériaux des batteries dans la première phase. La production annuelle prévue est de 70 GWh. Cela devrait suffire pour plus d’un million de véhicules électriques.
La production est principalement destinée à l’exportation afin de répondre à la forte demande en Europe et en Amérique – mais les partenaires ne nomment pas de clients potentiels. La construction débutera cette année après l’obtention des permis nécessaires et la production devrait démarrer en 2025.
2025 marquera le début d’une nouvelle ère de mobilité électrique avec l’inauguration de CobCo, la gigafactory maroco-chinoise dédiée aux Core Battery Components. Située dans le parc industriel de Jorf Lasfar sur 200 hectares, cette usine s’engage à catalyser la production de batteries pour véhicules électriques. Avec son premier projet axé sur les précurseurs NMC et un deuxième projet prometteur dédié aux cathodes LFP, CobCo s’apprête à révolutionner le marché.
Source : Informations par e-mail
« Le Maroc ambitionne d’ouvrir une giga-usine de batteries pour véhicules électriques »
Annoncé le 22 juillet 2022 à Marrakech.
Au cours de l’été 2022, le ministre marocain de l’Industrie et du Commerce a déclaré que le Maroc négociait avec les fabricants de batteries pour véhicules électriques pour créer une usine dans le pays afin de s’intégrer à son secteur automobile existant et à sa production de cobalt.
“Nous espérons signer un accord pour l’usine avant la fin de cette année”, a déclaré le ministre dans une interview à Reuters, sans toutefois nommer les sociétés.
Il n’a pas précisé le montant des investissements que cela nécessiterait, mais l’a qualifié de « gigafactory », terme largement utilisé pour désigner de très grandes installations de production. L’usine prévue de batteries pour véhicules électriques « offrira un énorme élan au secteur automobile local » et bénéficiera de la disponibilité d’énergies renouvelables et de matières premières telles que le cobalt et les phosphates dans le pays, a-t-il déclaré.
Des entreprises asiatiques construisent des usines de batteries au Maroc pour exporter vers l’Europe et les États-Unis
Le Maroc abrite les usines de production Renault et Stellantis, avec une capacité de production cumulée de 700 000 personnes. La Dacia Sandero et la Peugeot 208 sont des exemples de modèles populaires construits au Maroc. La demande pour de telles batteries augmente à l’extérieur et au Maroc, où Citroën prévoit de doubler sa capacité de production d’ici deux ans, passant de 50 000 véhicules électriques, a déclaré Mezzour.
Les exportations d’environ 250 constructeurs automobiles et fournisseurs au Maroc ont dépassé les exportations industrielles du pays au cours des sept dernières années, dépassant les ventes de phosphate. Jusqu’en mai de cette année, les ventes du secteur automobile marocain s’élevaient à 4,13 milliards de dollars, en hausse de 24 pour cent. Pour accroître sa compétitivité face à la concurrence de la Chine et de l’Inde, le Maroc prévoit d’augmenter la proportion de pièces fabriquées localement dans les voitures qu’il exporte à 80 pour cent, contre 65 pour cent actuellement, a déclaré Mezzour.
“Nous visons 1 million d’ici trois à quatre ans”, a déclaré MH.E. Mr. Ryad Mezzour. Source:
Délocalisation mondiale des fabricants de batteries : exemple du Maroc
Rappelons ici rapidement les avantages qui attirent les investissements dans les nouvelles technologies au sein des pays du Sud tant de la Chine que des pays occidentaux ou d’autres nationalités visant à délocaliser certaines phases de leur production.
07/01/2024
Des entreprises asiatiques vont construire des usines communes de cathodes LFP au Maroc
Le Maroc dans le Giron de la Division Internationale de la Production des Batteries Électriques
Le premier lot de produits assemblé au Maroc de la série SHACMAN X6000 de la Chine est sorti de la chaîne de montage. Des entreprises asiatiques vont construire des usines communes de cathodes LFP au Maroc Pour beneficier des Facilites de l’Accord de Libre Echange USA-Maroc
Le premier lot de produits de la série SHACMAN X6000 est sorti de la chaîne de montage. Toutes nos félicitations .
https://www.energy.gov/lpo/listings/projects
• What is a Conditional Commitment? https://www.energy.gov/lpo/articles/getting-know-lpo-what-conditional-commitment
• Advanced transportation project financing available through LPO’s Advanced Technology Vehicles Manufacturing (ATVM) loan program: Energy.gov/LPO/ATVM
Read more below via Ars Technica.
Read the full BlueOval SK project conditional commitment announcement for more details:
https://www.energy.gov/lpo/advanced-transportation-financing
Said El Mansour Cherkaoui Pro Endeavors
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• President Biden’s « Investing in America » agenda: https://lnkd.in/gCFiWyzx
President Biden: Road of Jérusalem Passe par l’Usine Ford de Dearborn – Mai 19, 2021 – DANS “ETATS-UNIS D’AMÉRIQUE”
Read more below via Ars Technica.
Read the full BlueOval SK project conditional commitment announcement for more details:
The Mexican-Japanese-US Model for Auto Assembly in Northern Mexico – Septembre 29, 2020 – DANS “AUTOMOBILE INDUSTRY”
Global Liberalism and U.S. State Interventionism: Electric Auto Industry – Mai 19, 2021 – DANS “ELECTRIC VEHICLE”
Selected articles written and published by Said El Mansour Cherkaoui – Said Cherkaoui on the Automobile industry in Morocco
Contact: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
Globaloganization of Renault Development Strategy
🌎 Said El Mansour Cherkaoui February 20, 2023 – saidcherkaoui@triconsultingkyto.com🌍 🌎Analyses et Publications sur l’Industrie Automobile🌍 Said El … Continue reading
Automotive Industry: Regional Versus International Strategy
Said El Mansour Cherkaoui June 21, 2023, N.B.: Frontpage picture of the Blue Car in the First Floor Parking taken by Said El Mansour Cherkaoui … Continue reading
Morocco – Maroc – BAGNOLE CHERKAOUI 1920 – 24
Articles traitant de Morocco – Maroc écrits par Said El Mansour Cherkaoui
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African-Moroccan Diaspora – Tateyoko Research Institute – USA – Tateyoko Research Institute
Saïd El Mansour Cherkaoui, contact : saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
Samir Amin: Eurocentrisme, au-delà de la Décolonisation
Si vous voulez vraiment la décolonisation, allez au-delà de la critique culturelle vers les profondes idées structurelles de l’économiste Samir Amin
Texte Original publié en Anglais: Beyond Eurocentrism, If you really want decolonisation, go beyond cultural criticism to the deep structural insights of economist Samir Amin
Ingrid Harvold Kvangraven est chargé de cours (professeur adjoint) en développement international au King’s College de Londres. Elle est rédactrice fondatrice du blog Developing Economics et membre fondatrice du groupe de pilotage du réseau Diversifying and Decolonising Economics .
Edité par Said El Mansour Cherkaoui
Avec la publication d’ Orientalism en 1978, Edward Saïd allait devenir l’un des érudits les plus influents de notre époque. Le livre a transformé l’étude de l’histoire du monde moderne, car il a offert un aperçu de la façon dont les discours racistes ont créé et maintenu les empires européens. Autant pour ses activités politiques, Said et son travail ont attiré un certain nombre de critiques de droite, notamment peut-être Bernard Lewis. Moins connu en Occident est Samir Amin, l’économiste égyptien qui a inventé le terme « eurocentrisme ». Le terme vient du livre d’Amin Eurocentrism (1988), qui critiquait la vision de l’empire de la gauche de Said et offrait une vision alternative, basée non sur la culture ou le discours, mais sur une compréhension matérialiste du capitalisme et de l’impérialisme.
Said a passé la majeure partie de sa carrière dans le Nord, à New York, tandis qu’Amin a passé la majeure partie de sa carrière en Afrique, tentant de construire des institutions universitaires et politiques africaines pour défier les dépendances créées par l’impérialisme. Lorsque j’ai rencontré Amin pour un entretien en 2016, il avait 85 ans et était toujours activement impliqué dans la construction d’institutions alternatives et la remise en question de la théorie sociale eurocentrique. Bien qu’il soit décédé en 2018, son héritage reste extrêmement pertinent.
Dans l’eurocentrisme, Amin a révélé que les affirmations sur la façon dont le capitalisme s’est développé en Europe étaient imparfaites. Il a fait valoir que cette histoire du capitalisme émergeant des caractéristiques européennes endogènes de rationalité et de triomphe – qui continue de dominer la théorie sociale – est déformante. Il déguise la véritable nature du système capitaliste, y compris le rôle de l’impérialisme et du racisme dans son histoire. Plutôt que de représenter une explication scientifique objective, Amin a vu l’idéologie eurocentrique. Pour lui, supposer que le capitalisme puisse se développer dans la périphérie comme il l’a soi-disant fait en Europe est une impossibilité logique. Amin souligne également que le fondement de l’unité culturelle européenne est raciste, étant donné qu’il crée une fausse opposition entre les langues et de fausses dichotomies historiques (par exemple, la Grèce est considérée comme « européenne » et non liée à l’Orient ; le christianisme aussi, est considéré comme européen). En tant que tel, Amin était un critique précoce et sophistiqué des explications culturalistes dans les sciences sociales.
La critique d’Amin de l’eurocentrisme diffère de celle de Said, qui était plus concentré sur la façon dont les représentations culturelles des non-occidentaux sont racistes et nuisibles. En effet, Said et Amin représentent à bien des égards le contraste entre les visions postcoloniales et marxistes de l’impérialisme dans les sciences sociales – l’orientalisme pour l’un, et l’ eurocentrismepour l’autre. Amin, un néo-marxiste, était moins intéressé par les attitudes et la culture, qui préoccupent les postcolonialistes, et plus intéressé par l’eurocentrisme en tant que projet mondial polarisant et idéologique qui renforçait l’impérialisme et les inégalités systémiques en légitimant un système mondial qui expropriait les ressources et exploitait les personnes dans le monde. Sud global. Par exemple, Amin a démontré comment les sciences sociales eurocentriques contribuaient à légitimer les prédations sans restriction du capital, qui avaient de réels impacts matériels. Alors que pour Said, la remise en question des attitudes et de la culture pouvait suffire à défier l’impérialisme, pour Amin qui s’opposait à l’impérialisme, il revenait toujours à la question du capitalisme.
Amin pensait que la critique de Edward Said était trop générale et transhistorique, étant donné qu’elle ne distinguait pas les différentes visions européennes de l’Orient islamique. Cette leçon de Edward Said a obligé Amin à mettre en garde contre le danger d’appliquer trop librement le concept d’eurocentrisme. Pour Amin, l’eurocentrisme était un concept développé à un moment historique précis. Il a également critiqué Edward Said pour n’avoir dénoncé que les préjugés européens – ou l’orientalisme –sans “proposer positivement un autre système d’explication des faits dont il faut rendre compte”. C’est en effet précisément ce qu’Amin s’est proposé de faire dans son travail. En exposant une vision plus complète du développement du capitalisme sans préjugés eurocentriques, Amin propose de poursuivre un projet universel exempt de particularisme européen, une « modernité critique de la modernité ». Une telle affirmation peut, bien sûr, également être critiquée du point de vue critique des sciences sociales, étant donné qu’il est sans doute impossible pour toute théorie des sciences sociales de saisir pleinement la réalité de manière impartiale.
L’ Eurocentrisme d’Amin , initialement publié en français en 1988, était entre autres une réponse aux critiques postcoloniales qui rejetaient, presque a priori, les analyses marxistes comme étant eurocentriques. Amin a reconnu que certains aspects du marxisme étaient eurocentriques – comme la présomption téléologique selon laquelle les pays en développement sont simplement à un « stade » antérieur du développement capitaliste et qu’avec le temps, ils rattraperont l’Europe. Mais il a également expliqué comment les concepts marxistes et le matérialisme historique pouvaient fournir de fortes critiques de l’eurocentrisme.
Alors, quelle était son alternative à la science eurocentrique ?
Du point de vue de la périphérie, Amin a fourni un cadre pour découvrir les structures inégales de l’économie mondiale – que les théories eurocentriques ne peuvent pas fournir.
JVoici deux manières de penser la contribution d’Amin dans le domaine de l’économie du développement. L’un est les concepts spécifiques qu’il a mis en avant et comment ils ont été étendus de diverses manières pour interpréter le monde. L’autre est sa façon d’aborder les sciences sociales, qui recèlent le plus de potentiel pour restructurer l’économie du développement en tant que domaine (tel qu’élaboré dans mon récent article conjoint pour la Revue de l’économie politique africaine ). Commençons par son approche de l’économie politique.
Le concept d’économie politique d’Amin nous pousse à penser de manière structurelle, temporelle, politique et créative aux problèmes économiques mondiaux. Il défie les frontières disciplinaires. Considérons d’abord son attention à la structure. À une époque où une grande partie de l’économie en est venue à s’appuyer soit sur l’individualisme méthodologique, soit sur le nationalisme méthodologique – des approches qui centrent l’individu ou la nation comme l’unité d’analyse la plus pertinente – Amin commence par insister sur le fait que nous pensons structurellement. Il attire l’attention sur les structures mondiales qui sous-tendent un système international d’exploitation. Penser à la structure de l’économie mondiale était en fait ce qui a conduit Amin à apporter d’importantes contributions à la théorie de la dépendance, qui est une tradition centrée sur le Sud qui prend comme point de départ la tendance polarisante du capitalisme et les contraintes qu’il impose au monde postcolonial. Amin a exploré comment l’échange inégal – les inégalités inhérentes au commerce international – était une caractéristique cruciale de l’économie capitaliste mondiale, qui était un héritage du colonialisme et qui continuait de désavantager structurellement les pays du Sud.
Amin a également insisté sur la nécessité de penser temporellement. Il s’est identifié comme faisant partie de l’école du matérialisme historique mondial, dans laquelle la propagation historique du capitalisme mondial est la clé pour comprendre la polarisation entre le centre et la périphérie. L’approche d’Amin était aussi fondamentalement politique. Il n’a jamais nié que son but ultime était de changer le monde pour le mieux. Cela le distingue des économistes travaillant dans la tradition eurocentrique de prétendre que les sciences sociales sont neutres, apolitiques.
Enfin, dans son utilisation des concepts développés dans le noyau métropolitain pour comprendre le monde depuis les marges, Amin était un penseur créatif. Il s’est qualifié de «marxiste créatif» et a souligné qu’il partirait de Karl Marx plutôt que de s’y arrêter. Partir de Marx donne la priorité à la lutte des classes, à l’exploitation et au développement capitaliste inégal ; Amin a étendu ces concepts pour analyser l’impérialisme, l’échange inégal et les tendances polarisantes entre le centre et la périphérie.
Le Nord global s’est approprié environ 62 000 milliards de dollars du Sud global entre 1960 et 2018
Compte tenu de cette approche historique de l’économie politique, il était logique pour Amin d’étendre la théorie de la valeur de Marx pour mieux comprendre l’impérialisme. Dans Accumulation on a World Scale (1974), il a montré que les mécanismes par lesquels la valeur continuait à circuler de la périphérie vers le centre, reproduisant une division internationale du travail et une répartition géographiquement inégale des richesses, provenaient de la colonisation et de ses structures.
Amin s’est inspiré du livre fondateur des économistes néo-marxistes Paul Baran et Paul Sweezy Monopoly Capital (1966) dans sa conceptualisation de la « rente impérialiste ». Rente impérialiste, pour Amin, dérivée de la plus-value supplémentaire. En d’autres termes, plus de valeur pourrait être extraite des travailleurs grâce à la production dans la périphérie – générant une rente supplémentaire pour le capitaliste, par rapport aux travailleurs du centre effectuant des travaux similaires. Amin a fait valoir que, si les travailleurs faiblement rémunérés de la périphérie ne sont pas moins productifs que leurs homologues du centre, la valeur qu’ils créent est moins récompensée – et c’est ce qui crée une telle rente (impérialiste). Andy Higginbottom et d’autres chercheurs ont depuis étendu la perspicacité d’Amin, appliquant le concept pour démontrer comment les multinationales britanniques et espagnoles ont pu tirer parti du boom des matières premières ; voir aussi le travail de Maria Dyveke Styvesur “L’empire informel de Londres” (2017).
Subcapitalisme par Said El Mansour Cherkaoui
Said El Mansour Cherkaoui avait aussi mené similairement et dans cette lignée d’études en prenant comme objet de critique Andre Gunder Frank et Paul Baran et Paul Sweezy Monopoly Capital (1966) afin de définir une nouvelle théorie nommée “Subcapitalisme”. Cette phase du nouveau essor du Capitalisme adaptant les conditions de production locales et celles liées a la demande des pays métropolitains avait aiguisé et orienté une nouvelle trajectoire d’évolution du Capitalisme et ses rapports de transformation avec les économies du Sud et les Pays formant le reste de l’économie mondiale comme partenaires commerciaux et lieu d’investissement ou bien avec des rapports en tant que pays colonisés.
02/03/2016 à 09:05 par Said EL Mansour Cherkaoui
Le Capitalisme se réinvente a travers le Subcapitalisme, la théorie sur l’émergence de nouvelles formes d’internationalisation du capital que j’ai en premier élaboré au sein de l’Institut de Recherches Economiques et de Planification du Développement [IREP], Université de Grenoble, et que j’avais continué pendant une année comme Visiting Researcher at the Center of Latin American Studies [CLAS] at the University of Berkeley.
De retour en France, je fus integre par Prof. Celso Furtado au sein de l’Institut des Hautes Etudes d’Amérique Latine [IHEAL] et par Prof. Raymond Prats au Centre de Documentation et de Recherche sur l’Amerique Latine [CREDAL] avec le Laboratoire 111 Associé au Centre National de la Recherche Scientifique, [CNRS] ou j’ai continué ma recherche et dont un extrait sur l’Etat et les Grands Groupes d’Intérêt Privés au Brésil fut publié en 1985 par le CNRS avec ce titre:
La relation ambivalente entre l’etat fédéral et les grands groupes d’intérêts privés au Brésil dans la première moitié du XXème siècle Said El Mansour Cherkaoui, Centre de Recherche et Documentation Sur l’Amerique Latine et Centre National de la Recherche Scientifique
J’ai continue ma recherche aux Etats Unis et au bout de 14 ans de travail assidu et de recherche, les résultats de ces longues études et de rédaction furent défendus au cours de la soutenance de ma these de doctorat dans l’enceinte de l’Université de Sorbonne et dont l’intitulée et le résumé sont:
Économie politique du subcapitalisme en Amérique latine: (1830-1930); Argentine, Brésil, Chili, Pérou Université Paris III, Sorbonne Nouvelle. Institut des Hautes Études de l’Amérique latine. 1992. Localisation : Centre Technique Livre Ens. Sup. ; Paris3-BU –
La période de l’étude se situe entre 1830 et 1930 dont le choix fut déterminé par les transformations connues par l’Amérique latine durant ce siècle. L’Argentine, le Brésil, le Chili et le Pérou furent parmi les pays les plus marqués par une intégration d’ordre libéral dans le marché financier et commercial international et par une diversification relative des termes de la collaboration de leurs États et leurs classes oligarchiques et dirigeantes avec les tenants des finances internationales.
La formulation du nouveau concept sur le développement subcapitaliste et de la théorie sur le subcapitalisme fut élaboré sur l’analyse des causes et des conséquences de l’internationalisation du capital sous la forme de la dette extérieure et de l’investissement direct étranger. Une critique des concepts de développement capitaliste, de retard économique, d’absence de capital et de marché dans les pays d’Amérique latine et dans ceux demeurés dans une mouvance coloniale est conduite à travers une analyse critique des travaux de Paul Baran et surtout ceux d’André Gunder Frank.
Le subcapitalisme complète le capitalisme pour former une économie mondiale hiérarchisée, inégale et homogène.
Économie / Histoire / Capitalisme / Investissement / Dette extérieure / Développement / Commerce
Said El Mansour Cherkaoui entreprit sa recherche sur le Subcapitalisme pendant 14 ans de recherches a travers le monde, pour céer une nouvelle theorie nommée le “Subcapitalisme” et cela a travers ses travaux de recherche a l’IREP de Grenoble, IHEAL / CREDAL Laboratoire 111 associé au CNRS et comme These Doctorale a l’Universite de la Sorbonne, voir details dans les liens et les documents suivants:
TITLE | YEAR |
---|---|
Économie politique du subcapitalisme en Amérique latine: (1830-1930); Argentine, Brésil, Chili, Pérou Said El Mansour Cherkaoui | 1992 |
Historical Dictionary of European Imperialism Said El Mansour Cherkaoui, E James S. Olson | 1991 |
The structural causes of the Gulf crisis and the quest for a peaceful solution in the Middle East Said El Mansour Cherkaoui, La Comunità Internazionale, Società Italiana Organizzazione Internazionale … | 1991 |
La relation ambivalente entre l’etat fédéral et les grands groupes d’intérêts privés au Brésil dans la première moitié du XXème siècle Said El Mansour Cherkaoui, Centre de Recherche et Documentation Sur l’Amerique Latine | 1985 |
La relation ambivalente entre l’Etat fédéral et les groupes d’intérêts privés au Brésil dans la première moitié du XXème siècle By Said el-Mansour Cherkaoui · 1985 Said El Mansour Cherkaoui
Economie politique du subcapitalisme en Amérique latine (1830-1930): Argentine-Brésil-Chili-Pérou -Said El Mansour Cherkaoui 1992 – 806 pages Said El Mansour Cherkaoui |
Le colonialisme a façonné les économies postcoloniales de telle sorte que l’accumulation s’est déroulée de manière particulièrement inégale – ou inégale. Dans Unequal Development (1976), Amin distingue deux types d’accumulation différents, l’un qu’il appelle « l’accumulation autocentrique », qui a lieu dans le noyau et favorise la reproduction élargie du capital. La périphérie, en revanche, était caractérisée par ce qu’il appelait « l’accumulation extravertie », un type qui ne se prêtait pas à la reproduction du capital. Il a fait valoir que le développement inégal a évolué historiquement en créant des structures d’exploitation, qui se sont manifestées à l’époque contemporaine par des échanges inégaux. Cela a conduit à son tour à une polarisation continue et à une inégalité accrue.
« L’échange inégal » dans Amin était une tentative d’expliquer globalement la non-égalisation des prix des facteurs, où le prix des facteurs fait référence à la rémunération du travail ou d’autres facteurs primaires non produits. Cela signifie que la main-d’œuvre, les matières premières et la terre sont moins chères dans la périphérie. Il a appelé la sous-évaluation de la main-d’œuvre dans la périphérie « surexploitation ». Pour Amin, l’échange inégal était le résultat de l’extension du capital monopoliste à la périphérie à la recherche de super-profits (ou rente impérialiste).
Amin a changé les termes des débats sur l’échange inégal. Jusqu’à ses travaux, l’orthodoxie parmi les économistes était que les travailleurs de la périphérie sont tout simplement moins productifs que ceux du centre. Il est important de noter que l’idée d’échange inégal et de « sur »-exploitation reste controversée chez les marxistes. Dans Das Kapital (1867), Marx lui-même discute de la futilité des comparaisons entre différents degrés d’exploitation dans différentes nations, et des problèmes méthodologiques importants qui se posent. De nombreux marxistes soutiennent que les néo-marxistes tels qu’Amin se sont concentrés de manière excessive sur les relations de marché au détriment de l’exploitation du travail.
En plus de participer à ces débats théoriques, Amin a été parmi les premiers à tenter de mesurer empiriquement les échanges inégaux. Beaucoup ont suivi ses traces depuis, comme Jason Hickel, Dylan Sullivan et Huzaifa Zoomkawala, dont les recherches en 2021 ont révélé que le Nord global s’est approprié environ 62 000 milliards de dollars du Sud global entre 1960 et 2018 ( dollars américains constants de 2011). En explorant une gamme de méthodes différentes pour calculer l’échange inégal, Hickel et al constatent que, quelle que soit la méthode, l’intensité de l’exploitation et l’ampleur de l’échange inégal ont augmenté de manière significative depuis les années 1980 et 1990.
Amin a également consacré beaucoup de temps à réfléchir aux moyens de changer un système injuste. Il était fortement impliqué dans l’activisme et a développé des concepts théoriques pour effectuer un changement politique. La plus connue est l’idée d’Amin de « dissocier » – sur laquelle il a publié un livre. Delinking: Towards a Polycentric World (1990) propose une évaluation des voies possibles pour un État souverain dans la périphérie. Dans Delinking , Amin soutient que les conditions spécifiques qui ont permis l’avancement du capitalisme en Europe occidentale au XIXe siècle ne sont pas reproductibles ailleurs. Ainsi, il a proposé un nouveau modèle d’industrialisation façonné par le renouvellement des formes non capitalistes d’agriculture paysanne, ce qui, selon lui, impliquerait de se déconnecter des impératifs du capitalisme mondialisé.
Il est important de noter que la dissociation est souvent interprétée à tort comme signifiant l’autarcie, ou un système d’autosuffisance et de commerce limité. Mais c’est une fausse déclaration. La déconnexion ne nécessite pas de couper tous les liens avec le reste de l’économie mondiale, mais plutôt le refus de soumettre les stratégies de développement national aux impératifs de la mondialisation. Elle vise à imposer une économie politique adaptée à ses besoins, plutôt que de se contenter de s’adapter unilatéralement aux besoins du système mondial. Pour atteindre cet objectif de plus grande souveraineté, un pays développerait ses propres systèmes de production et donnerait la priorité aux besoins du peuple plutôt qu’aux exigences du capital international.
À mesure que le monde devient de plus en plus interconnecté, les possibilités de déconnexion deviennent plus difficiles
Dans mon entretien avec lui avant sa mort, Amin a souligné l’importance de la réalité économique politique spécifique d’un pays donné pour comprendre et situer les possibilités de déconnexion. À l’époque, avec une précision étrange, Amin estimait que “si vous pouvez atteindre 70 % de déconnexion, vous aurez fait un excellent travail”. Il a souligné qu’un pays fort qui est, pour des raisons historiques, relativement stable et doté d’une certaine puissance militaire et économique aura plus de poids pour se dissocier. Ainsi, alors que la Chine peut être en mesure d’atteindre 70 % de déconnexion, un petit pays comme le Sénégal aura du mal à atteindre le même degré d’indépendance.
La déconnexion implique le rejet des appels à s’adapter à l’avantage comparatif d’un pays et à d’autres formes de satisfaction des intérêts étrangers. C’est, bien sûr, plus facile à dire qu’à faire. Amin a noté qu’il faudrait à la fois un soutien national fort pour un tel projet national et une forte coopération Sud-Sud comme alternative aux relations économiques d’exploitation entre le centre et la périphérie. D’autres aspects de la déconnexion impliqueraient des investissements dans des projets à long terme, tels que les infrastructures, dans le but d’améliorer la qualité de vie de la plupart des habitants du pays, plutôt que de maximiser la consommation ou les bénéfices à court terme.
Plusieurs chercheurs ont plus récemment étudié les trajectoires de développement historique en relation avec la question de la déconnexion. Par exemple, en 2020, Francesco Macheda et Roberto Nadalini ont appliqué les considérations pour essayer de comprendre la trajectoire de développement de la Chine, tandis qu’en 2021, Francisco Pérez les a appliquées pour comprendre le développement économique en Asie de l’Est. Cependant, à mesure que le monde devient de plus en plus interconnecté, les possibilités de déconnexion deviennent plus difficiles.
ONous sommes à un moment où il est devenu à la mode pour les universités du Nord d’ exprimer une volonté de « décoloniser l’université ». Alors que de nombreux chercheurs se précipitent vers l’ orientalisme de Saïd pour comprendre comment procéder, le travail et l’engagement d’Amin envers une science sociale centrée sur le Sud peuvent offrir une approche plus radicale. À la suite de Said, une grande partie de l’engagement à décoloniser les sciences sociales s’est limité à remettre en question les tropes racistes et les représentations eurocentriques dans le programme et le discours académique. Ceci est important à un moment où les programmes sont devenus de plus en plus étroits, eurocentriques et avec un grave manque de diversité, en particulier en économie. Alors, qu’est-ce qu’une perspective aminienne ajouterait aux débats sur la décolonisation de l’économie au-delà de la contribution de Saïd ?
Premièrement, l’attention d’Amin sur la façon dont les héritages coloniaux ont façonné les structures économiques et sociales de l’économie mondiale de diverses manières a ouvert la porte à une mine d’érudition sur les héritages coloniaux, l’impérialisme et l’échange inégal. Dans la perspective de la décolonisation des universités, Amin pourrait alors faire intervenir la nécessité de promouvoir des conceptions du monde centrées sur le Sud, ainsi que des conceptions alternatives du capitalisme. C’est important parce que la recherche qui adopte une approche critique du capitalisme a été largement marginalisée dans les programmes d’économie du monde entier.
Quand Amin a soutenu sa thèse de doctorat à Sciences Po à Paris en 1957, c’était une époque où il était possible d’obtenir un doctorat en économie en étendant les concepts marxistes aux institutions d’élite. Quelques années plus tôt, en 1951, Baran, un économiste marxiste, avait été promu professeur titulaire à l’université de Stanford en Californie, peu après que Sweezy, un autre économiste marxiste, ait pris sa retraite de l’université de Harvard dans le Massachusetts en 1947. À ce moment-là, des universitaires radicaux à travers le monde proposaient des explications nouvelles et concurrentes pour les tendances polarisantes du capitalisme. Il y avait un intérêt particulier à réinterpréter Marx dans une perspective du monde postcolonial, des universitaires indiens au Brésil. C’était aussi une époque où la conférence de Bandung – un rassemblement en Indonésie en 1955 de représentants de 29 pays asiatiques et africains nouvellement indépendants pour construire des alliances autour du développement économique et de la décolonisation – offrait de l’optimisme à ceux qui s’opposaient au colonialisme et au néocolonialisme.
Amin peut nous aider à voir les fondements idéologiques de l’économie dominante
Les débats du milieu du XXe siècle sur l’eurocentrisme ont évolué à partir de véritables luttes matérielles contre les relations coloniales et néocoloniales, qui contrastent avec le champ contemporain de l’économie, où l’analyse a été réduite à ce qui peut être étudié dans le cadre de l’économie néoclassique et avec certaines méthodes économétriques acceptées. D’un point de vue aminien, la décolonisation de l’université devrait faire de la place aux types d’érudition radicale – qui examinent de manière critique le rôle du système capitaliste lui-même dans la production d’inégalités et d’injustices mondiales – qui étaient possibles au milieu du XXe siècle.
Deuxièmement, Amin peut nous aider à voir les fondements idéologiques de l’économie dominante, ainsi que la théorisation des sciences sociales au sens large. En cela, il nous donne le point de départ nécessaire pour défier un domaine qui reste eurocentrique. Troisièmement, nous pouvons également tirer des leçons importantes d’Amin en matière de stratégie. Il n’a pas beaucoup collaboré avec les universités d’élite du noyau dur. Il était un panafricaniste et un citoyen du monde en développement, et il a consacré sa vie à la construction d’institutions politiques et intellectuelles en Afrique. Cela contraste avec de nombreuses initiatives des universités du centre qui tentent d’intégrer des chercheurs de la périphérie dans leurs institutions (souvent eurocentriques), plutôt que de soutenir les institutions et les épistémologies du Sud.
Enfin, Amin a toujours lié son travail à de véritables luttes matérielles – la nécessité de s’opposer aux sciences sociales eurocentriques était importante car elle exposerait la dimension coloniale du système économique mondial. Ceci est important dans le contexte des appels à la décolonisation de l’université souvent menés isolément des luttes sociales plus larges liées à la décolonisation. Le travail d’Amin sert donc de rappel crucial que la colonisation était une question de ressources matérielles et que la décolonisation ne peut donc pas être accomplie uniquement par des changements épistémologiques.
Économie Histoire globale Penseurs et théories 15 avril 2022
Texte Original publié en Anglais: Beyond Eurocentrism, If you really want decolonisation, go beyond cultural criticism to the deep structural insights of economist Samir Amin
Edité par Said El Mansour Cherkaoui
3 janvier 2015
Les nouveaux défis de l’Amérique latine
Samir AMIN
Le continent américain a été la première région intégrée dans le capitalisme mondial naissant [1]. C’est également la première à avoir été façonnée comme périphérie des centres européens atlantiques en constitution. Ce façonnement a été d’une brutalité sans pareille.
Les Anglais ont ici (comme en Australie et en Nouvelle-Zélande) tout simplement procédé au génocide complet des Indiens, les Espagnols à leur réduction à un statut proche de l’esclavage. En dépit des effets démographiques catastrophiques de ces politiques, la présence indienne n’a pas été effacée. Les Portugais et les Français ont complété l’œuvre de façonnement du continent par la traite des esclaves. L’exploitation de cette première périphérie du capitalisme historique était fondée sur la construction d’un système de production pour l’exportation de produits agricoles (sucre, coton) et de produits miniers.
L’indépendance, conquise par les classes dirigeantes locales blanches, n’a rien changé à cette vocation. L’Amérique latine, avec encore aujourd’hui seulement 8,4 % de la population mondiale, comme l’Afrique, constituent les deux régions du monde où se conjuguent un faible peuplement relatif (par comparaison avec l’Asie de l’Est, du Sud et du Sud-Est) et une richesse fabuleuse en ressources naturelles (en terres arables potentielles et en richesses du sous sol). Elles ont de ce fait vocation à être et à demeurer des zones soumises au pillage systématique et à grande échelle de ces ressources au seul bénéfice de l’accumulation du capital dans les centres dominants, l’Europe et les Etats Unis.
Les formes politiques et sociales construites pour servir cette vocation ont bien entendu évolué avec les siècles ; mais elles sont demeurées conçues à chaque étape, jusqu’aujourd’hui, pour la servir. Au XIXe siècle, l’intégration de l’Amérique latine dans le capitalisme mondial reposait d’une part sur l’exploitation de ses paysans, réduits au statut de péons soumis par l’exercice des pratiques sauvages des pouvoirs exercés directement par les grands propriétaires fonciers et, d’autre part, sur l’exploitation de ses mines par les premières grandes compagnies minières européennes et états-uniennes. Le système de Porfirio Diaz [2] au Mexique en constitue un bel exemple.
L’approfondissement de cette intégration au XXe siècle a produit la « modernisation de la pauvreté ». L’exode rural accéléré, plus marqué et plus précoce en Amérique latine qu’en Asie et en Afrique, a substitué aux formes anciennes de la pauvreté rurale celles du monde contemporain des favelas urbaines. En parallèle, les formes du contrôle politique des masses ont été à leur tour « modernisées » par la mise en place de dictatures « para-fascistes » (abolition de la démocratie électorale, interdiction des partis et des syndicats, octroi à des services spéciaux « modernisés » par leurs techniques de renseignement du droit d’arrêter, de torturer, de faire disparaître tout opposant réel ou potentiel). Des dictatures au service du bloc réactionnaire local (latifundiaires, bourgeoisies compradore, classes moyennes bénéficiaires de ce mode de lumpen développement) et du capital étranger dominant, en l’occurrence celui des Etats-Unis.
Le continent conserve jusqu’à ce jour les marques de la surexploitation sauvage à laquelle il est soumis. Les inégalités sociales y sont extrêmes, plus encore qu’ailleurs. Le Brésil est un pays riche (le rapport terres arables/population y est dix-sept fois meilleur qu’en Chine) où on ne voit que des pauvres ; la Chine est un pays pauvre où on voit beaucoup moins de déchéance extrême, ai-je écrit. Mais au Brésil, conséquence de son développement capitaliste périphérique précoce et profond, il n’y a plus que 10 % de ruraux : la pauvreté est désormais urbaine. Au Venezuela, le pétrole a intégralement détruit l’économie et la société : il n’y a plus ni agriculture, ni industries, tout est importé. Très riches et très pauvres vivent – ou survivent – de la seule rente pétrolière.
Dans ces conditions, la reconstruction d’une agriculture capable d’assurer la souveraineté alimentaire comme la construction de systèmes industriels cohérents et efficaces exigera la mise en œuvre de politiques systématiques de longue haleine spécifiques, certainement différentes de celles qu’on pourrait imaginer en Asie et en Afrique.
Des avancées révolutionnaires remarquables
Le contraste est ici également visible, entre les avancées conséquentes conquises par les luttes populaires en Amérique du Sud au cours des trente dernières années et leur absence en Asie (Chine, Taïwan et Corée faisant exception) et en Afrique.
A l’origine de ces avancées : la mise en déroute des dictatures des années 1960-1970 par d’immenses mouvements populaires urbains. Initiée au Brésil par la présidence de Fernando Henrique Cardoso, approfondie par celle de Lula (2003), par la première victoire électorale de Chavez (1999), la maturation de la revendication de la démocratie est incontestablement en avance en Amérique latine. Cette revendication ne concerne plus quelques segments des classes moyennes, mais désormais la grande majorité des classes populaires, urbaines et rurales. Elle a permis des victoires électorales en Bolivie, en Equateur, en Argentine, en Uruguay (ce qui constitue l’exception dans l’histoire ancienne et récente et non la règle !) qui ont porté au gouvernement une nouvelle génération de dirigeants, dont les cultures politiques progressistes n’ont plus rien à voir avec celle des XIXe et XXe siècles. Une génération de dirigeants qui ont osé amorcer la remise en cause des politiques économiques et sociales réactionnaires du néolibéralisme, au plan intérieur tout au moins, sans que, malheureusement (et c’est là leur limite) cette remise en question n’ait modifié le mode d’insertion des pays concernés dans le capitalisme global.
Acquis positifs majeurs incontestables : l’amorce de la rénovation de la gestion démocratique de la politique (budgets participatifs, référendums révocatoires, etc.) ; la mise en place de politiques sociales correctives (mais plus par la redistribution que par le développement d’activités productives nouvelles) ; enfin la reconnaissance du caractère multinational des nations andines.
Ces acquis se sont conjugués avec les efforts de l’Amérique latine pour se libérer de la tutelle politique des Etats-Unis – formulée par la doctrine Monroe – malheureusement sans pour autant réduire la dépendance économique du continent. L’organisation des Etats américains (OEA) – le « ministère des colonies de Washington » – a du plomb dans l’aile depuis la constitution de l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (Alba, 2004) et de la Communauté des Etats d’Amérique latine et de la Caraïbe (Celac, 2011) – cette dernière rassemblant tous les Etats du sous-continent, mais excluant les Etats-Unis et le Canada. Le Mexique – soumis aux exigences du marché intégré nord américain – a commis de ce fait ce que j’ai osé qualifier de « suicide national » qui ne pourra être surmonté que par une grande révolution nationale et populaire, comme celle des années 1910-1920.
Les limites de ces premières avancées sont néanmoins évidentes : la région non seulement demeure vouée à l’échelle globale à la production primaire (75% de ses exportations encore aujourd’hui, alors que l’Asie – la Chine en premier lieu – progresse à vive allure dans l’industrialisation et dans l’exportation compétitive de produits manufacturés), mais on assiste à même à une « re-primatisation » de son économie (le modèle « extractiviste »). Le succès conjoncturel de l’exportation de produits primaires, la liquidation de l’endettement extérieur massif qu’il a permis, alimentent une illusion dangereuse : celle que le progrès politique et social pourrait être poursuivi sans sortir de la mondialisation telle qu’elle est.
Les limites et contradictions des avancées de l’Amérique latine interpellent la pensée sociale progressiste contemporaine. Ces avancées ont été produites par un mouvement populaire civil puissant, en rupture avec les formes anciennes de luttes conduites par des partis (communistes ou populistes) et avec l’expérience des luttes armées des années 1960-1970. J’ai proposé à cet effet un cadre d’analyse dont je rappelle ici seulement les très grandes lignes. Je parle de « prolétarisation généralisée et simultanément segmentée à l’extrême ». Il s’agit bien d’une prolétarisation, au sens que tous les travailleurs (formels et informels) n’ont rien d’autre à vendre que leur force de travail, y compris leurs capacités « cognitives » s’il y a lieu. La segmentation est, elle, largement produite par des stratégies systématiques mises en œuvre par les monopoles généralisés qui contrôlent le système économique considéré dans son ensemble, l’orientation de la recherche et de l’invention technologiques, le pouvoir politique. De surcroît, la garantie de permanence du contrôle étroit des monopoles généralisés de la triade impérialiste (Etats-Unis, Europe, Japon) est recherchée par une géostratégie de déploiement du contrôle militaire de la planète par les forces armées des Etats-Unis et de leurs alliés subalternes (Otan et Japon). Cette analyse vient en contrepoint de celle de Michael Hardt et de Antonio Negri dont je critique l’insistance démesurée sur la portée des effets de la « liberté » mise en œuvre dans les luttes de résistance de la « multitude » (terme flou pour cacher la prolétarisation), comme leur erreur de jugement sur la politique de Washington, dont le projet militaire aurait, selon eux, déjà « échoué », alors que, à mon avis, l’establishment n’a absolument pas renoncé à sa poursuite (et Hillary Clinton, si elle est élue, accentuerait cette fuite en avant).
Des défis formidables à surmonter
Les avancées des trente dernières années ont créée des conditions favorables permettant leur poursuite et leur approfondissement. Mais il y a des conditions pour que ce possible devienne réalité. J’en synthétise la nature en proposant la mise en œuvre de « projets souverains associant la construction de systèmes industriels modernes cohérents, la reconstruction de l’agriculture et du monde rural, la consolidation de progrès sociaux et l’ouverture à l’invention d’une démocratisation progressive et sans fin ». Mon insistance sur la souveraineté nationale, qu’il faut savoir associer à celle des classes populaires et non accepter de la dissocier de celle-ci, vient également en contrepoint du discours de Negri, qui estime dépassées l’affirmation de la nation et la construction d’un système mondial pluricentrique. A mon avis, ces objectifs sont loin d’être « dépassés » – certainement pas encore ! L’imaginer rend impossible la construction de stratégies d’étapes efficaces.
La reconstruction de l’agriculture – dans la perspective de la consolidation de la souveraineté alimentaire – imposera des formules de politiques différentes d’un pays à l’autre. Lorsque l’urbanisation absorbe 80% (ou plus) de la population, il devient illusoire d’imaginer possible un « renvoi à la terre » de travailleurs urbains paupérisés. Il faut envisager un mode de reconstruction très différent de celui qui est toujours possible et nécessaire en Asie et en Afrique. Néanmoins, cette reconstruction implique l’abandon des politiques toujours en cours, fondées sur la grande exploitation qui gaspille les terres (dans le modèle argentin en particulier). Dans les pays andins et au Mexique, la reconstruction ne peut être fondée sur la reconstruction illusoire des communautés indiennes du passé, dont on ne peut ignorer ni qu’elles ne répondent pas aux exigences d’avenir, ni qu’elles ont été défigurées par leur soumission aux exigences du lumpen développement périphérique spécifique aux pays en question.
La construction de systèmes industriels modernes et autocentrés (orienté vers le marché interne populaire et seulement accessoirement vers l’exportation) peut être imaginée pour le Brésil, peut-être pour l’Argentine, certainement pour le Mexique s’il parvient à sortir des griffes de l’intégration nord-américaine. Mais les politiques à l’œuvre se situent bien en deçà des exigences de cette construction, et ne sortent pas des limites imposées par les segments du grand capital national industriel et financier dominant associé aux monopoles des pays impérialistes. Nationalisation/étatisations et interventions actives de l’Etat sont incontournables, au moins pour cette première étape, ouvrant alors la route à la possibilité d’une socialisation réelle et progressive de leur gestion.
Pour les autres pays du continent, j’imagine mal des avancées dans la construction industrielle sans intégration régionale systématique (et elle ne l’est pas encore à ce jour) et même sans la construction de nouvelles solidarités à l’échelle du « Grand Sud » (les trois continents). La Chine seule – et peut-être quelques autres pays dits « émergents » – pourrait soutenir ici des projets d’industrialisation d’envergure (pour le Venezuela par exemple). Mais cela implique que Pékin comprenne que son intérêt est de le faire, ce qui n’est pas le cas. La complicité latente entre les pouvoirs latino-américains tablant toujours sur leurs richesses naturelles et la Chine qui a besoin d’accéder à ces ressources retarde chez les uns et les autres la prise de conscience des exigences à long terme d’une autre perspective, laquelle exige à son tour d’autres formes de « coopération » que celles mises en œuvre jusqu’à ce jour.
On en revient alors aux défis auxquels « le mouvement populaire progressiste » est confronté en Amérique latine, comme ailleurs dans les trois continents : dépasser la singularité des revendications de ses composantes en lutte, inventer les formes politiques nouvelles de la construction de l’unité dans la diversité.
Notes
[1] Ce texte a été inspiré par la lecture du livre de Christophe Ventura, L’éveil d’un continent – Géopolitique de l’Amérique latine et de la Caraïbe, Editions Armand Colin, Paris, juin 2014. Une version est également disponible sur mon blog.
[2] Dirigeant du Mexique de 1876 à 1911.
»»http://www.medelu.org/Les-nouveaux-defis-de-l-Amerique
URL de cet article 27698
https://www.legrandsoir.info/les-nouveaux-defis-de-l-amerique-latine.html
Samir AMIN
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Commentaires
02/03/2016 à 09:05 par Said EL Mansour Cherkaoui
Le Capitalisme se réinvente a travers le Subcapitalisme, la théorie que j’ai crée au sein de l’Institut de Recherches Economiques et de Planification, Universite de Grenoble et défendu au cours de la soutenance de ma these de doctorat dans l’enceinte de l’University of Paris III : Sorbonne Nouvelle dont l’intitulée et le résumé sont: :
Économie politique du subcapitalisme en Amérique latine (1830-1930) : Argentine, Brésil, Chili, Pérou Université Paris III, Sorbonne Nouvelle. Institut des Hautes Études de l’Amérique latine. 1992. Localisation : Centre Technique Livre Ens. Sup. ; Paris3-BU
La période de l’étude se situe entre 1830 et 1930 dont le choix fut déterminé par les transformations connues par l’Amérique latine durant ce siècle. L’Argentine, le Brésil, le Chili et le Pérou furent parmi les pays les plus marqués par une intégration d’ordre libéral dans le marché financier et commercial international et par une diversification relative des termes de la collaboration de leurs États et leurs classes oligarchiques et dirigeantes avec les tenants des finances internationales.
La formulation du nouveau concept sur le développement subcapitaliste et de la théorie sur le subcapitalisme fut élaboré sur l’analyse des causes et des conséquences de l’internationalisation du capital sous la forme de la dette extérieure et de l’investissement direct étranger. Une critique des concepts de développement capitaliste, de retard économique, d’absence de capital et de marché dans les pays d’Amérique latine et dans ceux demeurés dans une mouvance coloniale est conduite à travers une analyse critique des travaux de Paul Baran et surtout ceux d’André Gunder Frank.
Le subcapitalisme complète le capitalisme pour former une économie mondiale hiérarchisée, inégale et homogène.
Économie / Histoire / Capitalisme / Investissement / Dette extérieure / Développement / Commerce
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L’opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir.
Samir Amin : penseur de l’anti-impérialisme et de la souveraineté économique
Samir Amin est décédé le 12 août 2018. Il a laissé derrière lui une œuvre considérable, plus de cinquante ouvrages. Il se définit comme un « économiste politique » qui intègre l’économie dans la vie sociale ». Il s’inscrit dans la tradition de l’école de « l’économie politique » au sens classique du terme. Il se définit aussi comme un économiste marxiste. Selon lui, « On a besoin de Marx pour comprendre le monde d’aujourd’hui…” la suite de cet article se trouve dans ce lien:
http://www.ledmaroc.ma/pages/documents/pt_bouslikhane_10_7_19.pdf
Mohamed Bouslikhane | 10 Juillet 2019
World acclaimed Egyptian economist and thinker, Samir Amin, has died on Sunday in Paris. He was 86.
Amin was born in Egypt in 1931 to an Egyptian father and a French mother and spent his youth in Port Said. After studying in Egypt, he continued his diploma in political science in Paris in 1952, before getting a degree in statistics and then a doctorate in economics.
He worked first in Cairo at the Institute for Economic Management from 1957 to 1960 then moved between countries until becoming director of the Third World Forum in Dakar, Senegal in 1980.
He authored many books including The Liberal Virus 2003, A Life Looking Forward 2006, Accumulation on a World Scale 1970, and Capitalism in the Age of Globalization 1997.
In an interview with Ahram Online in 2012 Samir Amin said that he believes that “this neo-liberal phase is in a state of collapse. It doesn’t mean that capitalism is collapsing; but that its current form is collapsing and we’re entering a new phase. It has to adapt, and whether the new system will be biased to the ruling class or the masses, is still to be revealed.”
He also said “We should not just look at the Muslim Brotherhood as a political Islamist power but as a backward movement that rejects workers movements and social justice, preferring to talk about charity as a form to ensure their control over the people. The Islamists accept the policies of dependency under the guise of open market and private ownership rights; they openly accepted the American role in the region and the USA support for Israel, including the Camp David agreements.”
Quelques Publications de Samir Amin
- Accumulation on a World Scale, 1970.
- Neo-Colonialism in West Africa, 1971.
- Unequal Development, 1973.
- L’échange inégal et la loi de la valeur, 1973.
- Imperialism and Unequal Development, 1976.
- The Arab Nation, 1976.
- The Law of Value and Historical Materialism, 1977.
- Class and Nation, Historically and in the Current Crisis, 1979.
- The Arab Economy Today, 1980.
- The Future of Maoism, 1981.
- The Dynamics of Global Crisis, with G. Arrighi, A.G. Frank and I. Wallerstein, 1982.
- Delinking, 1985.
- Eurocentrism, 1988.
- Maldevelopment in Africa and in the Third World, 1989.
- L’empire du chaos, 1991.
Publications
- 1957, Les effets structurels de l’intégration internationale des économies précapitalistes. Une étude théorique du mécanisme qui an engendré les éonomies dites sous-développées (thesis)
- 1965, Trois expériences africaines de développement: le Mali, la Guinée et le Ghana
- 1966, L’économie du Maghreb, 2 vols.
- 1967, Le développement du capitalisme en Côte d’Ivoire
- 1969, Le monde des affaires sénégalais
- 1969, The Class Struggle in Africa [1]
- 1970, Le Maghreb moderne (translation: The Magrheb in the Modern World)
- 1970, L’accumulation à l’échelle mondiale (translation: Accumulation on a world scale)
- 1970, with C. Coquery-Vidrovitch, Histoire économique du Congo 1880–1968
- 1971, L’Afrique de l’Ouest bloquée
- 1973, Le développement inégal (translation: Unequal development)
- 1973, L’échange inégal et la loi de la valeur
- 1973, Neocolonialism in West Africa [2]
- 1973, ‘Le developpement inegal. Essai sur les formations sociales du capitalisme peripherique’ Paris: Editions de Minuit.
- 1974, with K. Vergopoulos: La question paysanne et le capitalisme
- 1975, with A. Faire, M. Hussein and G. Massiah: La crise de l‘impérialisme
- 1976, ‘Unequal Development: An Essay on the Social Formations of Peripheral Capitalism’ New York: Monthly Review Press.
- 1976, L’impérialisme et le développement inégal (translation: Imperialism and unequal development)
- 1976, La nation arabe (translation: The Arab Nation)
- 1977, La loi de la valeur et le matérialisme historique (translation: The law of value and historical materialism)
- 1979, Classe et nation dans l’histoire et la crise contemporaine (translation: Class and nation, historically and in the current crisis)
- 1980, L’économie arabe contemporaine (translation: The Arab economy today)
- 1981, L’avenir du Maoïsme (translation: The Future of Maoism)
- 1982, Irak et Syrie 1960–1980
- 1982, with G. Arrighi, A. G. Frank and I. Wallerstein): La crise, quelle crise? (translation: Crisis, what crisis?)
- 1984, ‘Was kommt nach der Neuen Internationalen Wirtschaftsordnung? Die Zukunft der Weltwirtschaft’ in ‘Rote Markierungen International’ (Fischer H. and Jankowitsch P. (Eds.)), pp. 89–110, Vienna: Europaverlag.
- 1984, Transforming the world-economy? : nine critical essays on the new international economic order.
- 1985, La déconnexion (translation: Delinking: towards a polycentric world)
- 1988, Impérialisme et sous-développement en Afrique (expanded edition of 1976)
- 1988, L’eurocentrisme (translation: Eurocentrism)
- 1988, with F. Yachir: La Méditerranée dans le système mondial
- 1989, La faillite du développement en Afrique et dans le tiers monde
- 1990, with Andre Gunder Frank, Giovanni Arrighi and Immanuel Wallerstein: Transforming the revolution: social movements and the world system
- 1990, Itinéraire intellectuel; regards sur le demi-siècle 1945-90 (translation: Re-reading the post-war period: an Intellectual Itinerary)
- 1991, L’Empire du chaos (translation: Empire of chaos)
- 1991, Les enjeux stratégiques en Méditerranée
- 1991, with G. Arrighi, A. G. Frank et I. Wallerstein): Le grand tumulte
- 1992, ‘Empire of Chaos’ New York: Monthly Review Press. [3]
- 1994, L’Ethnie à l’assaut des nations
- 1995, La gestion capitaliste de la crise
- 1996, Les défis de la mondialisation
- 1997, ‘Die Zukunft des Weltsystems. Herausforderungen der Globalisierung. Herausgegeben und aus dem Franzoesischen uebersetzt von Joachim Wilke’ Hamburg: VSA.
- 1997, Critique de l’air du temps
- 1999, “Judaism, Christianity, and Islam: An Introductory Approach to their Real or Supposed Specificities by a Non-Theologian” in “Global Capitalism, Liberation Theology, and the Social Sciences: An Analysis of the Contradictions of Modernity at the Turn of the Millennium” (Andreas Mueller, Arno Tausch and Paul Zulehner (Eds.)), Nova Science Publishers, Hauppauge, Commack, New York
- 1999, Spectres of capitalism: a critique of current intellectual fashions
- 2000, L’hégémonisme des États-Unis et l’effacement du projet européen
- 2002, Mondialisation, comprendre pour agir
- 2003, Obsolescent Capitalism
- 2004, The Liberal Virus: Permanent War and the Americanization of the World
- 2005, with Ali El Kenz, Europe and the Arab world; patterns and prospects for the new relationship
- 2006, Beyond US Hegemony: Assessing the Prospects for a Multipolar World
- 2008, with James Membrez, The World We Wish to See: Revolutionary Objectives in the Twenty-First Century
- 2009, ‘Aid for Development’ in ‘Aid to Africa: Redeemer or Coloniser?’ Oxford: Pambazuka Press [4]
- 2010, ‘Eurocentrism – Modernity, Religion, and Democracy: A Critique of Eurocentrism and Culturalism’ 2nd edition, Oxford: Pambazuka Press [5]
- 2010, ‘Ending the Crisis of Capitalism or Ending Capitalism?’ Oxford: Pambazuka Press [6]
- 2010, ‘Global History – a View from the South’ Oxford: Pambazuka Press [7]
- 2011, ‘Maldevelopment – Anatomy of a Global Failure’ 2nd edition, Oxford: Pambazuka Press [8]
- 2011, ‘Imperialism and Globalization’: Monthly Review Press
- 2013, ‘The Implosion of Contemporary Capitalism’: Monthly Review Press [9]
- 2016, ‘Russia and the Long Transition from Capitalism to Socialism’: Monthly Review Press
- 2018, ‘Modern Imperialism, Monopoly Finance Capital, and Marx’s Law of Value’: Monthly Review Press
Autres contributions en Anglais écrites par Samir Amin se trouve dans ce lien:
http://monthlyreview.org/author/samiramin/
Said El Mansour Cherkaoui – Said El Mansour Cherkaoui 8/2/2019
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By Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – ★ Senior Policy and Business Adviser ★ Consultant ★ News Executive Editor ★ Public Speaker ★ 🌍
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Said El Mansour Cherkaoui – Analyste des affaires internationales
79 articles – 13 septembre 2015
En collaboration avec des agences californiennes sous l’égide du Center for International Trade Development, j’ai donné l’idée et contribua directement à l’organisation de cet événement international avec deux jours de présentations et de rencontres entre responsables d’agences gouvernementales locales, régionales et fédérales américaines spécialisées dans le commerce international, chefs d’entreprises, dirigeants et organisations travaillant dans le cadre des relations entre les États-Unis et l’Afrique.
Lors de cette Conférence Internationale sur l’Afrique, j’ai inclus le Sénégal dans ma présentation pour honorer la présence de Babacar Ndiaye (Sénégal), Président (mai 1985 – août 1995) du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Le contenu connexe abordait le climat des affaires en Maroc, Algérie, Tunisie et Sénégal avec le titre « Faire des affaires en Afrique du Nord saharienne » que vous pouvez consulter en cliquant sur le lien Internet indiqué en haut de la version française de cette introduction.
Au sein de cette conférence, j’ai conduit une présentation sur le Maroc, l’Algérie et la Tunisie et le Sénégal intitulée « Doing Business in North Saharan Africa » – Cliquez sur le lien Web suivant pour accéder à la présentation de diapositives :
Faire des affaires en Afrique du Nord saharienne par Dr. Said El Mansour Cherkaoui: Historical Perspective on Doing Business in North Saharan Africa by Dr.Said El Mansour Cherkaoui
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