AGOA 2025: Opportunités économiques en Afrique Subsaharienne
Ce titre met en avant les opportunités économiques offertes par l’AGOA jusqu’en 2025, attirant ainsi l’attention des lecteurs intéressés par les affaires en Afrique.Développement économique en Afrique: Loi AGOA et opportunités commerciales
Ce titre met en avant la loi AGOA comme un catalyseur de développement économique en Afrique, attirant ainsi l’attention des lecteurs intéressés par les affaires et le commerce sur le continent.Loi AGOA: Croissance économique et opportunités commerciales en Afrique
Ce titre met en avant le lien entre la loi AGOA, la croissance économique et les opportunités commerciales en Afrique, attirant ainsi l’intérêt des lecteurs concernés par les affaires sur le continent.
Photo de l’audience durant la Conférence Internationale sur l’Afrique organisée par Said El Mansour Cherkaoui en association avec le East Bay Center for International Trade Development et les organismes de l’Etat de Californie et Fédéraux versés dans la promotion de l’AGOA et l’Afrique. La conférence eut lieu dans l’Hôtel Claremont à Oakland, Californie.
L’African Growth and Opportunity Act (AGOA) est une loi commerciale américaine promulguée en 2000. L’AGOA a été créée dans le cadre d’une législation plus large adoptée par le président Bill Clinton pour renforcer les liens commerciaux des États-Unis avec l’Afrique et les Caraïbes. La loi bénéficie d’un large soutien bipartisan aux États-Unis.
La loi offre un accès en franchise de droits au marché américain pour la plupart des exportations en provenance des pays éligibles d’Afrique subsaharienne. L’objectif de l’AGOA est de promouvoir la croissance économique grâce à la bonne gouvernance et au libre marché.
L’AGOA a été prolongée en 2015 pour 10 ans supplémentaires, jusqu’en 2025. La loi offre un accès en franchise de droits aux marchés américains aux pays d’Afrique subsaharienne qui remplissent certaines conditions en matière d’état de droit, de droits de l’homme et de protection du travail. L’AGOA offre un accès en franchise de droits au marché américain pour plus de 1 800 produits.
Ce qui se passe actuellement en Afrique n’est pas seulement la moisson des récoltes saisonnières du passe colonial ou bien le produit des nouvelles graines biotechniques d’effervescence néo-colonial transformant la nature Africaine en un territoire parsemé d’artifices et de déviations artificielles entraînant des déviations de toutes les possibilités de croissance ou de progrès au niveau de émergence de possibilités d’indépendance et d’autosuffisance.
Loin de tout cela, l’Afrique est restée au berceau de l’apprentissage martial sans déborder sur le plan de la découverte de nouveaux espaces de recherche et developpement d’aggrandissement des reves et des espoirs de celles et ceux ayant mis leurs vies sur le chemin de l’emancipation tribale, le recouvrement de l’identite locale, regionale et nationale si ce n’est intercontinentale, et qui voulaient que l’Afrique devienne le lieu de la cohabitation humaine liberee du fardeau d’une histoire gommee, et d’une memoire imposee d’allure amnesique.
Ces individus etaient des aventuriers de la liberte institutionnelle et de la dignite culturelle, sans pour autant avoir des ideologies et des croyances dogmatiques pouvant les opposer a toute forme de contradictions heritees ou face a la montee de nouvelles formes importees sous forme de recommendations et de plan de developpement erigees par des institutions occidentales se voulant et se presentant comme les detentrices des modeles de la croissance et des verites de développement vu que ces memes sources de conseils etaients les pourvoyeurs des ressources financieres et d’investissement dans ces programmes de redressement et de stimulation de la croissance ainsi que sous forme de remedes face aux malaises resultant de ces memes recommendations. Des Institutions qui recommendaient des plans de développement qui sont en meme temps les fournisseurs de therapie et de remede-choc et meme d’amaigrissement avec des mesures “Tight-belt policies” se creant ainsi des demandes et des clients en aval et en amont dans le meme marche et dans la meme demande et le meme client.
Ainsi, le client est rendu malade pour en faire un patient et par la suite lui administrer a compte goutte des pains killers et non des remedes definitifs pour le rendre dependant de ces adoucissants limitant la souffrance dans le temps, l’espace et l’etendue afin de pouvoir continuer cette forme relationnelle interdependante.
Qu’est ce que vous pensez de tout cela?
Veuillez partager votre réaction, point de vue ou considération sur ce que l’Afrique est en train de traverser en cette traversée temps a travers les Coups d’Éclat Militaires dont certains sont considérés comme préventifs au lieu d’etre des actions orientées par et visant des changements réels pour l’éclatement des maillons de la chaîne de complicité institutionnelle, de contrôle et de domination tant locale, régionale et nationale.
Dans cette perspective, le Coup d’Etat du Gabon est définit par certains comme étant une action de préservation du pouvoir entre les mains de la même clique qui depuis plus de 50 ans avait instaure une dynastie gouvernante avec l’aval des puissances étrangers et a leur tete, les occupants du Palais de l’Elysee Metropolitain. De meme, le coup d’Etat au Gabon est justifie par les ecrits de plusieurs journalistes et reporteurs qui presentent les difficultes sociales, la pauvrete, l’absence de bonne gouvernance, la corruption et les autres maux sociaux comme etant de la responsibilite directe du President Ali Bongo et les membres de sa famille. Par contre pour ce qui est des autres coups d’etats militaires dans la region, sans exception, ils furent condamnes et le Niger fut et continue d’etre menace d’intervention militaire africaine et francaise pour retablir le president elu qui fut ecarte du pouvoir par un coup d’etat militaire.
Ainsi, le soit-disant renversement de Ali Bingo Binga Bongo n’est en définitive selon certains skeptiques n’est une dispute dans le Palais Présidentielle d’envergure familiale et de rivalités internes faisant des bulles a la suite d’une tempête dans une bouteille de champagne. La direction relation du Leader , vu que l’actuel leader est le cousin direct du President déchu. En plus, juste une semaine apres un coup d’état sans effusion de sang, le général Oligui, qui a mené le coup d’Etat du 30 août 2023 contre un Ali Bongo à peine proclamé réélu dans une élection «frauduleuse», a prêté serment lundi en tant que Président d’une période de transition dont il n’a pas fixé la durée, et au terme de laquelle il promet de «rendre le pouvoir aux civils» par des élections.
Le président de la transition au Gabon, le général Brice Oligui Nguema, a nommé jeudi le 7 Septembre 2023 comme premier ministre Raymond Ndong Sima, un économiste et virulent opposant au président Ali Bongo Ondimba, renversé par les militaires il y a une semaine.
Raymond Ndong Sima, 68 ans, avait été chef du gouvernement d’Ali Bongo de 2012 à 2014 mais s’était éloigné du pouvoir qu’il accusait depuis de mauvaise gouvernance, jusqu’à se présenter aux présidentielles de 2016 et 2023. Pour cette dernière, il s’était désisté au dernier moment au profit d’un candidat commun de l’opposition.
Mes écrits sur l’Afrique remonte a des décennies et embrasse plusieurs aspects de son évolution et son avance vers la prise de conscience intrinsèque.
Pour moi l’Afrique depuis que j’ai commencé mes études en France en 1972/73, je me suis progressivement heurter a des résistances de la part de ceux que je pensais être les supporteurs du changement et du progrès social dans les pays a cette époque que l’on désignait comme le Tiers-Monde et plus tard le Quart-Monde.
A SciencesPo Grenoble, lors de ma deuxieme annee d’etudes, cette resistance de la part de certaines personnes etait devenu agressive et ouverte ainsi que repressive. Je vous laisse decouvrir la suite dans mes publications sur cette periode obscurtantiste de la part de ceux qui devraient etre les lumieres de la connaissance:
Afrique – Chine: 1977 Grand Prix SciencesPo Grenoble
Posted on April 10, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Modèle de la Chine pour l’Afrique Défendu par Said El Mansour Cherkaoui pour le Grand Prix SciencesPo Grenoble Afrique Murée à Sciences Po Grenoble: Forteresse […]
Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec toi et que tu peux consulter et reviser dans ce lien:
Destin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
Posted on August 25, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Résultats de recherche pour : africafrique memoire
Photo de l’audience durant la Conférence Internationale sur l’Afrique organisée par Said El Mansour Cherkaoui en association avec le East Bay Center for International Trade Development et les organismes de l’Etat de Californie et Fédéraux versés dans la promotion de l’AGOA et l’Afrique. La conférence eut lieu dans l’Hôtel Claremont à Oakland, Californie. L’African Growth and Opportunity Act (AGOA) est une loi commerciale américaine promulguée en 2000. L’AGOA a été créée dans le cadre d’une législation plus large adoptée par le président Bill Clinton pour renforcer les liens commerciaux des États-Unis avec l’Afrique et les Caraïbes. La loi bénéficie d’un … Continuer de lireDestin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
AFRICAFRIQUE Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec vous et que vous pouvez consulter et réviser et remonter a mon attachement a l’Afrique encore Etudiant a SciencesPo Grenoble et ayant le courage et la volonté de présager l’Afrique dans ses nouvelles formes d’expression propres quitte a se faire menacer directement d’être même expulser de cette enceinte du Savoir SciencesPo de Grenoble et je ne fus pas le seul dans ce cas, seul échappait ceux qui faisait parti de la bande des « Beni Oui Oui » et « Oui Missiou. » SciencesPo … Continuer de lire
Espace Athlétique de Said El Mansour Cherkaoui Publiee 6 Septembre 2023
Les Bases Militaires Étrangères en Afrique c’est les Bases de la Construction de la Soumission des Pays Africains aux Pouvoirs Étrangers
Quand une simple petite épine s’est plantée dans la patte du Lion Africain, même le plus maladroit singe peut danser et se moquer du Lion sans que le Lion puisse sauter, réagir ou courir après le singe et le singe le sait.
🌍 Voilà ce qu’est une base militaire étrangère plantée dans le pied d’un pays Africain, il ne peut marcher ni chasser les moqueries et les manipulations agaçantes et sous-développantes 🌍
Changement dans la Continuité Saisonnière
🌍
Printemps Arabe – Été Africain
🌍 Une Grande Question se Pose
🌍
A qui Profite ces Coups d’États Cascades? 🌍
Durant les trois années passées, l’Afrique anciennement colonisée par la France est le théâtre de 9 coups d’État – Mali, Guinée, Burkina Faso, Tchad, Niger, Tunisie, et actuellement Gabon qui partagent un commun dénominateur: voisins et localisés dans la région de l’Afrique morcelée par le colonialisme Français et par les Élites Techno-Énarques Parisiennes soutenant banques, compagnies minières avec l’aval de politiciens à la solde des grands groupes financiers investisseurs.
Cette Afrique “Française,” devint exposée à l’Islamisme et au résidu de l’assassinat de Kadhafi et fut progressivement Prise en Otage par les Menaces d’Intervention Militaires Externes et Régionales.
Les Leaders Africains continuent de prêcher l’alternance démocratique mais appliquent la maintenance de la notion dynastique de Chef de Tribu à la tête d’un État Électoraliste Militarisé. Cette militarisation de régimes favorisa l’émergence de nouvelles castes militaires professionnalisées et diplômées des écoles technico-martiales et d’intelligence anti-insurrectionnelles dépassant le savoir des parlementaires. Ces programmes financés par les métropoles occidentales sont consolidés sur le terrain par un encadrement local concurrentiel sous forme d’installations de bases militaires européennes, américaines, russes et même de Chine.
Ce bouclier et oasis de Paix fictif, derrière lequel les Présidents Construisent leurs Mansions – Prisons dont les gardiens sont leurs gardes présidentielles. Ces Bastions Présidentiels deviennent des Châteaux de Carte et se transforment en Maison d’Arrêt de leurs propres bâtisseurs. Ainsi, un moindre coup de semonce se transforme en coup d’État et tout s’écroule autour de la Démocratie de façade à l’Africaine.
Combien de combines et de candidats restent-ils en Afrique pour un coup d’Éclat militaire?
Est ce que les militaires africains ont déposé les armes du changement dans une boîte de suggestions?
Une boîte ou on dépose et on propose les candidatures de pays ou renverser la vapeur du pouvoir et changer la direction libérale démodée du train de vie politicien?
La chaudronnière africana en effervescence et le rouleau compresseur africain remontent la pente de la tromperie électoraliste pour aplanir le terrain populaire de la représentation directe.
Chaudevant – vent chauderrière – Au suivant – ALLEZ BINGO ALI BONGO
La dernière goutte dynastique qui fait déborder le vase de la Présidence à Vie!
Hasta la vista l’héritage dynastique et élitiste
DESTIN AFRICAIN AUJOURD’HUI : AFRICAFRIQUE
LA DÉCONSTRUCTION DE LA MISSION DE LA SOI-DISTANTE MISSION DE PAIX AU NIGER
En Afrique, on ne peut être au four et au moulin en même temps vu que les pays africains sont des mosaïques imbriquées construits a travers une dispersion des ethnies et des tribus qui sont identiques et similaires sans pour autant être abritées dans un même pays couvrant un territoire qui leur est propre. Les ethnies africaines sont parsemées dans différents pays voisins tout en étant de la même langue et la même culture mais ne possédant pas la même nationalité ni jouissant ensemble en tant que communauté homogène et intégrée des mêmes droits. Chaque ethnie demeure donc minoritaire et sujette d’abus et de manipulation des autres ethnies périphériques et surtout devenant marginalisée par rapport a l’ethnie qui au centre forme l’Élite dirigeante et militaire si ce n’est entreprenante recevant et jouissant des faveurs du pouvoir central.
Cet heritage politico-ethnique et topographique de la distribution du pouvoir et de la répartition déséquilibrée des ethnies dans des pays partageant les mêmes frontières sans pour autant partageant les mêmes objectifs de développement ou de répartition équitable de la reconnaissance sociale et politique des ethnies ayant des extensions dans le pays voisin avec lequel a travers de tel accaparement et une pareille monopolisation du pouvoir dans un environnement socio-ethnique contrôlé par l’existence de forces dominantes dans un équilibre des forces tribales et ethniques caractérisé et alimenté par des faiblesses de représentation, de reconnaissance et d’acceptation.
Ces faiblesses distillées selon les circonstances et la volonté de maintenir un système de castes monolithiques imposent et provoquent des tensions permanentes alimentées notamment par l’existence de foyers de mécontentements et de conflits inter-tribaux qui dégénèrent en guerre civile, en soulèvement régional et en conflit inter-étatique en Afrique.
Une aubaine a se faire manipuler comme des marionnettes par des mains étrangères portant des gants pour ne point dévoiler leur origine ethnique ou nationale.
Driss Chraïbi 🌐 Abdelkebir Khatibi font partie intégrante des écrivains marocains les plus célèbres qui ont axé leurs premières œuvres sur la narration d’une mémoire sculptée telle qu’une Œuvre Autobiographie unique enracinée dans l’évolution sociale du Maroc devenant ainsi une référence incontournable dans l’histoire littéraire et culturelle marocaine, nord-africaine et africaine.
MÉMOIRE D’AFRIQUE EN FRANCE
🌍 La meilleure manière et la bonne gouvernance c’est de dénoncer l’abus et l’injustice sans bouger le petit doigt pour la détruire et la rendre plus juste.
Apres la dénonciation, on continue le Business comme rien n’était, on ne bouge pas le petit doigt, mieux encore on s’en lave les mains et c’est le changement du ton dans la continuité de l’exploitation qui prime dorénavant.
Avec tout le respect pour Jacques Chirac Repose en Paix et Béatitude Éternelle, mais il faisait parti de tout un système érigé et oriente vers l’exploitation de l’Afrique et tous en profitaient a gauche comme a droite. j’ai paye un grand prix pour cela voila mon récit et cela durant l’Apogée et l’ascendance de Jacques Chirac comme pilier de la V “aime République”.
Photo de l’audience durant la Conférence Internationale sur l’Afrique organisée par Said El Mansour Cherkaoui en association avec le East Bay Center for International Trade Development et les organismes de l’Etat de Californie et Fédéraux versés dans la promotion de l’AGOA et l’Afrique. La conférence eut lieu dans l’Hôtel Claremont à Oakland, Californie.
L’African Growth and Opportunity Act (AGOA) est une loi commerciale américaine promulguée en 2000. L’AGOA a été créée dans le cadre d’une législation plus large adoptée par le président Bill Clinton pour renforcer les liens commerciaux des États-Unis avec l’Afrique et les Caraïbes. La loi bénéficie d’un large soutien bipartisan aux États-Unis.
La loi offre un accès en franchise de droits au marché américain pour la plupart des exportations en provenance des pays éligibles d’Afrique subsaharienne. L’objectif de l’AGOA est de promouvoir la croissance économique grâce à la bonne gouvernance et au libre marché.
L’AGOA a été prolongée en 2015 pour 10 ans supplémentaires, jusqu’en 2025. La loi offre un accès en franchise de droits aux marchés américains aux pays d’Afrique subsaharienne qui remplissent certaines conditions en matière d’état de droit, de droits de l’homme et de protection du travail. L’AGOA offre un accès en franchise de droits au marché américain pour plus de 1 800 produits.
Ce qui se passe actuellement en Afrique n’est pas seulement la moisson des récoltes saisonnières du passe colonial ou bien le produit des nouvelles graines biotechniques d’effervescence néo-colonial transformant la nature Africaine en un territoire parsemé d’artifices et de déviations artificielles entraînant des déviations de toutes les possibilités de croissance ou de progrès au niveau de émergence de possibilités d’indépendance et d’autosuffisance.
Loin de tout cela, l’Afrique est restée au berceau de l’apprentissage martial sans déborder sur le plan de la découverte de nouveaux espaces de recherche et developpement d’aggrandissement des reves et des espoirs de celles et ceux ayant mis leurs vies sur le chemin de l’emancipation tribale, le recouvrement de l’identite locale, regionale et nationale si ce n’est intercontinentale, et qui voulaient que l’Afrique devienne le lieu de la cohabitation humaine liberee du fardeau d’une histoire gommee, et d’une memoire imposee d’allure amnesique.
Ces individus etaient des aventuriers de la liberte institutionnelle et de la dignite culturelle, sans pour autant avoir des ideologies et des croyances dogmatiques pouvant les opposer a toute forme de contradictions heritees ou face a la montee de nouvelles formes importees sous forme de recommendations et de plan de developpement erigees par des institutions occidentales se voulant et se presentant comme les detentrices des modeles de la croissance et des verites de développement vu que ces memes sources de conseils etaients les pourvoyeurs des ressources financieres et d’investissement dans ces programmes de redressement et de stimulation de la croissance ainsi que sous forme de remedes face aux malaises resultant de ces memes recommendations. Des Institutions qui recommendaient des plans de développement qui sont en meme temps les fournisseurs de therapie et de remede-choc et meme d’amaigrissement avec des mesures “Tight-belt policies” se creant ainsi des demandes et des clients en aval et en amont dans le meme marche et dans la meme demande et le meme client.
Ainsi, le client est rendu malade pour en faire un patient et par la suite lui administrer a compte goutte des pains killers et non des remedes definitifs pour le rendre dependant de ces adoucissants limitant la souffrance dans le temps, l’espace et l’etendue afin de pouvoir continuer cette forme relationnelle interdependante.
Qu’est ce que vous pensez de tout cela?
Veuillez partager votre réaction, point de vue ou considération sur ce que l’Afrique est en train de traverser en cette traversée temps a travers les Coups d’Éclat Militaires dont certains sont considérés comme préventifs au lieu d’etre des actions orientées par et visant des changements réels pour l’éclatement des maillons de la chaîne de complicité institutionnelle, de contrôle et de domination tant locale, régionale et nationale.
Dans cette perspective, le Coup d’Etat du Gabon est définit par certains comme étant une action de préservation du pouvoir entre les mains de la même clique qui depuis plus de 50 ans avait instaure une dynastie gouvernante avec l’aval des puissances étrangers et a leur tete, les occupants du Palais de l’Elysee Metropolitain. De meme, le coup d’Etat au Gabon est justifie par les ecrits de plusieurs journalistes et reporteurs qui presentent les difficultes sociales, la pauvrete, l’absence de bonne gouvernance, la corruption et les autres maux sociaux comme etant de la responsibilite directe du President Ali Bongo et les membres de sa famille. Par contre pour ce qui est des autres coups d’etats militaires dans la region, sans exception, ils furent condamnes et le Niger fut et continue d’etre menace d’intervention militaire africaine et francaise pour retablir le president elu qui fut ecarte du pouvoir par un coup d’etat militaire.
Ainsi, le soit-disant renversement de Ali Bingo Binga Bongo n’est en définitive selon certains skeptiques n’est une dispute dans le Palais Présidentielle d’envergure familiale et de rivalités internes faisant des bulles a la suite d’une tempête dans une bouteille de champagne. La direction relation du Leader , vu que l’actuel leader est le cousin direct du President déchu. En plus, juste une semaine apres un coup d’état sans effusion de sang, le général Oligui, qui a mené le coup d’Etat du 30 août 2023 contre un Ali Bongo à peine proclamé réélu dans une élection «frauduleuse», a prêté serment lundi en tant que Président d’une période de transition dont il n’a pas fixé la durée, et au terme de laquelle il promet de «rendre le pouvoir aux civils» par des élections.
Le président de la transition au Gabon, le général Brice Oligui Nguema, a nommé jeudi le 7 Septembre 2023 comme premier ministre Raymond Ndong Sima, un économiste et virulent opposant au président Ali Bongo Ondimba, renversé par les militaires il y a une semaine.
Raymond Ndong Sima, 68 ans, avait été chef du gouvernement d’Ali Bongo de 2012 à 2014 mais s’était éloigné du pouvoir qu’il accusait depuis de mauvaise gouvernance, jusqu’à se présenter aux présidentielles de 2016 et 2023. Pour cette dernière, il s’était désisté au dernier moment au profit d’un candidat commun de l’opposition.
Mes écrits sur l’Afrique remonte a des décennies et embrasse plusieurs aspects de son évolution et son avance vers la prise de conscience intrinsèque.
Pour moi l’Afrique depuis que j’ai commencé mes études en France en 1972/73, je me suis progressivement heurter a des résistances de la part de ceux que je pensais être les supporteurs du changement et du progrès social dans les pays a cette époque que l’on désignait comme le Tiers-Monde et plus tard le Quart-Monde.
A SciencesPo Grenoble, lors de ma deuxieme annee d’etudes, cette resistance de la part de certaines personnes etait devenu agressive et ouverte ainsi que repressive. Je vous laisse decouvrir la suite dans mes publications sur cette periode obscurtantiste de la part de ceux qui devraient etre les lumieres de la connaissance:
Afrique – Chine: 1977 Grand Prix SciencesPo Grenoble
Posted on April 10, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Modèle de la Chine pour l’Afrique Défendu par Said El Mansour Cherkaoui pour le Grand Prix SciencesPo Grenoble Afrique Murée à Sciences Po Grenoble: Forteresse […]
Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec toi et que tu peux consulter et reviser dans ce lien:
Destin Africafrique: Passé Simple, Mémoire Tatouée, Fatalisme Confirmé
Posted on August 25, 2023 by Said El Mansour Cherkaoui
Espace Athlétique de Said El Mansour Cherkaoui Publiee 6 Septembre 2023
Les Bases Militaires Étrangères en Afrique c’est les Bases de la Construction de la Soumission des Pays Africains aux Pouvoirs Étrangers
Quand une simple petite épine s’est plantée dans la patte du Lion Africain, même le plus maladroit singe peut danser et se moquer du Lion sans que le Lion puisse sauter, réagir ou courir après le singe et le singe le sait.
🌍 Voilà ce qu’est une base militaire étrangère plantée dans le pied d’un pays Africain, il ne peut marcher ni chasser les moqueries et les manipulations agaçantes et sous-développantes 🌍
Changement dans la Continuité Saisonnière
🌍
Printemps Arabe – Été Africain
🌍 Une Grande Question se Pose
🌍
A qui Profite ces Coups d’États Cascades? 🌍
Durant les trois années passées, l’Afrique anciennement colonisée par la France est le théâtre de 9 coups d’État – Mali, Guinée, Burkina Faso, Tchad, Niger, Tunisie, et actuellement Gabon qui partagent un commun dénominateur: voisins et localisés dans la région de l’Afrique morcelée par le colonialisme Français et par les Élites Techno-Énarques Parisiennes soutenant banques, compagnies minières avec l’aval de politiciens à la solde des grands groupes financiers investisseurs.
Cette Afrique “Française,” devint exposée à l’Islamisme et au résidu de l’assassinat de Kadhafi et fut progressivement Prise en Otage par les Menaces d’Intervention Militaires Externes et Régionales.
Les Leaders Africains continuent de prêcher l’alternance démocratique mais appliquent la maintenance de la notion dynastique de Chef de Tribu à la tête d’un État Électoraliste Militarisé. Cette militarisation de régimes favorisa l’émergence de nouvelles castes militaires professionnalisées et diplômées des écoles technico-martiales et d’intelligence anti-insurrectionnelles dépassant le savoir des parlementaires. Ces programmes financés par les métropoles occidentales sont consolidés sur le terrain par un encadrement local concurrentiel sous forme d’installations de bases militaires européennes, américaines, russes et même de Chine.
Ce bouclier et oasis de Paix fictif, derrière lequel les Présidents Construisent leurs Mansions – Prisons dont les gardiens sont leurs gardes présidentielles. Ces Bastions Présidentiels deviennent des Châteaux de Carte et se transforment en Maison d’Arrêt de leurs propres bâtisseurs. Ainsi, un moindre coup de semonce se transforme en coup d’État et tout s’écroule autour de la Démocratie de façade à l’Africaine.
Combien de combines et de candidats restent-ils en Afrique pour un coup d’Éclat militaire?
Est ce que les militaires africains ont déposé les armes du changement dans une boîte de suggestions?
Une boîte ou on dépose et on propose les candidatures de pays ou renverser la vapeur du pouvoir et changer la direction libérale démodée du train de vie politicien?
La chaudronnière africana en effervescence et le rouleau compresseur africain remontent la pente de la tromperie électoraliste pour aplanir le terrain populaire de la représentation directe.
Chaudevant – vent chauderrière – Au suivant – ALLEZ BINGO ALI BONGO
La dernière goutte dynastique qui fait déborder le vase de la Présidence à Vie!
Hasta la vista l’héritage dynastique et élitiste
DESTIN AFRICAIN AUJOURD’HUI : AFRICAFRIQUE
LA DÉCONSTRUCTION DE LA MISSION DE LA SOI-DISTANTE MISSION DE PAIX AU NIGER
En Afrique, on ne peut être au four et au moulin en même temps vu que les pays africains sont des mosaïques imbriquées construits a travers une dispersion des ethnies et des tribus qui sont identiques et similaires sans pour autant être abritées dans un même pays couvrant un territoire qui leur est propre. Les ethnies africaines sont parsemées dans différents pays voisins tout en étant de la même langue et la même culture mais ne possédant pas la même nationalité ni jouissant ensemble en tant que communauté homogène et intégrée des mêmes droits. Chaque ethnie demeure donc minoritaire et sujette d’abus et de manipulation des autres ethnies périphériques et surtout devenant marginalisée par rapport a l’ethnie qui au centre forme l’Élite dirigeante et militaire si ce n’est entreprenante recevant et jouissant des faveurs du pouvoir central.
Cet heritage politico-ethnique et topographique de la distribution du pouvoir et de la répartition déséquilibrée des ethnies dans des pays partageant les mêmes frontières sans pour autant partageant les mêmes objectifs de développement ou de répartition équitable de la reconnaissance sociale et politique des ethnies ayant des extensions dans le pays voisin avec lequel a travers de tel accaparement et une pareille monopolisation du pouvoir dans un environnement socio-ethnique contrôlé par l’existence de forces dominantes dans un équilibre des forces tribales et ethniques caractérisé et alimenté par des faiblesses de représentation, de reconnaissance et d’acceptation.
Ces faiblesses distillées selon les circonstances et la volonté de maintenir un système de castes monolithiques imposent et provoquent des tensions permanentes alimentées notamment par l’existence de foyers de mécontentements et de conflits inter-tribaux qui dégénèrent en guerre civile, en soulèvement régional et en conflit inter-étatique en Afrique.
Une aubaine a se faire manipuler comme des marionnettes par des mains étrangères portant des gants pour ne point dévoiler leur origine ethnique ou nationale.
Driss Chraïbi 🌐 Abdelkebir Khatibi font partie intégrante des écrivains marocains les plus célèbres qui ont axé leurs premières œuvres sur la narration d’une mémoire sculptée telle qu’une Œuvre Autobiographie unique enracinée dans l’évolution sociale du Maroc devenant ainsi une référence incontournable dans l’histoire littéraire et culturelle marocaine, nord-africaine et africaine.
MÉMOIRE D’AFRIQUE EN FRANCE
🌍 La meilleure manière et la bonne gouvernance c’est de dénoncer l’abus et l’injustice sans bouger le petit doigt pour la détruire et la rendre plus juste.
Apres la dénonciation, on continue le Business comme rien n’était, on ne bouge pas le petit doigt, mieux encore on s’en lave les mains et c’est le changement du ton dans la continuité de l’exploitation qui prime dorénavant.
Avec tout le respect pour Jacques Chirac Repose en Paix et Béatitude Éternelle, mais il faisait parti de tout un système érigé et oriente vers l’exploitation de l’Afrique et tous en profitaient a gauche comme a droite. j’ai paye un grand prix pour cela voila mon récit et cela durant l’Apogée et l’ascendance de Jacques Chirac comme pilier de la V “aime République”.
MAROC DIGITALL – AFRICAFRIQUE Voila l’Afrique dans mes analyses, publications et considérations en ce qui concerne les événements courants que je partages avec vous et que vous pouvez consulter et réviser et remonter a mon attachement a l’Afrique encore Etudiant a SciencesPo Grenoble et ayant le courage et la volonté de présager l’Afrique dans ses nouvelles formes d’expression propres quitte a se faire menacer directement d’être même expulser de cette enceinte du Savoir SciencesPo de Grenoble et je ne fus pas le seul dans ce cas, seul échappait ceux qui faisait parti de la bande des « Beni Oui Oui » et « Oui Missiou. » SciencesPo … Lire la suiteAfrique – Chine: 1977 Grand Prix SciencesPo Grenoble
Said Cherkaoui 24 – Contact the Author: Said El Mansour Cherkaoui: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com – https://triconsultingkyoto.com By Said El Mansour Cherkaoui – Mar 5, 2023 Sciences Po Grenoble in 1977-78: Right-Wing Extremist Fortress and False Progressives BEFORE IN GRENOBLE – FRANCE MANY YEARS AFTER IN OAKLAND – CALIFORNIA MANY YEARS AFTER IN CHINA Where is France of the Righ-Wing Extremist and the False Progressive, here … Continue reading Africa Destiny Seen at Sciences Po Grenoble in 1977-78
Said Cherkaoui 24 – Cet Article fut rédigé et publié originalement April 10, 2023 en langue Française sous le titre de: Afrique à SciencesPo Grenoble 1977-78 Prix De La Défense Du Modèle De Développement Chinois A SciencesPo De Grenoble Deux Maîtres de Conférence de l’Extrême Droite: Un Avoué Revanchard et un Camouflé comme de … Continue reading by Said El Mansour … Continue reading
Said Cherkaoui 24 – Contact the Author: Said El Mansour Cherkaoui: There is nothing new in the actual development of China for me and it is not at all surprising to me: The limit is not the sky for China In 1978, I said: “Nothing will Stop China, even its own internal contradictions” In that year, with the China … Continue reading
Winning a Model of National Development Rooted in Revolutionary Doctrine with an Anti-colonial Past and History Would be a Tremendous Challenge to Uproot
During my research and presentation at Sciences Po Grenoble and since 1977-78, I have been saying that China is the Model of Development for the entire southern economies, starting with Africa as the first laboratory for implementation, more details in the next link:
The outcome of the China Model of Development took place also in the high-tech industry leading China to become one of the prominent sources of advanced technology innovation and transformation. This leap forward took place during the successive administrations of 5 Presidents of China which is unprecedented in the history of economic and tech development for a country that was considered an underdeveloped economy, a communist paria state without any capital orientation.
First Point: – Nothing Stops Progress and China Chip-Maker SMIC is Copying Nike: Just Do It and Keep Doing it and building it, they will come
Forteresse Extrémiste de Droite et Faux Progressistes
A mes Sœurs et Frères Africain/es
Celles et ceux qui n’ont pas vécu en face de la réalité anti-africaine pour réaliser à leur niveau comment cela pouvait mettre leur vie en échec complet. Espérant que mon episode de cette histoire académique mais profondément idéologique et sociale peut les aider à s’ouvrir les yeux en plus grand
Alors que j’étais un jeune étudiant à Sciences Po Grenoble je le décris dans lien précédent qui vous permettra de lire mon histoire qui a sapé tous les ingrédients et les opportunités d’un autre avenir Made In Great Britain de l’époque mais ma fierté d’être un Africain et de le rester valait toutes ses pertes que j’ai enduré par la suite comme une cascade de magma brûlant tout sur mon passage.
Mes blessures n’ont jamais été guéries mais ma dignité Africaine est ma force éternelle
Je suis fier d’avoir toujours supporté l’Afrique partout où je vais et cela à travers l’Éducation que j’ai reçu de ma Mère et mon Père, Rahma Wa Ghofrane pour tous nos parents, Amen
Afrique entre les Murs de Sciences Po Grenoble: Forteresse Extrémiste de Droite et Faux Progressistes en 1977-78
Sciences Po de Grenoble de France en 1977-78: Afrique – Chine et Développement du Maroc
En France, alors que j’étais encore étudiant à Grenoble et dans un Séminaire pour l’obtention du Diplôme de Sciences Po, j’ai formulé un projet sur le Développement de la Chine en le défendant comme le seul modèle à imiter et à suivre par toutes nos anciennes colonies africaines qui ont été, dans les années 70, secouées par la brutalité et les oscillations soudaines du marché international et le poids de la dette extérieure et l’approfondissement des écarts sociaux, la pauvreté et les conflits sociaux et les guerres civiles. Il devenait urgent et incontournable de formuler une autre voie et une autre stratégie de développement que celle héritée des anciens pays colons et des institutions internationaux créditeurs qui ont pris la relève dans la consolidation de nouvelles formes de dépendance vis a vis de l’extérieur.
L’Afrique était ainsi divisée et confrontée aux nouvelles forces du marché international dorénavant miné par les conflits pour le monopole des ressources énergétiques et naturelles. Une Afrique qui oscillait entre les rivalités ouvertes entre le Bloc Soviétique, la Chine, l’Inde et les pays occidentaux libéraux dont la guerre au Vietnam et au Moyen Orient demeuraient aussi les résultats directs d’une telle division du marché international et qui nourrissaient les causes de l’embrasement et l’éclatement de l’Afrique en géostratégique zones d’influence inter-conflictuelles aggravant ses difficultés internes imposant des blocages pour son émancipation sociale et économique base sur la satisfaction des droits et des besoins de ses propres citoyen/nes.
Le prix que j’ai payé pour defendre le developpement de Chaque Pays Africain et l’Afrique a travers une réadaptation et un réaménagement du modéle intial de développement appliqué en Chine
Histoire d’Amour Conceptuelle de Said El Mansour Cherkaoui avec le Développement de l’Afrique par l’implantation du Modèle de la Chine en 1978 qui m’attira les Foudres Jalouses des Nostalgiques de l’Ère Coloniale et Néo-Coloniale à Sciences Po de Grenoble
J’ai présenté et défendu le Modèle de Développement Chinois en 1977 comme le seul moyen de développer l’Afrique et cela devant un représentant dur du RPR (Rassemblement pour la République – Parti Politique Français), en fait cet individu était plutôt une extrême droite cachée et non déclarée qui était Maître de Conférences – je devrais dire un petit maître chanteur et maître des catastrophes – à l’Institut d’Etudes Politiques de l’Université de Grenoble.
Cet énergumène de Facho Maître de Conférence Désastreuse a essayé de me faire chanter et d’imposer à ma pensée sa volonté et ses tendances idéologiques. Il voulait que je change d’avis et que je dise à tous les étudiants présent dans le Séminaire que la Chine n’est pas la voie à suivre en tant que modèle de développement national pour les pays du tiers monde qui sont a la recherche d’une issue honorable et une alternative magnifiant leurs sens humain face au sous-développement, la pauvreté et la misère et l’exploitation honteuse de leurs ressources tant humaines que naturelles par des Lobbies, des conglomerates et des monopoles étrangers ne reconnaissant aucune frontière et guidée par le seul objectif qu’est le profit multinational associe avec des régimes fantoches et marionnettes que l’on change selon les scriptes de la conjoncture internationale et la demande des pays métropolitains anciens colonisateurs et les autre économies occidentales jumelles.
J’ai refusé de changer ma vision de l’Afrique et par consequent, j’ai perdu un an d’étude et de progrés dans mon existence académique et professionnelle, un poste en Angleterre de Chercheur et plein d’autres relations ce qui a complétement boulversé les niveaux de vie de mon existence mais sans pour autant altérer mes approches africaines et ma vision de l’Afrique dans le monde qui se sont en fait avérées être la façon réelle dont les choses ont évolué depuis et avec le temps qui confirma mes certitudes, mes predictions durant cette époque qui sont devenues de nos jours la realite movante quotidienne de l’Afrique et ses relations avec le reste du monde, juste cette confirmation est et demeure l’une de mes plus grandes récompenses dans mes analyses et mes choix stratégiques du développement
Ce pauvre type de “Maître de Conférence” n’a pas apprécié mes recherches et ma présentation que j’ai faite à cet Institut pour le Département de l’Economie et des Finances à l’Institut d’Etudes Politiques de l’Université de Grenoble. C’était la dernière année pour l’obtention du Diplôme. Il m’a complètement viré mais Dieu a donné la bonne réponse et la bonne punition pour son abus envers moi.
La Chine est également devenue un nouvel État sur la base de ses propres capacités et des apports et directives de Deng Xiaoping (22 août 1904 – 19 février 1997) qui était la pièce maîtresse de ma présentation.
Malgré cet abruti et l’obstacle qu’il a tenté de mettre sur ma route pensant au développement national, j’ai poursuivi mon parcours en obtenant un doctorat de l’Université de la Sorbonne, Paris sur le même thème tout en créant un nouveau concept de sous-capitalisme à la suite de l’insertion dans le marché international et plus tard, j’ai été l’invité du Gouvernement de la Chine pour former leurs entreprises ici à Oakland, en Californie et en Chine (voir les photos ci-jointes).
A l’occasion de mon Triomphe sur le Racisme et la Petitesse Académique de la Pseudo-Droite à Grenoble, et ce que le temps bien plus tard a confirmé mes choix et mes analyses sur le développement économique, j’offre ici à tous mes Amis cet article sur la Chine qui déploie ses forces basée sur l’utilisation de ses propres ressources en réponse à un besoin réel et sincère de développement national et d’affirmation internationale à tous les niveaux.
Aux États-Unis, au milieu des années 90, j’ai organisé des visites commerciales et d’affaires de dignitaires, cadres et fonctionnaires chinois dans la région de la baie de San Francisco et leur ai fourni des services de conseil et une formation sur le développement des affaires internationales. Ainsi, il y a plus que vingt ans, une organisation et une maison d’édition britanniques de Londres m’ont demandé de mener des recherches sur le développement des télécommunications et de la technologie en Chine.
Voila ici deux extraits de cette recherche qui furent publiés a Londres, Royaume Uni. Mes recherches comme tous les autres travaux de mes recherches que j’avais mené, mon analyse sur la Chine était orientée à travers une vision prospective et une prédiction des effets et manifestations qui pourraient être générés ultérieurement et dans l’avenir des pays.
Dans ce travail de recherche, j’ai mis en évidence la relation directe et ambivalente et le rôle pivot de l’État chinois dans le développement direct de la technologie en Chine. Durant cette recherche et en même temps, je travaillais en tant que directeur commercial international chez Sprint Corp et en tant que coprésident du comité international de la chambre de commerce de San Francisco, où j’ai eu l’occasion de faciliter la visite du vice-maire de Pékin et une délégation de haut cadres chinois.
Parallèlement, j’enseignais un ensemble d’études de programme et de cours sur les télécommunications, la sécurité numérique et le développement technologique national à la School of Technology de la Golden Gate University de San Francisco. Toute cette implication et tous ces intérêts en Chine et en tant que consultant principal auprès du Centre pour le développement du commerce international à Oakland et Berkeley, j’ai été invité par le gouvernement chinois et le gouvernement provincial du Guizhou qui m’ont accordé le meilleur des meilleurs traitements que j’aie jamais reçus et cela en comparant leur traitement a mon égard avec n’importe quelle entité dans le monde que j’ai eu des relations directes avec.
France de 1973 – 1987 avec et par Said El Mansour Cherkaoui
La France pour moi est avant tout et cela durant mes quinzaine d’années et plus passées entre ses murs, elle est avant tout une terre d’asile et de continuer mes activités sportives, artistiques, culturelles et académiques et pour cela je demeure plein de gratitude aux personnes qui m’ont aidé à faire ce parcours et traverser ces domaines avec connaissance. Bien sûr j’ai connu beaucoup de rejet et de marginalisation mais cela comme on dit faisait partie du territoire que je couvrais et j’ai grandi.
Si je jettes un regard sur ce que j’ai vécu, je dirais la France qui est haute dans ma vision de ce monde, elle est celle de celles et ceux qui étaient des individus hors-commun qui étaient dévoués à aider l’autre, à la réussite des autres et surtout un “Etranger” comme j’étais toujours considéré par les autres de la France clandestine et silencieuse et parfois rageuse et orageuse par sa propre absence de paix intérieure et cela depuis le temps des Romains.
La France était en 1977-78 en pleine effervescence de luttes intestinales a la droite guidée par deux anciens collaborateurs et complices [Giscard D’Estaing et Jacques Chirac] dans la chute et la démission même du Père de la 5 ème République et Libérateur de Paris, Charles De Gaulle.
En mars 1978, ce fut le “Champ de Mars” une guerre institutionnelle sous forme d’élections législatives par lequel le nouveau mouvement prônée par Chirac contre Giscard devient bientôt une puissante machine électorale tant orientée contre l’opposition que contre les « giscardiens », en voulant incarner une voie médiane entre « le programme démagogique de la gauche socialo-communiste » et « les solutions de la droite conservatrice, orthodoxe, classique »
Durant cette même année, pour ce qui est du Séminaire des Travaux Pratiques sur le Marketing Politique avec Madame Freyssinet, l’Épouse du fameux économiste Prof a Grenoble aussi. Dans ce travail de recherches, j’avais opté pour la préparation des campagnes politiques de mobilisation conduites par le courant politique du Parti Communiste Français [PCF] sous Georges Marchais et la Confédération Générale du Travail [CGT] avec comme secrétaire Georges Séguy. Ce qui m’intéressait surtout en ce qui concerne les rapports entre le PCF et la CGT ayant comme enjeu central la participation dans le gouvernement de gauche pour le PCF et l’indépendance syndicale pour la CGT. Ainsi, j’étais plutôt dans l’analyse des courants de gauche en France et dans les mouvements pour l’Émergence de nouvelles formes de développement pour les pays anciennement colonisés d’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique Latine.
Mes activités extra-curriculum peuvent être résumées ainsi:
Mes prises de position et mes analyses au sein des organisations estudiantines
Les discussions tenues soit le Resto et la Cafétéria Universitaire,
Les débats dans les salles d’études et de travaux pratiques
Les participations dans les réunions des syndicats étudiants de France, du Maroc et d’Afrique: l’UNEF, l’UNEM et l’UEA
L’organisation et l’intervention dans des événements de solidarité envers les exilé/es chiliennes a Villeneuve
Les participations dans la réhabilitation du centre ville de Grenoble pour l’intégration des familles immigrées
Les cours d’apprentissage du Français que je donnais aux ouvriers maghrébins et subsahariens fraîchement débarqués d’Afrique.
Mes contacts directs avec les travailleurs de ma propre ville de naissance et leur intégration dans les activités sportives que j’entraînais sur le Campus de Saint-Martin-d’Hères et tout ailleurs dans la Ville de Grenoble.
Toutes ces activités académiques et sociales m’ont valu des amis sincères que je gardes jusqu’à présent et un gars marocain aussi qui prétendait être ce qu’il n’est pas avérer être et donc a la lumière du temps et des contours de la mémoire sincère, il s’est révélé comme un collaborateurs clandestin des régimes déchus de l’oppression et de la discrimination, il est donc la taupe comme on disait parmi les opposants clandestins qui nourrissait ces démarqué/es Maîtres/Maîtresses de Conférence de Désastre pour tout ce qui remet en cause leur ethnocentrisme et ségrégationnisme intellectuel, académique, social et même universel.
Ainsi, en 1977-78, un maître désastreux de conférence et névrosé en prime, avant la fin de l’année universitaire eut une opération dans son cerveau. Une cicatrice lui traversait le front de long en large le faisant ressembler à Francestein, et pour des mois avant la présentation de mon travail d’analyste sur l’Afrique, ce futur Frankstein était en convalescence.
Cette opération chirurgicale ne le rendit pas meilleur humain bien en contraire, cela lui rajouta plus de réminiscences envers le reste de nous autres qui refusait le léchage des bottes et la soumission à des individus et des courants de pensée désuètes et néo-coloniale nostalgiques de leurs passés abusifs et exploiteurs des cerveaux, des corps et matières premières des pays devenus au moins conscients de leur possibilité de renouvellement de leur dignité humaine et civilisationnel. On était la génération de la correction des abus et des stéréotypes, la génération de l’après “indépendance” qui était plus fictive au niveau du développement économique et restait plus ancrée à la fois aux nœuds du passé colonial et de divisions entre les nations naissantes.
Durant la convalescence de ce Franckstein, nous les Africains ont se réunissaient a la Biblio pour continuer la préparation de notre présentation vu que les séances de ces travaux pratiques étaient de nuit et que ce Refoulé d’Extrême Droite – Facho, un résidu des nostalgiques de l’Action Française.
Nous, on restait étalé dans la Biblio et les Salles de Lecture dans les Résidences Universitaires du Campus de Saint-Martin d’Hères ou on se rencontrait pour partager nos idées et nos visions sur l’Afrique. Tous les Étudiants de mon séminaire étaient soit des joueurs de football comme moi, alors on s’entraînait ensemble et on jouait les uns contre les autres dans le Championnat Universitaire de l’Afrique que nous organisons ensemble, ou bien dans les Boums et les fêtes musulmanes ou on partageait les mets nationaux avec nos amis Français et autres étudiants étrangers pour leur faire connaître nos traditions similaires ou bien lors que nous fêtons avec les jours de l’indépendance de nos pays respectifs ou bien encore dans les meetings de nos respectives Union des Étudiants tels que l’Union des Etudiants Africains en France ou l’Union des Etudiants Marocains en France ou encore l’Union Nationale des Étudiants Français au sein même de la Faculté des Sciences Sociales de Grenoble.
Ainsi en 1977-78, Un ivrogne Maître de Conférence d’Extrême Droite membre extrémiste du Le Rassemblement pour la République (RPR) rejeta ma présentation sur l’adaptation en Afrique du Modèle Chinois de Developpement. Il me donna une note qui me fut redoublé et perdre une année d’études et en même la perte d’une bourse d’études a l’Institute of Development Studies de Brighton et ma future épouse aussi qui est de nationalité du Royaume Uni. Une cascade d’échecs s’ensuivit pour moi qui s’étala dans plusieurs domaines que j’essayais auparavant de séparer avec le reste.
Sursaut Géant du Panda et Réveil du Tigre en Papier Reportages et Analyses sur la Chine Publiés dans Cherkaoui Journal par Said El Mansour Cherkaoui Said El Mansour Cherkaoui and China 新年快乐 – Xīnnián Kuàilè Invited by the Chinese Government to facilitate the international expansion of Chinese companies and to provide training to the leaders […] Continue Reading
Le Destin et la Récompense de la Dignité Africaine en Chine pour Said El Mansour Cherkaoui, 27 ans plus tard et il n’est jamais trop tard de mieux faire
Doing Business in / with China China and Said El Mansour Cherkaoui – GLOBAL LEVERAGE My interest in China Development Strategy since 1976 in France My love story with China cost me a year in SciencesPo Dr. Said El Mansour Cherkaoui conducts Executive Sessions on business and trade development in Europe, Africa and the United […] Continue Reading
新年快乐 – Xīnnián Kuàilè Invited by the Chinese Government to facilitate the international expansion of Chinese companies and to provide training to the leaders of Chinese companies on the requirements of business internationalization and the development of logistics sof market-entry including distribution in Western Europe and United States of America. This invitation followed the organization … Continue reading Said El Mansour Cherkaoui and China – Oakland Chronicle
Le second Camouflé comme de Gauche mais aussi Un second de l’Extrême Droite:
– Mémoire de Diplôme: Intervention de l’Etat dans l’Industrie: Le Cas d’Etude de l’Industrie Textile au Maroc. Diplômés Sciences Po Grenoble Section Eco-Fi
Un Rejeté connaissant peu du Maroc, débarqué a Sciences Po Grenoble, rejeté de la Fac Sciences Eco vu que de Bernis lui préférait Christian Palloix.
Jean Rosio ne pouvait trouver mieux que de s’allier à une silencieuse qui voguait avec le vent: Danielle Demoustier.
Ce fut durant la période ou les Maghrébins tous confondus n’étaient pas les bienvenus à Sciences Po Grenoble, surtout celles et ceux qui tenaient tête a ces faux – fuyants de penseurs de gauche alors que leur portefeuille penchent vers l’extrême droite. Ces deux Zombies/Maitres de Conférence avaient la frousse a leurs trousses d’ou ils tiraient le plein de leurs bourses, peur que l’on prenait leurs idées déformées et de leur montrer qu’ils usurpent leurs places vu l’absence d’innovation de leur connaissance et vu qu’ils étaient radins en notes et qu’aucun Maghrébine/s Révolutionnaire/s n’est sorti avec des notes supérieures et des mentions élevées de cette institution de Sciences Po Grenoble, ils étaient les gardiens fantômes de privilèges de la droite absente mais agissante a travers eux et elles.
Je comprends maintenant pourquoi la plupart des étrangers à cette époque et des Moghrebi poursuivaient leurs études à la Fac des Sciences Eco, la porte à côté ou demeure la Vraie Gauche Française.
Pour eux, il fallait se soûler la gueule avec eux pour faire plaisir à ces perdus d’Âme prof, une minorité agissante d’extrémiste de droite et de “penseurs de pagaille idéologique” se prenant pour des militants sur les barricades, rivalisant avec L’INSTITUT D’ETUDES POLITIQUES DE PARIS – SCIENCES PO comme ils n’avaient pas le jus nécessaire, ils utilisaient des subterfuges “de gauche” pour se faire valoir comme les continuateurs de Mai 68 et des protestations des étudiants et de la classe ouvrière
Comme je ne consommais point d’alcool, j’étais toujours sur la touche plus a gauche comme musulman de leur jeu et leur manigance et je n’étais pas le seul dans ce cas
Ma Génération d’Etudiant en France était une Génération qui connaissait les Européens et les Français du Maroc de très prés, nous avons vécu ensemble au Maroc, partagés les mêmes émotions, et nous nous sommes frottés contre les mêmes vents et les mêmes marées et vagues de l’Atlantique que ceux de l’existence commune. On était voisins en tout, dans le quartier, dans les écoles, les lycées et les partis et les bals de danses. On a pratiqué les même sports, Tennis, Escrime, Handball, Volley-ball, Basketball et même les sports de la vie de tous les jours du Système D.
Nos professeurs et nos maîtres d’école étaient nos modèles de réussite, ils étaient nos mentors quotidiens et nous avons été plein de gratitude et de bons sentiments a leur égards de la même manière que celles que nous avons nourri a l’égard de nos compatriotes Amazighs Judaïques.
J’ai eu l’occasion de grandir et d’être enseigné par une classe d’européens née au Maroc a Doukkala qui pratiquait le même langage populaire avec l’accent de notre Doukkala et ne pouvaient être différenciés de mes oncles de la campagne ou de la cite de Mazagan – Mriziga – El Jadida et cela par Victor Puglisi, Antoine “Nounou” Oulad Baggio, Maurice Ratel, Alain [Allal] Goirin, Carpozen, Dr. Paoletti, Laporte, Perrault, Marco, Ardouin, Petersen, Vidal, Rizzo, Jacquetty, Adigard des Gautries, Gonzalez, Lepine, Tachx, Gicquel, Clegnac, Perez, Salinas, Gimenez, Martinez, Borgia, Laplante, Tibaudet, Marais, Philippe, Rivière, Dr. Ingarao, Dr. Verdier, Manetti, Vidal, Dufour, Grillon, Sellier, Balestrino, et d’autres …
Défendre l’Afrique ou Défendre un Modèle de Developpement Industriel au Maroc en prenant l’exemple de la Grande Bretagne, c’est d’avoir sur le dos les revanchards et les massacreurs Maîtres de Conférence / d’Arène ou nous étions des Gladiateurs luttant pour notre survie intellectuelle et notre sauvetage académique. Ces matraqueurs de la nouveauté et de la projection des idées dans l’espace de la réflexion et de la prospection ne voulaient point admettre la limite de leurs propres existences en tant que prétendant de la détention du savoir et ne pouvaient avoir le courage humain et l’honnêteté individuelle pour et de reconnaître leurs sombres ignorances.
Cette noyade dans l’absolu de l’ignorance était véhiculé par leur recherche d’avoir la main haute afin de posséder ce confort mental d’avoir des Etudiants Maghrébins encore engloutis dans la notion des “Béni Oui Oui” et des suiveurs du modèle de modernisation néo-coloniale métropolitain qui nourrit leurs panses et remplit leurs portefeuilles et n’acceptent nullement des alternatives ou des propositions autres que celles sur lesquelles ils construisent leurs pseudo-savoir faire et la base de leur savoir sur la répression de nouvelles idées contraignantes et rivalisant leur déchéance par la nouveauté et la créativité que le temps et le destin ne pouvaient que confirmer.
Dans l’enceinte du bâtiment de l’Institut d’Etudes Politiques SciencesPo de Grenoble, en parcourant le couloir partant de l’entrée faisant face au Restaurant universitaire Diderot du CROUS et au fond a droite juste avant la sortie de derrière qui débouche sur le parking et la Bibliothèque Universitaire, a droite se trouvait les salles pour les travaux pratiques et dans une de ces salles que s’est passe l’outrage de me faire redoubler l’année juste pour avoir oser présenter et défendre la conclusion de ma recherche qui est de dire que c’est la Chine qui est et serait l’exemple du développement économique que les pays Africains et le reste des pays du Tiers-Monde devraient embrasser et adopter pour leur propre décollage économique et d’adapter les stratégies chinoises visant la réduction de la pauvreté et la stimulation du progrès social et cela a travers une orientation du socialisme constructif et développementaliste et cela ne fut nullement la première ou la dernière fois que j’ai subi les foudres des enseignants “rétrogrades, fascistes et racistes” qui arboraient des allures de progressistes et de penseurs de gauche juste pour occuper des positions lucratives et non par conviction idéologique ou humaniste.
Il fallait dépasser ces obstacles pour arriver au niveau supérieur du Diplôme des Etudes Approfondies pour enfin trouver et côtoyer les vrais maîtres de pensée et d’application de principes socio-humains tel que mes directeurs de recherche et Professeurs attitrés qui facilitaient l’épanouissement intellectuel, la réussite de leurs disciples et leurs étudiants: Ian Dessau, Yves Barel, Debernis, Freyssinet et autres dont je salue leur esprit éthique et intègre digne de toutes les et reconnaissance et éloges éternels.
Le Prix Académique que j’ai Payé pour la Défense du Développement de la Chine Comme Modèle pour les Economies Africaines
The Academic Price I Paid Defending China Development as a Model for African Economies
Published on September 4, 2015 – French & English Version
1 – Le Prix que j’ai Payé pour le Développement de la Chine:
J’ai défendu le Modèle Chinois de Développement en 1977 face a un Représentant et un dur RPR (Rassemblement pour la République – Chiraquien d’obédience a l’époque) et peut être même d’extrême droite camouflé qui fut un maître de Conférences – je devrais dire un petit maître-chanteur des désastres – a l’Institut des Etudes Politiques de l’Université de Grenoble.
Ce pseudo-instructeur a essayé de me faire chanter pour que je change d’avis, d’orientation idéologique et de direction politique et de dire devant tous les Etudiants que l’Occident et la Métropole Française possède toutes les solutions pour le développement des nations anciennement colonisées. Vu que je cherchais et je prônais un autre modèle de développement que j’avais identifiée dans la Chine, il voulait que je déclare que la Chine n’était pas l’exemple a suivre pour le développement économique pour les pays du Tiers-Monde.
Pour lui, c’est les pays Européens qui étaient les fournisseurs de recettes et de moyens pour le développement des pays Africains. Mon choix devenait pour lui une affaire personnelle vu que d’autres Etudiants Africains faisaient aussi partie du Séminaire dans lequel je pressentais les résultats de mon projet de recherche.
Ma présentation était en fait centré sur la logique du sous-développement forcé sur nos économies et comment briser le carcan du Néo-Colonialisme et l’assujettissement de nos décisions et stratégies nationales aux bons désirs et aléas de la conjoncture internationale et des tenants du marché international financier, commercial et même martial.
J’ai refusé et j’ai perdu une année mais pas ma vision du monde qui s’avéra juste avec le temps.
Ce “pauvre type”, il n’a point apprécié mes travaux de recherche et ma présentation devant tous les autres Etudiants de la section Economique et Finance a l’Institut des Etudes Politiques de Grenoble. C’était la dernière année pour l’obtention du Diplôme de l’Institut. Il m’a complètement saqué mais le Bon Dieu lui a rendit le change de son abus.
La Chine est devenue aussi un nouveau Etat sur des bases qui furent effectivement étayées par Deng Xiaoping (22 août 1904 – 19 février 1997) dont la photo est celle introduisant cette ébauche.
J’avais effectivement démontré que la Modernisation mise en place par cet politicien chevronné, Deng Xiaoping, était porteuse de changements. Je soutenais que les mutations correspondantes allaient donc bouleverser l’échiquier et le jeu de l’internationalisation du capital et de la division internationale du travail conséquente. La modification de ces deux vecteurs des investissements étrangers dans les pays tiers ne se fera plus selon leurs propres conditions d’opération et d’exploitation mais que la Chine prenant les exemples de Taiwan, Philippines, Malaisie, et Singapour allait trouver une voie autre que celle suivit par ces pays que l’on avait surnomme les “Nouveaux Pays Industriels et les Dragons de l’Asie.”
La Chine cherchait a se démarquer d’un tel model d’assemblage des produits et d’intégrer dans son tissu industriel sa propre technologie innovatrice ayant une haute valeur ajoutée par produit et par opération dans chaque unité industrielle. Cette approche avait par la suite effectivement favorisée l’élan technologique de la Chine tout en lui permettant de trouver une place parmi les puissances économiques de l’Asie et du Monde.
Malgré cet abruti et l’obstacle qu’il essaya de me mettre comme bâtons dans ma route de réflexion et de référence pour un développement national, j’ai continué mon parcours jusqu’à être l’invité du Gouvernement de la Chine pour former leurs Chefs d’Entreprises ici en Oakland (Californie) et en Chine même et ou ses photos furent prises. De même c’est qu’entre temps, j’avais même soutenu une thèse de Doctorat a l’université de Sorbonne sur le même sujet du développement économique et l’insertion dans le marché mondial en créant une nouvelle théorie sur le Subcapitalisme.
En célébration de mon Triomphe sur cette adversité gratuite et sur le dédain presque teinté de racisme et la Petitesse Académique de ce maître de désastre idéologique et de Pseudo-Droite a Grenoble, et ce que le temps bien plus tard confirma mes choix et mes analyses sur le développement économique national, je vous offre cet article sur la Chine et sur l’étalage de ses forces basées sur l’exploitation de ses propres ressources pour un réel et authentique besoin d’un développement national et une affirmation internationale a tous les niveaux.
Pour le premier massacreur des vrais penseurs venant d’une autre culture, voila son récit qui est le mien que je vous présentes dans ce lien de mon destin a Sciences Po Grenoble :
Un Rejeté connaissant peu du Maroc, débarqué a Sciences Po Grenoble, rejeté de la Fac Sciences Eco vu que de Bernis lui préférait Christian Palloix.
Jean Rosio ne pouvait trouver mieux que de s’allier à une silencieuse qui voguait avec le vent: Danielle Demoustier.
Ce fut durant la période ou les Maghrébins tous confondus n’étaient pas les bienvenus à Sciences Po Grenoble, surtout celles et ceux qui tenaient tête a ces faux – fuyants de penseurs de gauche alors que leur portefeuille penchent vers l’extrême droite. Ces deux Zombies/Maîtres de Conférence avaient la frousse a leurs trousses d’ou ils tiraient le plein de leurs bourses, peur que l’on prenait leurs idées déformées et de leur montrer qu’ils usurpent leurs places vu l’absence d’innovation de leur connaissance et vu qu’ils étaient radins en notes et qu’aucun Maghrébine/s Révolutionnaire/s n’est sorti avec des notes supérieures et des mentions élevées de cette institution de Sciences Po Grenoble, ils étaient les gardiens fantômes de privilèges de la droite absente mais agissante a travers eux et elles.
Je comprends maintenant pourquoi la plupart des étrangers à cette époque et des Moghrebi poursuivaient leurs études à la Fac des Sciences Eco, la porte à côté ou demeure la Vraie Gauche Française.
Pour eux, il fallait se soûler la gueule avec eux pour faire plaisir à ces perdus d’Âme prof, une minorité agissante d’extrémiste de droite et de “penseurs de pagaille idéologique” se prenant pour des militants sur les barricades, rivalisant avec L’INSTITUT D’ETUDES POLITIQUES DE PARIS – SCIENCES PO comme ils n’avaient pas le jus nécessaire, ils utilisaient des subterfuges “de gauche” pour se faire valoir comme les continuateurs de Mai 68 et des protestations des étudiants et de la classe ouvrière
Comme je ne consommais point d’alcool, j’étais toujours sur la touche plus a gauche comme musulman de leur jeu et leur manigance et je n’étais pas le seul dans ce cas
En France, alors que j’était encore étudiant à Sciences Po de Grenoble, j’ai formulé un projet sur le Développement de la Chine et je l’ai présenté comme le modèle à imiter et à suivre par toutes ces anciennes colonies africaines qui furent durant les années 70, secouées par la brutalité et les oscillations soudaines du marché international et le poids de la dette extérieure. Aux États-Unis, au milieu des années 90, pour des dignitaires, cadres et fonctionnaires chinois, j’ai organisé leurs visites commerciales et d’affaires dans la région de la Baie de San Francisco et je leur ai fourni des services de conseil et une formation sur le développement des affaires internationales.
Durant ce temps, il y a vingt ans de cela, une organisation et une maison d’édition britanniques de Londres m’ont demandé de mener des recherches sur les télécommunications et le développement technologique en Chine.
Dans ce travail de recherche, j’ai mis en relief la relation directe et ambivalente du rôle pivotal de l’Etat Chinois dans le développement direct de la technologie en Chine.
Ma recherche comme toutes les autres que j’avais conduit était dirigée a travers une projection et une prédiction des effets et des manifestations qui pouvaient être engendrés par la suite et dans le devenir des pays ou des secteurs qui étaient les sujets concernés par ma recherche.
Durant cette période, je travaillais en tant que directeur des affaires internationales chez Sprint Corp. et en tant que coprésident du comité international de la Chambre de Commerce de San Francisco où j’ai eu l’occasion de faciliter la visite du vice-maire de Pékin et une délégation de cadres chinois venant du Yunnan.
Parallèlement, j’enseignais un programme d’études et des cours sur les télécommunications, la sécurité numérique et le développement technologique national et cela à la School of Technology de la Golden Gate University de San Francisco. Toutes ces implications et ces intérêts sur la Chine et vu qu’en tant que consultant principal auprès du Center for International Trade Development à Oakland et Berkeley, j’ai été invité par le gouvernement chinois et le gouvernement provincial du Guizhou qui m’ont accordé le meilleur des meilleurs traitements que j’ai jamais reçus d’aucune entité de par ce monde. En fait, je suis toujours en train de “redévelopper” le même sujet de recherche sur le développement technologique de la Chine et j’ai l’intention de publier l’intégralité de mon travail sous forme de livre. En attendant, je vous offre un aperçu de mes intérêts sur les avancées technologiques chinoises sous la forme des premières pages de mon travail publié à Londres.
DOUCE FRANCE: L’AUTRE VRAI VISAGE ET L’ESPRIT AUTHENTIQUE DE FRANCE QUI ME SONT CHERS A MA CONNAISSANCE ET EXISTENCE
La politique étrangère de la France en Afrique est complexe et souvent sujette à des débats. Pendant les premières décennies après l’indépendance, la France a entretenu un réseau dense de relations personnelles avec les dirigeants et les élites africains, surnommé “françafrique”. Cependant, cela a parfois conduit à une protection mutuelle des intérêts particuliers, au détriment des droits de l’homme et de la transparence. Au fil du temps, la France a cherché à réformer sa politique étrangère en Afrique. Les droits de l’homme et la démocratie sont devenus des priorités, mais des défis persistent. La France doit naviguer entre ses intérêts géopolitiques, les droits de l’homme et la démocratie en Afrique. La recherche d’un équilibre des forces dans un environnement dominé par la faiblesse est considérée comme essentielle pour l’actuelle politique étrangère mettant de cote la responsabilité historique et le respect des valeurs fondamentales des peuples africain.
Cette tendance a faire fi des mouvements de prise de conscience détermina la réaction de plusieurs états ou le régime collaborateur de la France fut renverse par une nouvelle génération de militaire amnésique des rapports d’obédience héritée du temps des Tabors de l’Armée coloniale formés et entraînés ainsi que commandés par la France..
Tolérance des Régimes Dictatoriaux et Politique Étrangère de la France en Afrique
L’un des porteurs des flambeaux de la Francafrique Doctrine et de la France à Fric est Roland Dumas qui a rendu l’âme ce 3 juillet 2024 à 101 ans, une durée moindre de la présence directe de la France en Afrique
Né le 23 août 1922 à Limoges, le pays du limousin et de la limousine et le pays plat des plats de porcelaine a la Chinoise qui n’est pas le mien. Roland Dumas s’engage à l’âge de 20 ans dans la résistance contre l’occupation nazie. Son père Georges, lui aussi, résistant sera exécuté par les Allemands le 26 mars 1944.
Elu député des 1956, il sera le témoin de la date de l’indépendance du Maroc, de la défaite de Dien Bien Phu et de la cascade des luttes de libération en Afrique, pour en faire un tremplin de connivences et d’alliance tordues. Se faufilant dan la tranchée des élucubrations de François Mitterrand, cherchant a se réhabiliter de ses prouesses de collaboration avec Vichy, Roland Dumas devint le compagnon de cette traversée du Désert Français et Africain par Mitterrand. Roland Dumas sera récompensé à juste titre, il parviendra aux plus hautes sphères de l’Etat avec l’élection de son complice François Mitterrand en 1981:
– Ministre des Affaires européennes (1983- 1984),
– Ministre des Relations extérieures (1984-1986),
– Ministre des Affaires étrangères (1988-1993),
– Président du Conseil constitutionnel.
Roland Dumas avec une allure de Dandy, se fait corrompre jusqu’à l’os, de la tête parfumée jusqu’à la semelle italienne chaussant ses pieds. Il est considéré comme l’un des principaux fondateurs parmi celles et ceux brandissant la Rose, cette gauche caviar, lui qui chaussait des Berluti payées par Elf-Acquitaine à 11 000 francs français de l’époque.
Sur le plan diplomatique, Roland se servant d’un système D sophistiqué sera l’un des fers de lance et bouclier du système despotique Africain de la Stratégie Francafrica pronée par Mitterrand.
Ses pions agissent avec le Quai d’Orsay pour le soutien aux vieux dinosaures despotiques et la mise en place de réseaux de corruption, tant et si bien que celui qu’on avait surnommé le «vice-président» le rendant visible à la justice à plusieurs reprises. L’affaire Elf-Acquitaine dévoila que l’une de ses nombreuses maîtresses, Christine Deviers-Joncour, était impliquée, l’affaire des frégates de Taïwan et bien d’autres dossiers ont terni son image d’homme de la loi.
Les Fregates de France, comme celles avec Baladur, elles durent dures, au sein de la droite comme de la gauche, des Bacchus qui ne refusent de trinquer avec des pots-de-vins du vignoble politique de la France qui ne refusent pas non plus le Bakchich pour se faire payer des cuites.
Les Burkinabè, particulièrement les sankaristes, n’oublieront pas le rôle que la France et certains de ses grands commis auraient joué dans l’assassinat de Thomas Sankara avec la complicité, dit-on, de certains pays voisins.
Lors du procès sur l’assassinat de Thomas Sankara qui s’est tenu du 11 octobre 2021 au 6 avril 2022, le tribunal militaire, sur requête de la partie civile, avait voulu entendre en qualité de témoins Roland Dumas, Jacques Lang, ancien ministre français de la Culture et Jean-Christophe Mitterrand, fils de François Mitterrand et conseiller aux affaires africaines de son père au moment des faits, mais il n’en a rien été.
Dumas emportera donc son témoignage dans la tombe alors que les sankaristes voulaient l’entendre raconter ce qu’il sait ou ne sait pas de la mort du père de la Révolution burkinabè.
On retiendra aussi de ses liaisons africaines plus ou moins dangereuses, le soutien qu’avec Jacques Vergès, il avait apporté à Laurent Gbagbo au temps fort de la crise ivoirienne.
Le Steak Frites Plat National Français avec l’Huile des Arabes et le “Nettoyeur de la Cuisine est Arabe
Ne touches pas a mon pote, il est sous le capot
Si c’était juste la cuisine, cela serait une possibilité de mieux cuisiner sa propre recette socio-économique.
L’Arabe c’était la Corvée et les Tranchées, et le Sale Boulot dont personne n’en voulait et ne pouvait le faire.
Ce qui se passe maintenant c’est les socialistes avares de pouvoir ont saboté à la fois le Programme Commun, ont joué sur la division entre Chirac et d’Estaing, et pour séparer le tout ont donné un grand coup de pouce a Jean-Marie Le Pen pour écarter même Michel Rocard et accéder directement a la Présidence par un ancien tabasseur des Beurs – Arabes et un ancien collaborateur de Vichy et par la rentrer dans l’Elysée par la porte de la réhabilitation politicienne au dépens du progressisme social authentique, et cela en piétinant les oppositions par la Foie dans la Force Tranquille et le Changement dans la Continuité portant la Rose a la main, ne touches pas a mon pote et serrant avec l’autre main, le système de corruption de la Françafrique avec le bras droit de Roland Dumas. Les Arabes et les Africains se trouvaient au banc des accusés.
Quelque part donc, c’est l’un des derniers vestiges de la françafrique qui s’en va au moment où l’image de l’Hexagone est de plus en plus écornée sur le continent et son influence de plus en plus réduite, notamment dans les pays sahéliens comme le Burkina, le Mali et le Niger.
En 2002, Jacques Chirac, ancien président de la République française, a prononcé cette célèbre phrase : “La France sans l’Afrique, elle sera un pays du Tiers-monde.” Il a fait cette déclaration lors du IVe Sommet de la Terre à Johannesburg, en Afrique du Sud. Cette phrase soulignait l’importance de l’Afrique dans le contexte de la mondialisation et mettait en évidence les liens étroits entre la France et le continent africain
La Politique Étrangère de la France
La politique étrangère de la France a connu des évolutions significatives au fil des décennies depuis la Seconde Guerre mondiale. Voici quelques points clés :
Après la Seconde Guerre mondiale, la France s’est concentrée sur la reconstruction et la réconciliation en Europe. Elle a joué un rôle clé dans la création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA) en 1951, jetant les bases de l’Union européenne. Dans les années 1950 et 1960, la France a fait face à la décolonisation. Elle a accordé l’indépendance à plusieurs de ses anciennes colonies en Afrique et en Asie.
Pendant la guerre froide, la France a été un membre fondateur de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique nord) tout en maintenant une politique d’indépendance vis-à-vis des États-Unis. Elle a également développé des relations avec les pays du bloc communiste. Sous la présidence de Charles de Gaulle, la France a cherché à affirmer sa grandeur et son influence mondiale. Elle a développé une force de dissuasion nucléaire indépendante (Force de frappe) et a joué un rôle actif dans les affaires internationales.
Depuis les années 1980, la France a renforcé son engagement envers l’Union européenne. Elle a participé à la création de l’euro et a œuvré pour une intégration plus étroite au sein de l’UE. La France a été un fervent défenseur du multilatéralisme, La politique étrangère française a évolué en réponse aux changements mondiaux, aux défis régionaux et aux aspirations nationales. Elle continue de jouer un rôle actif sur la scène internationale
L’Afrique est le nouveau berceau des matières premieres nécessaires a la fabrication des batteries, donc par effet de domino, les pays africains sont la source de ce nouvel El Dorado Subcapitaliste comme le fut les pays de l’Amérique du Sud durant les prohibitions mercantiles sous la domination ibérique a la différence c’est l’Afrique qui envoit ses enfants se noyés dans les 7 mers et océans pour arriver de l’autre cote de la rive au lieu du commerce triangulaire entre Afrique – Europe – Nouveau Monde.
Des similitudes et des identités différenciées mais communes au niveau de l’Équilibre des Forces de la Faiblesse de l’Afrique Subcapitaliste sur l’Échiquier du monde multipolaire.
Liberté de consommer et de “choisir” la méthode d’extraire notre valeur ajoutée a cette existence qui est déjà structurée avant notre naissance.
La liberté est devenue un luxe d’achalandage sur les étages de la société d’Élites et de techo-allié/es a des énarques et des investisseurs institutionnels invisibles et autocratiques.
On a la liberté de choisir dans le système encadré et aiguisé pour le contrôlé et l’endoctrinement des pensifs socio-amnésiques et neuro/euro-marginalisé/es.
Regarde par la lucarne de la Fortaleza Europa, vous allez voir la réalité de l’Est jusqu’à l’ouest, une vague doctrinaire d’isolation et de réaction agressive et violente comme moyen de régulation des soubresauts et des oscillations des faiblesses rendues nues par les crises et l’accumulation de richesses par une minorité infime qui ne reconnait aucune frontière nationale a son désir de domination financière.
A ce niveau se situe et se positionne la Liberté démocratique de fabrication Subcapitaliste et cela pour tout temps et action, le choix des produits ou que celui des votes, si les moyens existent autrement c’est la marginalisation planifiée tout en fermant la gueule des cravachés cravatées
L’Afrique est le nouveau berceau des matières premieres nécessaires a la fabrication des batteries, donc par effet de domino, les pays africains sont la source de ce nouvel El Dorado Subcapitaliste comme le fut les pays de l’Amérique du Sud durant les prohibitions mercantiles sous la domination ibérique a la différence c’est l’Afrique qui envoit ses enfants se noyés dans les 7 mers et océans pour arriver de l’autre cote de la rive au lieu du commerce triangulaire entre Afrique – Europe – Nouveau Monde.
Des similitudes et des identités différenciées mais communes au niveau de l’Équilibre des Forces de la Faiblesse de l’Afrique Subcapitaliste sur l’Échiquier du monde multipolaire.
La politique étrangère française est un sujet fascinant et complexe. Voici quelques thèmes que nous pourrions explorer lors de notre podcast :
Nous pouvons discuter de l’héritage de la “Françafrique” et de son impact sur les relations franco-africaines.
Examinons comment la France équilibre ses intérêts diplomatiques avec la promotion des droits de l’homme. Quelles sont les tensions entre les deux ?
Comment la France aborde-t-elle les violations des droits de l’homme dans ses relations bilatérales ?
Comment la France a-t-elle géré ses relations avec les anciennes colonies et les États africains indépendants ?
Comment la France collabore-t-elle avec l’UE pour façonner sa politique africaine ? Quels sont les défis et les opportunités ?
La langue française joue un rôle important dans la diplomatie. Nous pouvons discuter de l’influence de la Francophonie et de la manière dont elle façonne les relations internationales.
La France a été impliquée dans divers conflits et opérations militaires en Afrique. Nous pouvons explorer les raisons derrière ces interventions et leurs conséquences.
Said El Mansour Cherkaoui poursuit le travail inspirant de rapprochement des cultures pour créer un monde plus unifié et plus prospère dont le fil d’Ariane est la Francophonie.
La Francophonie, c’est en effet un lien puissant qui transcende les frontières géographiques et culturelles. Elle unit les personnes à travers la langue française, créant ainsi une communauté mondiale d’âmes qui partagent une histoire commune, des valeurs et des expressions artistiques.
Que ce soit à travers la littérature, la musique, le cinéma ou les échanges commerciaux, la Francophonie offre une richesse inestimable. Elle nous permet de découvrir des horizons nouveaux, de tisser des liens entre les continents et de célébrer la diversité des cultures francophoneS.
Venez joindre le Mouvement Francophone pour garder, préserver et brandir tout haut une expression d’une relation historique, une liaison sociale et une opération culturelle incrustée dans le devenir de la Notion et de la Nation Multinationale d’Expression Française ou les Miroirs Profonds et les Riches Plafonds du Passé Simple, de la Mémoire Tatouée et le Chapelet d’Ambre ne sont que les reflets de toute une Génération de Francophones Avertis parmi leurs semblables et leurs identiques autour du Monde Francophone.
La Francophonie est une communauté de pays et de régions où la langue française est parlée et partagée. Elle célèbre la diversité culturelle et la richesse de la langue française à travers le monde. 🌍
Réponse de Said El Mansour Cherkaoui
La Francophonie, c’est l’âme qui voyage,
Au-delà des frontières, au-delà des âges et au delà du temps et de l’horaire quotidien,
elle ne reconnait aucun horizon que le sien.
Réponse de Mon Interlocuteur
Un goût salé, sucré, amer, acide. Goût = saveur, sensation produite sur les papilles de la langue Francophone. Un goût salé, sucré, amer, acide. recommandation : Éviter d’employer goût au sens du Couscous et d’« odeur » du Pétrole.
C’est admirable de voir comment vous vous engagez à préserver les caractéristiques locales et régionales tout en favorisant une relation harmonieuse avec le reste du monde. Votre vision de faciliter la reconnaissance et l’acceptation des atouts locaux du Maroc par des partenaires et collaborateurs extérieurs est essentielle pour un développement durable et équilibré.
En tant qu’entrepreneur et créateur d’une organisation à but non lucratif, vous avez déjà démontré votre capacité à bâtir des ponts entre différentes cultures et à promouvoir la croissance économique. Votre travail au Maroc et votre réseau mondial sont des atouts précieux pour faciliter ces collaborations.
Continuez à suivre votre passion et à créer des opportunités pour les entrepreneurs et les entreprises, en veillant à ce que les valeurs locales soient respectées et célébrées. La Francophonie, avec sa richesse linguistique et culturelle, sera une alliée criante appelant et véhiculant dans cette quête commune pour un monde meilleur.
Réponse de Said El Mansour Cherkaoui
Je vous tiendrais au courant par la suite de mes projets futurs qui sont tournés actuellement vers les pays africains, le Maroc comme chemin d’entrée dans cet espace qui demeure encore une opportunité pour celles et ceux qui veulent contribuer a sauver ses caractéristiques locales et régionales.
Faciliter une relation entre l’Afrique et le reste du monde sans pour autant altérer ses atouts locaux mais juste les faire reconnaitre et accepter comme tel par le reste des partenaires, collaborateur/ces et participant/es exterieur/es de diverse et differentes cultures.
Les motivations similaires conduisent et véhiculent les réponses au besoin humain de partager et de travailler ensemble pour la croissance et l’amélioration des conditions de la vie commune et universelle.
Réponse de Mon Interlocuteur
Un goût salé, sucré, amer, acide. Goût = saveur, sensation produite sur les papilles de la langue Francophone. Un goût salé, sucré, amer, acide. recommandation : Éviter d’employer goût au sens du Couscous et d’« odeur » du Pétrole.
C’est admirable de voir comment vous vous engagez à préserver les caractéristiques locales et régionales tout en favorisant une relation harmonieuse avec le reste du monde. Votre vision de faciliter la reconnaissance et l’acceptation des atouts locaux du Maroc par des partenaires et collaborateurs extérieurs est essentielle pour un développement durable et équilibré.
En tant qu’entrepreneur et créateur d’une organisation à but non lucratif, vous avez déjà démontré votre capacité à bâtir des ponts entre différentes cultures et à promouvoir la croissance économique. Votre travail au Maroc et votre réseau mondial sont des atouts précieux pour faciliter ces collaborations.
Continuez à suivre votre passion et à créer des opportunités pour les entrepreneurs et les entreprises, en veillant à ce que les valeurs locales soient respectées et célébrées. La Francophonie, avec sa richesse linguistique et culturelle, sera un allié dans cette quête commune pour un monde meilleur.
Un goût salé, sucré, amer, acide. Goût = saveur, sensation produite sur les papilles de la langue Francophone. Un goût salé, sucré, amer, acide. recommandation : Éviter d’employer goût au sens du Couscous et d’« odeur » du Pétrole.
Francophonie Institutionnelle et Francofonie Realiste
Elle chante la liberté, la fraternité, l’espoir de solidarité face aux discours brisés par l’hégémonie militaire, les guerres inutiles et les conflits d’expansion coloniale.
Elle Cherche et se faufile dans les dédales culturels comme un murmure des rues modernes eclairées, ou des ruelles ombragées de la Casbah dans le silence du soir lorsque la métropole s’endort et lorsque Paris se prepare a réveiller ses chants nocturnes.
Les plumes des Folies Bergères s’envolent,
Les pages s’illuminent, les poètes écrivent, les romanciers cheminent,
Merveilleuse Francophonie : Éclatante d’Expression, Rayonnante de Lumières, Riche de Cultures Locales, Unie par des Croyances Spirituelles et Porteuse de Mémoires Parfois Contradictoires mais Source d’Innovation de la Pensée et de Solidarité Humaine
La Francophonie, c’est l’invitation au voyage, Mon Enfant Ma Soeur Songe a la Douceur d’aller La-bas au Pays qui te ressemble et qui traduit ta langue
La Tout n’est qu’ordre et volupté pour l’âme qui voyage,
Au-delà des frontières, au-delà des âges et au delà du temps et de l’horaire quotidien, l’expression francophone ne reconnait aucun horizon que le sien.
Francophonie Franglaise et Francocophonie Artistique
Alors, que résonne la mélodie des accents,
Alors, que les syllabes s’entrelacent,
Alors, que les vers s’enchantent,
Fantastique Francophonie Éclatante d’Expression, Brillante de Lumières, Plurielle de Cultures Locales, Cohésive de Croyances Spirituelles et Véhicule de Mémoires Contradictoires dans le Passe mais Créatrices d’Innovation de la Pensée et de la Communauté de Solidarité Humaine
La Francophonie, doux écho pour les uns, amnésique pour les autres, dans son expression narrative, elle demeure infinie et non une histoire finie,
Marianne, elle continue son étalage et son expansion dans les rouages de l’innovation et de la créativité culturelle en épousant les nouvelles formes de l’expression nostalgique de son propre devenir,
La Francophonie est la brise printanière,
Le parfum des lilas et de la Vie en Rose,
La saveur d’un verset, d’une prière multiconfessionnelle et d’un poème sublime et spirituel,
La Francophonie réunit les cœurs, les rêves, les étoiles et le sable mouillé ou s’est dessiné son visage d’Aline sur les cotes et les plages comme le sable séché des deux rivages du Sahara du nord au sud Africain,
Dans ce langage d’amour, où chaque mot s’affole, la Francophonie reprend ses forces pour en faire un message a travers les paroles criées ou enflammées ou ceux de la Douce France de sous les pavés se trouvent une plage.
Il faut être deux pour jouer au Tango et on peut amener le cheval à l’eau mais on ne peut pas lui faire boire l’eau, la vérité sort de la bouche du cheval et il n’est jamais trop tard pour faire mieux, et plus on attend, plus plus tu deviens plus sage, prends ton temps, réfléchis bien, agis bien et heureux sont ceux qui font bien, tourne ta langue sept fois avant de parler et quand tu le feras, tu parleras avec les 7 cieux, les sept jours, les 7 les mers construisant vos pensées sur les 7 piliers de la sagesse, faisant s’émerveiller le reste des gens parmi les 7 merveilleuses créations du monde entier qui ont été créées en 7 jours par Allah Sobhanahou était Taala. Existence bon marché Sheep Wolf versus Shepherd qui prétendait protéger les hordes de moutons du loup finit par les manger.
Prenez soin de vous et laissez le Berger être celui qu’il veut être.
🌎 Said Cherkaoui 🌍 Je suis subjuguée par l’harmonie de cette combinaison philosophique qui a rassemblé les moutons, le loup, le berger,le cheval, l’être, la sagesse, le chiffre 7 dans toute sa splendeur et couronné le tout avec James Brown 🎩 👏🏻👏🏻
Voila une recente écriture de mes pensées envers la Diaspora dans ses élucubrations sentimentales qui aussi sont miennes comme délire raisonné de la souffrance silencieuse et respectueuse de la séparation vagabonde et insoumise:
“On ne quitte jamais ce qu’on aime, on prend de la distance mais on reste attaché, de prés ou de loin.
L’attachement a la France est plus fort et dure plus longtemps que la durée d’un mandat politique ou le passage d’une idéologie éphémère.
Ce qui dure et ce que l’on endure c’est la Mémoire et cela comme l’avaient écrit Driss Chraibi dans le Passé Simple et mon propre cousin Abdelkebir Khatibi, la Mémoire Tatouée. Nous tous les trois nés a Mazagan – El Jadida, avons vécu a Paris et le désert français et avons aussi fréquenté entre autres l’Académie de Paris, y compris la Sorbonne
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.: Francophonie Franchement Plurielle dans Son Expression Globale
L’âme qui voyage au delà des frontières, au delà des âges. Une passion, une vision, une mission qui invite à un mariage. De cultures, de pensées assoiffées d’arrosage. C’est peut être un passage. C’est sûr, c’est une belle image. C’est certain on s’engage
La Francophonie, un lien transcendant les frontières géographiques et culturelles
La Francophonie unit les personnes à travers la langue française, créant ainsi une communauté mondiale d’âmes qui partagent une histoire commune, des valeurs et des expressions artistiques.
Que ce soit à travers la littérature, la musique, le cinéma ou les échanges commerciaux, la Francophonie offre une richesse inestimable. Elle permet la découverte des horizons nouveaux, de tisser des liens entre les continents et de célébrer la diversité des cultures francophones et interhumaines.
Marianne, personnification nationale de la République française, est une figure allégorique de la Liberté et de la République apparue pour la première fois pendant la Révolution française coiffée d’un bonnet phrygien. La casquette, autrefois portée par les esclaves affranchis en Grèce et à Rome comme symbole de liberté, est un élément clé de la représentation par Marianne des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité chères aux citoyens de la République.
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En collaboration avec des agences californiennes sous l’égide du Center for International Trade Development, j’ai donné l’idée et contribua directement à l’organisation de cet événement international avec deux jours de présentations et de rencontres entre responsables d’agences gouvernementales locales, régionales et fédérales américaines spécialisées dans le commerce international, chefs d’entreprises, dirigeants et organisations travaillant dans le cadre des relations entre les États-Unis et l’Afrique.
Lors de cette Conférence Internationale sur l’Afrique, j’ai inclus le Sénégal dans ma présentation pour honorer la présence de Babacar Ndiaye (Sénégal), Président (mai 1985 – août 1995) du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Le contenu connexe abordait le climat des affaires en Maroc, Algérie, Tunisie et Sénégal avec le titre « Faire des affaires en Afrique du Nord saharienne » que vous pouvez consulter en cliquant sur le lien Internet indiqué en haut de la version française de cette introduction.
Au sein de cette conférence, j’ai conduit une présentation sur le Maroc, l’Algérie et la Tunisie et le Sénégal intitulée « Doing Business in North Saharan Africa » – Cliquez sur le lien Web suivant pour accéder à la présentation de diapositives :
May 2, 2024 Said El Mansour Cherkaoui Morocco and United States Trade Relations Morocco is located in Northwestern Africa and is slightly geographically larger than California. The capital of Morocco is Rabat, which is bordered. …Read More
April 21, 2024 – Said El Mansour Cherkaoui – High-level Moroccan Delegation in a Business, Investment, and Trade Mission Inviting Silicon Valley – Bay Area U.S. and Moroccan Professionals MAY 10, 2024 – 6:00 PM Event of the Cocktail. … Read More
May 13, 2024 – Said El Mansour Cherkaoui – Real High-Level Delegation of Moroccan Government Visiting E-Gov and Cloud of Silicon Valley Computing and E-Gov A high-level Moroccan delegation in a trade mission in the U.S. Ghita Mezzour. ,,, Read More
Nom officiel : Royaume du Maroc Nature du régime : Monarchie Chef de l’Etat : Le Roi Mohammed VI (intronisé le 30 juillet 1999) Chef de gouvernement : M. Aziz Akhannouch (RNI, nommé le 10 septembre 2021)
Données géographiques
Capitale : Rabat Villes principales : Casablanca, Fès, Tanger, Meknès, Marrakech, Salé, Agadir Langue(s) officielle(s) : arabe, tamazight Langue(s) courante(s) : arabe dialectal (darija), langues berbères, français (commerce, politique, diplomatie) Monnaie : dirham marocain 1 euro = ± 10,5 MAD Fête nationale : 30 juillet (Fête du Trône)
Données démographiques
Population : 36,3 millions d’habitants Densité : 79 hab./Km2 Croissance démographique : 1,3 % Espérance de vie : 77 ans Taux d’alphabétisation : 73,8 % Religion(s) : islam sunnite de rite malékite (99 %), christianisme, judaïsme (1 %) Indice de développement humain : 0.686, 121ème (classement 2019)
Le Roi Mohammed VI, intronisé en 1999, a engagé la modernisation politique, économique et sociale du pays : grands plans sectoriels, réformes du code de la famille et de la protection sociale, progrès dans la transparence électorale. En 2006, le rapport de l’Instance équité et réconciliation, instituée par le Roi pour faire la lumière sur les violations des droits de l’Homme entre 1956 et 1999, en a été une étape marquante.
Le contexte régional au printemps 2011 a accéléré ce mouvement. Le Roi a annoncé une réforme constitutionnelle, élaborée sur la base de consultations étendues (partis politiques, syndicats et société civile). L’adoption d’une nouvelle constitution lors du référendum du 1er juillet 2011 a clarifié la relation entre les pouvoirs et renforcé les rôles du Chef de gouvernement et du Parlement.
Le triple scrutin général, législatif et local du 8 septembre 2021 a été marqué par une forte participation (50,35 %) et a abouti à une alternance, après une décennie de gouvernance du Parti de la Justice et du Développement (PJD). Le Rassemblement national des indépendants (RNI) est arrivé en tête, récoltant 102 sièges sur 395 (contre 37 en 2016). Son dirigeant, M. Aziz Akhannouch, a été nommé Chef du gouvernement par le Roi le 10 septembre. Le Parti Authenticité et Modernité (PAM) est arrivé deuxième, avec 87 sièges, et le Parti historique de l’Indépendance (Istiqlal) troisième, avec 81 sièges. Le PJD, qui avait remporté les derniers scrutins, n’a récolté que 13 sièges.
Un mois après les élections, le nouveau gouvernement a été formé le 7 octobre 2021. Le RNI, le PAM et l’Istiqlal font tous les trois partie de la coalition gouvernementale. Les ministres régaliens sans appartenance politique du précédent gouvernement ont été reconduits (ministres de l’Intérieur, des Affaires étrangères, des Habous et des Affaires islamiques).
Pour faire face aux inégalités, le Roi a fait du développement du pays une priorité nationale. Le Roi a institué en novembre 2019 une Commission spéciale chargée du développement (CSMD) et a nommé à sa tête M. Chakib Benmoussa, ex Ambassadeur du Maroc en France (2013-2021) qui a remis son rapport au roi le 25 mai 2021.
Afin de contenir la pandémie de covid-19, le Maroc a rapidement mis en place des mesures strictes. La fermeture des frontières au printemps 2020, et de nouveau en automne 2021 jusqu’au 7 février 2022, l’instauration d’un état d’urgence sanitaire et d’un confinement jusqu’en juillet 2020 et couvre-feu de décembre à juin derniers ont permis aux autorités de contrôler la situation. Le Maroc se distingue par une campagne de vaccination volontariste et à l’efficacité remarquable (AstraZeneca et Sinopharm). Plus de la moitié de la population est vaccinée.
Si les autorités marocaines ont fait de la sécurité du territoire une priorité, la menace terroriste reste toujours présente. Le 16 décembre 2018, deux touristes scandinaves ont été assassinées à Imlil par des individus ayant prêté allégeance à Daech. L’action des autorités demeure toutefois efficace et le ministère de l’Intérieur annonce régulièrement le démantèlement de cellules terroristes.
Politique étrangère
La question du Sahara occidental est pour le Maroc la première des priorités. Depuis le départ des troupes espagnoles en 1975 et la Marche Verte du Roi Hassan II, le Maroc exerce une autorité de fait sur ce vaste territoire désertique, qui demeure un « territoire non autonome » au sens de la Charte des Nations unies. Un mur de sable construit par le Maroc dans les années 1980 sépare la partie administrée par le Maroc à l’Ouest (80 %) de la zone occupée par les soldats du Front Polisario (20 %), mouvement indépendantiste fondé en 1976.
Le Maroc a présenté au Secrétaire général des Nations unies (SGNU), le 11 avril 2007, une proposition de large autonomie pour le territoire sous souveraineté marocaine, destinée à servir de base pour les négociations avec le Front Polisario, favorable à l’indépendance du territoire. Ce dernier demande l’organisation d’un référendum d’autodétermination sur cette question.
Une opération de maintien de la paix est déployée au Sahara occidental depuis 1991. La MINURSO, Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, a été créée par la résolution 690 du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU). Malgré l’instauration d’un cessez-le-feu en 1991, l’organisation d’un référendum s’est heurtée au manque de coopération des parties et à l’identification du corps électoral. Le cœur du mandat de la MINURSO consiste à observer le respect du cessez-le-feu en vue de son maintien. Le mandat de la MINURSO a été renouvelé pour un an par la résolution 2602 du Conseil de sécurité des Nations unies adoptée le 29 octobre 2021.
Le maintien du cessez-le-feu est menacé. Le 13 novembre 2020, les Forces Armées Royales sont intervenues dans la zone tampon de Guerguerate pour mettre fin au blocage du point de passage avec la Mauritanie par des manifestants sahraouis, depuis le 21 octobre 2020.
Le dialogue politique sous l’égide des Nations Unies a connu des avancées en 2018 et 2019, quand le Maroc, le Front Polisario, l’Algérie et la Mauritanie se sont réunis lors de deux tables-rondes organisées à Genève par l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies (EPSGNU), M. Horst Köhler. Cependant, la démission de ce dernier le 22 mai 2019 pour raisons de santé a interrompu le processus de négociations. Le 6 octobre 2021, l’Italien Staffan de Mistura a été nommé Envoyé personnel du SGNU pour le Sahara occidental. Ce dernier a entrepris des consultations régionales depuis début de l’année 2022 (Maroc, Algérie, Mauritanie), ainsi qu’avec les principaux partenaires internationaux (Espagne, France, États-Unis, Russie).
Depuis juin 2019, les efforts diplomatiques marocains ont conduit 24 pays, dont 19 États africains, trois États arabes (Émirats Arabes Unis, Jordanie et Bahreïn), la République du Suriname et Haïti, à apporter leur soutien à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental en ouvrant des consulats et des consulats généraux à Laâyoune ou Dakhla.
La question du Sahara occidental cristallise les tensions entre le Maroc et l’Algérie, qui se manifestent régulièrement dans la presse des deux pays et plus ponctuellement au niveau gouvernemental. La frontière entre les deux pays est fermée depuis 1994. Ce différend entrave la coopération au Maghreb et la concrétisation de l’Union du Maghreb arabe (UMA). L’Algérie a annoncé le 24 août 2021 la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc (la dernière rupture datait de 1976).
L’Afrique est une priorité de la diplomatie marocaine. Le Maroc entend étendre son influence économique et politique sur le continent, notamment via les nombreuses tournées africaines de Mohammed VI. Le Maroc mise sur les investissements de ses grands groupes sur le continent, en particulier Maroc Télécom et la banque Attijariwafa. Plus de trente ans après s’être retiré de l’Union africaine (1984) pour protester contre l’admission de la République arabe sarahouie démocratique (RASD), le Maroc a réintègré l’UA en 2017. Le Maroc a siégé au Conseil de paix et de sécurité de l’UA de 2018 à 2020 et a été élu en février 2022 pour un nouveau mandat de trois ans. Enfin, la nomination d’un ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud en 2018 marque le réchauffement des relations entre les deux pays.
Le Maroc a renforcé et institutionnalisé ses liens avec les pays du Golfe lors du premier sommet Maroc-CCEAG, le 20 avril 2016 à Riyad. Sur le plan économique et social, 5 Md$ ont été versés au Maroc sur cinq ans (2012 – 2016) par l’Arabie Saoudite, les EAU, le Koweït et le Qatar. Onze accords économiques ont été signés, le 11 mars 2018, entre le Qatar et le Maroc à l’occasion de la tenue, à Rabat, de la Haute commission mixte bilatérale présidée par le Premier ministre qatari et son homologue marocain.
Le Maroc entretient un dialogue politique régulier avec les États-Unis, avec lesquels il a conclu un accord de libre-échange entré en vigueur en 2006, ainsi qu’un dialogue stratégique, le Maroc étant un « allié non-OTAN majeur ». L’administration Trump a impulsé un rapprochement des deux pays. La reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental a été accompagnée d’annonces d’un approfondissement du partenariat avec les États-Unis lors de la visite à Rabat le 22 décembre 2020, d’une délégation américano-israélienne menée notamment par Jared Kushner, proche conseiller de l’ancien président américain D. Trump.
Sur la question du processus de paix au Proche-Orient, les autorités marocaines marquent leur attachement à un règlement de la question israélo-palestinienne conforme aux résolutions des Nations unies et à la solution à deux États. Le Roi Mohammed VI préside le comité Al Qods consacré à Jérusalem.
Le Maroc a été membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies pour le biennium 2012-2013. Il avait déjà siégé deux fois au Conseil de sécurité lors des bienniums 1963-1964 et 1992-1993. Le Maroc est également un important contributeur aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, déployant 1 702 casques bleus au sein de deux opérations de maintien de la paix (MONUSCO au Congo et MINUSCA en République centrafricaine) et deux experts en appui de l’UNMISS au Soudan du Sud.
Au sein de l’UE, l’Espagne dispose aussi d’une relation très dense avec le Maroc, tant au niveau économique (le 1er fournisseur du Maroc depuis 2012, devant la Chine et la France) qu’en matière de lutte contre le terrorisme et de lutte contre l’immigration irrégulière.
Cependant, l’hospitalisation en Espagne du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, a provoqué crise bilatérale avec l’Espagne, entraînant le rappel à Rabat de l’ambassadrice du Royaume à Madrid le 18 mai 2021. La situation semble toutefois s’améliorer avec l’Espagne depuis le mois d’août. Le Maroc a également connu une crise diplomatique avec l’Allemagne depuis mars 2021, en phase d’apaisement. L’ambassadrice du Maroc à Berlin, rappelée le 6 mai 2021, a repris ses fonctions le 26 janvier 2022.
Situation économique
Le Maroc a renoué avec la croissance économique depuis le début des années 2000, mais celle-ci reste corrélée au secteur agricole et à la conjoncture mondiale. Après un ralentissement de la croissance depuis 2018 (3,1 % et 2,5 % en 2019 contre 4,2 % en 2017), le Maroc est entrée en 2020 dans sa plus importante récession depuis 25 ans, à -7,2 % (source : FMI).
Face à la crise sanitaire et économique de la Covid-19, le Maroc a mis rapidement en œuvre des mesures fortes de soutien aux entreprises et à la population, financées par un Fonds spécial de Gestion de la Pandémie dont le montant a atteint plus de 3 Md€. A l’occasion de la fête du Trône le 29 juillet 2020, le roi a annoncé un ambitieux plan de relance (11 % PIB) et des réformes structurantes en matière d’économie, de protection sociale et de services publics.
Le pays s’applique à favoriser une meilleure résilience de l’économie marocaine aux fluctuations agricoles. En ce sens, d’importantes réformes ont été engagée dans le cadre d’une stratégie de diversification sectorielle. L’enjeu est de taille, car le secteur agricole représente 14 % du PIB et emploie 39 % de la population active. Les rendements céréaliers ont été gravement affectés par des sécheresses récurrentes en 2020 (repli du PIB agricole de 8,1 %).
Ce plan de réformes s’est accompagné d’efforts destinés à redresser les comptes budgétaires et extérieurs. Le déficit budgétaire s’est constamment réduit depuis 5 ans pour atteindre 3,7 % du PIB en 2018 Cependant, les mesures d’urgence décidées en réaction à la crise et la baisse des recettes accroissent le déséquilibre des comptes publics en 2020 (doublement du déficit public à -7,7 % du PIB et hausse de 11,3 points de la dette publique à 76,5 % du PIB).
Le Maroc jouit de la confiance des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers et a écarté le risque d’une crise de liquidité externe dans le contexte de la crise de 2020 (les réserves nettes de change ont ainsi pu être relevées à 7 mois d’importations). Après cinq années d’absence, le Maroc a réussi à lever 1 Md€ sur le marché international des capitaux en novembre 2019 et a réitéré l’opération avec succès en septembre 2020 (1 Md€ au taux moyen de 1,69 %). Le Trésor marocain a également appelé l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité (3 Md$) que le FMI lui octroie depuis 2012. Concernant le risque pays et le classement des affaires, la COFACE maintient sa notation de double A4 pour le Maroc, qui se place à la 53e place du classement « doing business » 2020 de la Banque mondiale.
La bonne gestion de la première phase de la crise de la Covid-19 a permis de contenir la hausse du taux de chômage à 12,5 % en 2020, qui touche principalement les jeunes (26,7 % des 15-24 ans en 2019). Le gouvernement a annoncé pour 2021 les premières mesures de mise-en-œuvre des hautes orientations du Roi pour la généralisation de la protection sociale et la réforme du secteur public afin d’améliorer l’inclusion sociale du modèle de développement marocain et d’accroître le rôle du secteur privé, suite aux recommandations de la Banque mondiale en avril 2018.
L’inflation reste contenue. Au terme de l’année 2021, l’indice des prix à la consommation aura progressé de 1,4%.
Le Roi souligne régulièrement l’ambition de faire du Maroc un pays émergent et pionnier sur le continent. Le Maroc a ainsi décidé de compléter son dispositif de zones franches (Tanger) et ses plans de développement sectoriels par une dynamique de développement régional vers l’Afrique subsaharienne, afin de trouver de nouvelles sources de croissance. Le plan de relance doit notamment financer des projets de substitution d’importations et une augmentation des droits de douane sur les importations des pays avec lesquels le Maroc n’a pas conclu d’accord de libre-échange a été annoncée.
Attempt to Control by ECOWAS the Slippage of “Diplomyopic – Myopic Diplomacy”
ECOWAS is behind in notes and score harmony and politically and diplomatically behind as it is in this politically incorrect photo
On July 7, 2024, the ECOWAS leadership asked the presidents of Senegal and Togo to speak with the leaders of Burkina Faso, Mali and Niger to try to bring them back into the ranks of the community. The New Senegalese President is sent with such a message or else he will be put in a cacophonous concert having no place to be heard and not playing with instruments that he recently used to get elected as the first young president in Africa.
Senegalese President Basirou Diomaye Faye was not born when ECOWAS was created and is being asked to reunify the bloc divided by coups. The Senegalese president was chosen at the ECOWAS summit as envoy to reach out to separatist states for reconciliation. Sources say his Togolese counterpart, Faure Gnassingbé, also worked behind the scenes as a negotiator between ECOWAS and the AES.
ECOWAS has not thought about the History of the Songhai Empire and the Will for Freedom of the People of the Sahel which extends from the Atlantic to the Red Sea. Now ECOWAS sees Blue, White and Red without the Sahel countries.
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Le Senegal joue le jeu des organisations, les entreprises, les entites et les institutions financieres internationale et il n’est pas le seul en Afrique. Le Sénégal devrait se concentrer a fructifier ses ressources naturelles en premier pour développer une infrastructure énergétique nationale supportant une lancée de développement régionale des capacités locales et de stimulation des productions à grande valeur ajoutée pour l’économie régionale et nationale.
Le gisement offshore Grand Tortue Ahmeyim (GTA), situé à la frontière maritime entre la Mauritanie et le Sénégal, sera mis en exploitation avant la fin de 2024. Ce champ, développé en partenariat avec la compagnie British Petroleum (BP), représente un projet stratégique pour les deux nations ouest-africaines. À la lumière de cette opportunité, chaque pays se prépare activement à construire son propre gazoduc pour maximiser les bénéfices de cette ressource énergétique.
Durant l’exploitation du champ, il est prévu que chaque pays recevra 35 millions de pieds cubes de gaz par jour destinés au marché local. Cette allocation jouera un rôle essentiel dans la sécurité énergétique régionale, soutenant la croissance économique et répondant aux besoins énergétiques domestiques. Le Sénégal a annoncé son intention de construire un gazoduc reliant Saint-Louis, dans le nord du pays, à Dakar. Lors du conseil des ministres du 3 juillet 2024, il a été précisé que ce pipeline servira non seulement au transport du gaz entre ces deux régions, mais également à l’évacuation du gaz naturel extrait du gisement de GTA vers des centrales électriques.
L’objectif est de construire une infrastructure de 400 kilomètres sur l’axe Saint-Louis-Dakar-Mbour, afin de répondre aux besoins énergétiques croissants du pays.
En parallèle, la Mauritanie progresse dans ses propres préparatifs. Une étude approfondie des évaluations techniques et commerciales a été réalisée pour déterminer les meilleures voies d’acheminement du gaz à partir des champs offshore de GTA et de Bir Allah. Ces études visent à garantir une exploitation optimale des ressources gazières et à élaborer des solutions efficaces pour le transport du gaz vers les zones industrielles et urbaines du pays.
Cependant, plusieurs défis financiers et écologiques entravent la réalisation de ces projets. Les coûts élevés de construction et les préoccupations environnementales exigent des solutions rapides et efficaces de la part des parties prenantes. Parmi les options envisagées, la construction d’une centrale électrique sur place pour transformer le gaz en électricité et l’acheminer via des lignes de haute tension pourrait s’avérer une alternative viable. Cette solution permettrait de réduire les impacts écologiques liés à la construction de gazoducs tout en optimisant l’utilisation de la ressource.
Par ailleurs, la Mauritanie est en train de lancer un projet « Gas-to-Power » basé sur le champ gazier de Banda. Ce projet vise à transformer directement le gaz en électricité pour répondre aux besoins énergétiques nationaux et stimuler le développement industriel. Cette initiative, en parallèle à l’exploitation de GTA, illustre l’engagement des deux pays à utiliser leurs ressources naturelles de manière durable et bénéfique pour leurs économies respectives.
La mise en place d’une infrastructure appropriée répondant à la circulation tant de la valeur monétaire, financiere et manufacturiere ainsi que techno-logistique vont solidifier la creation, la position sur le marché des liquidités et de la convertibilité d’une nouvelle monnaie nationale au lieu du Franc CFA.
Ces fondements sont inséparables de toute volonté de take-off et d’instauration d’une indépendance au niveau de la politique fiscale, financiere, monétaire et économique nationale.
AFRIQUE EN MOUVEMENT POLITIQUE
Elections Présidentielles au Sénégal
Dernières Nouvelles: Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21H00 (locales et GMT), trois heures après la fin du vote
Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels. La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel.
Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi. La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que “dans le pire des cas”, le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles:
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal – Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21H00 (locales et GMT), trois heures après la fin du vote Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels.
La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel. Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi.
La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que “dans le pire des cas”, le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
Le Cas du Sénégal Symptôme Révélateur de la Crise Institutionnelle et Parlementaire Africaine Causée par la Fragilité du Soutien Populaire a l’Électoralisme Partisan et Clientéliste
Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles:
– Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal – Rupture Sociale de l’Élite Traditionnelle Dirigeante en Place et Émergence de Votes de Désaffection Politiquement Populaire
Les résultats publiés bureau par bureau dans les médias et sur les réseaux sociaux donnent l’avantage au candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye devant celui du pouvoir, Amadou Ba, très loin devant les 15 autres concurrents vers 21hr (locales et GMT), trois heures après la fin du vote Bassirou Diomaye Faye était encore en prison récemment. Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition, semble en tête lundi matin, après les premiers dépouillements du premier tour de la présidentielle du dimanche 24 mars au Sénégal. Au moins sept des 17 candidats l’ont déjà félicité, même si les résultats ne sont pas encore officiels.
La commission électorale a jusqu’à vendredi pour publier les résultats provisoires, qui doivent ensuite être validés par le Conseil constitutionnel. Dimanche soir, Amadou Ba, candidat du camp du président Macky Sall devait s’exprimer devant la presse, avant finalement d’annoncer qu’il le ferait ce lundi 25 mars. Au même moment des sympathisants de Bassirou Diomaye Faye ont exprimé leur joie dans la capitale. Mais l’issue du scrutin reste ouverte ce lundi.
La direction de campagne d’Amadou Ba s’est dit certaine que « dans le pire des cas », le candidat serait au second tour. Il faut la majorité absolue des suffrages exprimés pour l’emporter au premier tour.
AFRICA IN POLITICAL MOVEMENT – Presidential Elections in Senegal – Latest News: Bassirou Diomaye Faye Future President Version – Française: AFRIQUE EN MOUVEMENT POLITIQUE – Elections Présidentielles au Sénégal – Dernières Nouvelles: Bassirou Diomaye Faye Futur Président du Sénégal
La Cinquième République en Place en Version Sénégalaise
Ola Lula Africana – Prison en Sursis a la Présidence du Sénégal
Le Compromis et le Concubinage Politique donne naissance a la Cinquième République a Dakar. Faye devient 5e président du Sénégal promettant ‘changement systémique’ et souveraineté.
Dorénavant, culture eurocentriste oblige, le nouveau président / dirigeant a se présenter en Costard style « Grand Parrain – Godfather » ou en uniforme militaire pour déclarer le Salut du Pays avec au menu, plus de riz, poulet frit avec pâte d’arachide mangé a la main. On se retrousse les manches pour le Changement dans la Continuité avec un ‘changement systémique’ et souveraineté ne faisant aucune référence aux multiples précédent litiges institutionnel et obstructions constitutionnelles présidentielles. Bouche cousue, sapée en cintrée et démarche dandy pour se faire accepter par l’Élite de l’extérieur, le modernisme et l’ouverture de l’esprit africain face aux doléances et de demandes extraverties.
Comme dans le reste de l’Afrique, on passe l’éponge comme au ring, on jette l’éponge polluée et la serviette si ce n’est la serpillière, on se débarrasse de tout apparat traditionnel et traumatisant plus de « boubou, ou bubu ».
Avant le Départ on Couvre Ses Arriérés Judiciaires et Ses Déficits Juridiques
Dakar, 30 mars (APS) – Le magistrat Abdoulaye Ndiaye a été nommé Premier président de la Cour suprême en remplacement de Ciré Aly Ba, parti à la retraite.
Cette décision a été prise, vendredi, lors de la dernière réunion du Conseil supérieur de la magistrature présidée par Macky Sall dont le mandat s’achève, le mardi, 2 avril.
Abdoulaye Ndiaye était précédemment président de Chambre à la Cour suprême.
Oumar Gaye, président de Chambre, devient également le nouveau Secrétaire général de la Cour suprême où Seynabou Ndiaye Diakhaté occupera le poste de Premier avocat général à compter du 1er août 2024.
Lors de la réunion du CSM, la magistrate Henriette Diop Tall, précédemment en détachement à l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP), a été nommée Présidente de la Chambre d’accusation financière du Pool judiciaire financier à la Cour d’appel de Dakar.
L’ancien procureur de la République près le tribunal de grande instance de Guédiawaye, Amadou Seydi, devient procureur de la République près le Pool judiciaire financier.
Le magistrat Youssoupha Diop, précédemment président de chambre à la Cour d’appel de Thiès, a été nommé président du collège des Juges d’instruction du Pool judiciaire financier.
Mardi 2 avril 2024, marque un tournant majeur dans l’histoire politique du Sénégal avec la prestation de serment du cinquième président de la République, Bassirou Diomaye Faye.
Président Faye a tenu un discours de plus d’une dizaine de minutes, pour tracer les grandes lignes de son premier mandat:
« Devant Dieu et devant la Nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de Président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine », a-t-il juré devant Dieu et les hommes.
Le chef de l’État a affirmé son ambition de présider avec une « nouvelle méthode », « en planifiant, en réformant, en associant » toutes les forces vives de la nation.
Bassirou Diomaye Faye s’est dit « conscient » que sa large victoire dès le premier tour de la présidentielle du 24 mars exprimait « un profond désir de changement systémique ». « Le Sénégal sous mon magistère sera un pays d’espérance, un pays apaisé avec une justice indépendante et une démocratie renforcée », a-t-il dit.
Il a évoqué les trois années de troubles qui ont précédé son élection, avec à la clé des dizaines de morts et des centaines d’arrestations. Il a assuré qu’il conserverait à l’esprit les sacrifices consentis par les « martyrs de la démocratie, (les) amputés, (les)blessés et (les) anciens prisonniers (…) afin de ne jamais vous décevoir ».Source:
Vive et Longue Vie au Nouveau Sauveteur de la Nation des Dirigeants Africains Déchus par l’apport de la bienfaisance extérieure et l’aide généreuse reconnaissante de leur contribution dans le bien de toute l’humanité dépourvue de droits de parole et de participation dans les décisions locales, régionales et nationales si ce n’est juste l’intrusion d’un ballot électoral identifie par la couleur ou le symbole image du candidat et du parti politique vu que les électeurs sont analphabètes et ne peuvent dans leur grande partie ni lire ni écrire.
« La lutte contre l’analphabétisme n’est pas uniquement un problème scolaire. »
Le continent africain a du chemin à faire pour atteindre la perfection de son système éducatif.
Le taux d’analphabétisme est de 54% au Sénégal dont 62% de femmes
Dans son dernier recensement général de la population sénégalaise, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) estime le taux d’analphabétisme à «54,6% avec 62,3% de femmes, contre 46,3 % pour les hommes». Le rapport de l’ANSD ajoute qu’«aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. En milieu urbain, le taux d’analphabétisme est de 49,5% pour 34,4% de femmes. En zone rurale, il est de 74,1% pour 57,7% de femmes. L’ANSD n’a pas publié de nouveaux chiffres par rapport à l’analphabétisme au Sénégal.
A travers son projet d’alphabétisation de 40.000 jeunes filles et femmes de 15 à 55 ans au Sénégal intitulé Pajef, l’Unesco affirme que le Sénégal est un des dix pays en Afrique où plus de la moitié (58%) des adultes sont analphabètes. La majorité de ces analphabètes sont des femmes.
Ces statistiques ont été confirmés par la directrice de l’alphabétisation et des langues nationales, Ndèye Nam Diouf.
L’Institut de statistiques de l’Unesco. (ISU) publie, tous les deux ans, un rapport sur l’Etat de l’éducation dans le monde. Et en 2013, les chiffres de l’Unesco sur l’analphabétisme au Sénégal indiquaient que la population analphabète (hommes et femmes) s’élevait à 1 246 260 millions de personnes âgées de 15 à 24 ans.
Pour sa part, la population analphabète (masculine et féminine réunies) âgée de 15 ans et plus était de 4 575694 millions. Ainsi donc, 40% de la population sénégalaise était analphabète en 2013. Parmi ces 40%, 59% étaient des femmes.
Les réserves des experts
Dans une contribution, l’expert en ingénierie de développement local et membre de l’Association panafricaine pour l’alphabétisation et l’éducation des adultes (PAALAE), Charles Owens Ndiaye, décortiquait les chiffres de l’ANSD. «Au sein de la population alphabétisée, 45,4% on dénombre les alphabétisés en langues nationales et en arabe avec un taux 12,7% seulement. Autrement dit, le taux d’analphabétisme en langues nationales et arabe est de 87% », analyse M. Ndiaye, membre du Groupe thématique éducation formation communication du Forum social sénégalais.
Le professeur d’histoire à l’université de Dakar Bouba Diopreste prudent quant aux chiffres donnés. Il n’a pas la même définition de l’analphabétisme.
«Le système a tendance à traiter d’analphabètes ceux qui ne peuvent pas lire les caractères latins, alors qu’ils sont instruits et lettrés dans les autres langues», précise-t-il.
Depuis 2003, l’Unesco a ré-apprécié sa définition de l’alphabétisme qui est pour elle, « la capacité d’identifier, de comprendre, d’interpréter, de créer, de communiquer et de calculer en utilisant du matériel imprime et écrit associe a des contextes variables.» Source
Une démocratie ignorante des droits a l’éducation justifiée et institutionnalisée par des électeurs ignorants et maintenus dans l’ignorance même si le savoir d’écrire et lire existe, la connaissance institutionnelle est autant absente des esprits comme de la mémoire des électeur/rices. Ainsi va l’Afrique de hier et d’aujourd’hui
« En Afrique, quand un vieillard meurt c’est une bibliothèque qui brûle »
L’Afrique est un Continent Vieillard dans sa Mémoire Historique et Plusieurs Bibliothèque ont Brûlé et Continue de Brûler en notre Temps et avec de Telles Pratiques Faussement Démocratiques et Représentative.
En Afrique, on est encore loin de construire des liens et des passages de Démocratie sans Démagogie, Manipulations, Complots et Compromis sur le Dos du Peuple Africain.
Bassirou Diomaye Faye a été investi mardi 2 avril 2024 président de la République pour un mandat de cinq ans. Lors de son discours d’investiture, Bassirou Diomaye Faye a notamment , le chef de l’État a évoqué une « nouvelle méthode » pour gouvernerpréconisant « plus de solidarité » entre pays africains « face aux défis sécuritaires ».
Sur le plan africain, l’ampleur des défis sécuritaires (…) nous oblige à plus de solidarité », a-t-il souligné. « Je réaffirme l’engagement du Sénégal à renforcer les efforts déployés pour la paix, la sécurité, la stabilité et l’intégration africaine », a-t-il dit.
La Démocratie Africaine Demeure Vide de Substance, de Consistance et de Droiture, elle demeure une institution de propagande et de publicité de façade pour se faire prévaloir d’une stabilité institutionnelle et d’une maîtrise d’une sécurité nationale intérieure et frontalière et cela pour rassurer les grands groupes internationaux vu leurs investissements directs et comme réponse et justification pour les politiques de conditionnalité imposées et imposées par les Grands Pays Occidentaux et leurs Instruments Financiers Multinationales pour les emprunts et les crédits ainsi que l’aide financière octroyées ainsi que comme réponses aux exigences des Stratégies Géo-Politiques et de défense d’intérêt national des décideurs et des stratégistes répondant aux nécessités internationales du multilatéralisme et de la polarité systémique globale.
Sources multiples utilisées pour la rédaction de cet article
Addenda: Le Royaume du Maroc Félicite SEM Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Président de la République sœur du Sénégal
A l’aimable invitation de SEM Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Président de la République sœur du Sénégal , SM Le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’Assiste a bien voulu dépêcher une importante délégation pour prendre part à la Cérémonie d’Installation du nouveau Président élu. Présidée par SEM Aziz Akhannouch, Chef du Gouvernement, porteur d’un message verbal et écrit de SM Le Roi, la délégation est composée de SEM Nasser Bourita, MAECAMRE et de SEM Hassan Naciri, Ambassadeur de SM Le Roi au Sénégal.
His Excellency Mr. Macky Sall the President of the Republic of Senegal at the World Trade Organization
Great Pleasure to have as our Guest of Honor within our Publications here at African Moroccan Diaspora – World-Class Executives, His Excellency Mr. Macky Sall the President of the Republic of Senegal who is delivering the WTO Presidential Lecture that you can follow here.
Any questions, please send an email to: info@triconsultingkyoto.com
For Business Inquiries, please send an email to: support@triconsultingkyoto.com
Pour ma Grande Adorable Soeur Lalla Khadija Cherkaoui avec respect familial et admiration fraternelle.
L’art est difficile à comprendre et la peinture en est une des expressions qui ne conviennent à aucun dogme, ni définition pré-établie, elle est comme le vent, elle suit les dédales entre les monts comme elle survole les vagues des océans comme elle peint l’imaginaire de chacun selon l’identité de la création et de l’inspiration. Elle demeure ainsi révoltée, rebelle et insoumise donnant forme à des symboles et des signes que seul l’esprit artistique peut endiguer l’énergie vers une intelligence plus éclatante et plus significative de l’État d’un Ame de l’Artiste.
ArtiCulture – Héritage de la Génération du Maroc des Années Cinquante
Synopsis:
Ce que je désigne comme l’Articulture résulte de l’harmonisation de l’architecture moderne avec la culture traditionnelle. Cela aboutit à une œuvre d’art moderniste et modernisatrice. Cette œuvre influence toutes les autres formes d’expression artistique.- L’IMPOSTURE DE LA POSTURE DE L’ART DANS LE SILLAGE DES SIGNES, L’HÉRITAGE DES SYMBOLES, L’ATTRIBUTION DES RÉFÉRENCES ET LE RECOURS A LA MÉMOIRE TRADITIONNELLE ET LA PENSÉE ABSTRAITE MODERNE DU MAROC FIGURATIF
Sidi Hbibi Ha Al Fen Wa Fanana Fi Maidane Lawahate Moulawana Wa Hya Sidi Moulana Li Atana Ndar Wa Douk Fi Doukkala wa Ma Jawarahouma Wa Hiya Al Fanana Marhba Wa Stalaf Marhba
ArtiCulture – Héritage de la Génération du Maroc des Années Cinquante
Art et Artiste, Témoins de la Mémoire Sourde et Vision Aveugle de Notre Temps
Synopsis: Ce que je désigne comme l’Articulture résulte de l’harmonisation de l’architecture moderne avec la culture traditionnelle. Cela aboutit à une œuvre d’art moderniste et modernisatrice. Cette œuvre influence toutes les autres formes d’expression artistique.
Un artiste qui rejette ce qui se dit, s’écrit et s’exprime sur son oeuvre en condamnant les réactions même les plus brutales et agressives, est un artiste en sursis. Un artiste qui n’est point le reflet de son temps et de son épicentre culturel, il devient la cible de la négligence et de l’indifférence de la part de ceux qu’ils lui veulent sans le savoir une meilleure acceptation.
De même, l’artiste vit dans un milieu culturel bien précis, malgré ses tares et ses défauts et ses imperfections. Il possède et observe les grandes lignes de conduite et de référence a tous les niveaux de la pensée, la création et l’expression humaine. Cet artiste accompagne ainsi l’évolution des normes définies par la succession de contradictions et d’antidotes et même de confirmation. A travers notre actuelle présence, le temps avait façonné a sa manière et aux lieux choisis et non défini, les contours et les pourtours de l’identité de la culture sociale et de son environnement.
L’artiste a tendance a chercher une extrapolation et une usurpation de toutes les données historiques pour en faire sa propre representation. Pour cela, il se réfère a des médiums, des ressources et des symboles d’une autre culture, même si celle-ci fut métropolitaine et directrice de l’antécédente. Dans cette relation culturelle d’ordre paternaliste, la culture métropolitaine demeure ethnocentriste tant au niveau figuratif qu’au niveau religieux. De cette dépendance extérieure, la culture se positionne ainsi comme fragmentaire et insoumise durablement aux défis sociaux, économiques, politiques et spirituels.
Cette importation de la culture appropriée par un artiste aboutit a le rendre un otage de ces barricades et murailles culturelles séparant sa culture clonée avec celle de son origine. De ce fait, cet artiste ne peut opérer un exil intérieur au sein de sa culture quotidienne. Cet exercice d’accommodation devient des trappes et des pièges et rendent la production de cet artiste une oeuvre sans aucune connexion organique avec son propre environnement culturel de naissance.
Articulture et Peinture au Maroc – Reflet Abstrait de Culture Française
Modélisation Métropolitaine et Métaphore Diagonale Gauloise
France Métropole de l’Urbanise Moderne – Formes Modernistes Conflictuelles Exogènes
“Regardant l’art moderne marocain, couvre la période 1950-1969, pendant la lutte pour l’indépendance et après 40 ans de domination coloniale française et espagnole, présentant des œuvres historiques qui ont défini les nouvelles tendances des pratiques artistiques anticoloniales dans les années 1960, y compris une révision radicale des Beaux-Arts dans une perspective futuriste. Après 40 ans sous protectorat français et espagnol, la première période couvre une phase extrêmement agitée qui s’étend des années d’indépendance jusqu’en 1969. Pendant ce temps, le champ artistique s’articule autour des débats suscités par l’apparition du mouvement nationaliste et le besoin impérieux de construire un discours identitaire.
Ces deux aspects ont constitué l’arrière-plan conceptuel de l’art marocain moderne dans les années 1960 et 1970, lorsque les artistes ont commencé à remettre en question l’académisme artistique traditionnel transmis par l’enseignement de l’art au Maroc.
La deuxième période de peintures marocaines couvertes s’étend de 1970 à 1999 et englobe les années dites de plomb et est parmi les plus violentes de l’histoire récente du Maroc, y compris les soulèvements de 1981 et 1984 à la suite de la crise politique et économique. . Ce furent des années de grand conflit interne, une constellation de publications alternatives, de festivals et de biennales, souvent indépendantes, a émergé. La voix de la dissidence, particulièrement active dans la littérature, la poésie et le théâtre, s’est propagée à travers la revue Souffles, jusqu’à son interdiction en 1972, puis à travers Intégral et Lamalif. Apparaît également à cette époque un art non académique et non intellectuel représenté par des hommes et des femmes autodidactes liés à un dynamisme artistique vivant.”
Devoir de Créativité et Imposition Culturelle Dominante
Cette approche n’a rien a voir avec “les barbus ou les non-barbus,” les orthodoxies ou les libéraux, les modernes et les traditionnels. Dans toute société, existe différentes approches et considération de l’art et ce n’est point la religion toute seule, qui dicte ces avis ou ces prises de position. L’art c’est une commodité, une marchandise donc son acceptation équivaut a la création d’une base de clientèle et du reflet et la traduction des attentes de cette cliente en retour. L’artiste qui exprime cette tangente dans son oeuvre trouve un support dans la société et ses diverses stratifications et non a travers la résistance ou le rejet.
L’artiste dans un tel environnement, lorsqu’il reçoit des Feedback, c’est une manière de tester la réaction de l’audience qu’il ne peut contacter individuellement. Ce retour de la manivelle ne doit pas enrayer la machine mais bien au contraire de lui permettre de comprendre, d’analyser et d’intégrer les nouvelles dimensions issues de ces réactions de l’audience.
Orientalisme et Modernisation Exotique
Pierre Viaud est son vrai nom qui deviendra Pierre Loti, le nom d’une fleur tropicale Loti… grâce à la reine Pomaré, de Tahiti qui lui aurait donné ce surnom.
Par contre, le colon typique jetait un regard orientaliste et mythique présentant le Maroc au niveau de ses Harems qu’il n’avait jamais visité ou côtoyé mais découle d’une vision de rêve et de fantasmes proches des poèmes de Paul Verlaine et surtout du maître Charles Baudelaire. De même, Pierre Loti par sa description du Maroc de la fin des années 1880 devint le recueil de consultation pour les artistes voulant comprendre les dimensions marocaines culturelles.
On peut citer en cela Matisse qui avant de se rendre au Maroc adopta et rendit l’ouvrage de Loti son livre de chevet. Même l’américaine Edith Wharton s’inspira et utilisa les contes de Pierre Loti. Comme une fervente déphasée de l’impérialisme Français et sur invitation du Résident Général Maréchal Hubert Lyautey, elle rédigea un livre célébrant l’action moderniste du colonialisme français au Maroc.
Le Résident Général Lyautey tenait a ne pas assister aux destructions des patrimoines locaux comme fut le cas lorsqu’il accompagna Galieni dans ses conquêtes de Madagascar et surtout en Algérie. En effet, les ruelles des anciennes médinas ne pouvaient faciliter le passage des troupes et le contrôle social adéquat. A l’image et l’exemple de Haussmann, des pans entiers de la Casbah et autour furent ainsi démolis pour faire ériger des édifices administratifs et enracinée la présence européenne au sein des villes de l’Algérie.
Héritier et témoin d’un tel massacre urbain, Lyautey décida qu’au Maroc, le Protectorat devrait débuter par protéger le patrimoine et le cachet local de l’urbanisation présente. Cet attachement aux valeurs artisanes locales fut de Lyautey, un urbaniste colonial avec une vision esthétiquement marocaine.
L’Articulture Urbain du Protectorat Français et l’Art Figuratif Marocain Citadin
Le Maréchal Lyautey fit appel aux architectes les plus aptes a concilier sa vision du nouveau Maroc comme un espace culturel de rupture avec l’architecture Medina mais de continuité artistique moderniste alliant les formes locales aux traditions architecturales islamiques, hispano-mauresques dans un cadre d’Art Déco.
Albert Laprade fut le principal architecte dans cet élan moderniste du Maroc “protégé.” est né en 1883 et décédé en 1978. A sa sortie d l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris, il répond a la demande de Lyautey de recrée Casablanca sur une base appelée a l’époque la ville indigène de Casablanca. Par la suite, il dessine les plans pour la construction de la Résidence générale de Rabat “selon des modèles très modernes pour l’époque.” Il fut par la suite chargée de construire le Palais des Colonies ainsi que le Pavillon du Maroc pour l’Exposition coloniale de 1931. Albert Laprade devint ainsi l’initiateur de l’articulture moderne du Maroc actuel.
En effet, le cadre marocain culturel se prêtait fort a l’intégration d’une architecture intérieure engloutie par des tapisseries, des vitraux multicolores, des fresques et peintures ainsi que par sculptures ornementales de façade ou a l’intérieur des Koubas / Alcoves encastrées ou bordées d’une fine ébénisterie qui est mise en relief par le jeu des couleurs et des contrastes de la céramique, de l’orfèvrerie cuivrée ou d’allure argentée.
Par de telles inclusions, le Maroc devint le théâtre des nouvelles formes d’urbanisation artistique ou la protection et la préservation des vestiges se double de l’apport du modernisme urbain développementale. Une cohabitation de croissance urbaine fut ainsi définie et appliquée par laquelle les coutumes de la Medina furent juxtaposées aux besoins d’expansion du modernisme mécanique et industriel. Cette nouvelle forme d’urbanisation permit ainsi l’occupation de l’espace par de nouvelles formes d’exploitation et d’implantation a travers la construction de quartiers modernes et administratifs dits «européens» en prolongation et comme voisin extérieur du patrimoine marocain. Une urbanisation nouvelle fut ainsi subtilement distillée et culturellement intégrée dans le tissu social et dans la formation de la nouvelle personnalité de l’artisan marocain et du citoyen protégé. Une dualité artistique d’essence modernisatrice mais de finalité une démonstration de présence et de puissance. Tous les bâtiments publics et officiels, tel que les postes, les théâtres municipaux, les gares de chemin de fer, les agences de la banque du Maroc, les bureaux arabes, les départements ministériels, et les municipalités dans leur grande majorité avaient été construit avec une architecture d’allure artisanale d’inspiration marocaine.
C’est cette occidentalisation forcée du Maroc et ses regards fantasmagoriques que l’identité artistique marocaine fut déviée et considérée comme un Empire Chérifien et en tant qu’un résidu artistique similaire aux sources d’inspiration et de catégorisation qui furent jadis collées sur le dos de l’Empire Ottoman. Cette forme “orientalisée” de la culture du Maroc devint la norme pour tout ce qui touche les modes de vie autochtones et artistiques.
Ainsi, le Maroc était dorénavant présenté de la même manière et avec les mêmes approches de rêves que les œuvres dépeignant les scènes au temps de la civilisation helléniste, de l’empire Perse et Romain. Cette extrapolation dans le temps facilita aussi la promotion de l’action de modernisation des puissances coloniales métropolitaines et leurs déclarations sur l’absence de civilisation de bien-être social et occidental dans les pays tel que le Maroc.
En fait, un regard humaniste permit la transposition artistique comme un vernis adoucissant la stratégie exploitante coloniale. L’Art devenait le rassembleur du partage du savoir et la promotion de ‘l’oeuvre salvatrice” entreprise par l’expansion occidentale au Maroc. Le terme de Protectorat Français ne pouvait trouver un meilleur usage et meilleure plateforme d’application et de référence artistique plus que l’espace Marocain. On assista alors a une conduite de la reconstruction des édifices administratifs et des résidences officielles par l’Administration Française au Maroc sous des formes qui furent empruntées a l’art et a la culture locale doses avec une auréole moresque et maure digne des palais et des riads exotiques construits dans les fins fonds des anciennes médinas. Ces édifices de gestion et de traitement des services administratifs coloniaux édifiés a l’extérieur des anciennes médinas devinrent ainsi le symbole de la présence Française camouflée dans des apparats prétendument Marocains.
Marrakech la Liaison Artistique entre Sir Winston Churchill et Hassan Glaoui, le Fils du Pacha
Même Winston Churchill avait emprunté ce parcours au niveau de l’exposition de ses œuvres sur le Maroc qui en réalité sont aussi conditionnées par une expression artistique mettant en relief le coté traditionnel du Maroc. Cette marque “orientaliste” se trouve plus forte surtout dans ses peintures qui furent conçus lors de ses séjours a Marrakech et ses environs.
Bab Doukkala et la Koutoubia – Marrakech by Winston Churchill
Winston Churchill – paysage impressionniste de Marrakech
Paysage impressionniste de Marrakech Destin de Marrakech Peinture de Winston Churchill: Tour de la mosquée Koutoubia LONDRES (AP) – Un tableau de Winston Churchill qui est à la fois un morceau d’histoire politique et hollywoodienne sera mis aux enchères.
La maison de vente aux enchères Christie’s a déclaré lundi que le paysage marocain «Tour de la mosquée Koutoubia» – un cadeau de Churchill au président américain Franklin D. Roosevelt – est vendu par Angelina Jolie le mois prochain avec un prix estimé de 1,5 million de livres à 2,5 millions de livres ( 2,1 millions de dollars à 3,4 millions de dollars).
L’image de la mosquée du XIIe siècle à Marrakech au coucher du soleil, avec les montagnes de l’Atlas en arrière-plan, est le seul tableau que le chef britannique de la Seconde Guerre mondiale a réalisé pendant le conflit de 1939-1945.
Il l’a peint après la conférence de Casablanca de janvier 1943, où Churchill et Roosevelt ont planifié la défaite de l’Allemagne nazie. Les deux dirigeants se sont rendus à Marrakech après la conférence afin que Churchill puisse montrer à Roosevelt la beauté de la ville. Lors de cette visite à Marrakech, Churchill a offert ce tableau à Roosevelt en souvenir du voyage.
Churchill était un artiste amateur passionné qui a réalisé quelque 500 peintures après avoir commencé à peindre dans la quarantaine.
Le tableau a été vendu par le fils de Roosevelt après la mort du président en 1945 et avait plusieurs propriétaires avant que Jolie et son partenaire Brad Pitt l’achètent en 2011.
Le couple s’est séparé en 2016 et a passé des années empêtré dans une procédure de divorce, au milieu de spéculations sur la division de leur vaste collection d’art. Ils ont été déclarés divorcés en 2019 après que leurs avocats ont demandé un jugement bifurqué, ce qui signifie que deux personnes mariées peuvent être déclarées célibataires tandis que d’autres problèmes, notamment les finances et la garde des enfants, demeurent.
La peinture est vendue par la Jolie Family Collection dans le cadre de la vente aux enchères d’art moderne britannique Christie’s le 1er mars à Londres.
Orchard a déclaré que la maison de vente aux enchères espérait qu’elle pourrait établir un nouveau record pour une œuvre de Churchill.
«Le prix record aux enchères pour Churchill est d’environ 1,8 million (livres) pour un tableau qui, à mon avis, n’est pas aussi important que celui-ci», a-t-il déclaré. «Et je pense que c’est probablement son travail le plus important.»
Hassan El Glaoui – Winston Churchill
Hassan El Glaoui
Hassan El Glaoui : «Je suis devenu peintre grâce à Churchill»
Hassan El Glaoui et ses œuvres chevalresques dont le Cheval demeurait le symbole d’un pouvoir déchu de reconnaissance
Hassan Glaoui, vu sa maturité entreprise au sein d’une fissure identitaire entre la Métropole protectrice et le nouveau Maroc rebelle, il se réfugia dans les signes et les symboles de la tribu parentale et ancestrale ou le Cheval demeurait le symbole d’un pouvoir déchu de reconnaissance.
L’Héritage Moderniste et la Question Identitaire dans l’Art Figuratif au Maroc
Cette modernisation exogène dans l’énonciation et endogène dans l’expression avait ainsi fructifié une terre de civilisations profondes en la faisant évoluer dans le sens d’une hybride culture que l’on appelait être assis sur deux chaises culturelles a la fois. Dans cet équilibre précaire dans les années menant a l’indépendance politique, l’artiste et les œuvres marocaines, avait opté pour le compromis entre tous les défis décrits et même ceux provenant de sa propre famille, tribu et religion. Pour cela, le figuratif s’imposa comme le moyen d’expression de l’artiste vu que cette option ne possède pas des racines profondes et demeure une transplantation dans une culture toute a fait immune a ce genre de dessin anatomique.
Ceci comprend toute forme d’interaction humaine privée et intime. Le Maroc en cela est une juxtaposition de deux faces, une cachée et une lumineuse dont la seconde projette de l’ombre sur la première. Entre ces deux lignes de démarcation de couleurs, de formes d’abstraction figurative et de réalisme culturel, l’artiste s’était cantonné dans l’expression abstraite et presque panoramique de ses œuvres.
Jilali Gharbaoui (1930 – 1971)
Jilali Gharbaoui, La Mamounia Gallery, Rabat, 1958
Abstraction de Jilali Gharbaoui
Jillali Gharbaoui fut ainsi le figuratif de pointe et de prime abord dans l’expression artistique marocaine comme dans le cheminement même de son itinéraire artistique qui comme Ahmed Cherkaoui avait subi les aléas de la sentimentalité ingrate de la réalité indifférente et brutale. Gharbaoui prit la tangente d’émigrer de l’influence des écoles françaises et hollandaises fameuses ainsi que de l’expressionnisme allemand et leurs respective manipulations de la lumière et des formes ombragées, pour s’affirmer en tant que figuratif. Pour cette trajectoire artistique de base autodidacte, Gharbaou fut stigmatisé comme « le premier peintre marocain à avoir choisi ce mode d’expression picturale ».
Jilali Gharbaoui
Jilali Gharbaoui est né en 1930 à Jorf el-Melh près de Sidi Kacem. Gharbaoui occupe une place fondamentale dans l’Histoire des arts plastiques au Maroc. C’est l’un des premiers peintres marocains qui ont porté l’abstraction jusqu’à ses derniers retranchements. Lyrique dans sa facture, l’artiste n’en peint pas moins un univers tourmenté. Sa vie privée est inséparable de son art dont la tension qui se dégage de ses œuvres entretient une juste résonance avec son mal de vivre.
Très jeune, Jilali Gharbaoui perd ses parents et est recueilli par un orphelinat. Après des études secondaires à Fès, il devient marchand de journaux pour gagner sa vie. Passionné de peinture, il commence à peindre des tableaux impressionnistes, avant de suivre des cours à l’Académie des Arts de Fès. Grâce à l’intervention de l’écrivain Ahmed Sefrioui, alors directeur des Beaux-Arts à Rabat, il obtient une bourse d’études, de 1952 à 1956, à l’Ecole supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il poursuit ensuite sa formation en arts plastiques à l’Académie Julien en 1957, avant de séjourner un an à Rome, en sa qualité de boursier du gouvernement italien.
De retour au Maroc, le peintre s’installe en 1960 à Rabat. Après une courte période de l’expressionnisme, il s’achemine vers la peinture informelle et peint des tableaux non figuratifs, fondés sur une gestualité nerveuse. L’intéressé est plus préoccupé par la lumière que par la matière. La vie personnelle du peintre est traversée par de fréquentes crises d’angoisse. Il a fait deux tentatives de suicide et effectué plusieurs séjours dans des hôpitaux de psychiatrie. Il s’éteint, en 1971, à l’âge de 41 ans, sur un banc public au Champ de Mars à Paris. Ses tableaux figurent dans diverses collections au Maroc, en France, en Angleterre, en Allemagne et aux Etats-Unis.
Jillali Gharbaoui fut l’un des premiers a briser le carcan de l’orientalisme pour passer au figuratif abstrait marocain. Cette premiere fut aussi l’une de ses marques essentielle dans la consideration que Jilali Gharbaoui recoit comme reconnaissance de la part des marocains et marocaines imbibés de la conscience sur la trajectoire de la peinture marocaine comme tatouage parallèle de l’histoire du Maroc.
Avant Alea de Ahmed Cherkaoui, un tableau de Jilali Gharbaoui a été vendu le 24 mai 2007 à 60.000 euros chez la célèbre maison de vente aux enchères Tajan à Paris. La ville ou Jilali Gharbaoui commenca ses essais abstraits loin des rives de la Seine ou l’impressionnisme prit forme comme des pique-niques et des sorties de la bourgeoisie parisienne que les impressionnistes peignaient pour pouvoir les vendre a la meme classe peinte sur leurs toiles. Paris fut aussi le lieu des derives ultimes de Jilali Gharbaoui et comme un retour spirituel dans les lieux de sa débauche, les memes lieux deviennent la renaissance et la réincarnation de sa richesse et cela dans son absence.
«C’est historique [réalisé par une oeuvre de Jilali Gharbaoui, une huile sur toile datée de 1968], parce qu’aucun peintre marocain n’avait jusque-là dépassé la somme de 20.000 euros dans une maison de vente aux enchères occidentale», affirme Aziz Daki, critique d’art.
”Cette vente a son importance pour le marché de l’art national, parce qu’elle prouve que l’art abstrait marocain peut franchir les frontières nationales et trouver acquéreur à l’étranger. Désormais, l’on sait que les Orientalistes ne sont pas les seuls à avoir la cote au niveau international.”
ANDRÉ Elbaz des doukkala
Andre ElBaz – Portrait of King Mohamed V
ANDRÉ Elbaz
L’ensemble de ces déphasages alliait aux changements brusques et extérieurs avait effectivement nourri la pensée de l’artiste nationaliste marocain qui dorénavant chercha une voie de sagesse et de retour aux sources de la décence et de l’identité culturelle marocaine.
Pour ne citer que les grandes lignes familières a l’auteur de ces lignes sur cette évolution de l’identité artistique du marocain; elle fut en premier traduite par André Elbaz et son ami Ahmed Cherkaoui sous l’angle de l’abstrait et de leurs efforts individuels d’y intégrer des éléments modernes comme support et comme moyen d’expression des déchirures sentimentales qu’ils avaient chacun dans son domaine propre endure dans leur existence.
La création de André Elbaz ouvrait de nouvelles perspectives et formes lorsqu’il entreprit d’inclure dans ses œuvres les fibres végétales (lin, abaca, chanvre, sisal). Cette même perspective fut aussi empruntée par Belkahia voulait en faire des références plutôt locale avec l’utilisation de médiums, de ressources et même de projection des ustensiles traditionnels des cultures berbères de l’époque, en y introduisant le Henné, les tatouages tribaux et la peau de chèvre.
André Elbaz – Villes Orientales – Ma Ville El Jadida
Mazagan – El Jadida sont la source première d’inspiration de André ElBaz: Peinture de droite c’est la Cité Portugaise – Fortaleza Mazagao qui sert de modèle pour cette oeuvre de André ElBaz
Ahmed cherkaoui et André Elbaz: Frères dans l’Art et Neveux dans la Marocanite Eternelle – Un de mes Neveux Andre ElBaz et un de mes Cousins ensemble.
ElBaz est aussi natif et résident de ma ville natale: Mazagan – El Jadida, et Ahmed Cherkaoui est natif de ma ville ancestrale, Boujad la Zaouia des Cherkaoui. Cette photo est l’expression de l’Art comme lien familial ensemble dans ces illustrations familiales de notre Maroc et de notre personnalité régionale marocaine sans aucune frontiere.
Le destin d’Ahmed Cherkaoui bute accidentellement en 1967 à l’âge de 33 ans alors, qu’en pleine maturité de sa peinture, il semblait promis à l’aboutissement d’une œuvre des plus signifiantes, riches et autonomes de la confrontation dynamique de ses intérêts plastiques, nourris aussi bien par la tradition arabe et berbère que par les exigences d’une peinture moderne. Il meurt au cœur du débat Orient-Occident, identitaire, en traçant les voies du dépassement.
Depuis, Ahmed Cherkaoui est considéré, avec J. Gharbaoui, comme le précurseur de la peinture contemporaine au Maroc et incarne un des moments les plus importants de son histoire. Une notoriété qui dépasse les frontières, acquise d’abord au sein de l’École de Paris durant les années cinquante et soixante. Son œuvre y prend une valeur symbolique par son apport original et son travail de symbiose. Il trouve dans l’exil un terrain stimulant qui lui permet de déchiffrer sa propre mémoire et de donner forme à sa résonance créatrice dans une quête lucide, passionnée et propre à son temps.
Farid Belkahia RUPTURE AVEC LE PASSEE DE L’ART COLONIAL
Farid Belkahia Hommage a Antoni Tapies par Farid Belkahia
Farid BelkahiaFarid Belkahia – 2005
(Tribute to Antoni Tapies), Watercolour on paper, 1992, 41 x 122 cm
Farid Belkahia Né en 1934 à Marrakech – Décédé en 2014 Farid Belkahia grandit dans un environnement propice à l’art, où il se familiarise très jeune avec les milieux artistiques étrangers et découvre l’œuvre d’Antoine Olek, Jeannine Teslar et Nicolas de Staël.
Il commence à peindre à l’âge de quinze ans et réalise sa première exposition à Marrakech en 1953. L’année suivante, il s’inscrit à l’École des Beaux-Arts de Paris, où il restera jusqu’en 1959. Il y étudie les peintures de Georges Rouault et de Paul Klee. Il poursuit ensuite à Prague, où il étudie la scénographie à l’Institut du Théâtre de Prague.
De retour au Maroc, il devient directeur de l’École des Beaux-Arts de Casablanca, poste qu’il occupe jusqu’en 1974. Durant cette période, il élabore une théorie de l’art et sa pratique pédagogique, réunissant une équipe de pionniers qui formeront le noyau du mouvement artistique « École de Casablanca ». Parmi eux : Melehi, Chebââ, Azema, Hamidi et Hafid.
En 1966, il participe à la revue culturelle Souffles, fondée par ses amis Melehi, Abdellatif Laâbi et Mustapha Nissaboury. Quelques années plus tard, Farid Belkahia est l’instigateur de l’exposition-manifeste de 1969 sur la place Jamaa-el-Fna à Marrakech, événement monumental dans l’histoire de l’art marocain. Pour la première fois, les peintres de l’école de Casablanca exposent leurs œuvres aux côtés d’artistes reconnus internationalement comme Pierre Dimitrienko, César et Jean Lurçat.
A partir de 1974, Farid Belkahia se consacre à son art. Il adopte une vision nouvelle loin de tout mouvement artistique européen et défend la culture marocaine à travers l’utilisation de ses matériaux traditionnels. Il introduit le cuivre, la peau animale, le bois découpé et les teintures naturelles. Il réinterprète les caractères berbères (amazighs) pour créer des symboles graphiques à caractère universel.
Farid Belkahia a imposé l’idée d’une peinture indépendante de tout héritage colonial, fixant ainsi un ensemble de valeurs contemporaines qui influenceront les générations futures d’artistes marocains, tout en confirmant sa stature de figure artistique internationale.
En 2000, l’artiste participe à la 5e Biennale de Lyon, « Partage des Exotismes », organisée par Jean-Hubert Martin. Cet événement propose de reconfigurer le regard critique en invitant cent vingt artistes des cinq continents.
Il s’agit d’une réponse à l’exposition « Magiciens de la Terre » de 1989, également organisée par Jean-Hubert Martin, alors qu’il est directeur du Musée d’art moderne de la ville de Paris. Ces événements sont fondateurs dans l’histoire de l’art africain.
Son œuvre est présente dans des collections internationales, notamment au Mathaf : Musée arabe d’art moderne de Doha, au Qatar. En 2015, la Fondation Farid Belkahia, basée à Marrakech, a ouvert ses portes.
La fondation continue de faire connaître l’artiste, de soutenir les jeunes générations à travers des expositions organisées et de plaider pour la reconnaissance des formes d’art autochtones et la préservation du savoir-faire traditionnel.
Farid Belkahia
Farid Belkahia est avant tout un précurseur. En 1965, il abandonne la peinture de chevalet pour travailler avec des matières traditionnelles qui feront très vite sa renommée. D’abord le cuivre qu’il oxyde et découpe pour en faire des formes ondulées et rythmées, ensuite la peau d’agneau qu’il tanne et assouplit avec délectation dans le but de libérer toute son énergie. Comme sur un parchemin, il y peint des tatouages, des mains, des seins isolés, des phallus…, en utilisant le henné – d’où d’ailleurs cette couleur rouge ocre qui caractérise ses œuvres -, le khol (poudre minérale utilisée par les femmes pour noircir les yeux) et différents pigments naturels. Un véritable voyage aux confins de la matière. “Avec la peinture à l’huile, il n’y a pas d’aventure pour moi. Le henné, la peau, ce sont mes souvenirs, ma grand-mère, le milieu dans lequel j’ai grandi, les odeurs que je connais…”, disait-il.
En vidéo, visite guidée de l’exposition consacrée à Farid Belkahia au Centre Pompidou à Paris
Farid Belkahia fait éclater les cadres classiques des tableaux en optant pour des formes diverses : rectangle, triangle, circulaire, ovale… Farid Belkahia fait partie de ces artistes qui, dans leur recherche de modernité, n’ont pas complètement cassé la tradition dont ils sont issus. Il a su rassembler ses origines arabe, amazigh, africaine pour les faire tourner vers un art globalisant comme cette main de grande dimension (une de ses meilleures œuvres) qui symbolise la quête d’un monde où l’homme serait réconcilié avec son origine.
FARID
The Moroccan artist who was motivated by art traditions from across the globe found the great inspiration closest to home
Unique – Farid
BELKAHIA
“Ce qui fait que Belkahia était un artiste résolument moderne est qu’il s’inspirait de son corps pour s’exprimer. Son voyage était purement intérieur sans évocation du contexte religieux, politique…”, analyse Moulim Laâroussi. Jamais, par exemple, il ne dira qu’il a peint un tableau par la volonté d’Allah, comme le répétait la représentante de “l’art naïf” marocain, Chaâbia. Farid travaille un objet artisanal et lui donne une émotion, son émotion.
Cette caractéristique de la formation artistique d’ordre autodidacte s’est affirmée dans les personnalités de de Chaabia Tallal, Bouchaib Habouli et même avec des intonations formatives chez Belkadi.
Leur attachement à leur région et à la sub-culture populaire adjacente les rendirent des pourvoyeurs de l’expression marocaine abstractive ou ils ont planté des emblèmes et des formes d’ordre incantatoire des saints et même des références d’allure soufi et spirituelles.
La Sagesse des signes et des symboles transmises aussi a travers la croyance soufie comme la projection des dons a travers des prieres des Saintes et des Saints Marocains Musulmans comme Judaïques dans le temps ou l’esprit guidait la main innocente dans la clarté de la lumière découvrant la vision des couleurs et des formes a travers une identite tribale, parentale et sociale comme ce fut le cas de plusieurs de nos artistes, dont je peux citer la liaison entre Ahmed Cherkaoui, Andre ElBaz et notre Chtoukia de Doukkala, notre propre drapeau de la primauté de la creation naturelle et traditionnelle, Chaabia.
CHAIBIA TALLAL Auteur: Article rédigé en Anglais par Osire Glacier -Traduction en Français par Said El Mansour Cherkaoui
Chaïbia Tallal (1929, 2004) fut sans doute le peintre le plus célèbre du 20ème siècle Maroc. Elle était considérée comme l’un des plus grands peintres du monde, même niveau que Miro, Picasso et Modigliani pour n’en nommer que quelques-uns. Elle est la seule marocaine peintre dont les peintures sont cotées en bourse.
Chaïbia Tallal est née en 1929, dans la petite ville de Chtuka, près d’el-Jadida famille paysanne au cœur du Maroc rural, à une époque où l’éducation était encore la privilège des enfants de haute classe. Analphabète, rien n’indiquait que Chaïbia serait un jour être un artiste de renommée internationale dont les œuvres seraient grâce collections à travers le monde.
Enfant, elle était responsable de s’occuper des poulets et de leurs poussins. Chaque fois qu’elle perdait un poussin, elle se cachait dans les meules de foin par crainte de la colère de sa mère. La période marquait l’éclosion de l’imagination de Chaïbia. Elle a fait des couronnes de fleurs avec qu’elle a couvert sa tête et son corps. Quand elle était à la mer, elle a fait des maisons de sable avec des portes et des fenêtres, même si elle n’avait jamais vu de maison auparavant; elle a vécu avec les membres de sa famille dans une tente.
Au cours de nombreux entretiens tout au long de sa carrière, elle a expliqué qu’elle a peint «Tout ça»: l’immensité des champs, la fraîcheur de la pluie, l’odeur du foin humide et surtout son amour incommensurable pour la mer, la terre, les rivières, les arbres, les fleurs, en particulier des marguerites et des coquelicots. En raison de cet amour, ses compatriotes surnommés son mahbula, le sot fou. Personne ne s’est comporté comme elle l’a fait à Chtuka. Loin de regretter son originalité, elle a affirmé tout au long de sa vie qu’il était important de ne pas avoir peur d’être différent.
À l’âge de 13 ans, Chaïbia Tallal était mariée à un homme plus âgé qui avait contracté six mariages. Cette union n’a duré que deux ans: l’épouse de Chaïbia est morte dans un accident, faisant d’elle une veuve à l’âge de 15 ans et responsable de Hossein, leur vieux fils. Pour subvenir à ses besoins et à ceux de son enfant, elle filait de la laine et travaillait comme femme de ménage plusieurs ménages français. Les longues heures de travail ne minent pas Chaïbia détermination. Elle voulait s’assurer que son enfant ne connaîtrait jamais la cicatrice de l’analphabétisme, une cicatrice à partir de laquelle elle a souffert toute sa vie, qui ni gloire ni la richesse a réussi à guérir.
De même, la pauvreté n’a pas compromis la décision de Chaïbia de ne jamais se remarier; elle rejeta plusieurs propositions de mariage. D’une part, elle voulait protéger son fils des mauvais traitements potentiels de tout beau-père, et de l’autre, elle voulait vivre librement, même dans une maison sans électricité. Hossein Tallal, son fils se souvient avoir étudié à la lumière des bougies
Un jeune jusqu’à son départ pour étudier à l’étranger, avant de revenir plusieurs années plus tard comme reconnu peintre.
Chaïbia Tallal a continué à travailler comme femme de ménage pendant que son fils construisait sa carrière de peintre. Chaque fois qu’elle voyait son fils couvert de peinture, elle le réprimandait, expliquant qu’elle était fatiguée de laver ce genre de saleté. Elle ne savait pas qu’un jour leurs rôles seraient inversés. A la lumière de ces expériences, Chaïbia était convaincu le destin de quelqu’un est tracé devant soi-même. Il suffisait de lire les signes de la vie afin de savoir où se diriger. Deux événements lui ont permis de voir la direction dont elle avait besoin de prendre. D’abord, elle a rencontré un saint homme dans la zaouïa de Moulay Bouchaïb qui a prédit que elle, le mahbula, serait la baraka, la grâce de son village. Deuxièmement, en 1963, elle a fait un rêve: elle a rêvé qu’elle était dans sa chambre. La porte était ouverte, montrant une rangée de bougies allumées qui s’étendait jusqu’au jardin. L’ensemble du spectre de couleurs vibrait dans un ciel parfaitement bleu. Ensuite, plusieurs hommes tous vêtus de blanc sont entrés dans la chambre. Ils lui ont donné de la toile et des pinceaux, en expliquant: “voila les outils de ton gagne-pain”
Quand elle se réveilla, elle savait que le rêve devait se réaliser. Quelques jours plus tard, elle a acheté de la peinture et des pinceaux et a commencé à peindre. C’est ainsi que le jour est venu à propos de ce que son fils est retourné à la maison pour voir sa mère toute recouverte de peinture.
En 1965, Hossein invite Ahmed Cherkaoui, un peintre marocain, et Pierre Gaudibert, critique d’art et directeur du Musée d’Art Moderne de Paris, à venir à la maison de sa mère pour manger un vrai couscous. Sans idées préconçues, Chaïbia a spontanément montré ses tableaux à ses invités. Pierre Gaudibert admire son talent naissant et continua à l’aider tout en encourageant sa croissance artistique en tant que peintre.
Chaïbia Talal, Mon Village, Chtouka, 1990, oil on canvas, 190 x 191 cm, Arab Museum of Modern Art, Doha
Chaïbia Talal, Composition en rose et vert, date unknown, gouache on paper laminated on panel, 65 x 50 cm, private collection
En 1966, elle a tenu ses trois premières expositions; une au Goethe-Institut à Casablanca, une autre à la galerie Solstice à Paris, et la troisième au Salon des surindépendants» au Musée d’Art Moderne de Paris. Elles ont été suivis par d’autres expositions autour du monde. Le succès de Chaïbia était à la fois immédiat et durable.
“Mahboula – L’idiote” de Chtuka avait séduit le public du monde entier dans les grandes villes, comme Copenhague, Francfort, Ibiza, Tunis, Rotterdam, Barcelone, Auckland (Nouvelle-Zélande) et Beverly Hills. Les grands critiques d’art ont consacré Chaïbia comme un des grands peintres du XXe siècle, avec raison: les tableaux de Chaïbia juxtaposent ceux de Miro, Picasso et Modigliani, pour ne citer que ceux-là. De plus, elle est inscrite dans la «Larousse de l’art dans lemonde» en 1971 et dans le dictionnaire de référence «Bézénit» en 1977. Paradoxalement, autant que le public occidental et les critiques d’art admirent le talent de Chaïbia, ses collègues marocains méprisent son travail.
Selon eux, sa production artistique pourrait au mieux se réduire à l’art naïf. Pourtant, les critiques d’art semblent s’accorder au moins sur le fait que l’art de Chaïbia ne correspond pas à l’art naïf. Si l’on devait classer le style de Chaïbia, les critiques se tournent vers «l’art brut»: un idéal esthétique poursuivi par le mouvement européen Cobra en 1945, selon lequel l’art doit être exempt d’influences historiques, culturelles et historiques. En vérité, le style de Chaïbia est unique. Tard dans sa carrière, on dirait: «C’est une Chaïbia» comme on disait, «C’est un Picasso» … mais aussi comme on vend «un Picasso»: Chaïbia était le seul peintre marocain à être coté en bourse avec des collectionneurs. En effet, Chaïbia Tallal est décédée en 2004 d’une crise cardiaque à Casablanca à l’âge de 75 ans. Chaïbia a laissé à la postérité une production artistique abondante.
Ses peintures font partie des nombreuses collections des États, parmi lesquelles la France, l’Italie, le Japon, la Suisse, l’Inde, Haïti, l’Australie, la Grande-Bretagne et les États-Unis, pour n’en nommer que quelques-uns. Ses peintures font également partie de nombreuses collections privées, dont la France, l’Italie, le Liban, l’Égypte, l’Inde, le Canada, l’Espagne, la Suisse, les Pays-Bas, la Belgique, Haïti, le Japon, la Suède, le Danemark, l’Australie et les États-Unis. La Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et la collection du Roi du Maroc.
Auteur: Article rédigé en Anglais par Osire Glacier – Traduction de l’Anglais au Français par Said El Mansour Cherkaoui
Sources Remerciements a M. Hossein Tallal, fils de Chaïbia et peintre renommé, de m’avoir fourni les informations nécessaires pour écrire cette entrée. Pour plus d’informations sur Chaïbia, contactez: info@memoarts.com
Chaïbia Tallal, «The Artist’s Voice,» trans. Fatima Mernissi, in Images of Enchantment, Visual and Performing Arts of the Middle East, ed. Sherifa Zuhur (Cairo : The American University in Cairo Press, 1998,) 183-186.
Maria Daïf, «Hommage: le fabuleux destin de Chaïbia Tallal» Telquel 122, last access on March 23, 2010, http://www.telquel-online.com/122/sujet5.shtml
«Hommage à l’artiste peintre Chaïbia Tallal, » Le matin (March 23, 2009,) last access on March 14, 2010, http://www.maghress.com/fr/lematin/110071
Chaïbia’s personal site: www.casafree/~chaibia/chaibia.htm Imad Bentayed, «Tout sur ma mère, » Le temps (8/31/2009,) last access on March 27, 2010, http://letemps.ma/archives/tout-sur-ma-mere12889.html
Et-Tayeb Houdaïfa, «Chaïbia n’offira plus son art chatoyant et atypique, » La Vie éco (04/09/2004,) last access on March 27, 2010, www.lavieeco.com/culture/6650–chaibia-noffrira-plus-son-art-chatoyant-etatypique.html
Abdellah Cheikh, «Chaïbia au Grand Palais-Champs Élysées à Paris, » La Vie marocaine (07/22/2009,) last access on March 27, 2010, http://laviemarocaine.com/chaibia-au-grand-palais-champs-elysees-a-paris-presentationde-son-recueil-poetique-illustre-par-michel-barbault/
Jamal Boushaba, «Hommage, Chaïbia à tout prix, » Telquel (May 2009), last access on March 27, 2010, www.telquel-online.com/373/mage_culture2_373.shtml
Amine Bouchicha, «Appelez-moi Hossein, » Telquel (2009), last access on March 27, 2010, www.telquel-online.com/352/arts4_352.shtml Marché de l’art, «Visite privée: Chaïbia ‘Mes couleurs disent la vie,’» in Banque Privée Attijariwafa Bank (Oct/Nov 2009): 23-25. Chaabia Tallal..Par Nicole ARBOUSSET
Chaïbia Talal était une artiste autodidacte marocaine. Née en 1929 au village de Chtouka près d’El Jadida , elle s’éteignit en 2004 à l’âge de 75 ans à Casablanca. Elle est considérée comme la peintre la plus populaire au Maroc. Elle est surnommée ‘la paysanne des arts’.
Comment cette femme au parcours absolument inhabituel avait elle pu garder cette fraîcheur et cet enthousiasme malgré les aléas de la vie; elle fut tour à tour une petite fille de la compagne élevée de manière traditionnelle et destinée à l’accomplissement des travaux domestiques et agraires, jeune épouse à treize ans et veuve prématurée, et chef de famille peu de temps après. Issue d’un milieu totalement étranger au monde de l’art sa carrière fut fulgurante. J. Lévèque exprimait l’idée quelques années auparavant qu’elle n’aurait jamais été reconnue s’il n’y avait pas eu la remise en question de l’art contemporain; cela est vrai pour de nombreux artistes précurseurs comme Dubuffet ou Corneille.
Peu d’artistes connaissent une aussi parfaite adéquation entre leur vie et leur œuvre : si l’on se réfère à des toiles des premières années comme “la femme berbère”, cet embryon aux yeux apeurés qui semble sortir de la gangue originelle et qui s’éveille à la vie, encore emprisonnée dans sa bulle protectrice, Chaïbia y peint la difficulté de naître et de s’exprimer pour une femme traditionnelle. Si l’on se penche sur une photographie de l’artiste à ses débuts, telle celle réalisée pour le catalogue d’exposition de la galerie Solstice en 1966, l’artiste paraît plutôt gauche et timide, coiffée de son bonnet qui lui donne une allure juvénile et campagnarde. C’est ainsi que Chaïbia “se peint”, elle a maîtrisé le sujet; point n’est besoin d’avoir recours à l’illusionnisme pour représenter la femme berbère telle que les peintres orientalistes du début du siècle la montraient avec ses lourdes parures d’argent et les yeux soulignés de khol, ainsi que ses tatouages; celle de Chaïbia des années 1970 est une femme militante, frôle mais dont l’énergie est intacte. Elle entre dans la civilisation actuelle et exprime dans son regard déterminé sa volonté de reconnaissance.
Chaïbia n’en appelle nullement à un nouveau réalisme tel qu’il a pu s’exprimer dans la peinture française de Bernard Buffet dans les années 48 ou par les peintres engagés du monde arabe quelques années plus tard. Chaïbia exprime sa propre vision sans aucun souci d’école. De la même façon la femme d’El Jadida, cette toile des années 78 qui appartient à la collection de l’Art brut à Lausanne n’exprime pas une représentation de type illusionniste.
Elle nous apparaît, telle une Athéna guerrière bardée d’une cuirasse, coiffée d’un couvre-chef de guerrier indien, tenant à la main les attributs de l’Athéna combattante; Un poulpe, symbole souvent employé dans le vocabulaire berbère se tient malicieusement à sa gauche. Un large dessin contour, des couleurs vives sont employées pour signifier cette femme à l’allure combattante. Chaïbïa, dans cette toile nous révèle une femme bien différente des précédentes.
La peinture de Chaïbia devient de plus en plus expressive tendant vers l’essentiel : sa propre vision du monde. C’est ainsi que dans les années quatre vingt dix Chaïbia peint de plus en plus de portraits et de groupes où elle ne dépeint plus le réel mais où elle évoque l’impondérable: la fierté de la femme fassie dans “Fassia”, le goût de la fête et le monde ludique du cirque dans sa grande composition “les comédiens”. Chaïbia peint de manière irréaliste, avec un sens humoristique inné. Devenue figure de proue de la modernité et porte flambeau de la femme au Maroc, elle demeure inclassable. Chaabia Tallal
Bouchaib Habouli
Bouchaib Habouli est né en 1945 à Azemmour, un peintre autodidacte. Il fait une formation d’animateur de maison de jeunes au Ministère de la Jeunesse et des Sports [Dar Chabab y compris a El Jadida ou je le connaissais comme un artiste d’avant-garde].
De 1958 à 1963, il est animateur de peinture spontanée dans sa ville natale. Sa première exposition personnelle a lieu en 1970 à El Jadida au Théâtre Municipal sponsorisé par son directeur durant ce temps, Mohamed Said Affifi et à laquelle je fus invitée a y assister (auteur Said El Mansour Cherkaoui).
Bouchaib Habouli résida a l’ancienne caserne qui se situait entre l’ancien Centre d’Estivage et le terrain municipal de football a El Jadida et c’est la ou on lui rendait souvent visite pour “descendre” ensemble en ville en longeant la plage “Deauville.” Bouchaib Habouli, je le surnommais “Bouhali” du fait qu’il aimait s’habiller classique et longeait les vagues du rivage de l’Atlantique en tenant un discours artistique sur l’Océan qu’il nous dépeignait comme un artiste qui fabriquait des vagues de couleurs et des formes écumées pour les étaler sur le sable de couleur marron et ocre comme des œuvres naturelles de dessins en noir et blanc sans couleur comme étaient les travaux artistiques de Bouchaib Habouli Alias Bouhali. Son travail artistique fut résumée aussi par l’élaboration de couvertures de livres pour des maisons d’édition et contribue a lancer le nouveau phénomène de recyclage des dons artistiques a travers les affiches murales, notamment pour Transparency Maroc, l’association marocaine de lutte contre la corruption. Actuellement, Bouchaib Habouli reste en dehors de tout circuit virtuel et globaliste que véhicule la technologie numérique ou virtuelle.
Bouchaib Habouli continue de faire chanter ses œuvres comme un Noble et Digne Bouhali respecté dans ses positions loyales et en tant que tel, il demeure fidèle a ses rencontres avec l’Océan vu son résidence et la continuation de son travail entre les murailles de Azemmour. L’oeuvre de Habbouli est le reflet authentique de la personnalite de cet artiste qui est resté en marge des courants opportunistes d’orientalisation touristique et qui demeura ancrée dans une tradition régionale du terroir spécifique a la position de Azemmour comme une des premieres cités ou la civilisation des Doukkala d’origine Amazigh avait fleuri comme une île recevant les marins contournant l’Afrique du Nord au Sud soit pour contrer le retour des Maures dans la péninsule ibérique ou pour installer des couloirs de pénétration intérieures en Afrique. Cette mélancolie de l’Histoire d’Azemmour a pu tracer dans le subconscient de Bouchaib Habouli les contours et les formes de son oeuvre qui se veut engagé et dans le choix de ses médiums qui sont de predominance et avec la preference de couleur souvent sombre, gris-brun – tel qu’un charpentier de cette histoire, Bouchaib Habouli utilise beaucoup le brou de noix – et tient à lui conférer des formes. Il a créé, des années durant, une anthologie des visages aux volumes divers, des visages retravaillés, solitaires comme un marin d’Azema face a son destin sans horizons mais faisant face a l’infini de l’Océan Atlantique qui entoure Bouchaib Habouli qui tel qu’un faucon des Doukkala qui survole l’entrée de l’embouchure de la Mère des Printemps, Oued Oum Rabiaa.
En fait, la thématique de l’oiseau volant soit la mouette des rivages ou le faucon de l’intérieur du pays des Doukkala, elle plane sur les cartons “Functionally Disformed” par la vision de Bouchaib Habouli, mon ami d’adolescence le Bouhali de notre génération d’artistes – peintre des clivages historiques de la relation de Mazagan et Azema et des rivages de l’Atlantique Doukkalais.
MAROC DIGITALL – Khadija Bouchtia 5 Pillars de Mazagan – El Jadida: Peinture, Prose, Personnalité, Passion, Paisible Editeur: Dr. Said El Mansour Cherkaoui « L’Art et l’Artiste, des Témoins de la Mémoire Sourde et de la Vision Aveugle de Notre Temps » Les œuvres de Lalla Khadija Bouchtia constituent un témoignage culturel qui reflète notre mémoire quotidienne et nos emblèmes régionaux « Made in Doukkala – Maroc » surtout pour celles et ceux qui sont proches de leurs origines locales et régionales. Lalla Khadija Bouchtia écris sur les tableaux notre histoire et notre mémoire avec des couleurs qui sont imprimées dans notre environnement familial et populaire. En … Lire la suite Khadija Bouchtia: L’Art Témoin par le Pinceau et la Plume
Les Oeuvres de Peinture des Filhos El Mostafa Matar 1992 et Said El Mansour Cherkaoui 2017 sur leur Cisterna da Fortaleza de Mazagão, Doukkala – Marrocos
Fortaleza de Mazagão, Doukkala – Marrocos qui traversa le Détroit de Gibraltar par dessus les flots de la Méditerranée, pour être sur les rives de la Seine a Paris et traversa l’Atlantique pour Oakland en Californie pour être sur les rivages du Pacifique.
El Mostafa Matar
Documents et photos par Dr. Said El Mansour Cherkaoui est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
Cet article est la preuve flagrante que certains dirigeants œuvrent à la promotion du Maroc. Cela se fait dans le cadre de la campagne Morocco Now au niveau international. Ils tentent de présenter son potentiel, ses compétences et ses opportunités existantes. Le but est d’attirer des entreprises étrangères, des investisseurs étrangers et des institutions académiques ou sociales étrangères. Le Maroc dépense des millions pour construire une image d’excellence en matière d’attractivité. Il espère que ces capitaux étrangers contribueront à réduire le chômage. Ils visent aussi à augmenter la création d’emplois. Ils visent à transférer le savoir-faire. Ils visent également à élever le niveau de vie des citoyens.
Imaginez alors que tous ses efforts louables ne prennent pas la direction attendue. Ils ne sont pas portés par des responsables compétents. De plus, ils ne sont pas portés par des professionnels aguerris. Ces professionnels sont expérimentés dans les domaines correspondants du Marketing. Ils se spécialisent aussi dans la définition de la marque. Ils se spécialisent également dans le renforcement stratégique de la position du Maroc sur la scène internationale.
Les attentes de l’Etat marocain sont légitimes. Les dépenses qui sont effectuées au niveau international sont lourdes en somme. Elles impactent les rendements perçus par le Maroc. Les paiements effectués par le Maroc pour les prestations des sociétés étrangères de Relations Publiques, de Marketing International et de Cabinets de Conseil sont effectués aux tarifs appliqués sur place. Les paiements effectués par le Maroc pour ces prestations sont faits aux tarifs appliqués sur place. Ces paiements sont effectués dans la monnaie nationale du pays où ces sociétés offrent leurs services. Ces transferts de paiement peuvent avoir un impact direct sur la balance des paiements. Ils peuvent également affecter le taux de convertibilité du Dirham.
Au regard de toutes ces questions, les impératifs et les défis auxquels le Maroc est confronté au niveau mondial ont d’abord des répercussions multiples. Ces répercussions sont diverses. Elles s’étendent à différents niveaux. Ces répercussions se manifestent au niveau immatériel et matériel. La construction des bases du développement économique et de la croissance au sens libéral du terme requiert la participation étrangère. Celle-ci agit comme vecteur d’intégration au marché mondial et au réseau des institutions financières étrangères. Dans un tel cadre, il est tout à fait normal d’avoir à bord des décideurs de haut niveau. Ils sont nécessaires pour cette communication internationale. Ils sont aussi essentiels pour ces relations publiques sur le Maroc. Ils doivent être à la hauteur de la tâche et connaître le terrain international. Cela leur permettra de mener à bien le navire Made in Morocco. Cela leur permettra aussi de mener à bien Morocco Now en tant que Leaders innovants. Ils seront efficaces. Ils doivent savoir effectivement la direction et l’objectif. La destination de toutes ces manœuvres est que ce navire marocain arrive à bon port. Il doit être une preuve de la prouesse et du savoir-faire du Maroc. Les potentialités du Maroc peuvent défier ses concurrents et les organisations de toutes sortes. Ces organisations sont potentiellement intéressées par le Maroc comme partenaire commercial. Le Maroc intéresse aussi comme lieu de production ou d’investissement. Il est également vu comme destination à visiter et à connaître au niveau culturel et social.
Investissement sans retour au Maroc : Analyse des campagnes de pub internationales
Comprendre l’investissement sans retour
Avant d’aborder les campagnes de publicité internationales du Maroc, il est crucial de clarifier le concept d’« investissement sans retour ». Généralement, ce terme désigne un investissement qui ne génère pas de rendement financier direct et mesurable. Dans le contexte du marketing, il pourrait s’agir d’une campagne publicitaire dont l’objectif principal est de renforcer l’image de marque, de susciter de l’émotion ou de créer du buzz, plutôt que de générer des ventes immédiates.
Les campagnes de pub internationales du Maroc : une vitrine culturelle
Le Maroc, à travers ses campagnes de publicité internationales, cherche principalement à :
Promouvoir son image de marque: Le pays souhaite se positionner comme une destination touristique haut de gamme, riche en culture et en histoire.
Attirer les investissements étrangers: Les campagnes mettent en avant les atouts économiques du Maroc, notamment sa stabilité politique, sa main-d’œuvre qualifiée et ses infrastructures modernes.
Renforcer les liens culturels: En mettant en valeur son patrimoine et ses traditions, le Maroc vise à renforcer son rayonnement international et à susciter la curiosité.
Exemples de campagnes et leurs objectifs
Campagnes touristiques: Ces campagnes mettent en avant la diversité des paysages marocains (désert, montagnes, plages), son architecture unique (médinas, kasbahs) et sa gastronomie raffinée. L’objectif est d’attirer un tourisme haut de gamme et de prolonger la saison touristique.
Campagnes culturelles: Le Maroc a mis en place des campagnes pour promouvoir ses événements culturels majeurs (Festival de Marrakech, Mawazine) et ses artisans d’art. Ces campagnes visent à renforcer l’attractivité culturelle du pays et à soutenir l’économie locale.
Campagnes économiques: Le Maroc met en avant ses zones franches, ses infrastructures portuaires et aéroportuaires, ainsi que ses accords de libre-échange. L’objectif est d’attirer les investisseurs étrangers dans des secteurs clés comme l’automobile, l’aéronautique et l’agroalimentaire.
Pourquoi considérer ces campagnes comme un investissement sans retour ?
Difficulté de mesurer le retour sur investissement (ROI): Il est complexe de quantifier précisément l’impact de ces campagnes sur le nombre de touristes, les investissements étrangers ou l’image de marque du pays.
Objectifs à long terme: Ces campagnes visent à construire une image de marque positive sur le long terme, ce qui rend difficile l’évaluation de leur efficacité à court terme.
Dimension immatérielle: Ces campagnes ont une dimension émotionnelle et culturelle importante, qui est difficile à capturer dans des indicateurs de performance traditionnels.
Realite Sociale et Realisme Economique et Financier
Rien de tout cela n’a reussi a rendre le Maroc un pays sans deficit de toutes ses balances et comptes exterieus, n’a reduit le chomage, n’a empeche des jeunes de tenter de traverser l’ocean et la mer pour joindre l’Europe, et autre difficultes dont le Maroc souffre Show drafts
Vous avez tout à fait raison de souligner que les campagnes de publicité, bien qu’elles soient un outil important pour promouvoir l’image d’un pays et attirer des investissements, ne sont pas une solution miracle pour résoudre tous les problèmes économiques et sociaux d’un pays comme le Maroc.
Les limites des campagnes publicitaires et les défis du Maroc
Nature superficielle: Les campagnes publicitaires peignent souvent une image idéalisée d’un pays, sans aborder les défis réels auxquels il est confronté.
Impact à court terme: L’impact de ces campagnes est souvent mesuré à court terme, alors que les problèmes structurels d’un pays nécessitent des solutions à long terme.
Facteurs multiples: Le chômage, l’émigration clandestine et les déficits économiques sont des problèmes complexes qui résultent d’une multitude de facteurs, allant de la conjoncture économique mondiale aux politiques nationales.
Les défis persistants du Maroc
Le Maroc, comme de nombreux pays en développement, fait face à plusieurs défis :
Chômage élevé, surtout chez les jeunes: Malgré les efforts du gouvernement, le taux de chômage, particulièrement chez les jeunes, reste élevé.
Inégalités sociales: Les disparités entre les régions et les classes sociales sont importantes, ce qui crée des tensions sociales.
Dépendance aux importations: Le Maroc importe une grande partie de ses produits, ce qui crée une vulnérabilité aux chocs extérieurs.
Changement climatique: Le Maroc est vulnérable aux effets du changement climatique, notamment la sécheresse et la désertification.
Quelles solutions pour un développement durable ?
Pour s’attaquer à ces défis, le Maroc doit mettre en œuvre des politiques publiques ambitieuses et durables, qui portent sur :
La création d’emplois: En développant les secteurs porteurs comme l’agriculture, l’industrie et les services, et en favorisant l’entrepreneuriat.
L’éducation et la formation: En améliorant la qualité de l’enseignement et en adaptant les formations aux besoins du marché du travail.
La transition énergétique: En investissant dans les énergies renouvelables et en réduisant la dépendance aux énergies fossiles.
La lutte contre la corruption: En renforçant les institutions et en promouvant la transparence.
La coopération internationale: En renforçant les partenariats avec les pays développés pour bénéficier de leur expertise et de leurs financements.
Conclusion
Si les campagnes publicitaires ont leur place dans la stratégie de développement d’un pays, elles ne peuvent être qu’un complément à des politiques économiques et sociales plus profondes. Pour réussir à relever les défis auxquels il est confronté, le Maroc doit mettre en œuvre un modèle de développement durable qui prend en compte les dimensions économiques, sociales et environnementales. Les campagnes de publicité internationales du Maroc sont un investissement stratégique qui vise à renforcer l’attractivité du pays à l’échelle mondiale. Bien qu’il soit difficile de mesurer directement le retour sur investissement de ces campagnes, elles jouent un rôle essentiel dans la construction d’une image de marque positive et durable pour le Maroc.
Cette campagne menée à Dubaï Morocco Expo 2020 Dubaï . Le film de promotion du lancement de Morocco Now à la fois à Dubaï et à New York doit transmettre les considérations. Malheureusement, ils ne l’ont pas fait. Je ne suis pas le seul à le souligner ou à en prendre note.
Le groupe présentant cette campagne de promotion au Maroc à Dubaï et au Maroc. Lorsqu’on l’a interrogé sur l’impact de ces deux promotions spéciales, leurs réponses et réactions ont conduit à travers un bombardement par leurs amis des sites médiatiques. Il a surtout été question de comment le choix de New York a été fait. Ils ont tenté judicieusement de camoufler cette feuille de prestige et de fierté nationale. Ils ont mis en évidence le sens du patriotisme. Ils ont aussi questionné le sens du nationalisme à ceux qui osent leur poser de telles questions. ★
★ Ces amis ont désigné par coïncidence Times Square par le nom de Time Square. Cela montre leur aptitude à se copier eux-mêmes et entre eux. Cela démontre aussi leur manque flagrant de connaissance du domaine et de New York en tant que marché .
Cet article examine de telles actions et révèle l’inaptitude et l’incompétence de certains de nos managers, dits Professionnels.
Ces fonctionnaires qui, une fois démasqués, tentent de remettre en cause notre nationalisme et notre patriotisme, se murent dans leur incapacité à comprendre nos interrogations. Ils ne comprennent pas nos questions. Vu leur faiblesse, ils ont opté pour les manœuvres ultimes qui confirment leur esquive. Ils se soustraient au cœur de leurs responsabilités professionnelles en sortant par la porte de derrière, la sortie de secours. Ils n’ont pas pu faire face à la réalité de l’incohérence et des actions incompétentes.
Je vous laisse suivre le parcours et la trajectoire d’un tel comportement. Il s’agit d’une Directrice de Communication et RP Mme Sahar Tlemsani Maghraoui . Elle a brusquement supprimé son compte sur LinkedIn . Elle ou l’un de ses supérieurs s’est rendu compte que leurs pratiques comportaient des failles et des lacunes. Ils ne pouvaient pas surmonter cela. Les explications bidon n’ont pas suffi. Eux et elle ont fait face au commun des mortels au Maroc.
Leur manipulation s’est heurtée au mur de compétence de mes questions. Mes interrogations n’ont qu’un seul but. C’est de rendre au marocain ce qui appartient au Maroc.
Auteur Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. Publié le– Encore une nouvelle fois, nos responsables du Tourisme Marocain se font une Gourde Catalane pleine de lumière et de vide culturel. Ils prennent le bus pour aller nulle part culturellement parlant. Le tout est rédigé en Anglais alors que le trajet du bus se fait en Barcelone : VRAIMENT CES RESPONSABLES DU TOURISME MAROCAIN – … Lire la suite « Tourisme et Patrimoine Marocain : où sont les Pro, Maalmines et Hrayefiya ?
ILS SE RAPPROCHENT DE DAVID CHAPELLE – S’AGIT-IL DU MÊME JOCK ET DU MÊME JOCKER ?
★ Le Maroc gonfle désormais l’énergie et dépense de l’argent sans tenir compte de la réalité ★
★ Une autre gaffe pleine d’exagération et de gonflage de la part des énergies renouvelables au Maroc ★
Dr Said GUEMRA 2eme degré de connexion 2eme Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 1d A ma connaissance, la part des énergies renouvelables en 2020 dans le mix énergétique marocain est de 17,8%, je ne vois pas d’où vient 37% dans le mix énergétique en 2020. La capacité installée en renouvelables était de 31,7% de la capacité installée totale hors étape. Si on parle du mix électrique, il faut dire 17,8% en 2020, et non 37%.
Dr Said GUEMRA 2e degré de connexion 2e Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 14h Parfaitement. il fallait sortir des chiffres correspondant à la réalité. Dans ce domaine il y a le mix électrique qui est de 17,8%, et le mix énergétique (en énergie primaire) qui est de 8,2% en 2020. Je ne sais pas de quel mix parle cette publication qui n’aide pas à cela. belle image que nous voulons donner : Morocco Now. Le bilan de l’ONEE est public, et rien ne peut être caché ou gonflé
Une autre gaffe pleine d’exagération et de gonflage de la part des énergies renouvelables au Maroc
Je ne sais pas pourquoi, les responsables de cette bonne initiative qu’est Morocco Now , s’en moquent et ont une mauvaise performance, il y a un sentiment de vouloir chanter plus vite que la musique et de courir plus vite que le style de vie authentique
Le pire c’est quand on leur montre que la réalité est tout autre, ils vous jouent la carte du patriotisme et du nationalisme qui devient épuisant et stupide ou alors ils se dérobent et disparaissent complètement de la circulation, lisez intégralement cet article que j’ai écrit à cet effet ci-dessous et qui décrit ce manque volontaire de professionnalisme et d’intégrité de la part de Morocco Now .
HUB IMAGE INTERNATIONALE DU MAROC : OÙ SONT LES PROFESSIONNELS ?
Grâce à tous les grands projets de transport et de logistique réalisés, le Maroc est en tête du classement des infrastructures en Afrique. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.morocconow.com
Vous présentez et vous tentez de mettre en relief l’infrastructure du Maroc mais vous omettez de bâtir une structure structurée de l’infrastructure : le Chasseur Chassé
Une image vaut 1000 mots
et dans le cas du Maroc on confond encore avec Monaco
Faites Une image du Maroc qui vaut et qui est une expression de 1000 et 1000 ans de civilisation.
La Carte devrait être plus claire. Il faut une meilleure image pour une telle promo et un niveau international de qualité
Il y a une rude concurrence dans le monde juste pour avoir bonne mine et où la première impression est celle qui l’emporte.
De plus avec toutes ces tendances génériques et stéréotypées, il vaut mieux ne pas leur donner la chance de s’étendre.
A aucun prix ne faites apparaître le Maroc dans une IMAGE FLOUE COMME CELLE-CI sans présentation de qualité.
En plus, dans cette carte, on ne peut déchiffrer ni les noms des sites ni les liaisons de la logistique des transports.
Le littoral dans le développement du Maroc et de sa politique atlantique. Le littoral atlantique du Maroc a toujours été un domaine d’implantations humaines et économiques variées. Il représente un patrimoine culturel développé sur des paysages précieux. Ce littoral comporte des sites d’intérêt biologique, historique et archéologique. Il concentre l’essentiel des activités de création de richesse du pays, notamment… Lire la suite Dakhla : Créneau Régionalisation – Urbanisation Territoriale – Intégration Opérationnelle au Sud du Maroc
Critique Littéraire: Lecture du Temps, Interrogation de l’Espace par Abdelkébir Khatibi
Ouled Fassi et Ouled Cherkaoui
DESTIN DE COUSIN ÉTERNEL PARTAGÉ EN PHOTO ILLUSTRANT NOTRE MÉMOIRE TATOUÉE FAMILIALE COMMUNE
Hawmate Sfaa et Saniyate Berkaoui\
Quel destin de bon cœur et de relation maternelle survolant et encadrant la narration d’une existence a travers des symboles communs et des sentiments familiaux transparents dans l’identification et expressifs dans la traduction de nos esprits bienveillants et reconnaissants nos liens visibles aux yeux et visionnaire pour l’Âme malgré la distance et l’espace qui demeurent différents de / par notre présence passée et actuelle.
Les deux photos du Diffaa Hassani Jadidi utilisées dans cette vidéo proviennent de la collection de Said El Mansour Cherkaoui – Espace Athlétique de Said El Mansour Cherkaoui.
Je ne sais pas comment elles furent choisies ni qui les a choisi et pourquoi.
Cependant, je sens, je sais et je reconnais la raison spirituelle de leurs présences dans cette vidéo et je vous l’explique dans les lignes suivantes:
La photo encadrée avec en bas et soulignée par une couleur verte et signée en bas en bas cette abréviation – SELM C – c’est en fait ma signature résumant mon prénom et mon nom de famille: Said El Mansour Cherkaoui – est en fait aussi une preuve supplémentaire de cette liaison familiale entre les Khatibi et les Cherkaoui de Mazagan – El Jadida.
Cette photo fait partie de la collection, remise en valeur par Said El Mansour Cherkaoui Voir ici bas cette même photo du Diffaa Hassani Jadidi et la seconde dans le commentaire suivant:
De ce fait ce texte titré de cette manière traduit cette volonté divine de nouer dans le destin nos deux trajectoires dans le sens familiale et dans la direction de l’expression de nos pensées communes et spirituelles.
MÉMOIRE COUSINE TATOUÉE DE NOTRE FAMILLE DE MAZAGAN DÉSSINÉE PAR LE DESTIN DE L’HISTOIRE DE NOTRE PENSÉE EXPRIMÉE PAR LE PARTAGE DE NOTRE SENTIMENT MATERNEL COMMUN
– RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEN
EXCELLENT TRAVAIL COUSIN Mourad EL Khatibi DE DIVULGATION DE L’OEUVRE GRANDIOSE DE ABDELKÉBIR KHATIBI – KEEP UP THE GOOD WORK
– RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEN
EXCELLENT TRAVAIL COUSIN Mourad EL Khatibi DE DIVULGATION DE L’OEUVRE GRANDIOSE DE ABDELKÉBIR KHATIBI – KEEP UP THE GOOD WORK
Said El Mansour Cherkaoui
Espace Athlétique de Said El Mansour Cherkaoui
MADE IN AFRICA
DOUKKALA DÉ-COLLAGE
Morocco – Maroc – Marruecos
African Moroccan Diaspora
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Culture: L’oeuvre plurielle de Abdelkébir Khatibi exige une lecture plurielle
Abdelkebir Khatibi nous légua une demeure, surtout une agora dont il voulait être une destination de l’hospitalité, une dimension de la générosité de nos mémoires antécédentes pour en faire nos contemporaines, une invitation d’aller vers l’autre, d’inviter l’autre a s’y identifier et compléter sa propre mémoire par l’expérience de notre existence communément tatouée sur chacun de nos fronts et guidant nos marches et nos pas vers notre Mektoub, notre Kadar et notre Destin Commun.
Abdelkebir Khatibi bequeathed to us a house, especially an agora of which he wanted to be a destination of hospitality, a dimension of the generosity of our antecedent memories to make our contemporaries, an invitation to go to the other, The other has to identify with it and complete its own memory by the experience of our commonly tattooed existence on each of our fronts and guiding our steps and steps towards our Mektoub, our Kadar and our Common Destiny.
Questions à Assia Belhabib – Rédigé par Abdallah BENSMAÏN le Mercredi 21 Octobre 2020
Professeure de l’Enseignement Supérieur et critique littéraire, Assia Belhabib a initié et dirigé l’hommage à Abdelkébir Khatibi « Le jour d’après ». Membre du comité d’organisation du colloque international organisé par l’Académie du Royaume du Maroc sous le titre « Abdelkébir Khatibi : Quels héritages ? » et chargée des actes, elle répond à nos questions.
L’Académie du Royaume a organisé un colloque international consacré à Abdelkébir Khatibi : « Abdelkébir Quels héritages ? ». Les voies de traverses étant multiples, quelles vous semblent les traces remarquables de l’héritage ou des héritages que constitue son oeuvre ?
Le colloque international organisé les 20, 21 et 22 mars 2019 en hommage au grand penseur marocain Abdelkébir Khatibi a été une opportunité riche à la fois pour revivre les grandes lignes de son parcours intellectuel, dix ans après sa mort, et surtout pour le présenter à la mémoire collective. Difficile d’en résumer en quelques mots les thèmes majeurs. Il ne s’agit pas de fossiliser une pensée encore agissante aujourd’hui. Les actes du colloque qui viennent de paraître permettent de retrouver l’esprit d’ouverture et d’engagement d’un écrivain au carrefour des civilisations et des disciplines tous azimuts. C’est précisément cette liberté que nous souhaitions explorer et reparcourir avec cette hospitalité intellectuelle qui lui était coutumière.
Un axe du colloque s’intitule « langue, fiction et critique littéraire ». Si la langue et la fiction sont des champs fertiles dans la pensée de Abdelkébir Khatibi, qu’en est-il de la critique littéraire, à proprement parler ? Quels textes, méthodologies ou concepts illustrent la démarche « critique littéraire » dans la pensée de Khatibi ?
Abdelkébir Khatibi a livré à la postérité une oeuvre poétique et exigeante qui n’autorise pas de s’enfermer dans un seul mode de décodage, ou plus communément de démarche critique. L’apport et l’originalité pour le commentateur est de le conduire à multiplier les lectures diverses avec les interrogations posées, avec nuance et pertinence de l’auteur. Dix ans après la disparition de cet écrivain hors-normes, le dialogue avec son oeuvre ne s’épuise pas, et c’est là une preuve incontestable de sa riche complexité. Écrivant en français et traduit dans plusieurs langues, il a pu toucher un public aussi large qu’éclectique. Car Abdelkébir Khatibi, c’est aussi l’homme d’un ensemble de disciplines et de divers genres littéraires. L’intellectuel romancier, poète et dramaturge est une figure de proue contemporaine dont la pensée est au coeur de notre modernité.
Critique littéraire ou critique d’art, esthétique littéraire ou esthétique picturale, l’oeuvre de Khatibi n’a pas laissé une oeuvre consacrée à la littérature mais au signe, à l’image avec l’étude de la calligraphie, les tatouages, le tapis et les peintures de Cherkaoui et Gharbaoui ? Comment expliquer ce glissement de la sociologie de l’oeuvre à laquelle semblait le prédestinait sa thèse à la sémiologie, proprement dite ?
Abdelkébir Khatibi doit son parcours intellectuel à son originalité. Toute son oeuvre plaide pour la curiosité intellectuelle qui pourfend les barricades élevées arbitrairement par les défenseurs de la séparation des disciplines. Il ne se considérait pas comme le spécialiste de tel ou tel domaine de recherche. Mais quand un événement ou une situation mobilisait son intérêt, il prenait le soin de s’y arrêter et d’écrire un livre sur le sujet sous forme d’essai ou de fiction. Les signes dans la cité sont multiples, palpables pour les plus attentifs et Khatibi était un observateur perspicace de ces signes qu’ils soient artistiques, sociologiques, poétiques ou autres. Il portait sur le monde un regard pertinent, sensible et lucide. Toujours à l’affût de nouvelles quêtes, ses pérégrinations invitent au partage car ce sont les intellectuels qui rendent possible le passage de l’action en oeuvre quelle que soit la nature de cette dernière. Seule l’oeuvre permet d’entretenir la mémoire et tout artiste qui y contribue, devient un intellectuel engagé.
Dans « Portrait de l’artiste en doctorant », Francis Claudon montre bien que Abdelkébir Khatibi s’émancipe dans sa thèse « Le roman maghrébin d’expression arabe et française depuis 1945 – essai de sociologie », des maîtres qu’il cite de façon parcimonieuse, à commencer par son directeur de thèse Jacques Berque et les membres du jury, Etiemble et Barthes. Comment expliquez-vous ce fait ?
Cette question est intéressante d’un point de vue chronologique. Une thèse défendue en 1965, au moment où le jeune Khatibi achève sa recherche sur le roman maghrébin, au moment historique où le Maroc est encore sous une forme de tutelle académique vis-à-vis de la France, illustre avec force le parcours d’autonomie qu’un intellectuel, qui construit sa pensée propre, entreprend. Nul n’est tenu de demeurer redevable à des maîtres de la pensée quand bien même ils s’appelleraient Berque, Etiemble ou Barthes. L’intérêt porté par la communauté des chercheurs à la production de Abdelkébir Khatibi, depuis des années, atteste, au besoin, sa place incontestée dans le sanctuaire des grands noms de la pensée et sa large contribution à la littérature universelle.
Abdelkébir Khatibi: Oeuvre Plurielle et Héritages Culturels
Ce titre met en avant la pluralité de l’oeuvre d’Abdelkébir Khatibi et son héritage culturel, ce qui attire l’attention des lecteurs intéressés par sa diversité artistique et son influence culturelle, améliorant ainsi le référencement dans les recherches liées à son travail et son impact.
Abdelkébir Khatibi: Dialogues Interculturels et Héritage Artistique
En mettant en avant les dialogues interculturels et l’héritage artistique d’Abdelkébir Khatibi, ce titre attire l’attention sur sa contribution à l’ouverture culturelle, favorisant ainsi une meilleure indexation dans les recherches sur la diversité culturelle et l’apport artistique.
Par son oeuvre qu’irriguent l’Orient arabe, le Japon, le Tao, l’Occident, Abdelkébir Khatibi peut être considéré à juste titre comme un penseur et un écrivain de l’ouverture, de l’universalité culturelle même. Comment analysez-vous cette dimension de l’oeuvre et quelles explications apportez-vous à l’absence de l’Afrique chez Abdelkébir Khatibi ?
Lecture Plurielle de Abdelkébir Khatibi: Témoignages et Analyse
Ce titre souligne l’importance d’une lecture variée de l’oeuvre de Abdelkébir Khatibi, incitant les lecteurs à découvrir différents témoignages et analyses, ce qui favorise une meilleure visibilité dans les recherches portant sur ses travaux littéraires et critiques.
L’Afrique est au coeur des engagements intellectuels de Khatibi. C’est en tant que Marocain, Maghrébin et Africain (et vous pouvez inverser l’ordre de ces identités qu’il revendique avec force) que son oeuvre est à lire. Il fait partie de ces rares intellectuels à avoir plaidé pour ce qu’il appelait le « Maghreb pluriel ». Il fait partie également de ces intellectuels qui défendent le dialogue des cultures et des civilisations, ce en quoi il se plaisait à illustrer sa position par cette expression laconique d’étranger professionnel. Dans un monde de plus en plus étriqué et déchiré par des prises de positions extrémistes et aveugles, relire Khatibi pourrait apaiser les sentiments de rejets qui s’accentuent et s’accélèrent sur tous les continents. Bien avant la création du concept de littérature-monde, Abdelkébir Khatibi fut à l’avant-garde des changements de mentalités et de perceptions. A quoi tient ce palmarès atypique ? À une personnalité d’honnête homme au sens que lui donnait le siècle des Lumières, à un lecteur curieux et infatigable découvreur de textes.
Sur le plan philosophique, Abdelkébir Khatibi est dans la pensée de l’Être, au sens ontologique et heideggerien du terme. Cette promiscuité peut-elle expliquer la sensibilité de Abdelkébir Khatibi à la psychanalyse dont peu d’auteurs au Maroc peuvent se prévaloir, alors même que l’Être de Heidegger n’est pas le Sujet de la psychanalyse ?
Comme le sous-entend votre question, Khatibi ne se substitue pas aux psychanalystes dans ses réflexions. Il n’en a pas la prétention. Il interroge les paramètres psychanalytiques par le biais de la philosophie. C’est un domaine incontestablement plus proche des voies qu’il emprunte pour explorer la diversité de l’être et la complexité de l’identité en constante évolution. Son ouvrage le plus psychanalytique est certainement Par-dessus l’épaule dans lequel il va à la rencontre des aspects insoupçonnés du moi en devenir. Parce qu’il était un « traverseur » exigeant entre les cultures et les sociétés, Abdelkébir Khatibi a progressivement et contre des idéologies pugnaces et offensives, initié et développé au Maroc, en particulier, une stratégie d’écriture fondée sur la non-violence, éprise des marges, respectueuse de la différence et résolument tolérante. Legs précieux à l’humanité, elle réclame de nouvelles lectures et de nouveaux questionnements.
Propos recueillis par : Abdallah BENSMAÏN
Abdelkebir and Mourad Khatibi – My Cousins of Culture and Cradle of Our Birth
Hassan Wahbi is an author and academic faculty of French literature, intercultural issues and aesthetics at the Department of Literature at the University of Agadir in Morocco. He has published three books on Abdelkébir Khatibi and several collections of poetry.
“A poet must leave traces of his passage, not proofs. Only the traces make you dream” René Char.
The literary strength of a work is the result of a long-term construction of a universe that unifies the apparent diversity of productions under the emblem of a constant imagination. In a way, the writer always writes the same book but each book remains open on its promises. In this sense, bringing the work of the Moroccan writer Abdelkebir Khatibi back to its unity of meaning, to its constancies, is not, here, a didactic artefact or a departure from the natural difference of each work. This is indeed a tangible textual reality.
From Tattooed Memory to A Summer in Stockholm, from the Class Wrestler in the Taoist manner to Dedication to the coming year, from plural Maghreb to Paradoxes of Zionism, we see in Khatibi the return – or the eternal return – of a form and a figure of meaning: the first is linked to the multiple uses of literary registers; the second to the exercise of a thought of chiasmus which has its origin in historical otherness, but which seeks to constitute itself differently to form a dialogical thought, ethics and an aesthetic of the Diverse: personal use of the world. Each Khatibi text manifests these two original and generative qualities.
The plural code
What must be said at the outset is that Khatibi’s interest in the diversity of literary registers is not based on a radical discursive separation; he writes in the sense of intergender: the analyst is split from the writer – as in Arabic Calligraphy or Plural Maghreb – and the writer from the analyst as in La Mémoire tatouée ou Amour bilingue. Attention is paid to the intense possibilities of speech. As he likes to say, his work is about the association of the intelligible and the sensitive [1]. With Khatibi, there is a double support for writing where body and mind come together in the same gesture.
In this game of co-presence and registrar alliance, we must see not only a polygraphic practice (essay, poetry, fiction …), but a lighting of the fundamental aspect of the work where the affixing of genres finds the aesthetic principle. This is evident in Khatibi’s first account, La Mémoire tatouée, or in his last, A Summer in Stockholm.. In Khatibi’s works, there is a contrapuntal approach that determines the formation of the narrative relieved of the rules of the genre. But Khatibi does not explode literary discourse; his writing is tied and unraveled in literary culture as a search for a space of creation. A quick examination of a few texts makes it possible to bring out this salient aspect of his writing in its shifts from one form to another, from one code to another.
The passage from one register to another in La Mémoire tatouée, from autobiographical discourse to reflective, poetic, or meta-discursive discourse, creates a modalization of the genre. The lived experience is not forced to be the prerogative of the narration; it is the object of a deeper exploration: the facts and gestures of the past are the basis of an existential form: research on oneself, on collective traces, quest for a literary identity, power of language, interrogation on notions of the double, of identity … the author is both riveted on himself and the paradigms of his experience. This double task of writing is only possible by finalizing the autobiographical project. This is what gives La Mémoire tatouéeits tension, its variegations, its thoughts, its fragmentation, and its ” work in progress ” aspect :
How did I define the autobiographical field? By demobilizing the anecdote and the news in itself, while directing my gaze towards the philosophical themes of my predilection: identity, and difference as to Being and Desert, simulacrum of the origin, destinal wound between the East and the West. [2]
This declaration inscribes La Mémoire tatouée in a writing outside the purely autobiographical alibi and entails three consequences: the continuous breaking of the story by various registers [3] , the transformation of the text produced into an object of discourse within La Mémoire itself. tattooed(as in the last chapter: “Double vs. Double”), and finally the quest of the story turns into the story of the quest. Everything is reversed and this is the stroke of genius of the book: the literary preoccupation with its own identity, with its experience, asserts itself as a source of otherness and writing. If the ego is shattered at the start by history, colonialism, the double language and the double culture and the definitive loss of the monovalence of the principle of belonging, everything remains to be discovered in the time of the self. The autobiography is in this sense the event of the strangeness of oneself in the wake of the emblems which touch every plural man. Tattooed Memory is the story of the particular overlap of the native in the counterpoint that marks the subject as a strangeness immanent to itself. Khatibi’s first story therefore produced, first of all, his liberation, his way of thinking about writing, literary subjectivity:
Have I not made a restless and inexhaustible recreation of my body? [4] From the plurality of registers, La Mémoire tatouée is organized as a complexity of discursive moments: past or images of the past, fiction or individual fantasies, fragments of thought or repeated disappointments in the movement of memory broken by the multiplicity of gazes and colors.
Finally, from autobiography, we move on to an authentic writing of oneself through language and its various forms. The principle of remembering or the story of childhood is a set of passages from one code to another: the anecdotal is nourished by a lyrical or reflexive vision, and the autobiographical is constantly thwarted by critical consciousness as in this passage as a typical example:
This man, who barely touched my mother, attacked the eldest son. I came in third position: my father agreed to send me to the Franco-Moroccan school, I became a degraded conscience, given to disbelief. Orphan of a missing father and two mothers, would I have the rotation gesture? Is it possible, to the portrait of a child?
Because the past that I now choose as a motif for the tension between my being and its evanescences is deposited according to my incantatory celebration, itself a pretext for my dreamed violence to the point of disturbance or any circular idea. Who will write his silence, memory at the slightest erasure? [5]
This literary dialogism is different from Khatibi’s other accounts. In The Book of Blood, everything contributes to the realization of a lyrical narration: the narrative, despite the romantic ingredients – chronotype, characters, amorous intrigue, progression of the plot of the story … – does not install a content romantic, a development nourished by logical facts according to the individualization of the characters’ features and according to the rule of exotopia. [6] In The Book of Blood, we are faced with “a drama of the speech”. The expression of the course of the trial is dependent on the enunciative network, on the subject’s adventure as an adventure of transfiguration. Certainly thinking of the invoice for the Book of Blood :
Lead any narrator to the place of his transfiguration: the image of an irradiated tomb from which will arise – perhaps – the song of the poem and of the thought [7].
The characters in The Book of Blood, this prose poem of passion, are related to the heroes of the poetic tale [8] , both subjects of a quest and subjects of a sentence; completely integrated into paradigmatic questions because they are the support of an experience: the burning of otherness, the abstraction of the existential mode, the same and the different, the androgynical metaphor, the mother tongue, the mystical tone, the essence paradisiacal, ecstatic vision … This narrative quality loaded with poetic attributes marks the story in its foundation. It is about a scene of lyrical speech like “interior mimesis” [9]. The one who speaks in The Book of Blood, its own story is played out by the conative incantation. history is not, here, objectified. The enunciator is essentially a desiring individuality [10]. In this sense the narrative is scaffolded not by acts but by the enunciation of acts; he invents an art of saying do it, for example, this:
Yes, may your hand brush the water before contemplating your face! yes, you will be standing in the middle of the basin, stripped of your light clothes. Evaporated and yet so close to us, you will be put to the test. We will know how to love you in our annihilation [11].
If it is tempting to see this type of discourse as an exclusively poetic discourse, it is still necessary to know that the poetic does not exclude the transversality, that is to say the coextensivity of the story and the poetry. This allows us to say that the events in The Book of Blood are not “factual”: they relate to a word hatched in lyricism. It makes sense that what specifies lyrical writing is the quest for an enunciative mode of presence by passionate invocation and not by reconstitution:
So let your clear gaze circulate among us, so clear that it ignites the cup of wine (…) we have opened our five senses to your adornments, to your eyelash like a treasure … [12]
This character of the writing clearly shows how much literary forms are intertwined and how the narration in The Book of Blood is stirred by poetic intention and desire. The story, disembodied, is on the side of the subject, of language, of the unheard of. In this case, the incantatory poetic form of the text operates a shift in the notion of narrative as the discourse of history. It is advisable, in fact, to consider The Book of Blood in its literary ambiguity, that is to say that the poetic becomes the style of the story and that the relational system is governed by the amorous body, the ecstasy of speech and the intense play of rapture. This book by Khatibi resonates like a brilliant, refined form, carved out of the renewal of the lyrical tradition and the secret of a singular word. [13]
This conjunction of discourses is further developed in Bilingual Love by the introduction, this time, of the reflection in the narrative which is the story of a character moved by the double language. In the history of relations with the factual world (flower, night, landscape, ocean, country …) and the human world (woman, the other …), the story develops and secretes a central thought – the bi-language – which guides the relationship to events. The lived history of bilingualism is told in the light of the metaphor of the double. According to the most diverse forms, in the most different situations, the character of bilingual Love grapples with language through the phenomenon of subtle and underlying transition between storytelling and reflection. The influence of language is linked to its strangeness: the language of writing is a foreign language and is akin to a physical presence which connects the subjective space of the world with the power of signs because “the language is more beautiful, more terrible for a foreigner ” [14]. The words in this story assault the character and interfere with diglossic or bilinguistic remanence by creating alliances enclosed in the body of the narrator as in this gender confusion:
He was thinking of the sun, and already his name, that of the moon, is reversed – from feminine to masculine – in his double language. Inversion that turns the words with the constellations. [15]
The words of the bi-language, of the double language as a condition of imagination, create a fictional problematization of identity, form a milieu, an unprecedented space for the romantic body which struggles in the conflict of words and gives birth to a narrative vision of the world and of the relationship to the other through language or awareness of language. The bi-language clearly appears in Bilingual Lovelike a creative otherness and strangeness moves, moves from language to existence, from verbal appearance to subjective being. The bi-language becomes a way of living and of speaking an essence. The body of the bilingual is open, spread out, deployed: from country to country, from difference to difference, from language to language, from body to body, his story is the unstoppable space of a mixed voice and enjoyment of the visible. The body injured by the double tongue is mixed up once and for all in the world:
Speaking to you in your language, I am yourself without being, effacing myself in your tracks. Bilingual, I am now free to be totally, on my behalf. Freedom of happiness that divides me, but to instruct me in any thought of emptiness. [16]
If Bilingual Love is a story based on the concept of bi-langue, this clearly shows the need for a new topic for the writer, such as the elaboration of strangeness of the self, of a deciphering of the self in the cadence of ‘a creative concept. The concept is transformed into an imaginary scene that spells out the bodies and the words. In this dynamic sense, the bi-language exposes the language of the narrative and the course of an expansive formulation of the question of language as the unveiling of an existence. Reflection on language is the manipulative instance of the text in its narrative foundations.
To love a being is to love his body and his tongue. And he did not want to marry the language itself (…) but definitively seal any encounter in the pleasure of the language. [17]
To think, to narrate, these are two united words. By recounting the world, the writer discovers the idea of the world and living it, if it ends in a book, is already a book. The story gives us to see and understand. This fruitful conjunction of narration and reflection produces a didactic message and a type of narrative that can be called the paradigmatic narrative where the quest for oneself is joined to a thought of the language. Through the story, turned towards the future, the author has raised the historical event of bilingualism to the level of (personal) myth.
A very real framework in that it is the instrument of the story, the bi-language supposes the writing, and the object of the writing. The cause of the story is understood because the whole text is a setting vis-à-vis a course and a question. By creating an amalgam between an external datum (the bilingual writer) and a constructed universe, the story turns out to be a validation of reality in fiction. The bi-language gives to read a destiny that it has defined, delivered, and delivered by designating it in its fulfillment. The relationship of inclusion and implication that exists between the story and the reflection does not in any way imply the co-foundation of a thesis and a universe because bilingual Love is not a story that wants to say something autonomous and doctrinaire “wanting to say”, but the impulse of a test of oneself in the disorder of the world and of language. In short, it is about a self-didactic lesson that shows a character who learns to live his experience of being “exotic”. Bilingual love, as a reflective story, is the soft force that lucidly transforms the bilinguistic wound into a space open to the world. This undoubtedly remains a new history of lived dialogism and a new writing that disembodies narration as an exclusive mode because it manifests the need for reflection as an essential element in the production of the literary text.
This way of considering Khatibi’s stories allows us to underline that his writing explores the totality of the proposed world from the perspective of an over-coding where the referential function is bypassed by another form. This creates privileged intensities and moments because the narration is subordinated to the deployment of other literary registers, to the movement of other expressive desires. This is further explained in Khatibi’s last story: A Summer in Stockholm.. This is the story of a translator’s trip to the city of Stockholm. He stays there, works there, thinks about it, lives there in love, meets characters, places, and landscapes, then leaves it to find the place of departure (the plane). This story of professional work in a Nordic city is not just a story of relationship, love, and friendship, but the story of a relationship with oneself through meditation or reverie, and a series of reflections. on the characters encountered, on the notion of travel, that of neutrality, friendship, love, or like, on the forms of the city and the landscapes. Regarding travel, the narrator makes this first thought:
Traveling, and changing country and language, excites my thoughts and my surplus pleasure. Every time I cross a border, I have the curious feeling that a secret is going to be revealed to me … [18]
A summer in Stockholm is constructed according to a series of moments illuminated in the trap of voluptuous words: hence the refinement and purification of this story as a scaffolding of essential words. Our reading postulate remains the same. This last account of Khatibi is of the same plural code that assimilates the partitions. To be in a plane (beginning of the text), is to dream of the sky, of an unprecedented death by chiseling the idea of a singular departure:
Seen from the inside, the plane comes alive like a living museum, lined with portraits and allegories. I capture images from each traveler (…). Knowing how to stand, to contain oneself in one’s celestial territory without overflowing on the space of others, isn’t that characteristic of levitation! [19]
“Have we fallen into an air hole? (…) has the plane changed course? Are we caught in a cosmic trap? A ruse of the improbable? Woe to the one who recalls the in the face of the dead! Woe to those who wear their shrouds! I am thrown, I am born and I die in the same gesture, equal to myself, to my mutations, suddenly solidified on the bas-relief of my seat. [20]
To be on earth is to intensify the attention to things, to the world, as a set of formulations or looks on plasticity from the outside, as in this excerpt:
Sitting near the glass, I was attracted by the play of reflections on its surface, and by the feedback effect, I noticed on the pensive faces a density folded in on itself. A placid density, yet scattered here and there in the blue of the eyes, the so smooth softness of the hair, and which nature, which ran in a way at our pace, intermingled with the twigs of grass, giving the fields a silvery tone, iridescent flowers, and wandering impressions. Summer offered us its measure of life. [21]
This other example shows the density of the presence and reception of the outside:
A light fabric of clouds tore, enriching the tone of the colors and their variegated depth. It is this departure suspended in the sky, vanishing upon its completion in a rapid metamorphosis, which calls the lightning of the gods and spirits of old. Any flâneur in love feels it by a fleeting trembling that crosses him, attached as he is to the whims of nature so that the grace of these moments may be returned to him. [22]
The exaltation in the way of painting the characters, the spaces, the density of the words, and the emblematic situations, extend the fiction differently by other means to make it happen through figures, images, poetic thoughts, and different treatment of space, time … All this frees the story from the “shackles of fiction”. What is more, this tendency to sublimate the anecdote by figures, intensities, and questions, refers to an eminently Khatibian thematic which passes, here, by the corroboration of the elements relating to the strangeness, to the disorientation, to the latency of the things, adrift of bodies in the world, signs of the sensitive world.
The purification of fiction creates a more interior resonance. In this sense, things are not only represented but interpreted, intercepted by the narrator’s imagination. In Un été à Stockholm, the author maintains the narrative but based on the sensitivity which supports the relationship to things, to characters, to history, to “themes of his predilection”. And this is always in an elucidated relationship with his creation – creation is accompanied by reflection – because the author, far from separating himself from his text, inserts himself into it and enlightens it with his presence as in his other texts. The story is built in the activity of writing by “its inner theoretical fiction”, for example:
I repeat this story is not a key novel. [23] No one has decided the logic of this story, nor its correct combination. [24] This story which made me dreamy made me think of my magic square, that is to say of a myth detector. I do not apprehend all that it conceals that is irrational; but what I do know is that by emitting a magnetic force, he made me take a back seat, me Gérard Namir the narrator. [25]
Indeed, the story of Un Eté à Stockholm, with its logic of reconciling registers, is a text centered on the expression of a “fictitious experience” refusing the prosaic uniformity of the story, magnetized by its system of significations (travel, love, quest …), its circularity (the end covers the incipit), its duality (abstract-concrete). This specificity of the story can be explained by Khatibi’s concern with using a multiplicity of forms to mark all the states and outflows of the narrator in the story of his divisions, the shifts of his vision, and his gravitation.
I have taken, here, in this introduction to Khatibi’s writing, only the case of the stories. In his poetic texts ( The Class Wrestler in the Taoist manner, and Dedication to the Coming Year) or in his only theatrical text ( The Veiled Prophet), we can easily see the stylistic approach favoring various tones as a source of writing and imagination. These tones are revealed there in the form of a commentary or generalizing reflections; what is poetically experienced is reinforced by the resulting idea but in the same thematic order. The counterpoint acts on the stylistic level. Under this principle, words draw thoughts or snatches of thoughts that burst into clusters of sparks, either on otherness, difference, or love …
The writing of the essay undergoes the same effects of multiplicity. Khatibi’s essay claims the freedom of a style freed from the prevalence of totalizing argumentation because there is always a presence to oneself in the discourse; Paradoxes of Zionism ends with a poem and aphorisms about otherness; Arabic Calligraphic Art is supported by a celebratory language close to the secret fascination exerted by the symbolism of drawn letters; Maghreb plural, from its first chapter, questions the concept of identity starting from the philosophical ground, starting from the question of being; the writing in La Injury of the proper name, as it is affirmed at the beginning of the work, clarifies the direction of the book and of the body in what he calls “the Crystal of the text” to give to the object “its status within the writing “(in the strongest sense of the term) which shapes pure abstract thought.
The plural code, in Khatibi’s work, is therefore an internal dynamic that regulates the textual process. And of course, this is just one way of perceiving Khatibi’s style; it is a global vision of his texts. In reality, this does not take into account the other textual specificities and their breadth of meaning. This sketch of the plurality that works in the text, represents a relative prerequisite for understanding the spirit of Khatibi’s writing which has a particular status in “Maghrebian literature in the French language”. Resorting to the idea of the plural code is a deliberate way of deploying the mode that the writer assigns to himself in his creative activity without wanting to alter the complex nature of his texts, their timbre, and their spectrum.
The plural code is what the original material of Khatibi’s texts proposes, their movements of structure and echo which arouse reading and which make the elements of literature interpenetrate. In other words, it is a question of giving form and meaning to the paradox, repeating ad infinitum the excess of writing, and digging its language into languages.
The paths of the various
This plurality at work in the language of writing is also the trace of significance that sustains the thought of writing, the figure of texts. I will only take here a few examples to show the exercise of the writer’s thought, the metaphor of his world arising from sequences, from putting texts in relation.
From one text to another, Khatibi’s writing participates in an enterprise in which the notion of dialogism forms the center of a will, of a conscience. This is manifest as much in the essays as in the texts of creation, dialogism is to be considered in its anthropological or philosophical sense – the individual being is intimately linked to the other, and no ideology can break this elementary intensity of the interrelation. – and in its ethical and aesthetic sense: the need to find traces of the other – traces lived and traces in the making – through imagination and literature. This is fundamental because the subjective aspect of Khatibi’s themes is the result of a consubstantiality with the interrogative and constitutive exterior of the
In this sense, Khatibi built his universe gradually, asymptotically, from The Tattooed Memory to A Summer in Stockholm, from The Wound of the Proper Name to Over the Shoulder. From the experience of internal plurality in Moroccan society (plurilingualism, plural culture), he deepens his questioning in “creative understanding” by circumscribing a word of love. Dialogism and love, are two terms, the same story. But where does this story come from, Is this determination responsible for the multiple places of the Khatibian statement? It comes – literally – from a first fight, the first oscillations, a first implosion contained in La Mémoire tatouée where we see the regulation of questions of otherness, identity, difference, West / East bi-polarity.
Often to speak of oneself or the other, we conceive of this as a binary, a division of consciousness, a topology of sharing; either rooting in the first case or a kind of offset or more extended identification in the second case is made absolute. Neither the expressed anchoring nor the ordeal of the (exalted) foreigner constitutes distant poles, clear freedoms.
There is a complex progression which means that the history of individuals is made in the rumor of interrelation, in the difficulty of the appropriation of oneself at one time or another, or of the evacuation of the other in the historical moments of self-reflection. Identity is a vertical question, not the defined base of a force but the continuous and lasting process of a constitution. Above all, it can be the exemplary place of a symbolic experience where the question of genericity and singularity is posed in ambiguous and problematic terms, that is to say, that of belonging and of distance.
Identity in this sense can be the object of an irreparable oxymoronic variation over time, the stolen origin, and the event of the strangeness of the self. And this is beyond the malaise but in the wake of the emblems of structural plurality. Through this first literary text by Khatibi, we can grasp the particular coverage of the native. The concern for identity exists there but is integrated into a complex of relationships which will later be completely transfigured in Bilingual Love and A Summer in Stockholm. The literary preoccupation with one’s own identity asserts itself as a source of otherness. The monovalence of the ego has given way to a reality of infinite resourcing. Talking about yourself is talking about the other, talking about the other is
In the beginning, something disappeared: “The coextensivity” of the self and its image. The sharing of the self wraps the inflexibility of identity as pure constancy of personal unity. Something is lost:
She accepted my nomadic temptation, and she cried because she knew that I was becoming a little more simulacrum [26]
The advent of the simulacrum is inscribed in the continuity of the past, resulting from the context of childhood where the narrator found himself thrown into the insecurity of the heterogeneous:
Son of a parallel mother, I rushed straight into the encroachment of identities, duplicity, belonging to a poisoned happiness [27]
It is the unity of meaning to which the autobiography aspires that makes it possible to situate the simulacrum concerning the defect of personal unity and which creates the process of differentiation by enthroning the principle of disparity. The first example cited: “she knew I was becoming a little more simulacrum”, is linked to the narrator’s departure to the West. This effective separation is only the reflection of a fundamental separation as an effect of the remotivation of the proper name at the beginning of La Mémoire tatouée by the actualization of the sacrifice:
I was sacrificed when I came into the world, and my head was, in a way, offered to God. Have I ever found her? [28]
In view of this original gift, the ego can only become an “addition of simulacra”. From this initial absence arise the effects of separation, of duplicity which punctuates the text: double mother, double city, double language … It is a life story endowed with an organizing principle pushed to the extreme which determines the relation to oneself throughout the text. This idea of spacing in itself makes a difference. A difference that deepens in the ego as a sui generis entity.
Tell me about your current identity rather than your rhymed prose [29]
What must be emphasized is that the narrator is in a situation of quest and variation. Instead of listening to the random discourse suggested by identity as a principle of self-definition, the narrator bursts into a shower of sparks about what constitutes the proper, self. Concern for the self is therefore first of all the multiple realities of the state of existence. And the space of oneself is primarily the space of writing where the logic of being triumphs. Only this space can combine the diversity experienced. Otherness is fleshed out by the subjectivity of experience. Writing introduces distance, deliverance, and away in relation to the historical crisis of identity:
We conclude that the difference, like identity, is a rhythm and a painful dance [30] The difference is a woman [31] I league with the evanescence [32] It is not a question of a line to be drawn in the thought between identity and difference, simply a line to make travel in the breath … [33] I want (…) to make you brush against the necessity of my sharing. I have often repeated to you that my being is not this void that you name [34]
The complex order of the reports suggests the interpolation intrinsic to the history of the writer who seeks to obliterate the exacting and rigid definition of belonging. Identity or difference receives in this sense the property of a movement, the sense of travel, and the power of becoming. It is a way of reconnecting with the strangeness immanent in oneself. The strangeness is not here this accursed part which gnaws at the mind, but a coming and going between what is itself and what is the self-other, because we are always confronted with ourselves. The undivided person – if that exists – is in reality only the forgetting of himself in the weariness of certainties. The examples cited above clearly show the importance for Khatibi autobiographer to form a scene of writing where identity seems to switch between concept and metaphor, where faces exchange their features to better free themselves from the impure of crossings, and while safeguarding the mobile principle which goes from one line to another. The face is whole but we never settle in the identity, we never migrate in the difference. From the historical law, the narrator falls into the law of life which remains ungovernable. And only writing can designate in its requirement, in its vigilance what must matter for the writer: The face is whole but we never settle in the identity, we never migrate in the difference. From the historical law, the narrator falls into the law of life which remains ungovernable. And only writing can designate in its requirement, in its vigilance what must matter for the writer: The face is whole but we never settle in the identity, we never migrate in the difference. From the historical law, the narrator falls into the law of life which remains ungovernable. And only writing can designate in its requirement, in its vigilance what must matter for the writer:
(…) the West is a part of me, which I can only deny insofar as I fight against all the West and East that oppress me or disillusion me
In the beginning, there was the questioning of oneself and this questioning did not lead to the search for identity for itself, but to a problematization of identity as a graft, as tattoo removal against a background of traces:
Well! whatever the implication of an identity, it is not a question (…) of looking at oneself in this mirror game. Love those who like this little game of renewal [35]
The movement is inexorably inscribed in the person of the autobiographer. We could multiply the examples: they all reaffirm – even in the excess of violence at the end of the text – the adventure of ambiguity from which the story draws its power in order to be able to evoke several expressions of the thought of identity. From a familiar site to a foreign site, La Mémoire tatouée seeks to capture the frail secrets of an interior crackle because any question, even that of identity, forces the shape of the world to be revised. Khatibi’s autobiography therefore produced, first of all, his liberation, his end or his beginnings in literature, in the very paradox of colorful existence.
To learn to be in the thickness of the relations supposes the discovery of oneself and the principle of a style of existence starting from the crystallization of the voice, of its voice. The autobiographer therefore goes towards the enigma that makes him write by taking the path of lived dialogism.
This taking charge of history and of subjectivity in history from the personal foundation of otherness leads Khatibi to acquire a lasting double position. The first is intellectual and relates to some major Moroccan, Arab or Islamic questions: on the internal contradictions and blind spots of Zionist discourse as a new negation of the Other (and this in Paradoxes of Zionism ); on the inextricable diversity of cultures and languages within the Moroccan socio-cultural structure (in La Blessure du nom proper or the interviews given to Lamalif n ° 85, 1977, and to Pro-culture No. 12); on the need to open up the unthought, the unspoken Islamic and to free the energies of life and questioning, such for example sexuality in the Koran, psychoanalysis, and Islam, the languages of the body, the status of the individual … etc (see in this regard La Mémoire tatouée, Maghreb plural, Over the shoulder …). On the other hand, his position as a French-language writer (but in reality bifurcates because in the bilingual there is always one language behind the other, one culture behind the other), leads him to consider fate. Moroccan about the other in an in-between: in a civilizational chiasmus, in double criticism, in the cleavage of historical and ontological edges without succumbing to the blissful intercultural mixture, but by developing the idea of interbreeding as a possibility of singular displacement and flexible passage from the One to the Other, from oneself to oneself, in the sense of an “art of living” which is thought out. This ethic of “thinking about borders” is a lucid position in the debate on languages in Morocco and concerning the French-speaking world. It is presented as a valuation of work in the language-other. This reconverts an ambiguous situation of sharing into a universal situation, that is to say into a specific conception of literature. Does he not say that “being reborn in the language of the other for a bilingual and whose mother tongue is no longer that of his writing (…) is this tragic movement carried by deep, distant, orphan desire, neutral in all writing.
It may be a chance, a very uneasy happiness, but undoubtedly, it is there a risk to be exorcised by realizing it while keeping it within its ecstatic limits ” to be reborn in the language of the other for a bilingual and whose mother tongue is no longer that of his writing (…) is this tragic movement carried by the deep, distant, orphan, neutral desire of all writing.
It may be a chance, a very uneasy happiness, but undoubtedly, it is there a risk to be exorcised by realizing it while keeping it within its ecstatic limits “[36] This is a new light on bilingualism as an irreducible essence:
The inside is always preceded by the outside. Submit the concept of Francophonie to analysis by opening up writing to the outside world. The narrative of languages breaks the ethnotalitarian border towards a universalization of the book. The extra-muros is the name of the outside, of the proximity of the foreigner. [37]
Identity, even started, even struck with asymmetry, does not suppose depersonalization or entropy. It is itself the meaning of questioning towards “hospitality without complacency” [38] , towards the diverse state of literary idioms. Hence Khatibi’s interest in the question of foreignness, either as a set of imaginary experiences in French literature (see Figures de l’Etranger ) or as an assumed principle of “listening to the other in as other ” [39] (see Japanese Shadows ).
As for Khatibi’s position, it stems from the first: it is about the love of sanity as a subjective paradigm, as a literary motif situating the ego between native proximity and the diversity of the world, between the feeling of existence and the attractiveness of things. This can be read in Khatibi’s texts from La Mémoire tatouée , Un été à Stokholm . The landscapes, the factual elements, the tone of the sky or the earth, the climate of a day or the color of a night, the shape of a city or the cadence of the sea … are sought-after images of ways of inhabiting, moving, feeling and living by producing a “geo-poetics” as a way of reading “the lines of the world” [40]and “the beauty of time”, to retain the first essences and the fragments of the elements. In Khatibi’s “characters”, it is a question of “willing availability” [41] in relationships, in outflows.
We note in Bilingual Love , to take just this example, the existence of a literary tone made of listening to the world as a composition of a figure of relationships. In this text, the value of the presence in the protean places of the outside is constructed. There is a singularization in the representation of space (human or non-human) which makes the outside livable: “He was there, smiling, in front of the totality of the visible. He was celebrating the world with this desire.” [42]
Presence is here a mode of enjoyment that the language of writing offers itself through the story of love, to the point of making it a generalized glow which allows the body to advance in the bow in the elements of the world for its sake. ‘to confuse it, to take its place in its relational braid. To narrate the fable of this interweaving, it is not to reinforce the cosmopolitan echo of a wild “departure” but the style of a vertigo of wandering. To be in the world through writing is to create a ceremony of giving, drifting and dazzling:
Scansion, cadence from wave to wave, abyss of sky and waters. Was he dreaming? Immediately, it was invaded by a very great softness as if, swimming from continent to continent, it was eternally adrift. [43]
In this state of contact, of embracing, of loving, there is strongly a state of receptivity. The character’s body, when speaking outside, has its measure of joy, that which allows it to experience the vitality of things. The main reason is that the world of bi-language (history of union and separation), can only be drawn by the words of attraction and fascination. The story of the relationship with languages and the love of the world testifies to the character’s desire and his thought to elevate his wounded life to make it the major sign of a new pact with the visible which makes possible the creative presence in the world. foreign language and its “entity”:
The only visible splendor that I know – is beyond all infinity, all absolute. I was finally delivered from the gods and their elusiveness. My presence, yes, in the sublime presence of things, and their cruel emptiness is mine. [44]
Such a need to assert the state of self-existence is explained by the deliberate desire to navigate the paradox of strangeness. The deliverance is in the same paradox. This explains the return of the visible as a poetic place of possibilities:
From then on, he fixed his attention on the beauty of the visible on the thing itself, a thing for no one, a thing changeable according to the power of the heart and the spirit. [45]
This irreducibility of the experience of the visible exterior, this sumptuousness of the fragile attachment to the world through words, give Biligue Amour the tone of a sensation of the diversity and the stripping of the essential chiasmus in a system of life. The gaze is nourished by what it looks at, the body by what it incorporates. The exercise of the foreign language is the deployment of confluences. As a result, the bilingual, in his celebration of the visible, is condemned to live in the world, to imbibe the flesh of happy futures:
The future? Love, nothing but love, does the body present? An incredible pleasure. So the misfortune? A purification of the soul and of the mind. [46]
The habituation to the various games of duplicity means that only life remains to live and write in the passage of words from the world where the bilingual finds his reason for presence. And the dialogical experience can only be imagined in the multiple hollows of the livable space of the world. Consequently, the practice of writing with Khatibi is an opening of life in the text and of the text on life by the regulation of the poetic rhythm. Writing takes hold of the writer’s subject, becoming his adventure in the responsibility of speaking: “I like the sentence to witness the force of life and translate its emotions”. [47]
This naturally establishes a conception of literature as “rigorous subjectivity”, as the incidence of a consciousness combining the practice of literature with the truth of its site: “Literature begins in my mind when there is an exact translation. , fairly rigorous in what we are ourselves, and where we are. We arrive where we are. ” [48]Literature is individualized in a reality of correspondence which regulates the status of the writer in his commitment as a writer through a double openness: openness to oneself and infinite questioning of the time of the world and the “signs of the present”. We are, here, at the very heart of what we could call Khatibian art, that is to say, the art of making sense springs from the human itself, from a subjectivity exploded, decompressed, solicited as the most lively, the surest means of advancing in the world of questions through language, through literature. This royal road to creation does not only constitute a “fable of the person”, but the nodal point where the principles of Khatibi’s writing are linked and transposed: interbreeding, love, otherness, bi-language,
All these notions bring into play the writing of Khatibi without locking it in a box, in a mode, in a code; he moves shapes, moves like a patient surveyor, and questions himself over the shoulder on what is being written in his very instance. And writing in this case is not for Khatibi a neutral exercise, it is a dimension of existence; writing is a way of existing and of working socially, even with one’s roots in life. Better still, writing, in Khatibi, is a measure of reality from the foundations of the person transformed into “words of the book”. Attention to oneself is the corollary to the attention of language without gratuitousness but in the sense of the seriousness of the passionate stake. And is the ultimate requirement that the writer sets for himself.
Hassan WAHBI
[1] Interview with A. Khatibi, Le libéral, April 26, 1990.
[2] Presentation ofLa Mémoire tatouée, 10/18, 1979, p. 11.
[6] This term of Bakhtin signifies the necessity of the exteriority of the author in the romantic creation to allow the characters to end in their own axiological universes.
[7] The Tattooed Memory, op. cit., p. 9.
[8] JY. Tadié,Le Récit poétique, PUF, 1978.
[9] N. Frye,Anatomie de la critique, Gallimard, 1969, p. 357.
[10] E. Gans, “Birth of the lyric self”,Poeticsn ° 46, 1981, p. 131.
[11]The Book of Blood, Gallimard, 1979, p. 14.
[12] Ibid., Pp. 15-16.
[13] This is why this text requires reading in the light of its poetry, because it is futile to seek what is not there. Its strong form requires another breath in reading.
[14] Bilingual love, Fata Morgana, Montpellier, 1983, p. 10.
[15] Ibid., P. 11.
[16] Ibid.
[17] Ibid., P. 29.
[18] A summer in Stockhlom, Flammarion, 1990, p. 27.
[19] Ibid., P. 11.
[20] Ibid., P. 16.
[21] Ibid., P. 26.
[22] Ibid., P. 61.
[23] Ibid., P. 156.
[24] Ibid., P; 10.
[25] Ibid., P. 172.
[26] The Tattooed Memory, op. cit., p. 127.
[27] Ibid., P. 33.
[28] Ibid., P. 30.
[29] Ibid., P. 193.
[30] Ibid., P. 196.
[31] Ibid., P. 157.
[32] Ibid., P. 199.
[33] Ibid., P. 200.
[34] Ibid., P. 118.
[35] Ibid., P. 198.
[36] The same book, Ed. De L’Eclat, 1986, p. 43.
[37] Notes from the “extra-muros” seminar, International College of Philosophy, Paris, 1984.
[38] A. Khatibi,Francophonie et idiomes littéraires, Ed. Al Kalam, 1989 (text written on the occasion of the Estates General of La Francophonie, Paris, 1989.
[39] Ibid ..
[40] The terms are from Kenneth White.
[41] JP. Richard, “Variations d’un paysage”, Poétiquen ° 31, 1982, p. 355.
[42] Bilingual Love, op. cit., p. 14.
[43] Ibid., P. 13.
[44] Ibid., P. 108.
[45] Ibid., P. 45.
[46] Ibid., P. 128.
[47] The Liberal, op. cit.
[48] Librement, n ° 1, 1988, P. 47.
Abdelkebir and Mourad Khatibi – My Cousins of Culture and Cradle of Our Birth
عبد الكبير ومراد خطيبي – أبناء عمي في الثقافة ومهد ميلادنا
Abdelkebir et Mourad Khatibi – Mes Cousins de Culture et de Berceau de Notre Naissance
Said El Mansour Cherkaoui born in the same neighborhood and went to the same elementary school as Abdelkebir Khatibi; a school adjacent to the family home of said el mansour cherkaoui which was built by his father Moulay Ahmed Cherkaouiduring the time of the French Protectorate to enable Moroccan children to access and receive education in their neighborhood.
He received a doctorate from the same university than Abdelkebir Khatibi: Sorbonne University at Paris, France
He was Faculty and Researcher at several academic institutions in France and in the United States of America
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