Energie Renouvelable au Maroc
Aujourd’hui, plus de 95 % de l’hydrogène produit dans le monde est issu du méthane, du pétrole ou du charbon 4, par des procédés très polluants 5, notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre.
Lorsqu’on utilise pour l’électrolyse une électricité exclusivement d’origine renouvelable (hydraulique, éolienne ou photovoltaïque), c’est de l’hydrogène vert, dit « renouvelable ».
Bien que le Maroc dispose de faibles réserves de pétrole et de gaz, il est bien situé pour produire de l’énergie verte grâce à ses abondantes ressources solaires et éoliennes. Contrairement à d’autres pays de la région, il jouit également d’une certaine stabilité politique, un signe rassurant pour les investisseurs.
Ce qui est marrant c’est que les Humains s’accordent à soutenir des guerres et y contribuer avec toutes leurs forces occultes et non occultes, directement et indirectement et ceci sans a blink of the Eye, sans hésitation aucune même de nos jours d’aujourd’hui c’est la même approche.
Ces actions se déroulent en parallèle aux déclarations telles que celle-ci qui j’extrais et j’extrapole de l’introduction de ce texte ici bas:
La Filière “Hydrogène Vert”: État de l’Art Technologique et Comparatif Économique International
“Le monde a fait de la lutte contre le changement climatique l’une de ses plus grandes priorités. Rarement autant de moyens internationaux n’ont été alloués à un objectif commun. Les récentes études ont établi que l’ «hydrogène vert » – hydrogène obtenu à partir d’énergies renouvelables – avait désormais un rôle prépondérant à jouer dans la décarbonation de l’économie mondiale. Les pays du monde entier cherchent aujourd’hui à développer leur propre stratégie globale liée à l’hydrogène vert et les pays du Sud ne font pas exception.”
Cette fois-ci c’est le monde entier qui lutte contre le changement climatique et la contradiction c’est que c’est chacun pour soi et chacun veut se remplir les poches plus que l’autre.
Moralité de l’Histoire, la décarbonation de l’économie mondiale est une nouvelle guerre opérationnelle, financiére, productive et lucrative.
Prions que l’hydrogène ne deviendra pas et ne sera pas transformé aussi avec le temps en un “Or Transparent” comme l’été devenu “l’Or Noir” en tant que raison des guerres au Moyen Orient et dans le reste du monde.
Said Cherkaoui Ph.D. – Said El Mansour Cherkaoui Ph.D. – 7 29 24
Email: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
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Dossier SOS Energie au Maroc
SOS Energie au Maroc: System Organisationnel Sans Progrès Productif ou Opérationnel
Le dossier énergie au Maroc est actuellement un des plus brûlants sujet de préoccupation et de consternation tant pour le peuple marocain que pour les dirigeants des entreprises pris entre les tenailles de l’inflation galopante affectant tous les secteurs économiques du Maroc.
Le genre actuel d’inflation est une inflation qui n’est point seulement causée par l’activation du levier de l’imprimerie de la planche a billets de banques due a une mauvaise gestion de la politique monétaire, un accroissement de dettes extérieures, un déséquilibre des comptes extérieurs et courants, la dégringolade des taux de conversion et de parité du Dirham et la chute du pouvoir d’achat doublée d’une montée du chômage et de la pauvreté relative dans les classes naissantes pseudo-moyennes et la pauvreté absolue au sein des stratas les plus vulnérables a tout changement brusque de la conjoncture économique nationale.
Les causes d’une telle continuelle instabilité structurelle sont aussi d’origine extérieure dont la plupart sont importées a travers la courroie de transmission qu’est l’intégration anarchique et brutale de l’économie marocaine dans les aléas et les bouleversements du marché international et la dislocation du système de libre échange et ses impacts sur les pays connus comme ayant une structure subcapitaliste marginalisée par les centres de décisions occidentaux.
Toutes ces structures et ces aléas conjoncturels se sont additionnées et ont produit des dédales et des culs de sacs pour le parcours du Maroc dans le labyrinthe des conflits entre les pays occidentaux pour l’accaparement des richesses de ce monde et cela sans partage ni volonté de contribuer dans le développement authentiquement localisée et régionalisée selon les propres besoins d’émancipation humaine, culturelle, sociale et même au niveau des droits personnels, individuels et communautaires.
Manquant de tels garde-fous et sombrant dans la dérive de la poursuite d’un développement durable libéral n’ayant aucune substance de rechange et de relance des potentialités locales et nationales, le Maroc se trouve noyé dans le déluge de la mondialisation marchande et la globalisation de la finance doublée d’une division internationale du travail logistique et technologique compartimentée en fonction des opérations inhérentes a la production finale du produit final dont l’approvisionnement des différents parties composants est éparpillée autour du monde a travers une stratégie de localisation intégrée régionalement et répondant internationalement a la dimension des marches et de la demande dans les pays les plus aptes a absorber la production des biens ainsi globalisée dans leurs sources comme dans leurs consommations finales.
Le produit final ne réponds a aucun critère local ou une dimension nationale, il est destiné a être un produit standard brisant les barrières locales, régionales et nationales a tous les niveaux des choix ou des préférences ou même de l’histoire économique du pays, c’est un produit bolide, torpédo et un projectile visant une cible d’ordre globale sans tenir compte du terrain ou des conditions environnantes. La cible c’est la consommation homogène et homogénéisée répondant a la structure du profit et des revenus attendus de l’investissement initial et les attentes des investisseurs et la cotation des valeurs boursières.
L’énergie est aussi sujette a tels monopoles et manipulations du marché international de l’Énergie.
Russie Défis de l’économie mondiale Les économies mondiales sont tendues en ce moment, de plus en plus volatiles à chaque nouvelle sanction.
Le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale depuis 1944. Mais cela n’a jamais été autant remis en question qu’en 2022. La Russie veut que les «pays hostiles» paient le gaz naturel russe en roubles. C’est une nouvelle directive du président Vladimir Poutine alors qu’il tente de tirer parti des ressources demandées par son pays pour contrer un déluge de sanctions occidentales.
« J’ai décidé de mettre en œuvre … une série de mesures pour transférer les paiements – nous allons commencer par cela – pour nos approvisionnements en gaz naturel vers les pays soi-disant hostiles en roubles russes », a déclaré Poutine lors d’une réunion gouvernementale télévisée, ajoutant que la confiance dans le dollar et l’euro avaient été « compromis » par la saisie par l’Occident des actifs russes.
La nouvelle exigence est apparue dans le but de soutenir la monnaie russe en déclin, le rouble. Cette annonce de Poutine augmenta la demande pour le rouble et a fait appréciée sa valeur et son taux de change par rapport au dollar et à l’euro. Les prix du gaz naturel ont bondi en Europe, où la Russie a fourni environ 45 % des importations.
Marcel Salikhov, président de l’Institut de l’énergie et des finances de Moscou, a déclaré que cette décision équivalait à une « contre-sanction symbolique » visant l’Occident. Il a noté que le Kremlin avait déjà ordonné aux exportateurs d’échanger 80% de leurs recettes en devises contre des roubles.
Le rouble russe poursuit son ascension face au dollar américain. L’inflation nord-américaine continue de monter en flèche alors que la richesse mondiale cherche des endroits plus stables pour s’abriter contre les menaces d’escalades militaires.
Les prix continueront de gonfler pour les consommateurs à mesure que la guerre contre l’Ukraine s’éternise.
Alors que la guerre contre l’Ukraine tend vers l’avantage de la Russie, il devient clair que l’Amérique continuera à injecter des ressources dans ce conflit.
Le dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale est à risque. Pour l’Amérique, le plus grand membre de l’OTAN, cela ne tiendra pas.
L’invasion de son voisin par la Russie et les sanctions qui ont suivi ont entraîné une montée en flèche des coûts de l’énergie dans toute l’UE. L’inflation en Allemagne est à son plus haut depuis la réunification en 1990. Source: Ukraine war pushes eurozone inflation to record 7.5%
Ce sont des chiffres que n’importe quel média peut vérifier en ayant ses propres estimations et calculs. En fait, le vendredi 1er avril 2022, la plus grande institution bancaire allemande a déclaré que la hausse de l’inflation pourrait être difficile à endiguer en raison d’un choc des prix de l’énergie déclenché par des sanctions qui exacerbent les problèmes de la chaîne d’approvisionnement. Source: Ukraine war increases global food insecurity | World | Breaking news and perspectives from around the globe | DW | 21.03.2022
« Le rhinocéros dans la pièce s’est déchaîné et pourrait maintenant s’avérer difficile à arrêter », a déclaré Christian Nolting, directeur des investissements de la Deutsche Bank, dans une note de recherche, ajoutant que la hausse des prix à la consommation aux États-Unis avait dépassé 7%. « Les problèmes à plus long terme tels que la diminution de la main-d’œuvre et la part croissante du PIB générée par les services à forte intensité de main-d’œuvre devraient persister et il est donc peu probable que l’inflation revienne à son niveau d’avant la pandémie dans les années à venir. »
« Dans les économies développées, les taux d’inflation déjà élevés peuvent maintenant être encore plus élevés, étant donné le choc des prix du pétrole et du gaz induit par le conflit. Les sanctions, ainsi que l’arrêt des activités des entreprises en Russie, exacerbent les problèmes de la chaîne d’approvisionnement. Nolting a déclaré que la croissance économique aux États-Unis dépasserait celle de la zone euro en 2022 et 2023 en raison du conflit en Ukraine et de la dépendance de l’Union européenne aux importations d’énergie.
L’inflation aux États-Unis a dépassé 7,5 % sur une base annualisée en mars 2022 et les deux mois suivant elle a atteint 8.5%. Il s’agit de la plus forte hausse des prix depuis février 1982. Elle affecte presque tous les secteurs de l’économie. En réaction, la Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont dû relever leurs taux directeurs et resserrer les vannes du crédit.
« La flambée des coûts de l’énergie provoquée par la guerre en Ukraine a provoqué une flambée des prix à la consommation au sein de la zone euro, a déclaré l’agence statistique de l’UE vendredi 4/1/2022. L’inflation annuelle dans la zone euro a atteint 7,5% en mars, contre 5,9% en février, a rapporté Eurostat. C’est le cinquième mois consécutif que l’inflation dans la zone euro établit un record.
- Oil Price in Southern California April 2022
- Les prix de l’essence s’envolent bien au-dessus du prix du pétrole brut. La capacité de raffinage réduite des États-Unis et de l’Union européenne, la guerre de la Russie en Ukraine et les limites d’exportation de la Chine ont tous contribué à gonfler les prix du pétrole à la pompe bien plus haut qu’ils ne l’étaient la dernière fois que le pétrole brut s’est échangé dans la fourchette de 100 $ le baril – 25 juillet , 2022
- Maroc, tarification en dirham du pétrole au litre à la pompe, 14 mars 2022
- prix du pétrole en euros à la pompe, le 14 mars 2022 à Paris, France
- Prix du pétrole en Dirham à la pompe, le 14 mars 2022 au Maroc
- Oil Price in Oakland, California, April 2022
- Prix en Dirham de l’Essence Super / sans plomb et du Diesel / Mazout au Maroc
- Les prix de l’essence s’envolent bien au-dessus du prix du pétrole brut. La capacité de raffinage réduite des États-Unis et de l’Union européenne, la guerre de la Russie en Ukraine et les limites d’exportation de la Chine ont tous contribué à gonfler les prix du pétrole à la pompe bien plus haut qu’ils ne l’étaient la dernière fois que le pétrole brut s’est échangé dans la fourchette de 100 $ le baril – 25 juillet , 2022
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prix du pétrole en euros à la pompe, le 14 mars 2022 à Paris, France
Les prix de l’énergie ont augmenté de 44,7 % en mars, contre 32 % en février, selon Eurostat, alors que l’Union européenne [Commission européenne] s’est retrouvée mêlée à une crise pétrolière et gazière causée par les tensions avec la Russie à la suite de l’invasion de l’Ukraine. La hausse de l’inflation accroît la pression sur la Banque centrale européenne pour qu’elle relève son taux directeur.
Ces tendances d’inflation alimentent du même coup tous les prix au niveau du consommateur quels que soient les services ou les produits acquis ou achetés. Certains détails sont spectaculaires. L’inflation annuelle, hors énergie et alimentation, est de 6%. La hausse des prix de l’énergie est de 27%, celle de l’alimentation de 7%. L’inflation s’élève à 12,2% pour les véhicules neufs en pleine pénurie de semi-conducteurs, et à 4,4% pour le logement. Ces dernières données montrent que l’inflation se propage à l’ensemble de l’économie.
Mix Électrique au Maroc: Ressource Énergétique ou Recette Stratégique
État d’esprit d’une transition unique avec un reflet de deux faces et de deux volte-faces projeté par une même vision énergétique
Le Rêve d’un Éditeur est de briser le silence et de publier des analyses, compte-rendu et des reportages sur des sujets tabous surtout ceux qui véhiculent la réforme du savoir et la refonte de l’actualité selon les normes officielles. En tant que Marocain, le Maroc est notre idée première du développement et de la construction de bienfaits pour le reste de la nation.
Notre travail est un parcours jonché d’obstacles pour faire aboutir notre perception et notre croyance dans l’Écrit et la publication d’articles abordant a la fois les structures de pensées et les actions réalisatrices pouvant fructifier le débat et enrichir les activités constructives du progrès social, du développement économique et de l’intégration opérationnelle des agences publiques d’Etat dans la poursuite, la refonte et la concrétisation des objectifs et des performances allant dans la réalisation de l’indépendance authentique de l’Economie financière et productive du Maroc. Par Said El Mansour Cherkaoui – 17/12/2023
• Dr Said GUEMRA • 1st • Energy Transition Operator •
QUEL MIX ÉLECTRIQUE POUR LE MAROC EN 2050 ?
Dans un bon nombre de pays, il y’a un énorme débat public sur la configuration du mix électrique à 2050.
Pour l’instant, aucun pays n’a officialisé son mix à 2050. Les scénarios sont à l’étude, sur tous les plans: technique, financier, environnemental….
La France travaille sur 6 scénarios, l’Espagne sur 4…Le choix de l’option finale, ou d’un mix d’options, se fera probablement en 2025/26. Les stratégies pour atteindre les objectifs assignés seront mise en place, avec les plans d’action, et tout ce qui s’en suit.
Au Maroc, et d’après le document de la stratégie bas carbone à long terme, un seul scénario est retenu, 80% de renouvelables, et 20% inconnu. c’est peut être de l’électricité de base renouvelable, mais on ne sait pas à quoi elle correspond.
Dire, que nous allons compenser 80% de renouvelables avec 20% en base, relève de l’hérésie.
Dire que l’intermittence des renouvelables sera compensée par des GW de batteries, est une hérésie encore plus grande, en raison du coût, et de l’autonomie que ces batteries peuvent offrir.
Si on a trois nuits successives sans vent ou à vent faible, le Maroc entier sera dans l’obscurité. Les batteries doivent stocker quelques chose comme 165 TWh par jour d’autonomie….à 200 $/kWh, il faut un courageux pour calculer le coût de ces batteries.
L’idée retenue par plusieurs pays, est de considérer les renouvelables à un maximum de 50% à 2050, soit 82 TWh EnR sur les 164 TWh de la demande nationale en électricité à 2050.
En 2022, nous somme à 7 TWh renouvelables. les 82TWh restants, peuvent être répartis entre le nucléaire, hydrogène, et un peu de biomasse.
C’est un scénario comme un autre, on peut regarder la part de chaque énergie dans le bouquet final, en fonction des coûts, des technologies…et autres considération environnementale.
Je recommande d’ouvrir les débats avec des scientifiques marocains, qui ont une parfaite maîtrise de ces questions, réaliser à 4 à 6 scénarios, et valider celui qui va être retenu.
La désignation du mix électrique du Maroc à 2050, est une très lourde responsabilité dans la mesure où elle va engager le pays dans des investissements monstres. pour une solution qui peut poser problème.
Maintenant on peut s’entêter et dire 80% de renouvelables en 2050, ce gouvernement ne sera pas là pour subir les conséquences de ce choix qui sera imposé à la légère à nos petits enfants.
On voit ici. six scénarios de mix électrique, avantages et inconvénients, aucune décision n’est encore prise, les modèles s’affinent de jour en jour.
LA CENSURE ÉNERGÉTIQUE
Il y’a quelques jours, j’ai reçu un appel d’un journaliste, qui se dit travailler pour une revue spécialisée dans l’énergie, les renouvelables…et toute la musique.
Il m’a demandé si je pouvais répondre à six questions, comme état des lieux de la transition énergétique au Maroc, j’ai répondu positivement, avec plaisir, tout en précisant que je ne sais pas caresser dans le sens du poil, et que je dis les choses comme elles sont, pas de problème répond le journaliste, la revue est très ouverte selon lui.
Les questions étaient bien formulées, avec un fil conducteur entre les six, j’ai pris quelques heures pour répondre, et envoyé le document. Deux ou trois jours plus tard, j’appelle pour voir le sort de cette article, il ne répond pas, j’ai encore plusieurs fois, sans succès…les réponses ne plaisent pas, et la revue censure, ça doit toucher aux intérêts de ceux qui la font vivre.
J’ai toujours travaillé avec des journalistes, qui sont devenu des amis, et on échange sur pas mal de choses. Un grand nombre d’entre eux veulent que la transition énergétique décolle dans notre pays, et ils font de leur mieux pour sensibiliser leur lectorat.
Je découvre ainsi, que même le secteur de la transition énergétique à sa censure. Il faut dire que tout va bien, pour le meilleur des mondes.
La prochaine fois je vous dirai le nom de la revue, ainsi que le nom du journaliste.
Voici l’entretien censuré, jugez par vous même, est ce que j’ai dis quelque chose qui ne reflète pas la réalité de la transition énergétique au Maroc.
Quelles sont les satisfactions concrètes que le Maroc tire de la stratégie énergétique impulsée en 2009 ?
Dans le secteur de l’énergie, Il y’a un avant 2009, et un après 2009. Comme vous le savez, cette année a connu le lancement par Sa Majesté le Roi, du plan de la transition énergétique du Royaume, avec trois fondamentaux :
(1) l’efficacité énergétique qui a été hissée au rang de priorité, et qui constitue par conséquent, le premier pilier de la transition énergétique,
(2) les énergies renouvelables avec des conditions économiques acceptables,
(3) la liberté de conception d’un mix électrique, pouvant amener le Maroc à la production électrique d’un kWh très bas cas carbone, n’excluant aucune énergie, y compris l’électronucléaire. Je peux ajouter un quatrième axe aussi important, et qui a été introduit sur le plan conceptuel, par Mme la Ministre de la Transition Énergétique,
(4) et qui est relatif à l’intégration du Maroc dans le marché énergétique international : l’entrée du Royaume dans le marché international du gaz naturel, exportation de l’électricité renouvelable, et l’exportation de l’hydrogène vert.
Ainsi sur le plan conceptuel, le Royaume disposait, et dispose toujours, des outils les plus avancés par rapport à leur temps (2009) pour réaliser une transition énergétique presque parfaite, tous les feux étaient au vert. A cette époque, beaucoup de pays même développés, n’avaient de vision dans ce domaine, et c’est maintenant qu’on voit par exemple, des pays comme la France, revenir de manière forte au le nucléaire, qui finira par être reconnu comme une énergie bas carbone ou énergie verte.
Huit ans plus tard, la communauté scientifique internationale à Washington a remis le prestigieux prix du visionnaire en Efficacité Energétique (Energy Efficency Visionary Award) en 2017, à Sa Majesté le Roi Mohamed VI, lors du forum mondial de l’efficacité énergétique, en consécration au leadership du Souverain en matière d’efficacité énergétique. La méthodologie marocaine élaborée en 2009, a été reprise par plusieurs pays.
Notre satisfaction à ce jour, vient du fait que nous disposons d’un modèle de transition énergétique très élaboré, qui peut être utilisé en tout temps, je l’utilise moi-même dans mes prestations dans l’industrie et le bâtiment : réduire la facture énergétique grâce à l’efficacité énergétique, dans un premier temps, et passer aux renouvelables dans un deuxième temps.
Si le plan de transition énergétique avait été conduit de manière très rigoureuse, nous aurions été au moins au double de la part des énergies renouvelables, soit 34% dans notre mix électrique, en 2022, nous étions à 17%. La traduction de la vision royale sur le terrain par des différents gouvernements, a été loin d’être satisfaisante. Je pense qu’il ne faut pas chercher une deuxième colère royale à ce sujet.
Des changements majeurs ont intervenu ces 3 dernières années.
Quelles sont les nouvelles perspectives ?
Parfaitement. J’avais commencé ma carrière dans une société Américaine spécialisée dans le domaine de la gestion de l’énergie en 1989, nous avions piloté le premier programme d’efficacité énergétique au Maroc. Je peux vous dire que le secteur de l’énergie, était le plus silencieux des secteurs, de temps en temps l’ONEE inaugure une centrale électrique, et tout était figé, jusqu’en 2009 avec le plan de transition énergétique.
L’année 2016 a connu le lancement du premier solaire Noo1, l’exécutif a donc répondu avec un retard de sept ans. D’autres projets ont été lancés, également avec de grand retards, projet Midelt, Sa Majesté qui suit ces projets en personne, a toujours été dans l’obligation de relancer, résultat du parcours, un retard de 10 points a été enregistré par rapport à l’objectif de 42% EnR installés en 2020, nous étions à 31.7% cette même année au lieu de 42%.
Je pense qu’avec l’arrivée de Mme Benali, nous avons une meilleure visibilité quant à notre avenir et sécurité énergétique, je cite particulièrement les grands efforts dans le domaine du gaz naturel, dont les feuilles de route ont été figées depuis des années, maintenant nous voyons plus clair, la structuration du projet hydrogène avec sa feuille de route déjà élaborée, et l’offre hydrogène, en cours d’élaboration, ce qui permettra de lancer les projets hydrogène à partir de 2024.
Il faut également noter que nous ne disposions pas d’objectifs de puissances électriques installées, le ministère de la transition a donc défini un objectif de 1 à 1.3 GW de renouvelables à installer annuellement, en plus du grand projet de 3 GW renouvelables lancé récemment, je pense que tous les ingrédients sont là pour atteindre l’objectif de 52% de la puissance installée en 2030, ce qui correspond à 30 voire 32% EnR dans notre mix électrique. L’efficacité énergétique est restée à l’écart, nous n’avons malheureusement par avancé dans ce domaine, qui reste pourtant le premier pilier de la transition énergétique.
Hydrogène vert, biomasse, énergie marine, dessalement sont à tout point de vue de nouveaux inputs
Plus d’éclairage sur ces nouveaux éléments ?
Qu’est-ce qui est déjà fait, et envisagé ?
Pour l’hydrogène vert, le Maroc dispose d’avantages majeurs, stabilité politique et économique, proximité avec l’Europe, et des conditions climatiques très favorables dans nos régions du sud, qui font que le ratio en Tonne H2 / MW installé, soit l’un des meilleurs au monde. L’hydrogène peut se développer sur les 1 250 km entre Guelmim et Guargarat, avec d’excellents facteurs de charge aussi bien pour l’éolien que pour le photovoltaïque. En 2050, et en raison de la forte productivité de l’hydrogène dans le sud, le Maroc peut capter bien plus de 4% du marché mondial estimé à 600 MTH2/an, mon estimation est de 9 à 10% du marché mondiale pour le Maroc, si les projets sont bien menés. On s’attend à de grands projets de
production de cette molécule, je connais des développeurs qui attendent l’offre du Maroc, et les autorisations administratives pour pouvoir commencer. Personnellement, je m’attends à une offre win-win, ou le Maroc serait rémunéré en nature pour notre propre transition. La feuille de route hydrogène du Maroc détaille très bien les premiers usages de l’hydrogène, avec une priorité à l’industrie.
Avec le développement des nouvelles turbines à hydrogène, la production d’électricité verte, serait également concernée. Sur un plan pratique, Etant un concept nouveau, le développement de l’hydrogène, commence par un petit projet pilote, représentant à 5 à 10% du grand projet visé, afin de mieux comprendre le comportement des équipements, surtout vis-à-vis de l’intermittence des renouvelables. La Chine a commencé par un petit projet solaire de 0.5 MW. L’Egypte vient de réaliser sa première exportation d’Ammoniaque vert. C’est une phase de maîtrise technologique obligatoire avant de passer à des projets plus importants.
Encore une fois, le retard sur les projets hydrogène, est estimé à trois, voire quatre ans. Pour la biomasse, le Maroc a un potentiel de 12 TWh/an. Les plus importantes applications, sont dans le chauffage de l’eau, l’industrie, et la production d’électricité. Certains pays, ont fait passer des centrales à charbon vers la biomasse, un pays comme le Danemark est à 79% de renouvelables dans son mix électrique, dont 23.4% est de la biomasse. (La part EnR dans le mix électrique du Maroc est à 17% en 2022). Certains pays encouragent la production électrique à partir de la biomasse, pour des projets assez petits, de l’ordre de 1 à 2 MW en moyenne tension, notre cadre réglementaire, n’autorise pas ces projets, il fixe 5 MW comme limite inférieure pour ces projets, c’est une autre opportunité de perdue. Cet énorme potentiel n’est malheureusement exploité au Maroc. La valorisation électrique de la biomasse peut permettre la création de plusieurs milliers d’emplois ruraux, et plusieurs MWh d’énergies renouvelables.
Pour les énergies marines, il n’y’a pas encore de retour d’expérience suffisamment convaincants pour que les investisseurs puissent s’engager, il y’a effectivement des essais sur des hydroliennes, mais je pense que cette technologie serait suffisamment mature dans les cinq à dix années avenir.
Pour les stations de dessalement de l’eau de mer, le Maroc planifie la construction de 12 stations, avec la bonne option de les alimenter avec de l’électricité renouvelables afin de baisser le coût de production du M3 d’eau. Comme vous le savez, les projets hydrogène utilisent de l’eau au niveau de l’électrolyse, quelque chose comme 9 Litre d’eau / Kg d’hydrogène. L’idée pour les projets hydrogène, est de surdimensionner la station de dessalement d’eau de mer, pour donner cette eau en plus à des nouveaux espaces agricoles situés entre les éoliennes, dans nos régions sud. Je reste très attaché au volet de
développement social sur les sites concernés, et qui doit accompagner les projets renouvelables. Une dernière application pour ces stations, et non des moindres, est relative à leur l’utilisation pour absorber le surplus des énergies renouvelables, et donc « stocker » le surplus de ces renouvelables, sous forme d’eau potable.
Energie au Maroc: Réalité, Efficacité et Compétence
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Électricité au Maroc ! Débat Branché de Haute Tension et Facture Fracturée
Posted on by Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.
Morocco Renewable Electricity: Check Reality or Real Shock? Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux? Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs […] Lire la suite
Le cadre réglementaire a toujours été pointé du doigt par les acteurs comme un obstacle majeur. Qu’en-est-il aujourd’hui ?
C’est la question centrale qui a fait que les renouvelables ne se développent pas comme on le souhaite tous. La loi 13/09 sortie en 2010, est une loi dédiée uniquement à la Haute et très Haute tension, en hors site. Les grands projets privés que vous voyez, ont été réalisés dans le cadre de cette loi. En même temps, cette loi a éliminé la basse tension (les ménages), et gardé dans son article 26 la possibilité d’alimenter en moyenne tension (les industries) par des renouvelables.
A ce jour, le décret d’application qui définit ce qu’on appelle les timbres, ou les coûts de transport et de distribution des kWh, n’ont jamais été élaboré par l’ANRE, d’autres lois sont venues amender la loi 13-09, entre autre la loi 40-19. En 2015, la loi 58-15 autorisait la basse et moyenne tension, sans jamais sortir les décrets correspondants. Faute de décrets d’application, toutes les lois restent inapplicables, en dehors de la haute et très haute tension, qui ne sont pas dans le périmètre des distributeurs.
Il y’a aussi un projet de décret d’applications de la loi 82-21, qui ne défini en aucun cas, le prix du kWh correspondant au 20% injectés dans le réseau du distributeur. Selon la loi 82-21, le coût de reprise du kWh est défini par l’ANRE, au niveau du décret, on parle d’un accord commercial entre le client et le distributeur. Au final, ce sont les distributeurs qui vont fixer le prix théoriquement réglementé, une entorse du décret à sa propre à la loi.
D’autre part, la loi 82-21 fixe à 20% du total solaire produit, une disposition qui n’existe dans aucun pays. Le peu d’industriels que nous voyons installer des plaque solaire, ont une demande électrique supérieure à la cloche solaire, et par conséquent, ils n’on aucun besoin d’injecter dans le réseau, mais les autres cas peuvent avoir un besoin d’injection de plus de 50%, ils seront rémunérés pour les 20%, et perdre 30% au profit du distributeur, qui va vendre ce surplus aux voisins.
Cette même loi, ne prévoit pas l’autoconsommation collective, ce qui veut dire que les immeubles et R+2 ne peuvent bénéficier des renouvelables, il ne reste plus que les grandes villas, et qui doivent avoir d’importante consommations le jour, pour consommer la production solaire. Je suis avec ces acteurs qui non seulement pensent, mais ils lisent les lois, pour dire qu’elles sont la véritable entrave pour le développement des renouvelables au Maroc.
Ce que j’ai toujours demandé, ce sont de nouvelles lois, au plus équivalentes à celle des pays qui encouragent les renouvelables, comme la Tunisie, avec 76 000 installations en deux ans après la sortie de la loi. Ce sont aussi des milliers d’emplois que nous perdons chaque année. Au final, la transition énergétique c’est une voiture à 4 roues, dont trois sont à plat : Les renouvelables en moyenne tension, les renouvelables en basse tension, et l’efficacité énergétique. Notre transition fonctionne uniquement avec les renouvelables en haute tension, on ne peut pas aller très loin avec véhicule.
Rôle des acteurs institutionnels jugé pléthorique et modèle de gouvernance
remis parfois en cause, notamment dans le rapport du CESE ?
Le rapport du CESE avait le mérite de dévoiler le montant de 800 MDh/an comme déficit du projet solaire. Le choix du solaire à concentration était fatal, à l’époque j’étais le seul opposant à ce projet, ses chiffres ne bouclaient pas. C’est une technologie qui n’a jamais atteint la maturité, la preuve aucun projet hydrogène ne fait appel à cette technologie, qui a perdu 41% de sa production au début de l’année 2022, selon le rapport de Bank Al Maghrib. Le CESE avait recommandé de ne plus faire appel à la technologie CSP, pour les projets futurs, compte tenu de ses performances mesurée sur le terrain, en 2022 le solaire a représenté 3.5% du mix national, avec une baisse globale du productible de 21%, suite à des pannes répétitives.
Ce que je ne comprends, c’est la décision de reconduire le CSP pour le projet de Midelt 1600 MW. 1000 MW photovoltaïque et 600 MW en CSP. J’ai l’impression que les gens ne veulent pas apprendre les leçons du terrain, et surtout écouter les recommandations d’un organisme aussi respecté que le CESE. En plus des problèmes réglementaires pour les renouvelables, Il y’a effectivement un rôle pléthorique des acteurs institutionnels. On ne sait pas qui fait quoi. Vous avez l’AMEE qui s’occupe (ou s’occupait) du pompage solaire, et de l’hydrogène, alors que sa véritable mission c’est l’efficacité énergétique. Masen qui veut faire de la R&D pour un projet de 100 MW avec les allemands, alors que c’est le rôle de l’IRESEN, qui a été crée à des fins de recherche dans le domaine du solaire, la SIE qui a du mal à trouver un statut sur l’échiquier
énergétique…. Les exemples sont multiples, et au final, une grande perte d’efficacité, qui explique en majeure partie la modestie des résultats de notre transition énergétique à ce jour.
J’ai toujours milité pour une agence marocaine de l’énergie, qui regroupe tout ce beau monde, et qui aurait surtout la responsabilité de répondre des résultats de baisse des consommations énergétique avec l’efficacité énergétique, et de la montée des énergies vertes pour les renouvelables, ce sont les deux véritables paramètres d’évaluation de la transition énergétique.
La Question de l’Energie au Maroc: Nouvel Débat ou Débarras Final
Posted on by Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.
Est ce que c’est le début de la fin des chasses-gardées au Maroc? Le Souverain du Maroc Prends une Position Ferme a l’Égard du Détournement […] Lire la suite
Comment redynamiser l’efficacité énergétique qui jusque-là a produit des résultats
timide malgré qu’elle ait été inscrite comme priorité nationale ?
Comme je disais au début de cet entretien, l’efficacité énergétique est le premier pilier de la transition énergétique marocaine. Aujourd’hui ce pilier se compose de trois grandes composantes à savoir : la sobriété énergétique, la gestion de la demande énergétique, et le passage à des équipements plus efficaces. L’audit énergétique n’est plus qu’une composante d’un système de gestion de l’énergie qui doit conduire à la réalisation d’une économie d’énergie. Depuis 2011, avec la norme ISO 50001, nous passons de la notion d’audit, un mot qui fait peur, à la notion de système de gestion de l’énergie.
Avec le développement des IoT, les structures de gestion de l’énergie, se fixent des objectifs de réduction de la facture énergétique de leurs clients, et ils réalisent le suivi à distance, avec une évaluation permanentes des objectifs, les renouvelables peuvent être considérés, voire financés à même les économies d’énergie réalisées.
C’est un système basé sur une instrumentation connectée, très élaborée, et qui met les industriels en confiance pour avancer dans les investissements en efficacité énergétique. On ne peut plus travailler avec les outils du passé. Selon mon expérience dans ce domaine, je peux affirmer que le potentiel de l’efficacité énergétique dans le bâtiment peut atteindre 71% (identifié) de la consommation totale, dans l’industrie, il peut atteindre 52% (réalisé), grâce à la connectivité des compteurs électrique, et d’eau avec un record de fuite de 68% de la consommation totale.
A ce jour, l’efficacité énergétique, définie par Sa Majesté le Roi, comme priorité nationale, reste marginalisée. Nous passons à côté d’un énorme potentiel qui reste inexploité à ce jour. L’humanité n’arrivera pas à la neutralité carbone, avec uniquement des renouvelables, elle doit impérativement baisser ses consommations avec des programmes multiples et variés.
Le ministère de la transition énergétique s’est fixé une économie d’énergie de 20% à 2030. Pour donner un ordre de grandeur, je peux admettre une facture énergétique de 153 MMDh du Maroc en 2030, équivalente à celle de 2020, une économie de 20% représente la bagatelle de 30.4 MMDh d’économie par an. 1% d’économie, c’est déjà 1.53 MMDh/an, ou sont les projets réalisés même pour 1% d’économie ? Pour revenir à votre question, du comment dynamiser l’efficacité énergétique, il est impératif de préparer de nouvelles ressources humaines, quelque chose comme 300 à 400 structures privées de gestion avancée de l’énergie, chaque structure doit réaliser une économie de 100 MDh d’ici à 2030, soit 14 MDh/an de gains par an prouvés par la mesure et la vérification.
L’efficacité énergétique ne peut pas se faire toute seule, on ne peut pas l’installer et l’inaugurer comme les renouvelables, elle est très discrète, et il faut un énorme travail sur le terrain par des spécialistes compétents. Autre fait important, c’est la bonne volonté des banques pour financer les projets d’efficacité énergétique et énergie renouvelables, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas grand-chose à financer. Encore une fois, nous avions et nous avons tous les ingrédients pour réussir nos projets d’efficacité énergétique, hélas on ne mesure pas grand-chose sur le terrain.
Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.View Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.’s profile 7mo •
🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 New Silky Road and Milky Way Within Africa 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍
Africa Needs to Build its Own Energy Road as the New Silky Road and Milky Way within and through its own territorial spaces including the borders of the needs of its own needs and the needs of each region in every country in Africa.
Morocco-Nigeria power Proposition by Said El Mansour Cherkaoui as a transfer, storage and transmission of solar powered generation to be developed to Supply all the Maritime Ports of Northwest African Countries.
Barter Moroccan Electricity for Nigerian Gas and Oil and Africa will be Regionally Synergistically Integrated Beyond the Sand Waves of Sahara Ocean.
North Africa to South of Africa and South of Africa to North Africa:
The Sahara is the New Frontier for Africa to Build New Chains of Value and New Supply Chains of New Intelligent Forms of Growth and Productive Expansion Responding to and for its Own People, the New Coming and Rising Young Generations.
🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍🌍🌍🌍AFRIQUE🌍🌍🌍🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍 🌍
🌍🌍🌍🌍🌍 Nouvelle Route de la Soie et Voie Lactée en Afrique 🌍🌍🌍🌍🌍
Africa Destiny: Morocco Suppliers of Energy to Europe and Not Africa Itself?
🌍 Contact the Author – Said El Mansour Cherkaoui 🌍 saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com – https://triconsultingkyoto.com 🌍 AFRICAFRIQUE … Continue reading Africa Destiny: Morocco Suppliers of Energy to Europe and Not Africa Itself?
L’Afrique doit construire sa propre route de l’énergie en tant que nouvelle route de la soie et voie lactée dans et à travers ses propres espaces territoriaux, y compris les frontières des besoins de ses propres besoins et les besoins de chaque région dans chaque pays d’Afrique.
Proposition d’électricité Maroc-Nigéria par Said El Mansour Cherkaoui en tant que transfert, stockage et transmission de la production d’énergie solaire à développer pour approvisionner tous les ports maritimes des pays d’Afrique du Nord-Ouest.
Échangez de l’électricité marocaine contre du gaz et du pétrole nigérians et l’Afrique sera intégrée de manière synergique au niveau régional au-delà des vagues de sable de l’océan du Sahara.
Afrique du Nord vers Afrique du Sud et Afrique du Sud vers Afrique du Nord :
Le Sahara est la nouvelle frontière pour l’Afrique pour construire de nouvelles chaînes de valeur et de nouvelles chaînes d’approvisionnement de nouvelles formes intelligentes de croissance et d’expansion productive répondant à et pour son propre peuple, les nouvelles générations montantes et émergentes.
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🌍 From Said El Mansour Cherkaoui – 14/6/2023 – To the Attn.: of Dr Said GUEMRA Good Day and Good Reading. 6/14/2023
🌍 De la part de Said El Mansour Cherkaoui – 14/6/2023 – A l’intention de Dr Said GUEMRA Bonne Journée et Bonne Lecture.
Maroc Energie Publications par Said El Mansour Cherkaoui
Maroc: La Samir et le Duel Interministériel Manquant d’Energie Gouvernemental – MAROC CROISSANCE
🌎 Said El Mansour Cherkaoui 🌍 July 20, 2022 🌍Le Maroc Trébuche sur la SAMIR, la Caravane de l’Energie Traverse le … Lire la suite
Maroc: Eau, Energie et Pollution
CULTIVATING CONVERSATIONS SEEDS TO GROW POVERTY FOR MOROCCAN PEOPLE AND INCREASE POLLUTION FOR MOROCCAN LANDS 1 – L’exemple de ce pays et le désert est un mauvais exemple d’un pays qui vole l’eau en puisant les nappes souterraines des pays voisins. Un peu tard pour supporter les Marocains Musulmans après toutes ces annees perdues dans … Lire la suite
Darbou Chi Fall – Fortune Teller Moroccan Vision: Go Back to Future, Progress without Future
Said El Mansour Cherkaoui – 24 July, 2022 The Fortune Teller Vision: Go Back to the Future with Progress without Future Go Baby over the line on the sand and seek sun heat to create an invisible energy steaming in the air and not in our homeland and homes Where is our money is where Lire la suite
Debate on Electricity in Morocco!
Why, How and What are the International Parameters?
In the case of Morocco, a combination of factors are in constant interference and interaction and can be summarized in the following facts:
- Expansion of urbanization,
- Electrification of rural areas,
- Attractiveness of foreign companies,
- Military and national security needs,
- Priorities of the State with regard to planning and regional budget allocations for the establishment of energy projects serving as a stage and stimulus for industrial production, regional development and job creation.
Thus, the cost of this energy must be taken into account so as not to constitute a brake on the growth of productivity at least parallel to the degree reached by the renewal of the energy mix.
This renewable energy mix distinguishes by 6 categories:
Renewable energy is energy that is collected from renewable resources that are naturally replenished on a human timescale. It includes sources such as sunlight, wind, rain, tides, waves, and geothermal heat.
- No. 1 – Solar energy. …
- N°2 – Wind energy origin of the wind. …
- N°3 – Power hydraulics. …
- No. 4 – Biomass. …
- No. 5 – Geothermal energy. …
- No. 6 – Maritime energy
What would be more instructive is to compare the means and infrastructures put in place by other countries with a similar need and objective as in Morocco, that of owning their own sources of electricity production. order renewables and even hybrids to be able to reduce greenhouse gas emissions to address the climate emergency and reduce the human and socio-economic cost of costly external supply.
“ The term energy mix refers to the distribution of the different primary energy sources in the final energy consumption of a given geographical area. Overall, this mix is 80% dominated by fossil fuels responsible for greenhouse gas (GHG) emissions. To reduce the effects of GHGs and effectively combat global warming and the scarcity of fossil resources, the current energy model must evolve towards an energy matrix favoring renewable energies (RE), such as water, wind, etc. or the sun, infinitely present in nature. »
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
It is not only a question of percentage or capacity for energy renewal, it is above all and after a question of energy independence from natural resources and therefore a question of strategic national interest which has an impact on all areas of Morocco’s economic, social and operational development.
Yes or No Hybridly Speaking in Indian Energy, could Morocco complete the production of 52% of its electricity by the mix of renewable energies in 2030!
In Western countries, technological advances have been made but they have not been able to achieve the primacy of renewable energies as an effective alternative to the needs and demands of energy and therefore have not currently been able to provide a solution to energy problems.
The main reason is that this Damocles sword whose greenhouse gases are the main reasons for global warming:
- Cause n°1: Variations in the intensity of the sun. …
- Cause n°2: industrial activity. …
- Cause n°3: agricultural activity. …
- Cause n°4: deforestation. …
- Cause #5: Earth’s own feedback loop.
Potential future effects of global climate change include more frequent wildfires, longer dry spells in some regions, and an increase in the number, duration, and intensity of tropical storms.
Global climate change has already had observable effects on the environment. Glaciers have shrunk, the ice on rivers and lakes is breaking up earlier, the ranges of plants and animals have shifted, and trees are flowering earlier.
The effects that scientists predicted in the past would result from global climate change happening now: loss of sea ice, accelerated sea level rise, and longer and more intense heat waves.
These repercussions of the globalization of climate change alone impose innovations and adaptations of the instruments necessary to obtain a continual renewal of energy, and this in relation to past consumption as well as to future demand, and this in the framework of anticipating the energy needs of the country or those of the industrial units that consume the most electrical energy or the energy coming from fossil fuels.
The other main drawbacks are the fluctuation in the efficiency of renewable energy sources, which varies according to the installation area, the season and the vagaries of the weather. Thus, solar energy is distinguished by variations caused by the day-night cycle, periods of cloudiness or other physical obstacles that stand between the sun and the photovoltaic panels.
- This first drawback is less problematic given the existence of hydroelectric power stations, thanks to the presence of dams that retain water which determine in advance the presence of a certain amount of water.
- The second disadvantage is related to the initial investment required, which is high due to the cost of the material used.
France has set itself the goal of reaching 40% renewable energies in its energy mix (distribution of the various energy sources consumed) by 2030, compared to 20% currently.
Germany’s Energy Consumption and Production
Morocco Renewable Energy Projections 2030?
Dr Said Guemra specifies in the following terms
- “When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
- In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables…which cannot be achieved even with nuclear power plants. In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed power of 31.8% excluding step which are not renewable energies.
- If in 2020, an installed power of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, the question arises, how 52% of the installed power will give 52% of the electricity mix?
- A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!” Source: Dr Said GUEMRA
If we consider the figures put forward by the competent authorities, we could extrapolate that Morocco could therefore increase its energy autonomy in a reduplicative and double way, since this new yield extracted from a previous consumption favors cleaner industrial production with less of pollution thus favoring the development of a localized economy with its own energy sources.
The question arises as to the type of hybrid renewable energy sources used such as a photovoltaic system, a wind turbine, a hydraulic energy converter (hydroelectric power plants or use of waves) or a combination of these sources. An important criterion for the choice of the source used is the existing potential energy capacity and dependent on the geographical location of the installations of the hybrid system.
Another determining factor is the consumption of electricity supplied, the volume of which determines the need for additional regulated production, peripheral storage and/or a conventional source, etc. Despite its significant potential in this area, not only Morocco but the entire Middle East and North Africa region has only limited storage networks.
From the angle of development and technological innovation of the renewable means of production themselves, the optimization of their joint operation or even their coupling with other non-renewable energy sources can only favor hybrid systems in that option to the construction of modern electricity networks that includes economic, environmental and social benefits.
Author: Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.
Bibliography:
Dr Said GUEMRA• No: 52% of our electricity will not be renewable in 2030!
The Effects of Climate Change: https://climate.nasa.gov/effects/
What role for renewable energies in the energy mix?: https://abgi-france.com/news-energie/role-energies-renouvelables-mix-energetique/
Prospects for Industrial Development in Morocco – MAROC CROISSANCE – Apr 4, 2022 In “Economic Development”
PROSPECTS FOR INDUSTRIAL DEVELOPMENT IN MOROCCO
Dr Said GUEMRA • 1st Expert Consultant in Energy Management 4.0 GemTech MoniToring Morocco • Thursday 7/April/2022
I received the attached message from a friend who asked the Minister of Industry about green electricity:
Response from Mr. Ryad MEZZOUR Minister of Industry and Trade :
“ We will CONNECT our factories with our renewable energy! »
Reply – Question by • Dr Said GUEMRA • How?
Connecting in its one-way and electrical way means electrically connecting our factories to green energies… Connecting also means that we will put cables for example between the Ouarzazate power plant and the industries of Casablanca, connecting also means cables between our dams and our industries in the North…..According to the Minister, Morocco will experience a revolution in electric cables, which will directly connect our factories to our renewable sources: should we understand something else?
As the father of the concept of the Moroccan law 13/09 whose origin was the Dalia project in Tangier 2006, I would like to clarify to the Minister of Industry that we do not need to “connect” our factories to a renewable source, it suffices to inject the renewables into the network to recover them hundreds of km further, via contractual terms, without any change: this is what I proposed in 2006 as part of the portfolio Moroccan CDM projects, and became law 13/09 in 2010.
And the second big point, is as I said in a previous post about you, the production of renewable power energies is done in High Voltage, while the industrial ones are in Medium Voltage, and your department is making the same mistake again than the 400 MW project which never saw the light of day because of this problem of laws, which block everything in Morocco….You see that our laws are so well done, to the point where even the Ministry of Industry, Ministry of Transition, Masen, have been unable to do anything to pass a 400 MW project…it’s blocked everywhere Minister, even the cables you are proposing are useless with the new decree of the Ministry of l inside.
And then you discussed renewable electricity at 0.5 Dh/kWh, when will it be effective? when ? have you discussed with ONEE?
I advise you to surround yourself with specialists who know these questions, in order to give the right answers that Moroccans expect, because so far we have not had any convincing answer, either from you or from the minister. of the energy transition, the main one concerned, and who does not seem to be very interested in the subject.
Dr Said GUEMRA• 1st Expert Consultant in Energy Management 4.0 GemTech MoniToring Morocco
THE LATEST IPCC REPORT COMFORTS MOROCCO IN ITS 2009 ENERGY TRANSITION PLAN
Energy efficiency and renewable energies, which are four times more efficient than nuclear, against greenhouse gases.
There is really reason to be proud of this conclusion, and that on a plan of strategic choice, we are on the right track. Our roadmap, established by Her Majesty in 2009, has once again been validated. Nuclear would be much less on the agenda in our energy transition.
According to the CEO of ONEE, we know that the office is actively preparing for this transition, by multiplying connections with Europe, even connections with Arab countries, and above all by adopting gas, which remains a controllable energy, all to cope with the intermittency of renewables.
Gas being a transition energy.
Morocco is putting all the chances on its side in order to increase its renewable power, without worrying about the national network… we will have to increase!
While it is true that the achievements are not up to the initial expectations of 2009: with 12% energy savings not achieved between 2010 and 2020, i.e. a net loss of MAD 8 billion/year, and 20% renewables in our electricity mix in 2021, when we could have been at more than 30%, this value might be reached in 2030 if we install 850 to 1000 MW/year, which is far from being the case, the ONEE cannot achieve these powers alone, it can go from 200 to 300 MW/year, no more, and it will be imperative to open up medium and low voltage, to the private sector, and above all with new laws, which must allow the hatching of renewables in our country, contrary to the panoply of current laws, which erect all possible and imaginable barriers in the face of renewables.
Social energy must start somewhere, to help the poorest, a large number of programs on the ground must be imagined and executed.
To date, we have the best transition plan in the world, with the testimony of the IPCC, and which will have to be put to music as soon as possible.
Grégory Lamotte• 2nd President, Founder at Comwat t •
Salomé Saqué • 2nd Journalist – April 7, 2022
Dr Said GUEMRA• 1st Expert Consultant in Energy Management 4.0 GemTech MoniToring Morocco – April 7, 2022
ENERGY SOBRIETY: THE KEY WORD IN THE FIGHT AGAINST CLIMATE CHANGE.
Sobriety or energy efficiency, tackles the horizontal part of the kWh, namely time. How to make an energy supply equal to the energy need? The building can be air-conditioned 24 hours a day for an administrative presence of 8 hours a day. In industry, machines can produce 3 or 4 hours for a consumption of 10 or 12 hours.
The potential of sobriety is much greater, in a very large number of cases, than that of
energy efficiency and renewable energies. With very little investment, we can reduce the consumption of a building, by simply adapting the energy supply to the needs: lighting, air conditioning, etc.
A building’s energy transition plan must begin with a merciless hunt for losses, with the support of the digitalization of energy, which allows us to know where we are in terms of adapting the offer. energy on demand. The first gains in energy sobriety, which can be very substantial, make it possible to finance energy efficiency projects, the balance of energy accounting makes it possible to finance on-site renewables, and if necessary, the complement would come from off-site renewables. site…to move towards zero carbon, or net zero in the event of compensation. ..and it is possible in a very large number of cases.
The translation of the energy transition plan initiated by His Majesty in 2009, based on PRIORITY energy efficiency and effectiveness on the GROUND must be done in four axes, which must be executed in order:
- 1- Energy efficiency
- 2- Energy efficiency
- 3- On-site renewables
- 4- Off-site renewables
If energy efficiency and energy efficiency yield, for example, 50% measurable savings, renewables will only concern the second half of the energy, ie a significant renewable investment cut in half. If we start with renewables, we will be dealing with 100% of the investment instead of 50%…it’s magic!
Decarbonization at respectable % 70/80% cannot come from renewables alone, the best solar achievements are between 15 and 20% of the decarbonation rate (which remains to be verified) limited for reasons of cost, or space… the significant rates do not can be reached only with the progress of axes 1 2 3 with investments with very high profitability, over 3 to 4 years.
Aiming for 100% as a decarbonation rate means that the Moroccan market must be opened up to off-site renewables, to provide the complement, which would be between 10 and 30%.
We have had an excellent energy transition plan since 2009, it is important for us to apply it. The payment of the carbon tax will not take place until 2026, which gives us time for an energy upgrade in accordance with the rules of the art.
To meditate !
Statement by the Moroccan Minister for Energy Transition and Sustainable Development , Leila Benali
Rabat – Morocco: Moroccan Minister for Energy Transition and Sustainable Development , Leila Benali said her country intends to produce more than 52% of its electricity from renewable sources before 2030.
This happened during a speech by the minister on Monday evening in the House of Representatives (the first chamber of parliament) when she answered questions from parliamentarians.
Benali explained that Morocco’s efforts to transform energy are part of raising its ambitions regarding its energy strategy, which mainly focuses on the development of new and renewable energy sources.
She pointed out that the country “currently has about 50 renewable energy projects in operation…The total capacity of these projects in operation reaches 3,950 megawatts”.
The World Economic Forum said in a report last April that Morocco ranked third in the Arab world after Qatar and the United Arab Emirates for promoting an efficient energy transition for the year 2021.
According to Benali, his ministry will strive to provide new investment opportunities, including programming more than 4,000 megawatts of additional capacity from renewable sources by 2025.
The pace is accelerating in Morocco to increase energy production from renewable sources, as part of its efforts to achieve climate change and carbon neutrality goals by 2050, and also to achieve sovereignty in the sector.
Morocco has yet to make a net-zero pledge, saying it wants to develop an implementation plan first.
In the meantime, the country is taking steps to take full advantage of its renewable resources and become a key partner to markets such as #Europe in the supply of green energy.
ℹ Those are leading messages from Leila Benali, PhD., moroccan Minister of Energy Transition and Sustainable Development, in an interview to Energy Intelligence on March 30.
🔴 Interview Headlines 🔹️Morocco aims to increase the share of #renewables to exceed 52% in the energy mix by 2030. It is also on track with its objective to reduce greenhouse gas emissions by 45.5%. These plans are part of the country’s strategy for low-carbon development by 2050.
🔹️“Despite the volatility in the market today, #gas remains a key pillar of our energy transition, as it is the obvious complement to renewables, but also because it is flexible and has low carbon content,” the minister said.
🔹️“Today we have roughly 1.5 gigawatts of wind and 1 GW of solar that are installed, and we have an additional 8 GW planned and on the verge of being developed between now and 2030,” Mrs Benali explained, adding that #Morocco’s natural capital will be #solar and #wind.
🔹️“There is a significant number of investors knocking on our door today to convert that potential [solar and wind] into either green #hydrogen or green ammonia,” the minister revealed.
🔹️“We want to make sure when it comes to future green technologies, the state doesn’t take the technological bet, as there are investors that are willing to take that bet as long as they have a sustainable regulatory framework to invest”, she added.
🔴 Read the full article by Yousra Samaha here : https://lnkd.in/dyY7iyfh
Morocco Ramps Up Renewables, Eyes Key Supplier Role | Energy Intelligence
Rabat – Morocco: The Moroccan Energy Transition Minister, Leila Benali, said that her country intends to produce more than 52 percent of its electricity from renewable sources before 2030.
This came during a speech by the Minister on Monday evening before the House of Representatives (the first chamber of Parliament) when she answered parliamentarians’ questions.
Benali explained that Morocco’s efforts to transform energy come within the framework of raising its ambitions regarding its energy strategy, which is mainly focused on developing new and renewable energy sources.
She stressed that the country “currently has about 50 renewable energy projects under exploitation, total projects under exploitation amounting to 3950 megawatts.”
The World Economic Forum had said, in a report last April, that Morocco ranked third in the Arab world after Qatar and the UAE in promoting an effective energy transition for 2021.
According to Benali, her ministry will work to provide new investment opportunities, most notably programming an additional capacity of more than 4,000 megawatts from renewable sources by 2025.
The pace is accelerating in Morocco to increase energy production from renewable sources, as part of its efforts to achieve the goals of climate change and carbon neutrality by 2050 and also to achieve sovereignty in the sector
الرباط – الأناضول: قالت وزيرة الانتقال الطاقي المغربية, ليلى بنعلي, أن بلادها تعتزم إنتاج أكثر من 52 في المئة من طاقتها الكهربائية من مصادر متجددة قبل حلول 2030.
جاء ذلك خلال كلمة للوزيرة مساء الاثنين أمام مجلس النواب (الغرفة الأولى من البرلمان) لدى جوابها عن أسئلة البرلمانيين.
وأوضحت بنعلي أن جهود المغرب للتحول الطاقي تأتي في إطار رفع طموحاته بخوص إستراتيجية الطاقة, التي تتركز بالأساس على تطوير مصادر طاقة جديدة ومتجددة.
وأكدت أن البلاد “تتوافر حاليا على حوالي 50 مشروعا للطاقة المتجدرة قيد الاستغلال المشاريع الإجمالية قيد الاستغلال تصل إلى 3950 ميغاواط”.
كان “المنتدى الاقتصادي العالمي” قد قال, في تقرير له في أبريل / نيسان الماضي, إن المغرب حل في المرتبة الثالثة عربيا بعد قطر والإمارات في تعزيز التحول الفعال في مجال الطاقة, لعام 2021.
وبحسب بنعلي, فإن وزارتها ستعمل على توفير فرص استثمارية جديدة, أبرزها برمجة قدرة إضافية تفوق 4000 ميغاواط من مصادر متجددة بحلول 2025.
وتتسارع الخطى في المغرب لزيادة إنتاج الطاقة من المصادر المتجددة, ضمن مساعيه لتحقيق أهداف التغير المناخي والحياد الكربوني بحلول 2050 وأيضا لتحقيق السيادة في القطاع
Berlin Energy Transition Dialogue 22
Wondering if the Lightening and the Electrical power used for this large screen and during this Conference are all from Renewal Energies and Recyclable Products and Environmental Safe Materials
Moroccan Minister of Energy Transition and Sustainable Development Leila Benali, PhD., Nigerian Minister of Power, Abubakar Aliyu and Egyptian Deputy Minister Dr Ahmed Mohia are the high level participants at the #betd22
15th German-African Energy Forum
“Turning Tables and Breaking Habits: Energy Transition
through Africa’s lens”
June 1st & 2nd, 2022
Live event in Hamburg, Germany
(Panoramadeck of the Emporio Tower)
This year’s key topics:
– Renewable Energy (solar for industry, transition of hydro, financing RE)
– Hydrogen (cross-sector partnerships + consortia, framework, implementation)
– Transition (gas-to-“value creation”, green(er) production, financing transition)
– Infrastructure (grid, regional integration, logistics, stable supply etc.)
– Innovation (green fuels, smart systems for transition etc.)
– Finance & Framework (access, PPPs, regulatory framework in RE & energy supply)
– Value addition (job creation, shift of supply and production, sustainability)
– Community (networks & lobby’s, establishing successful consortia)
ANSWER from Dr Said Guemra
NO: 52% OF OUR ELECTRICITY WILL NOT BE RENEWABLE IN 2030!
Dr Said GUEMRA• Expert Consultant in Energy Management 4.0
I don’t know how many times I ask that the official communication be corrected about the share of renewables in the electricity mix.
- When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
- In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables…which cannot be achieved even with nuclear power plants.
- In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed power of 31.8% excluding step which are not renewable energies.
- If in 2020, an installed power of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, the question arises, how 52% of the installed power will give 52% of the electricity mix?
- A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!
We have every interest in expressing the real figures, so as not to undermine the planning of renewable projects, which are the basis of our energy transition, and above all of our climate commitments: where we cannot tell an international commission measuring and verifying that 52% of the installed power will give 52% of the renewable energy share in the mix….If it works in Morocco, it won’t work internationally!
Débat de Haute Facture et Branché sur l’Électricité au Maroc !
Publié par Said El Mansour Cherkaoui et mise a jour 8 Avril 2022
Yes or No in 2030 : 52% of Moroccan electricity will or will not be renewable in Morocco?
Why, How and What are the International Parameters?
In the case of Morocco, a combination of factors are in constant interference and interaction and can be summarized in the following facts:
- Expansion of urbanization,
- Électrification rural areas,
- Attractiveness of foreign companies,
- Military and national security needs,
- State priorities with regard to regional planning and budgetary allocations for the establishment of energy projects serving as a bearing and stimulating industrial production, regional development and job creation.
Thus, the cost of this energy must be taken into account so as not to constitute a brake on productivity growth at least parallel to the degree reached by the renewal of the energy mix.
This renewable energy mix is distinguished by 6 categories:
- N ° 1 – Solar energy. …
- N ° 2 – Wind energy originates from the wind. …
- N ° 3 – Power hydraulics. …
- N ° 4 – Biomass. …
- N ° 5 – Geothermal energy. …
- N ° 6 – Maritime energy
What would be more instructive is to compare the means and infrastructures put in place by other countries with a need and a similar objective as in Morocco, that of having their own sources of electricity production. renewable and even hybrid order to be able to reduce greenhouse gas emissions to respond to the climate emergency and reduce the human and socio-economic cost of expensive external supplies.
“The term energy mix refers to the distribution of the different primary energy sources in the final energy consumption of a given geographic area. Overall, this mixture is 80% dominated by fossil fuels responsible for greenhouse gas (GHG) emissions. To reduce the effects of GHGs and fight effectively against global warming and the scarcity of fossil resources, the current energy model must evolve towards an energy matrix favoring renewable energies (RE), such as water, wind, etc. or the sun, infinitely present in nature. “
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
Yes or No Hybridly Speaking of Indian Energy, could Morocco complete the production of 52% of its electricity by the mix of renewable energies in 2030!
It is not only a question of percentage or capacity of energy renewal, it is above all and after a question of energy independence from natural resources and therefore a question of strategic national interest that has an impact on all areas of economic, social and operational development of Morocco.
In Western countries, technological advances have been made but they have not been able to complete the primacy of renewable energies as an efficient alternative to the needs and demands of energy and therefore have not currently been able to provide a solution to energy problems. current.
The main reason is that this sword of Damocles that are the 5 causes of global warming, of which greenhouse gases are the main reasons for global warming:
- Cause # 1: Variations in the intensity of the sun. …
- Cause n ° 2: industrial activity. …
- Cause n ° 3: agricultural activity. …
- Cause n ° 4: deforestation. …
- Cause # 5: Earth’s own feedback loop.
Potential future effects of global climate change include more frequent forest fires, longer droughts in some areas, and an increase in the number, duration and intensity of tropical storms.
Global climate change has already had observable effects on the environment. Glaciers have shrunk, ice on rivers and lakes is breaking earlier, ranges of plants and animals have shifted, and trees are flowering earlier.
The effects scientists predicted in the past would be the result of global climate change now occurring: loss of sea ice, accelerated sea level rise, and longer and more intense heat waves.
These repercussions of the globalization of climate change alone require innovations and adaptations of the instruments necessary to obtain a continual renewal of energy and this in relation to past consumption as well as to future demand and that in the framework of anticipating the energy needs of the country or those of the industrial units that consume the most electrical energy or that derived from fossils.
The other main drawbacks are the fluctuation in the efficiency of renewable energy sources, which varies depending on the area of installation, the season and the vagaries of the weather. Thus, solar energy is distinguished by variations caused by the day-night cycle, periods of cloudiness or other physical obstacles that stand between the sun and photovoltaic panels. This first drawback is less problematic given the existence of hydroelectric power stations, thanks to the presence of dams which retain water which determine in advance the presence of a certain quantity of water. The second disadvantage is related to the initial investment required, which is high due to the cost of the material used.
France has set itself the target of reaching 40% renewable energies in its energy mix (distribution of the different energy sources consumed) by 2030, compared to 20% currently.
Germany’s Energy Consumption and Production
Morocco Renewable Energy Projections 2030?
- “When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
- In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables… which cannot be achieved even with nuclear power plants. In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed capacity of 31.8% excluding step which is not renewable energies.
- If in 2020, an installed capacity of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, we ask ourselves the question, how 52% of the installed capacity will give 52% of the electricity mix?
- A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh! ” Source: Dr Said GUEMRA
If we consider the figures put forward by the competent authorities, we could extrapolate that Morocco could therefore increase its energy autonomy in a reduplicative and double way, given that this new yield extracted from previous consumption favors cleaner industrial production with less. pollution thus promoting the development of a localized economy with its own energy sources.
The question arises as to the type of hybrid renewable energy sources used such as a photovoltaic system, a wind turbine, a hydraulic energy converter (hydroelectric plants or use of waves) or a combination of these sources. An important criterion for the choice of the source used is the existing potential energy capacity and depending on the geographical location of the installations of the hybrid system. Another determining factor is the consumption of electricity supplied, the volume of which determines the need for additional regulated production, peripheral storage and / or a conventional source, etc.
The expanding share of renewables, growth in power demand, and balancing supply and demand on a real-time basis necessitates the integration of modern, digitized energy storage solutions. Despite its significant potential in this area, not only Morocco but the entire Middle East and North Africa region has only limited storage networks.
From the point of view of development and technological innovations of the renewable means of production themselves, the optimization of their joint operation or even their coupling with other non-renewable energy sources can only favor hybrid systems in that option to the construction of modern electricity grids which includes economic, environmental and social benefits.
Author: Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.
Bibliography:
Dr Said GUEMRA • No: 52% of our electricity will not be renewable in 2030!
The Effects of Climate Change : https://climate.nasa.gov/effects/
What role for renewable energies in the energy mix ?: Https://abgi-france.com/news-energie/role-energies-renouvelables-mix-energetique/
Response de Dr. Said Guemra
NO: 52% OF OUR ELECTRICITY WILL NOT BE RENEWABLE IN 2030!
I do not know how many times that I ask that the official communication be corrected about the share of renewables in the electricity mix.
- When we say that 52% of our electricity will be renewable in 2030, this means that out of 100 kWh consumed by Moroccans, 52 kWh will be renewable.
- In the official logic, installing 52% of a power amounts to having 52% of the electricity in renewables… which cannot be achieved even with nuclear power plants.
- In 2020, the share of renewables was 17.8% of the electricity mix, for an installed capacity of 31.8% excluding step which is not renewable energies.
- If in 2020, an installed capacity of 31.8% gives only 17.8% in the electricity mix, we ask ourselves the question, how 52% of the installed capacity will give 52% of the electricity mix?
- A simple linear projection shows that if we install 52% of our power in renewables, this will represent 31% of our electricity which will be renewable, 31 kWh out of 100 kWh consumed by Moroccans will be renewable, and not 52 kWh!
We have every interest in expressing the real figures, so as not to undermine the planning of renewable projects, which are the basis of our energy transition, and especially of our climate commitments: where we cannot say to an international commission of measurement and verification that 52% of the installed capacity will give 52% of the share of renewable energies in the mix… .If it goes to Morocco, it will not go internationally!
Les Perspectives du DEVLOPEMENT Industriel au Maroc
LES PERSPECTIVES DU DEVLOPEMENT INDUSTRIEL AU MAROC
Dr Said GUEMRA • 1st Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc
LE TEMPS DES UNS ET LE TEMPS DES AUTRES.
Une tournée chez amis industriels, à montré l’ampleur de la crise actuelle surtout sur le volet énergie, avec le Fioul 2 a 9100 Dh/T, soit le double de sa valeur d’il y’a deux mois, et le Propane qui a dépassé la barre des 14000 Dh/Tonne.
Un grand nombre de ces industriels sont dans l’impossibilité de répercuter cette hausse, autrement les commandes s’annulent. L’un d’entre eux avec une hausse mensuelle de 700 000 Dh, est tout simplement disposé à arrêter son activité, avec plus de 200 personnes…et personne ne voit le bout du tunnel.
La hausse du prix du charbon se répercutera obligatoirement sur le prix du kWh industriel, d’où une perte de compétitivité de nos entreprises, dont certaines vont malheureusement arrêter leur activité. Si la guerre tourne plus mal que maintenant, certains prévoient un baril à 500 $, quelle va être la solution ?
Pour l’énergie électrique, la majorité de nos industries n’ont aucune chance de disposer des renouvelables sur site ou hors site, les deux possibilités sont verrouillées par deux lois et un arrêté, la chance des renouvelables compétitives et a coût fixe sur 15/20 ans offertes par plusieurs pays, n’est pas offerte à nos entreprises dont certaines vont subir de plein fouet, la taxe carbone dans quelques mois, en plus des coûts actuels des hydrocarbures.
Nous allons purement et simplement sacrifier un grand nombre de nos industries pour faire plaisir aux distributeurs !
A entendre certains membres de notre gouvernement, et autres officiels très bien formés aux techniques de communication, on dirait que tout va pour le meilleur des mondes. Aucune communication sur la situation actuelle, encore moins des mesures pour baisser l’impact de la facture énergétique sur nos entreprises.
Ce gouvernement qu’on ne mérite pas, vit dans un autre temps qui n’est pas le notre…c’est le temps des uns et le temps des autres.
#maroc #developpement #industriel #afrique #energie #inflation #entreprise #marocroissance #énergie #hydrocarbures #management #communication #entreprises #russie #ukrainerussie #ukraine
Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 4/3/2022
Débat de Haute Facture et Branché sur l’Électricité au Maroc !
Debate on Electricity in Morocco ! Mise a jour, 9 / Avril / 2022 Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux? Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs sont en constante interférence et interaction et peut être résumée dans les faits suivants: Expansion de l’urbanisation, Électrification des zones rurales, Attractivité des compagnies étrangères, Besoins militaires … Lire la suite
Debate on Electricity in Morocco!
Mise a jour, 9 /Avril/ 2022
Pourquoi, Comment et Quelles sont les Paramètres Internationaux?
Dans le cas du Maroc, une combinaison de facteurs sont en constante interférence et interaction et peut être résumée dans les faits suivants:
- Expansion de l’urbanisation,
- Électrification des zones rurales,
- Attractivité des compagnies étrangères,
- Besoins militaires et de sécurité nationale,
- Priorités de l’Etat en ce qui concerne la planification et les allocations budgétaires régionales pour l’implantation de projets énergétiques servant de palier et de stimulant à la production industrielle, au développement régional et à la création de l’emploi.
Ainsi, le coût de cette énergie est à tenir en compte pour ne point constituer un frein à la croissance de la productivité au moins parallèle au degré atteint par le renouvellement de l’énergie mix.
Ce mix de l’énergie renouvelable se distingue par 6 catégories:
L’énergie renouvelable est l’énergie qui est collectée à partir de ressources renouvelables qui se reconstituent naturellement à l’échelle du temps humain. L’énergie renouvelable se compose des sources telles que la lumière du soleil, le vent, la pluie, les marées, les vagues et la chaleur géothermique.
- N°1 – Énergie solaire. …
- N°2 – Énergie éolienne origine du vent. …
- N°3 – Hydraulique de puissance. …
- N°4 – La biomasse. …
- N°5 – Énergie maritime. …
- N°6 – Énergie géothermique.
Ce qui serait plus instructif, c’est de comparer les moyens et les infrastructures mis en place par d’autres pays ayant un besoin et un objectif similaire qu’au Maroc, celui de posséder leurs propres sources de la production d’électricité d’ordre renouvelables et même hybrides pour pouvoir réduire les émissions de gaz à effet de serre pour répondre à l’urgence climatique et réduire le coût humain et socio-économique de l’approvisionnement coûteux extérieur.
“Le terme mix énergétique fait référence à la répartition des différentes sources d’énergie primaire dans la consommation énergétique finale d’une zone géographique donnée. Globalement, ce mélange est dominé à 80 % par les énergies fossiles responsables des émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour réduire les effets des GES et lutter efficacement contre le réchauffement climatique et la raréfaction des ressources fossiles, le modèle énergétique actuel doit évoluer vers une matrice énergétique privilégiant les énergies renouvelables (ER), comme l’eau, le vent, etc. ou le soleil, infiniment présent dans la nature.”
Gujarat’s Hybrid Energy Park – India
Oui ou Non Hybridement Parlant en Energie Indienne, est ce que le Maroc pourrait compléter la production de 52% de son électricité par le mix des énergies renouvelables en 2030 !
Ce n’est pas seulement une question de pourcentage ou de capacité de renouvellement d’énergie, c’est avant tout et après une question d’indépendance énergétique à partir de ressources naturelles et donc une question d’intérêt national stratégique qui a un impact sur tous les domaines du développement économique, social et opérationnel du Maroc.
Dans les pays occidentaux, des avancées technologiques ont été réalisées mais ils n’ont pu achever la primauté des énergies renouvelables en tant qu’alternative efficace face aux besoins et demandes d’énergie et donc n’ont pu actuellement fournir une solution aux problèmes énergétiques actuels.
La raison principale est que cette épée de Damoclès dont les gaz à effet de serre sont les principales raisons du réchauffement climatique:
- Cause n°1 : Variations de l’intensité du soleil. …
- Cause n°2 : activité industrielle. …
- Cause n°3 : activité agricole. …
- Cause n°4 : la déforestation. …
- Cause n°5 : La propre boucle de rétroaction de la Terre.
Les effets potentiels futurs du changement climatique mondial comprennent des incendies de forêt plus fréquents, des périodes de sécheresse plus longues dans certaines régions et une augmentation du nombre, de la durée et de l’intensité des tempêtes tropicales.
Le changement climatique mondial a déjà eu des effets observables sur l’environnement. Les glaciers ont rétréci, la glace sur les rivières et les lacs se brise plus tôt, les aires de répartition des plantes et des animaux se sont déplacées et les arbres fleurissent plus tôt.
Les effets que les scientifiques avaient prédits dans le passé résulteraient du changement climatique mondial se produisant maintenant : perte de glace de mer, élévation accélérée du niveau de la mer et vagues de chaleur plus longues et plus intenses.
Ces répercussions de la globalisation du changement climatique imposent à elles-seules des innovations et des adaptations des instruments nécessaires à l’obtention d’un continuel renouvellement de l’énergie et ceci par rapport à la consommation passée comme à la demande future et cela dans le cadre d’anticiper les besoins énergétiques du pays ou ceux des unités industrielles les plus consommatrices de l’énergie électrique ou celle provenant des fossiles.
Les autres principaux inconvénients sont la fluctuation de l’efficacité des sources d’énergie renouvelables, qui varie en fonction de la zone d’installation, de la saison et des aléas climatiques. Ainsi, l’énergie solaire se distingue par des variations causées par le cycle jour-nuit, les périodes de nébulosité ou d’autres obstacles physiques qui se dressent entre le soleil et les panneaux photovoltaïques. Ce premier inconvénient est moins problématique vu l’existence de centrales hydroélectriques, grâce à la présence de barrages qui retiennent l’eau qui déterminent à l’avance la présence d’une certaine quantité d’eau. Le deuxième inconvénient est lié à l’investissement initial requis, qui est élevé en raison du coût du matériel utilisé.
La France s’est fixé pour objectif d’atteindre 40 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique (répartition des différentes sources d’énergie consommées) d’ici 2030, contre 20 % actuellement.
Pour le Maroc – Dr Said Guemra précise dans les termes suivants
- “Quand nous affirmons que 52% de notre électricité sera renouvelable en 2030, cela veut dire que sur 100 kWh consommés par les marocains, 52 kWh seront renouvelables.
- Dans la logique officielle, installer 52% d’une puissance revient à avoir 52% de l’électricité en renouvelables…ce qui ne peut être atteint même avec des centrales nucléaires. En 2020, la part des renouvelables a été de 17.8% du mix électrique, pour une puissance installée de 31.8% hors step qui ne sont pas des énergies renouvelables.
- Si en 2020, une puissance installée de 31.8% ne donne que 17.8% dans le mix électrique, on se pose la question, comment 52% de la puissance installée va donner 52% du mix électrique ?
- Une simple projection linéaire montre que si on installe 52% de notre puissance en renouvelables, cela va représenter 31% de notre électricité qui sera renouvelable, 31 kWh sur 100 kWh consommés par les marocains seront renouvelables, et non 52 kWh !” Source: Dr Said GUEMRA
Si on considère les chiffres avancés par les autorités compétentes, on pourrait extrapoler que le Maroc pourrait donc accroître son autonomie en énergie d’une façon réduplicative et double vu que ce nouveau rendement extrait d’une consommation précédente favorise la production industrielle plus propre avec moins de pollution ce qui contribue ainsi au développement d’une économie localisée avec ses propres sources d’énergie.
La question se pose quant au type de sources d’énergies renouvelables hybrides utilisées telles qu’un système photovoltaïque, une éolienne, un convertisseur d’énergie hydraulique (centrales hydroélectriques ou utilisation des vagues) ou une combinaison de ces sources. Un critère important pour le choix de la source utilisée est la capacité énergétique potentielle existante et dépendante de l’emplacement géographique des installations du système hybride. Un autre facteur déterminant est la consommation d’électricité fournie, dont le volume détermine le besoin de production régulée supplémentaire, de stockage périphérique et/ou d’une source conventionnelle, etc. Malgré son potentiel important dans ce domaine, non seulement le Maroc mais toute la région du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ne disposent que de réseaux de stockage limités.
Sous l’angle de développement et d’innovations technologiques des moyens de production renouvelables eux-mêmes, l’optimisation de leur fonctionnement conjoint voire leur couplage avec d’autres sources d’énergies non renouvelables ne peut que favoriser les systèmes hybrides en tant qu’option à la construction de réseaux électriques modernes qui comprend des avantages économiques, environnementaux et sociaux.
Plusieurs sources consultées et compilées: Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.
Bibliographie:
Dr Said GUEMRA• Non: 52% de notre électricité ne sera pas renouvelable en 2030 !
The Effects of Climate Change: https://climate.nasa.gov/effects/
Quel rôle pour les énergies renouvelables dans le mix énergétique ?: https://abgi-france.com/news-energie/role-energies-renouvelables-mix-energetique/
Les Perspectives du Devlopement Industriel au Maroc – MAROC CROISSANCE – 4 Avr 2022 Dans “Développement Economique”
LES PERSPECTIVES DU DEVLOPEMENT INDUSTRIEL AU MAROC
Dr Said GUEMRA • 1st Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc • Jeudi 7/Avril/2022
J’ai reçu le message ci’joint, d’un ami qui a posé la question au ministre de l’industrie au sujet de l’électricité verte:
Réponse de Monsieur Ryad MEZZOUR Ministre de l’Industrie et du Commerce:
“Nous allons BRANCHER nos usines avec notre énergie renouvelable !”
Réplique – Interrogation par • Dr Said GUEMRA • Comment ?
Brancher dans son sens unique et électrique, veut dire relier électriquement nos usines aux énergies vertes … Brancher veut aussi dire qu’on va mettre des câbles par exemple entre la centrale Ouarzazate et les industries de Casablanca, brancher veut aussi dire des câbles entre nos barrages et nos industries du Nord…..
Le Maroc selon le ministre va connaître une révolution de câbles électriques, qui vont brancher directement nos usines à nos sources renouvelables: devons nous comprendre autre chose ?
En tant que père du concept de la loi marocaine 13/09 dont l’origine était le projet Dalia à Tanger 2006, je tiens à préciser à Monsieur le ministre de l’industrie que nous n’avons pas besoin de “brancher” nos usines à une source renouvelable, il suffit d’injecter les renouvelables dans le réseau pour les récupérer des centaines de Km plus loin, via des modalités contractuelles, sans aucun changement: c’est ce que j’avais proposé en 2006 dans le cadre du portefeuille des projets MDP du Maroc, et devenu loi 13/09 en 2010.
Et le deuxième grand point, est comme je l’ai dit dans un post précédent à votre sujet, la production des énergies renouvelables de puissance se fait en Haute tension, alors que les industriels sont en moyenne tension, et votre département refait la même erreur que le projet des 400 MW qui n’a jamais vu le jours à cause de ce problème de lois, qui bloquent tout au Maroc….Vous voyez que nos lois sont tellement bien faites, au point ou même le ministère de l’industrie, ministère de la transition, Masen, n’ont rien pu faire pour faire passer un projet de 400 MW…c’est bloqué de partout M le Ministre, même les câbles que vous proposez ne servent à rien avec le nouvel arrêté du ministère de l’intérieur.
Et puis vous avez discuté d’une électricité renouvelable à 0.5 Dh/kWh, quand est ce qu’elle sera effective ? à quelle date ? avez vous discuté avec ONEE ?
Je vous conseille de vous entourer de spécialistes qui connaissent ces questions, afin de donner les bonnes réponses que les marocains attendent, car jusqu’à présent nous n’avons aucune réponse convaincante, que ce soit de votre part, ou de celui de la ministre de la transition énergétique, principale concernée, et qui ne semble pas être très intéressée par le sujet.
Dr Said GUEMRA• 1st Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc
LE DERNIER RAPPORT DU GIEC RÉCONFORTE LE MAROC DANS SON PLAN DE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE DE 2009.
Le GIEC arrive cette semaine à la conclusion qui n’est autre que le plan de transition marocain instauré par Sa Majesté en 2009: il faut impérativement investir dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, qui sont quatre fois plus efficaces que le nucléaire, contre les gaz à effet de serre.
Il y’a vraiment de quoi être fier de cette conclusion, et que sur un plan de choix stratégique, nous sommes sur la bonne voie. Notre feuille de route, instaurée par Sa Majesté en 2009 est encore une fois validée. Le nucléaire serait beaucoup moins à l’ordre, du jour dans notre transition énergétique.
D’après le DG de ONEE, on sait que l’office se prépare activement à cette transition, en multipliant les connexions avec l’Europe, voire des connexions avec les pays arabes, et surtout en adoptant le gaz qui reste une énergie pilotable, le tout pour faire face à l’intermittence des renouvelables.
Le gaz étant une énergie de transition.
Le Maroc se met toutes les chances de son côté afin de monter en puissance renouvelables, sans souci pour le réseau national…il va falloir monter !
S’il est vrai que les réalisations ne sont pas à la hauteur des attentes initiales de 2009: avec 12% d’économie d’énergie non réalisée entre 2010 et 2020, soit une perte sèche de 8 MMDh/an, et 20% de renouvelables dans notre mix électrique en 2021, alors que nous aurions pu être à plus de 30%, cette valeur serait peut être atteinte en 2030 si on installe 850 à 1000 MW/an, ce qui est loin d’être le cas, l’ONEE ne peut pas réaliser ces puissances seul, il peut avancer de 200 à 300 MW/an, sans plus, et il va falloir impérativement ouvrir la moyenne et la basse tension, au privé, et surtout avec de nouvelles lois, qui doivent permettre l’éclosion des renouvelables chez nous, contrairement à la panoplie de lois actuelles, qui dressent toutes les barrières possibles et imaginables, en face de renouvelables.
L’énergie sociale doit commencer quelque part, pour venir en aide aux plus démunis, un grand nombre de programmes sur le terrain doivent imaginés et exécutés.
A ce jour, nous disposons du meilleur plan de transition au monde, avec le témoignage du GIEC, et qu’il va falloir mettre en musique dans les meilleurs délais.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade.
Salomé Saqué • 2nd Journaliste – 7 Avril, 2022
Dr Said GUEMRA• 1st Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc – 7 Avril, 2022
LA SOBRIÉTÉ ÉNERGÉTIQUE: LE MAÎTRE MOT DE LA LUTTE CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
La sobriété ou l’efficience énergétique, s’attaque à la partie horizontale du kWh à savoir le temps. Comment faire pour rendre une offre énergétique, égale au besoin énergétique ? Dans le bâtiment on peut climatiser 24h/24h pour une présence administrative de 8h par jour. Dans l’industrie, des machines peuvent produire 3 ou 4 heures pour une consommation de 10 ou 12h.
Le potentiel de la sobriété est nettement plus important, dans un très grand nombre de cas, que celui de l’efficacité
énergétique, et les énergies renouvelables. Avec très peu d’investissement, on peut réduire la consommation d’un bâtiment, par simple adaptation de l’offre énergétique aux besoins: éclairage, climatisation…
Le plan de transition énergétique d’un bâtiment doit commencer par une chasse sans merci des pertes, avec l’appui de la digitalisation de l’énergie, qui nous permet de savoir où en sommes nous, en matière d’adaptation de l’offre énergétique à la demande. Les premiers gains de la sobriété énergétique, qui peuvent être très conséquents, permettent de financer les projets d’efficacité énergétique, le solde de la comptabilité énergétique permet de financer les renouvelables sur site, et en cas de besoin, le complément viendrait des renouvelables hors site…pour aller vers le zéro carbone, ou le net zéro en cas de compensation. ..et c’est possible dans un très grand nombre de cas.
La traduction du plan de transition énergétique initié par Sa Majesté en 2009, basée sur l’efficacité et efficience énergétique PRIORITAIRES sur le TERRAIN doit se faire en quatre axes, qui doivent être exécutés dans l’ordre:
1- Efficience énergétique
2- Efficacité énergétique
3- Renouvelables sur site
4- Renouvelables hors site
Si l’efficience énergétique et l’efficacité énergétique rapportent par exemple 50% d’économie mesurable, les renouvelables ne vont concerner que la seconde moitié de l’énergie, soit un important investissement renouvelable coupé en deux. Si on commence par les renouvelables on aura affaire à 100% de l’investissement au lieu de 50%…c’est magique !
La decarbonation à des % respectables 70/80% ne peut provenir des renouvelables seules, les meilleurs réalisations solaires sont entre 15 et 20% du taux de decarbonation (qui reste à vérifier) limités pour raison de coût, ou espace…les taux importants ne peuvent être atteins qu’avec le déroulement des axes 1 2 3 avec des investissements à très forte rentabilité, sur 3 à 4 ans.
Tendre vers 100% comme taux de decarbonation, veut dire qu’il faut ouvrir le marché marocain aux renouvelables hors site, pour apporter le complément qui serait entre 10 et 30%.
Nous disposons d’un excellent plan de transition énergétique depuis 2009, il nous importe de l’appliquer. Le payement de la taxe carbone n’interviendra qu’en 2026, ce qui nous laisse le temps pour une mise à niveau énergétique dans les règles de l’art.
A méditer !
Déclaration de Madame La Ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali
Rabat – Maroc:
La Ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali a déclaré que le Maroc avait l’intention de produire plus de 52% de son électricité à partir de sources renouvelables avant 2030.
Cela s’est produit lors d’un discours de la ministre lundi soir devant la Chambre des représentants (la première chambre du Parlement) lorsqu’elle a répondu aux questions des parlementaires.
Benali a expliqué que les efforts du Maroc pour transformer l’énergie s’inscrivent dans le cadre de l’élévation de ses ambitions concernant sa stratégie énergétique, qui se concentre principalement sur le développement de sources d’énergie nouvelles et renouvelables.
Elle a souligné que le Maroc « compte actuellement une cinquantaine de projets d’énergies renouvelables en exploitation… La capacité totale de ces projets en exploitation atteint 3 950 mégawatts ».
Le Forum économique mondial avait déclaré, dans un rapport d’avril dernier, que le Maroc se classait au troisième rang du monde arabe après le Qatar et les Émirats arabes unis pour la promotion d’une transition énergétique efficace pour l’année 2021.
Selon Madame Benali, son ministère s’efforcera d’offrir de nouvelles opportunités d’investissement, notamment en programmant une capacité supplémentaire de plus de 4 000 mégawatts à partir de sources renouvelables d’ici 2025.
Le rythme s’accélère au Maroc pour augmenter la production d’énergie à partir de sources renouvelables, dans le cadre de ses efforts pour atteindre les objectifs de changement climatique et de neutralité carbone d’ici 2050, et également pour se réaliser une souveraineté dans ce secteur.
alquds.co.uk •
الرباط – الأناضول: قالت وزيرة الانتقال الطاقي المغربية، ليلى بنعلي، أن بلادها تعتزم إنتاج أكثر من 52 في المئة من طاقتها الكهربائية من مصادر متجددة قبل حلول 2030.
جاء ذلك خلال كلمة للوزيرة مساء الاثنين أمام مجلس النواب (الغرفة الأولى من البرلمان) لدى جوابها عن أسئلة البرلمانيين.
وأوضحت بنعلي أن جهود المغرب للتحول الطاقي تأتي في إطار رفع طموحاته بخصوص إستراتيجية الطاقة، التي تتركز بالأساس على تطوير مصادر طاقة جديدة ومتجددة.
وأكدت أن البلاد “تتوافر حالياً على حوالي 50 مشروعاً للطاقة المتجددة قيد الاستغلال.. قدرة هذه المشاريع الإجمالية قيد الاستغلال تصل إلى 3950 ميغاواط”.
كان “المنتدى الاقتصادي العالمي” قد قال، في تقرير له في أبريل/نيسان الماضي، إن المغرب حل في المرتبة الثالثة عربياً بعد قطر والإمارات في تعزيز التحول الفعال في مجال الطاقة، لعام 2021.
وبحسب بنعلي، فإن وزارتها ستعمل على توفير فرص استثمارية جديدة، أبرزها برمجة قدرة إضافية تفوق 4000 ميغاواط من مصادر متجددة بحلول 2025.
وتتسارع الخطى في المغرب لزيادة إنتاج الطاقة من المصادر المتجددة، ضمن مساعيه لتحقيق أهداف التغير المناخي والحياد الكربوني بحلول 2050، وأيضا لتحقيق السيادة في القطاع.
RÉPONSE de Dr Said Guemra
NON: 52% DE NOTRE ÉLECTRICITÉ NE SERA PAS RENOUVELABLE EN 2030 !
Dr Said GUEMRA• Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0
Je ne sais pas combien de fois, que je demande à ce que la communication officielle soit corrigée au sujet de la part des renouvelables dans le mix électrique.
- Quand nous affirmons que 52% de notre électricité sera renouvelable en 2030, cela veut dire que sur 100 kWh consommés par les marocains, 52 kWh seront renouvelables.
- Dans la logique officielle, installer 52% d’une puissance revient à avoir 52% de l’électricité en renouvelables…ce qui ne peut être atteint même avec des centrales nucléaires.
- En 2020, la part des renouvelables a été de 17.8% du mix électrique, pour une puissance installée de 31.8% hors step qui ne sont pas des énergies renouvelables.
- Si en 2020, une puissance installée de 31.8% ne donne que 17.8% dans le mix électrique, on se pose la question, comment 52% de la puissance installée va donner 52% du mix électrique ?
- Une simple projection linéaire montre que si on installe 52% de notre puissance en renouvelables, cela va représenter 31% de notre électricité qui sera renouvelable, 31 kWh sur 100 kWh consommés par les marocains seront renouvelables, et non 52 kWh !
Nous avons tout intérêt à exprimer les véritables chiffres, afin de ne pas porter atteinte à la planification des projets renouvelables, qui sont à la base de notre transition énergétique, et surtout de nos engagements climatiques: la ou on ne peut dire à une commission internationale de mesure et de vérification que 52% de la puissance installée va donner 52% de la part des EnR dans le mix….Si ça passe au Maroc, ca ne passera pas à l’international !
CROISSANCE DE L’ENERGIE RENOUVELABLE AU MAROC ET RENAISSANCE DE LA HONTE ET DU MENSONGE
WA KABIRHA TSSGHAR
Aux Etats-Unis, on dit le Ciel est la limite
Dans le cas de ce que Dr Said GUEMRA dénonce, ce mensonge plein d’énergie fictive dépasse les limites de l’entendement et les frontières internationales du self-respect.
Je vous laisse apprécier la portée nationale et internationale d’un tel acte incongru et contraire aux normes protocolaires dont Dr Said GUEMRA en tire les conclusions adéquates et contrevenantes.
#respect #énergie #renewableenergy #energie #maroc
Dr Said GUEMRA• 1stExpert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc•
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Dr Said GUEMRA 1st degree connection1stExpert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc
Il est vrai que je ne comprends pas les raisons de ce mensonge. Nous sommes passé d’un mensonge de 37% de renouvelables dans notre mix électrique, à 45% de même mensonge. Ca veut aussi dire que nous seront à 100% d’énergie renouvelable dans notre mix électrique dans quelques mois. Le mensonge gouvernemental est gratuit, pourquoi s’en priver ?
Réaction et Commentaire:
Dr Said GUEMRA Author Expert Conseil en Management de l’Energie 4.0 GemTech MoniToring Maroc
Excellent travail très instructif ça fait un journal très utile. Merci beaucoup Si Said El Mansour Cherkaoui.
Gaz Nigérian: Maroc, Algérie, Cedeao et Intégration Africaine
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